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Chamalières (en occitan : Chamalièras[2]) est une commune française, située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes. À l'instar de sa voisine Royat, la ville est une des deux grandes stations thermales situées à proximité directe de Clermont-Ferrand. Toutes deux forment un ensemble thermal important tant à l'échelle régionale que nationale.

Chamalières

Pavillon Majestic.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Puy-de-Dôme
Arrondissement Clermont-Ferrand
Intercommunalité Clermont Auvergne Métropole
Maire
Mandat
Louis Giscard d'Estaing
2020-2026
Code postal 63400
Code commune 63075
Démographie
Gentilé Chamaliérois [1]
Population
municipale
17 276 hab. (2019 )
Densité 4 582 hab./km2
Population
agglomération
274 141 hab. (2019)
Géographie
Coordonnées 45° 46′ 28″ nord, 3° 04′ 04″ est
Altitude Min. 385 m
Max. 582 m
Superficie 3,77 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Clermont-Ferrand
(banlieue)
Aire d'attraction Clermont-Ferrand
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Chamalières
(bureau centralisateur)
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Chamalières
Géolocalisation sur la carte : France
Chamalières
Géolocalisation sur la carte : Puy-de-Dôme
Chamalières
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Chamalières
Liens
Site web ville-chamalieres.fr

    Elle fait partie de l'aire urbaine de Clermont-Ferrand. Ses habitants sont appelés les Chamaliérois.


    Géographie



    Localisation


    Chamalières est située à l'ouest de Clermont-Ferrand. Elle est communément surnommée le « Neuilly-sur-Seine » de Clermont-Ferrand, avec de nombreuses villas cossues, des immeubles en pierre de taille et parcs urbains sur les hauteurs de Clermont-Ferrand et du parc naturel régional des volcans d'Auvergne.

    La ville se situe entre Clermont-Ferrand et Royat, ville thermale possédant un casino appartenant également à la commune de Chamalières.

    Quatre communes (cinq en incluant le quadripoint avec Durtol) sont limitrophes de Chamalières[3] :

    Communes limitrophes de Chamalières
    Durtol (quadripoint)
    Orcines Clermont-Ferrand
    Royat Ceyrat

    Géologie et relief


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    Lucien Gachon a réalisé une étude géologique de la commune en 1983[4].


    Hydrographie


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    Elle est traversée par la Tiretaine, enterrée en grande partie « sur les deux tiers de sa longueur », « pour des raisons sanitaires et pratiques »[CHAM 1].


    Climat


    Article connexe : Climat du Puy-de-Dôme.
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    Les relevés météorologiques sont ceux de la station d'Aulnat, à l'est de Clermont-Ferrand :

    Relevés météorologiques de la station de Clermont-Ferrand (1981-2010, sauf ensoleillement 1991-2010)
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) −0,1 0,3 2,7 4,7 8,7 11,9 14 13,7 10,6 7,9 3,3 0,8 6,6
    Température maximale moyenne (°C) 7,6 9,2 13,1 15,7 19,9 23,4 26,5 26,1 22,3 17,6 11,3 8 16,8
    Ensoleillement (h) 88,9 108,4 161,4 173,5 197,9 225,2 249,2 234,8 185,4 135,1 84 69,2 1 913
    Précipitations (mm) 26,7 21,8 25,8 53,4 76,8 72,9 54,9 61,9 65,6 49 39,5 30,6 578,9
    Source : Météo-France[5]

    Voies de communication et transports



    Voies routières

    À la frontière avec Clermont-Ferrand, plusieurs rues ainsi que deux boulevards font office de frontière avec Chamalières : de la voie ferrée vers la rue du Puy-Vineux, la rue des Beaumes, la rue des Gravouses, la rue Camille-Desmoulins, la rue Descartes, une partie de l'avenue Bergougnan, puis le boulevard Berthelot suivi du boulevard Duclaux, jusqu'au carrefour avec l'avenue Pasteur, jusqu'aux rues Gourgouillon et de Bellevue. Il s'agit d'un axe partiellement classé en route départementale (on relève une borne de la RD 805) à une voie de circulation dans chaque sens ; sur le boulevard Berthelot, une voie est réservée aux bus. Le boulevard Aristide-Briand, prolongeant le boulevard Duclaux, est à sens unique et à trois voies de circulation.

    Depuis la place de Jaude et dans le prolongement de la rue Blatin, la route départementale 68 dessert le quartier du Carrefour Europe par l'avenue de Royat. Celle-ci continue vers Royat et le sommet du puy de Dôme.

    L'avenue Pasteur correspond à une partie de la RD 5 (il existe aussi une RD 5c correspondant à la rue Pierre-Poisson ainsi qu'une RD 5d correspondant à l'avenue Paul-Bert)[3].

    Au sud de la commune, la RD 143 dessert le quartier des Galoubies (boulevard Gambetta).

