Castelsagrat, connu sous la Révolution sous le nom de Chêne-Vert et La Montagne-de-Traverse[1], est une commune française située dans le nord-ouest du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie.
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Quercy Blanc, correspondant à la partie méridionale du Quercy, devant son nom à ses calcaires lacustres du Tertiaire.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Barguelonne, la Séoune, le ruisseau de Cabarieu, le ruisseau de Gasques et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable: un site Natura 2000 (les «cavités et coteaux associés en Quercy-Gascogne») et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Castelsagrat est une commune rurale qui compte 542 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 350 habitants en 1841. Ses habitants sont appelés les Castelsagratois ou Castelsagratoises.
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par la Barguelonne, la Séoune, le ruisseau de Cabarieu, le ruisseau de Gasques, la Barguelonnette, le Carnas, le Sédas, le ruisseau de brézègues, le ruisseau de Cavaillé, le ruisseau de Gaillouste, le ruisseau de Lafongrande, le ruisseau de la Goufie, le ruisseau de Néjac, le ruisseau de Pestou, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 32 km de longueur totale[4],[Carte 1].
La Barguelonne, d'une longueur totale de 61,1 km, prend sa source dans la commune de Lhospitalet et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans le canal de Golfech à Lamagistère, après avoir traversé 24 communes[5].
La Séoune, d'une longueur totale de 64,9 km, prend sa source dans la commune de Sauzet et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Sauveterre-Saint-Denis, après avoir traversé 24 communes[6].
Réseaux hydrographique et routier de Castelsagrat.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat du Bassin du Sud-Ouest», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]
Moyenne annuelle de température: 13,2°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,9 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 10,8 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 10,2 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,4 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Valence», sur la commune de Valence, mise en service en 1994[12] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[13],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,2°C et la hauteur de précipitations de 740,2 mm pour la période 1981-2010[14].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Montauban», sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 38 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 13,6°C pour 1981-2010[16] à 14°C pour 1991-2020[17].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats: les «cavités et coteaux associés en Quercy-Gascogne»[19], d'une superficie de 1 103ha, un site hébergeant régulièrement huit espèces de chiroptères de l'annexe II. Il est fréquenté à toutes les saisons par les chauves-souris. En particulier, parmi ces espèces, le Minioptère de Schreibers et le complexe bispécifique Petit Murin/Grand Murin possèdent des effectifs remarquables en période de reproduction[20].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[21]:
le «plateau de Gasques et vallons de Najac, Roquebiard et Carretou» (705ha), couvrant 6 communes dont deux dans le Lot-et-Garonne et quatre dans le Tarn-et-Garonne[22].
Urbanisme
Typologie
Castelsagrat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[23],[I 1],[24].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,5% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (98,8%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (44,9%), zones agricoles hétérogènes (30,1%), prairies (22,5%), zones urbanisées (1,3%), forêts (1,1%)[25].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Castelsagrat est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque nucléaire[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Barguelonne et la Séoune. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[28]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1996, 1999, 2007, 2009, 2015 et 2018[29],[26].
Castelsagrat est exposée au risque de feu de forêt. Le département de Tarn-et-Garonne présentant toutefois globalement un niveau d’aléa moyen à faible très localisé, aucun Plan départemental de protection des forêts contre les risques d’incendie de forêt (PFCIF) n'a été élaboré. Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 7],[30].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Castelsagrat.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[31].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,9% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (92% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 340 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 339 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100%, à comparer aux 96% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[32],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[33].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 2003, 2009, 2011, 2012 et 2015 et par des mouvements de terrain en 1999[26].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[34].
En cas d’accident grave, certaines installations nucléaires sont susceptibles de rejeter dans l’atmosphère de l’iode radioactif. La commune étant située dans le périmètre de sûreté de 20 km autour de la centrale nucléaire de Golfech, elle est exposée au risque nucléaire. En cas d'accident nucléaire, une alerte est donnée par différents médias (sirène, sms, radio, véhicules). Dès l'alerte, les personnes habitant dans le périmètre de 2 km se mettent à l'abri[Note 8]. Les personnes habitant dans le périmètre de 20 km peuvent être amenées, sur ordre du préfet, à évacuer et ingérer des comprimés d'iode[Note 9],[35],[36].
Toponymie
Durant la Révolution, la commune porte les noms de Chêne-Vert et de La Montagne-de-Traverse[37].
Ses habitants sont appelés les Castelsagratois[38].
Histoire
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Politique et administration
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
?
?
Paul Brun
mars 2001
mars 2014
André Braman
mars 2014
En cours
Francine Fillatre
Les données manquantes sont à compléter.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[40].
En 2019, la commune comptait 542 habitants[Note 10], en diminution de 3,56% par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne: +4,13%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 173
1 150
1 235
1 164
1 328
1 311
1 350
1 340
1 341
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 343
1 337
1 295
1 212
1 152
1 148
1 105
1 077
1 027
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
977
937
913
839
815
821
886
734
764
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
679
580
531
483
480
515
545
536
541
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
568
542
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 237 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 541 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 16 980 €[I 4] (20 140 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 345 personnes, parmi lesquelles on compte 74,8% d'actifs (63,2% ayant un emploi et 11,6% de chômeurs) et 25,2% d'inactifs[Note 12],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 9]. Elle compte 100 emplois en 2018, contre 113 en 2013 et 123 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 224, soit un indicateur de concentration d'emploi de 44,5% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 56%[I 10].
Sur ces 224 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 68 travaillent dans la commune, soit 30% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 79,9% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,3% les transports en commun, 8,7% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 9,1% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
49 établissements[Note 13] sont implantés à Castelsagrat au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14],[I 13].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
49
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
5
10,2%
(9,6%)
Construction
8
16,3%
(14,9%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
15
30,6%
(29,7%)
Activités immobilières
2
4,1%
(3,3%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
9
18,4%
(14,1%)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
4
8,2%
(13,6%)
Autres activités de services
6
12,2%
(9,3%)