    La RD 943 emprunte l'avenue Joseph-Claussat, rénovée en 2013, avant de revenir sur le territoire de la commune de Clermont-Ferrand croiser la RD 941 montant vers Limoges ; cette RD 943 continue vers Durtol et Pontgibaud.

    Enfin, la RD 944 relie Durtol à Ceyrat par l'avenue Thermale ; elle se substitue à la RD 68 entre le siège de France 3 Auvergne et le carrefour de la place Allard à Royat.

    La municipalité a défini trois zones de stationnement (vert, orange, rouge), dont le tarif horaire varie, dans les rues du centre-ville et sur l'avenue de Royat. Les résidents, les professionnels ainsi que les propriétaires de véhicules électriques ou hybrides bénéficient de tarifs spécifiques[CHAM 2].

    La ville compte six parkings aériens et deux parkings souterrains[CHAM 3].


    Aménagements cyclables

    La ville a obtenu le clou rouillé décerné par la Fédération française des usagers de la bicyclette en 2008, pour son absence d'aménagements cyclables[6].


    Transport ferroviaire

    Chamalières est desservie par une gare ferroviaire, située sur la ligne d'Eygurande - Merlines à Clermont-Ferrand : la gare de Royat - Chamalières, desservie par des TER Auvergne reliant Clermont-Ferrand à Durtol - Nohanent ou Volvic.

    Le schéma de cohérence territoriale du Grand Clermont prévoit la création d'une halte au droit du lycée de Chamalières[7].


    Transports urbains

    La commune est desservie par le réseau T2C. Ce bus est arrêté sur le site propre du carrefour Europe.
    La commune est desservie par le réseau T2C. Ce bus est arrêté sur le site propre du carrefour Europe.
    Boulevard Berthelot, à la frontière entre Chamalières (à droite) et Clermont-Ferrand (à gauche). Un couloir de bus a été aménagé au centre.
    Boulevard Berthelot, à la frontière entre Chamalières (à droite) et Clermont-Ferrand (à gauche). Un couloir de bus a été aménagé au centre.

    La ville est desservie par plusieurs lignes du réseau T2C :


    Urbanisme



    Typologie


    Chamalières est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Clermont-Ferrand, une agglomération intra-départementale regroupant 17 communes[11] et 274 141 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

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    Occupation des sols


    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (98,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (98,7 %), forêts (1,3 %)[16].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].


    Morphologie urbaine


    Fontaine faisant office de rond-point.
    Fontaine faisant office de rond-point.

    Au XIXe siècle, l'urbanisation de Clermont était conséquente puisque « Clermont, Montferrand, Bourdon ne semblent former qu'une même et vaste cité[17] ».

    Le carrefour Europe est en fait, outre un quartier, un carrefour de plusieurs routes : avenue de Royat sur l'axe Royat – Clermont-Ferrand, l'avenue Aristide-Briand au sud et l'avenue de Fontmaure au nord. Il est caractérisé par un urbanisme sur dalles. L'ancien siège du conseil régional d'Auvergne a été bâti par les architectes Michel Tournaire et Paul Faye architectes de l'agence Faye et Tournaire. En juin 2014, le conseil régional a déménagé près du quartier de Montferrand à Clermont-Ferrand.

    Il existe une zone piétonne, où la marche à pied est particulièrement utilisée[7].

    Le plan local d'urbanisme (PLU) a été approuvé le 29 septembre 2011[CHAM 4].


    Logement


    Le secteur collectif est concentré dans la ville et plus particulièrement l'offre en petits logements[7].

    En 2013, Chamalières comptait 11 868 logements, contre 11 748 en 2007. Parmi ces logements, 82,7 % étaient des résidences principales, 6,4 % des résidences secondaires et 10,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 18 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 81,8 % des appartements[INS 1]. Le nombre de logements vacants a augmenté entre 2007 et 2012 (1 340 contre 1 333) du fait que les actifs souhaitent « conserver leur bien » en attendant leur retraite, conséquence d'une baisse de la population. Le peu de réserves foncières empêche la construction d'ensembles immobiliers favorisant une augmentation de la population[18]. Entre 2008 et 2013, ce nombre baisse (1 296 contre 1 481)[INS 1].

    La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 54,6 %, en hausse sensible par rapport à 2008 (52,5 %). La part de logements HLM loués vides était de 2,3 % (contre 2,6 %)[INS 2].


    Projets d'aménagement


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    Avenue Aristide-Briand, en direction du carrefour Europe. Elle pourra constituer une partie de la liaison sud-ouest.
    Avenue Aristide-Briand, en direction du carrefour Europe. Elle pourra constituer une partie de la liaison sud-ouest.

    Le centre de Chamalières reste peu encombré. Toutefois, le trafic dans l'agglomération clermontoise est concentré sur les boulevards de contournement. La liaison reliant le carrefour des Pistes à Chamalières est constituée de routes à deux ou trois voies de circulation (à Clermont-Ferrand : l'avenue Fernand-Forest, les boulevards Daniel-Mayer, Maurice-Pourchon, Gordon-Bennett, Lavoisier et Berthelot, puis à Chamalières, les avenues Bergougnan, Voltaire et de Fontmaure) correspondant à la route départementale 69[3]. Elle devrait se prolonger du carrefour Europe jusqu'à la déviation de Beaumont (route départementale 2089), sous le nom de « liaison urbaine sud-ouest » jusqu'à l'avenue de la Libération, puis en « avenue sud » jusqu'à la place Henri-Dunant à Clermont-Ferrand, au droit du CHU Gabriel-Montpied[7].


    Risques naturels et technologiques


    La commune de Chamalières est soumise à quatre risques naturels.

    Concernant l'inondation, deux plans de prévention du risque inondation ont été prescrits en 1998 (pour la Tiretaine — l'arrêté a été approuvé le [19]) et en 2014 (pour les crues à débordement lent de cours d'eau)[20]. Les habitations en bordure de la Tiretaine sont directement concernées par ce risque, par crue torrentielle ou par ruissellement urbain. L'état de catastrophe naturelle a été décrété à de multiples reprises, dont trois fois en 1999[CHAM 5].

    Les mouvements de terrain dans la commune sont caractérisés par « des chutes de pierres et de blocs, [et] par le retrait-gonflement des sols argileux ». L'état de catastrophe naturelle a été reconnu notamment en 2002. Trois quartiers sont touchés : Hermitage/Rothimard, Beaumes et Bargoin (rue des Montagnards) ; dans ces secteurs, toute construction est interdite[CHAM 5].

    La commune est aussi soumise au risque sismique (zone de sismicité modérée, niveau 3)[20] ainsi qu'au risque feu de forêt[20].

    Elle est aussi concernée par deux risques technologiques :

    La commune fait également partie d'un territoire à risque important d'inondation[20].

    Un dossier d'information communal sur les risques majeurs a été rédigé par la mairie[CHAM 6].


    Toponymie


    Les habitants de la commune sont appelés les Chamaliérois.

    Le nom de Chamalières pourrait venir du nom du Temple de Mercure, Cadmillus, « desservi par des jeunes garçons et par des jeunes filles [appelés] Cameli Juvenes et Camelœ Juvenes »[21].

    Chamalières fait partie de l'aire linguistique de l'occitan et plus précisément du nord-occitan[22]. Dans cette langue la ville est nommée Chamalièras[23].


    Histoire


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    Moyen Âge


    Quelques auteurs attribuaient la fondation de la ville à saint Genès, évêque de Clermont, en 650[17], où l'église est le monument principal[21].

    Chamalières appartenait aux dauphins d'Auvergne. Étienne, comte d'Auvergne qui y résidait vers 881, fondait alors « cinq églises dont quatre ont totalement disparu[21] ».


    Époque contemporaine


    Chamalières est l'ancien faubourg de la ville d'Auvergne. Elle était une simple ville de passage pour relier Clermont-Ferrand à Saint-Mart  une fête était célébrée tous les 25 avril  et à Royat[17].

    Pendant la Première Guerre mondiale, de nombreux hôtels et résidences sont réquisitionnés pour servir d'hôpitaux temporaires afin de soigner les blessés.[24]

    Elle abrite le premier fabricant de pneumatiques pour bicyclette, la société Torrilhon. L'usine fermera en 1937 et sera détruite en 1977 (entre l'actuelle carrefour de l'Europe et l'école Jules Ferry).

    L'histoire récente de Chamalières est marquée par la déclaration de candidature à la présidence de la République, en 1974, depuis le balcon de la mairie, du maire de Chamalières Valéry Giscard d'Estaing.

    Il l'emportera au premier tour sur Jacques Chaban-Delmas, Premier ministre de Georges Pompidou, et au second tour face à François Mitterrand, avec près de 425 000 voix d'avance.


    Politique et administration



    Tendances politiques et résultats


    Les dernières élections présidentielles ont été marquées par une prédominance de la droite.

    Résultats des élections présidentielles
    Année Élu(e) Battu(e) Participation
    2002 Jacques Chirac (UMP)90,22 % Jean-Marie Le Pen (FN)9,78 % 83,16 %[MIN 1]
    2007 Nicolas Sarkozy (UMP)61,94 % Ségolène Royal (PS)38,06 % 86,85 %[MIN 2]
    2012 François Hollande (PS)44,07 % Nicolas Sarkozy (UMP)55,93 % 83,88 %[MIN 3]
    2017 Emmanuel Macron (LREM)83,32 % Marine Le Pen (FN)16,68 % 77,34 %[MIN 4]

    Les trois dernières élections législatives ont quant à elles été marquées par la victoire de Louis Giscard d'Estaing dans la 3e circonscription du Puy-de-Dôme en 2002 et 2007, même s'il a été battu en 2012 par Danielle Auroi par 50,92 % des voix[MIN 5] (le redécoupage des circonscriptions législatives de 2010 n'a pas affecté la commune).

    Résultats des élections législatives
    Année Élu(e) Battu(e) Participation
    2002 Louis Giscard d'Estaing65,35 % Danielle Auroi34,65 % 61,92 %[MIN 6]
    2007 Louis Giscard d'Estaing66,56 % Mireille Lacombe33,44 % 62,74 %[MIN 7]
    2012 Danielle Auroi50,92 % Louis Giscard d'Estaing49,08 % 65,21 %[MIN 8]

    Aux élections européennes, le taux de participation reste faible. En 2014, la liste FN n'arrive qu'en quatrième position avec 12,74 % des voix.

    Résultats des élections européennes
    Année Élu(e) Battu(e) Participation
    2004 Brice Hortefeux (UMP)38,56 % Catherine Guy-Quint (PS)22,51 % 48,98 %[MIN 9]
    2009 Jean-Pierre Audy44,23 % Jean-Paul Besset15,71 % 47,01 %[MIN 10]
    2014 Liste UMP28,29 % Liste UDI-MoDem21,39 % 51,25 %[MIN 11]

    Aux élections régionales, la majorité des électeurs ont voté pour les candidats battus. Toutefois, en décembre 2015, la liste de Laurent Wauquiez, comprenant également le maire de la ville de Chamalières, l'emporte largement avec 57,85 % des suffrages exprimés, « le [deuxième] meilleur score d'Auvergne » après Le Puy-en-Velay[25].

    Résultats des élections régionales
    Année Élu(e) Battu(e) Participation
    2004 Pierre-Joël Bonté34,58 % Valéry Giscard d'Estaing65,42 % 68,35 %[MIN 12]
    2010 René Souchon43,48 % Alain Marleix56,52 % 59,22 %[MIN 13]
    2015 Laurent Wauquiez57,85 % Jean-Jack Queyranne33,41 % 62,99 %[MIN 14]

    Aux élections municipales de 2014, le maire sortant, Louis Giscard d'Estaing, est opposé à deux autres candidats, un de gauche (Éric Spina) et un autre de droite. Le maire sortant a été réélu au premier tour avec 58,42 % des voix. Seule sa liste comprend des élus au conseil communautaire, au nombre de cinq. Eric Spina obtient 22,99 % des voix. Le taux de participation est de 61,67 %[MIN 15]. Il est réélu le [26].

    Articles connexes : Élections municipales de 2014 dans le Puy-de-Dôme et Élections municipales de 2020 dans le Puy-de-Dôme.

    Aux élections départementales de 2015, le binôme Marie-Anne Basset - Jean-Ponsonnaille, élu dans le canton, a recueilli 55,81 % des suffrages exprimés. 45,08 % des électeurs ont voté (5 444 votants sur 12 075 inscrits)[MIN 16].


    Administration municipale


    Le conseil municipal est composé de trente-trois membres, dont neuf adjoints[26],[CHAM 7].


    Liste des maires


    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1876 1881 Émile Kuhn   brasseur de bière[27]
    1881 1903 Pierre Poisson    
    1903 1904 Adrien Morin    
    1904 1906 Hippolyte Chatrousse    
    1906 1911 Édouard Baudry    
    1911 1912 Antoine Collier    
    1912 1919 Jean Veissier    
    1919 1967 Pierre Chatrousse    
    1967 1974 Valéry Giscard d'Estaing RI Conseiller général du canton de Rochefort-Montagne (1958-1974)
    Député (onze mandatures) de la 3e circonscription du Puy-de-Dôme[Note 3]
    Ministre de l'Économie et des Finances (1969-1974)[28]
    Président de la République (1974-1981)
    Membre (six fois) ou président (trois fois) de la commission des affaires étrangères de 1986 à 2002[28]
    1974 2005
    (décès)
    Claude Wolff UDF
    puis SE
    ou DVD
    Député (1981-1984[29]), député européen
    Conseiller général du canton de Rochefort-Montagne (1976-1988) puis du canton de Chamalières (1992-2005)
    Expert-comptable[29]
    2005 En cours
    (au [26])
    Louis Giscard d'Estaing UMP puis UDI Député de la 3e circonscription du Puy-de-Dôme de 2002 à 2012[30]
    Vice-président de la commission des finances[30] et de l'Assemblée nationale en 2011-2012[30]
    2e vice-président de Clermont Auvergne Métropole chargé de la solidarité territoriale et de la politique de la ville[31]

    Instances judiciaires et administratives


    Chamalières dépend de la cour administrative d'appel de Lyon, de la cour d'appel de Riom, du tribunal administratif, du conseil de prud'hommes, du tribunal d'instance, du tribunal de grande instance, du tribunal des pensions, du tribunal paritaire des baux ruraux de Clermont-Ferrand, ainsi que du tribunal des affaires de sécurité sociale du Puy-de-Dôme[32].

    Au milieu du XIXe siècle, Chamalières faisait partie de la section nord des Justices de paix[33].


    Politique environnementale


    La commune s'occupe du nettoyage des espaces publics, sans avoir recours aux produits chimiques[CHAM 8].

    La gestion des déchets est assurée par la communauté d'agglomération. À Chamalières, le service s'effectue en délégation, pour les collectes en porte-à-porte, pour les encombrants à domicile, les points d'apport volontaire et la maintenance des bacs[34].


    Finances locales


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    Jumelages


    Face de l'obélisque des trente ans du jumelage.
    Face de l'obélisque des trente ans du jumelage.

    Au 13 février 2015, Chamalières est jumelée avec trois communes[35]. Ces jumelages sont des coopérations décentralisées :

    Chamalières a organisé entre le 29 mai et le les trente ans du jumelage avec la ville allemande de Geretsried. Un obélisque a été érigé dans le quartier du carrefour Europe ou espace Jean-Monnet et a été inauguré le [CHAM 10],[CHAM 11]. Il comprend deux inscriptions, sur une face, en français :

    « Notre amitié est comme une rose que nous soignons à toujours refleurir et qui survivra à tous les hivers. »

    et sur une autre face, sa traduction en allemand, l'obélisque étant le « cadeau de la ville de Geretsried[CHAM 11] » :

    « Unsere Freundschaft ist wie eine Rose, die wir immer wieder zum Blühen bringen und die alle Winter überstehen wird. »


    Population et société



    Démographie



    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[36],[Note 4].

    En 2019, la commune comptait 17 276 habitants[Note 5], en diminution de 2,58 % par rapport à 2013 (Puy-de-Dôme : +3,3 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2271 6641 8602 0679221 0331 0251 1011 163
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2421 2421 2591 4001 4701 8072 3532 4302 698
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 8982 9413 7405 5026 2607 3418 56411 21611 473
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    14 83717 77518 07517 48617 30118 13617 68917 46717 282
    2019 - - - - - - - -
    17 276--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (34,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 35,6 % la même année, alors qu'il est de 27,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 7 520 hommes pour 9 690 femmes, soit un taux de 56,30 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,59 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,2 
    90 ou +
    3,2 
    9,8 
    75-89 ans
    14,9 
    19,3 
    60-74 ans
    21,6 
    18,6 
    45-59 ans
    18,6 
    19,6 
    30-44 ans
    14,6 
    17,9 
    15-29 ans
    16,7 
    13,7 
    0-14 ans
    10,5 
    Pyramide des âges du département du Puy-de-Dôme en 2018 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7 
    90 ou +
    2 
    7 
    75-89 ans
    10,2 
    17,6 
    60-74 ans
    18,3 
    20,4 
    45-59 ans
    19,5 
    18,5 
    30-44 ans
    17,4 
    18,6 
    15-29 ans
    17,2 
    17,2 
    0-14 ans
    15,5 

    Enseignement


    Chamalières dépend de l'académie de Clermont-Ferrand.

    Dans l'enseignement public, les élèves commencent leur scolarité dans l'un des trois groupes scolaires (écoles maternelle et élémentaire) Jules-Ferry (respectivement cinq et onze classes), Montjoly (resp. quatre et six + CLIS) et Paul-Lapie (resp. cinq et neuf)[CHAM 12],[41].

    Ils poursuivent leur scolarité au collège Teilhard-de-Chardin[41], géré par le conseil départemental du Puy-de-Dôme (les élèves habitant aux numéros pairs des rues Descartes et du Puy-Vineux se rendent au collège du quartier de Trémonteix à Clermont-Ferrand)[42].

    La région gère le lycée hôtelier (ainsi que sa section d'enseignement général et technologique)[41]. Le lycée de Chamalières[43] assure les filières générales et propose une section européenne anglais ainsi qu'en enseignement d'exploration en EPS[44]. Il forme les élèves au CAP agent polyvalent de restauration[45], au baccalauréat professionnel cuisine ou service[46] ou au baccalauréat sciences et technologies de l'hôtellerie et de la restauration[47]. Il propose aussi des BTS hôtellerie et tourisme ainsi que des mentions complémentaires. Tous les lycéens devraient, au vu de la carte scolaire, fréquenter ce lycée, à l'exception des habitants des rues du Puy-Vineux et Descartes, aux numéros pairs, se rendant alors au lycée Jeanne-d'Arc ou au lycée Blaise-Pascal à Clermont-Ferrand. Les élèves suivant la filière STI2D se rendent au lycée Lafayette ou Roger-Claustres tandis que ceux de la filière STMG sont scolarisés au lycée Sidoine-Apollinaire[48].

    Dans l'enseignement privé, l'institution Sainte-Thècle assure les cours de l'élémentaire au lycée[41].

    L'école supérieure du professorat et de l'éducation (ESPE), composante de l'université Blaise-Pascal, forme les étudiants aux métiers de l'enseignement des 1er et 2d degrés[49].


    Manifestations culturelles et festivités


    Deux manifestations sont organisées au théâtre du casino de Royat :


    Santé


    La clinique des 6 Lacs, sur le site de l'ancienne clinique Saint-Antoine, à l'ouest du carrefour Europe, a été mise en service en 2013. Construite pour les besoins de l'agglomération clermontoise, elle est spécialisée dans les soins de suite et de réadaptation. Sa capacité d'accueil est de 1 500 patients à l'année et a permis de créer cinquante emplois. Sur les cent lits existants, dix sont spécialement destinés à l'accueil des adultes en état végétatif chronique ou pauci-relationnel. Le chantier de cette unique clinique du département a été terminé le 15 juillet 2013[51].

    Le siège social et la Direction Générale de l'Association Hospitalière Sainte-Marie sont installés à Chamalières.


    Sports


    La commune de Chamalières possède plusieurs installations sportives.

    Le complexe sportif Claude-Wolff, nommé en hommage à l'ancien maire[Quand ?], situé dans la forêt du Colombier à 600 m d'altitude, est isolé de la ville. Ce complexe est destiné à la pratique du football (sur terrain synthétique, club résident : FC Chamalières, qui évolue en National 2 ) et de l'athlétisme (club résident : Chamalières Athlétisme)[CHAM 13].

    Plus bas, sur la voie romaine, le Tennis Club du Colombier (six courts)[CHAM 14], créé en septembre 1974 à l'initiative de Claude Wolff, alors maire[52], puis le complexe sportif du Colombier accueillent des compétitions de haut niveau. Pour ce dernier, y résident le club de tir à l'arc et les clubs de gymnastique[CHAM 15].

    Dans le quartier des Galoubies, le complexe sportif Pierre-Chatrousse est composé de sept salles de sport et d'un terrain extérieur ; les clubs d'arts martiaux, le club de rugby (Rugby Club Stade Chamalières) et le club de volley (Volley-Ball Club Chamalières) utilisent ces installations[CHAM 16]. Le centre aquatique des Hautes-Roches, propriété de la communauté urbaine, est composé d'un bassin olympique et d'un bassin couvert avec séances d'aquagym[CHAM 17],[53].

    Chamalières compte plusieurs clubs sportifs :


    Médias


    Le siège régional de France 3, France 3 Auvergne, est situé à Chamalières, entre le carrefour Europe et Royat.

    Les kiosques vendent les quotidiens nationaux ainsi que La Montagne (édition de Clermont-Métropole).

    Les principales radios nationales ainsi que France Bleu Pays d'Auvergne sont captées sur le territoire de la commune.


    Économie



    Revenus de la population et fiscalité


    En 2011, le revenu fiscal médian par ménage s'élevait à 30 349 , ce qui plaçait Chamalières au 15 220e rang des communes de plus de quarante-neuf ménages en métropole[54].


    Emploi


    En 2013, la population âgée de quinze à soixante-quatre ans s'élevait à 11 223 personnes, parmi lesquelles on comptait 75,4 % d'actifs dont 67,6 % ayant un emploi et 7,8 % de chômeurs[INS 3].

    On comptait 5 888 emplois dans la zone d'emploi. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone étant de 7 707, l'indicateur de concentration d'emploi est de 76,4 %, ce qui signifie que la commune offre moins d'un emploi par habitant actif[INS 4].

    La population active de 15 à 64 ans était majoritairement composée de cadres et de professions intellectuelles supérieures (2 486 pour 8 464 actifs). Les employés sont 2 132, dont 1 860 ont un emploi. La part des agriculteurs exploitants est en revanche nulle (trois en 2008)[INS 5].

    En outre, la commune compte 5 940 emplois dont la majorité est détenue par les employés, qui sont 32,8 %, les professions intermédiaires avec 28 %, les cadres avec 18,4 % ; pour ces trois catégories socio-professionnelles, cette part est supérieure aux moyennes départementale et nationale, les ouvriers avec 14,7 %, les artisans, commerçants et chefs d'entreprise avec 5,9 %, puis les agriculteurs exploitants avec 0,1 %[INS 6].

    En revanche, la majorité des emplois relève du secteur administratif (42,3 %)[INS 7].

    6 615 des 7 707 personnes âgées de quinze ans ou plus (soit 85,8 %) sont des salariés[INS 8]. 20,3 % des actifs travaillent dans la commune de résidence[INS 9].


    Entreprises


    Au , Chamalières comptait 922 entreprises : 38 dans l'industrie, 56 dans la construction, 593 dans le commerce, les transports et les services divers et 235 dans le secteur administratif[INS 10].

    En outre, elle comptait 1 027 établissements[INS 11].


    Agriculture


    Chamalières a connu un riche passé viticole, une grande partie de la commune était autrefois plantée de vignes.[55]

    Chamalières ne comptait qu'une seule exploitation agricole, d'une superficie d'un hectare, au recensement agricole de 2010[56].


    Industrie


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    L'industrie du caoutchouc fut une activité importante de la commune.[57]


    Commerce et services


    La base permanente des équipements de 2015 recensait cinquante commerces, dont deux supermarchés, cinq épiceries, douze boulangeries, six boucheries-charcuteries, un magasin de produits surgelés, deux poissonneries, quatre librairies-papeteries-vendeurs de journaux[58].


    Tourisme


    L'office de tourisme de Royat-Chamalières, compétent dans la commune, se situe sur la commune limitrophe de Royat, à proximité de la place Allard.

    Au , la commune comptait quatre hôtels, totalisant 94 chambres : deux hôtels trois étoiles et deux hôtels non classés[INS 12].


    Grotte du Chien

    La grotte du Chien est une grotte située dans la commune, dans laquelle se trouve une mofette qui dégage des émanations de dioxyde de carbone. Pour démontrer au public la réalité de ces émanations, on y descendait autrefois un chien qui, au bout de quelques minutes, titubait, car il était asphyxié : le dioxyde de carbone étant plus lourd que l'air, celui-ci stagne vers le bas ; on le remontait alors à l'air libre, où il pouvait à nouveau respirer normalement. De nos jours, on y descendait une bougie qui s'éteignait aussitôt, ou bien on y faisaitt flotter des bulles de savon. Le public pouvait aussi y descendre et s'asseoir sur le « banc des belles-mères » où, au bout de quelques minutes, on ressentait des vertiges et des picotements dans le nez ; il fallait alors remonter, car l'asphyxie est vite arrivée. Il était déconseillé d'y laisser descendre des enfants, car leur nez étant plus bas que celui des adultes, ils ressentent plus rapidement l'effet du gaz.

    La grotte du Chien a été exploitée jusqu'en 2004. La mairie de Chamalières s'est portée acquéreur de la grotte, mais n'a pas encore relancé l'activité touristique[59].


    Culture locale et patrimoine



    Lieux et monuments


    Eglise de Chamalières par Charles Bour et Hubert Clerget au XIXe siècle. Bibliothèque du patrimoine de Clermont-Ferrand.
    Eglise de Chamalières par Charles Bour et Hubert Clerget au XIXe siècle. Bibliothèque du patrimoine de Clermont-Ferrand.

    Chamalières compte quatorze édifices inscrits aux monuments historiques[60].


    Équipements culturels



    Patrimoine culturel


    La commune de Chamalières possède plusieurs parcs[CHAM 23] :


    Personnalités liées à la commune


    Claude Wolff, maire de Chamalières de 1974 à 2005.
    Claude Wolff, maire de Chamalières de 1974 à 2005.

    Personnalités nées à Chamalières


    Personnalités décédées à Chamalières


    Autres personnalités liées à Chamalières


    Héraldique


    Blason
    De gueules à la fasce d'argent.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.
    Alias
    Alias du blason de Chamalières
    Alias du blason de Chamalières
    De gueules à la fasce d'argent, à la lettre C capitale d'or brochant sur le tout.

    Voir aussi


    Sur les autres projets Wikimedia :


    Bibliographie



    Articles connexes



    Liens externes



    Notes et références



    Notes et cartes


    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Valéry Giscard d'Estaing a été député de 1956 à 1958 (f.l.), de 1958 à 1959 (m.g.), de 1962 à 1963 (m.g.), de 1967 à 1968 (f.l.), de 1968 à 1969 (m.g.), en 1973 (m.g.), de 1984 (à la suite de la démission de Claude Wolff) à 1986 (f.l.), de 1986 à 1988 (f.l.), de 1988 à 1989 (démission), de 1993 à 1997 (f.l.) et de 1997 à 2002 (f.l.)[28]. (f.l.) : fin de législature ; (m.g.) : nominé comme membre du gouvernement.
    4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références



    INSEE

    1. LOG T2 – Catégories et types de logements.
    2. LOG T7 – Résidences principales selon le statut d'occupation.
    3. EMP T1 – Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
    4. EMP T5 – Emploi et activité.
    5. EMP T3 – Population active de 15 à 64 ans selon la catégorie socioprofessionnelle.
    6. EMP T7 – Emplois par catégorie socioprofessionnelle en 2012.
    7. EMP T8 – Emplois par secteur d'activité.
    8. ACT T1 – Population de 15 ans ou plus ayant un emploi selon le statut en 2013.
    9. ACT T4 – Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la zone.
    10. DEN T3 – Nombre d'entreprises par secteur d'activité au .
    11. DEN T5 – Nombre d'établissements par secteur d'activité au .
    12. TOU T1 – Nombre et capacité des hôtels au .

    Ministère de l'Intérieur

    1. Résultats de l'élection présidentielle de 2002.
    2. Résultats de l'élection présidentielle de 2007.
    3. Résultats de l'élection présidentielle de 2012.
    4. Résultats de l'élection présidentielle de 2017.
    5. Résultats des élections législatives de 2012 dans la 3e circonscription du Puy-de-Dôme.
    6. Résultats des élections législatives de 2002.
    7. Résultats des élections législatives de 2007.
    8. Résultats des élections législatives de 2012.
    9. Résultats des élections européennes de 2004.
    10. Résultats des élections européennes de 2009.
    11. Résultats des élections européennes de 2014.
    12. Résultats des élections régionales de 2004.
    13. Résultats des élections régionales de 2010.
    14. Résultats des élections régionales de 2015 (consulté le 15 décembre 2015).
    15. Résultats des élections municipales et communautaires de 2014.
    16. « Résultats des élections départementales 2015 - PUY DE DOME (63 ) - canton de Chamalières - commune de Chamalières » (consulté le ).

    Site de la mairie

    1. « La Tiretaine » (consulté le ).
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    4. « Plan local d'urbanisme ».
    5. « Prévoir les risques majeurs D.I.C.R.I.M. Document d'Information Communal sur les Risques Majeurs » [PDF] (consulté le ).
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    7. « Elus » (consulté le ).
    8. « Chamalières : Ville Responsable en matière de gestion environnementale » (consulté le ).
    9. « Jumelage ».
    10. « Jumelage Chamalières-Geretsried », Agenda, (consulté le ).
    11. « Jumelage : 30 ans d'amitié en images », Actualités, (consulté le ).
    12. « Etablissements scolaires » (consulté le ).
    13. « Complexe sportif Claude Wolff ».
    14. « Tennis Club du Colombier ».
    15. « Complexe sportif du Colombier ».
    16. « Complexe sportif Pierre Chatrousse ».
    17. « Centre Aquatique ».
    18. « Galerie Municipale d'Art Contemporain » (consulté le ).
    19. « Centre Courty » (consulté le ).
    20. « Bibliothèque Amélie Murat » (consulté le ).
    21. « Bibliothèque Sonore de Chamalières » (consulté le ).
    22. « Bibliothèque Diocésaine Richelieu » (consulté le ).
    23. « Parcs et visites » (consulté le ).

    Autres références

    1. https://www.habitants.fr/puy-de-dome-63
    2. Jean-Pierre Chambon, « Dans la Grotte du Chien : l’écriture occitane aux prises avec le déjà dit. Sur le chapitre I, 8 du libre dels Grands jorns de Jean Boudou », Lengas - revue de sociolinguistique, Montpellier, Presses universitaires de la Méditerranée (Université Paul-Valéry), vol. 71 « Marge linguistique, pouvoir, statuts et polémiques — Lectures de Boudou et Ricard », , p. 79-118 (lire en ligne).
    3. Carte de Chamalières sur Géoportail.
    4. Lucien Gachon, « Le territoire de Chamalières-Royat dans son environnement » [PDF], (consulté le ).
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    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Chamalières (63075) », (consulté le ).
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    50. Arnaud Vernet, « Amélie Nothomb, PPDA, Yann Queffélec… au 3e Salon du livre : Un salon à la hauteur des auteurs », La Montagne, , p. 11 (éditions du Puy-de-Dôme).
    51. Evelyne Rimbert, « La clinique des 6 lacs a ouvert ses portes à Chamalières », sur France 3 Auvergne, (consulté le ).
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    54. Revenus fiscaux localisés des ménages en 2011 [zip], Insee.
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    61. « Église Notre-Dame », notice no PA00091934, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    62. « Ancienne église Saint-Paul », notice no PA00091935, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    63. « Établissement thermal (également sur commune de Royat) », notice no PA00092502, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    64. « Gare de Royat-Chamalières », notice no PA00132797, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    65. « Hôtel Majestic », notice no PA00091936, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    66. « Grand Hôtel et Majestic Palace », notice no PA63000137, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    67. « Maison (villa Lafond) », notice no PA63000022, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    68. « Maison Gauthier », notice no PA63000021, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    69. « Pourquoi la France fixe-t-elle le taux du franc CFA ? », sur lemonde.fr, .
    70. « Grand Séminaire Richelieu », notice no PA63000108, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    71. « Musée de la Résistance, de la déportation et de l'internement », sur Auvergne Centre France (consulté le ).

    На других языках


    [de] Chamalières

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    [en] Chamalières

    Chamalières (French pronunciation: ​[ʃamaljɛʁ]; Auvergnat: Chamaleiras) is a commune in the Puy-de-Dôme department, Auvergne-Rhône-Alpes, central France.[2]
    - [fr] Chamalières

    [it] Chamalières

    Chamalières è un comune francese di 17.636 abitanti situato nel dipartimento del Puy-de-Dôme nella regione dell'Alvernia-Rodano-Alpi.

    [ru] Шамальер

    Шамальер (фр. Chamalières) — коммуна во Франции, в регионе Овернь, департамент Пюи-де-Дом. Население — 17 689 человек (2006).



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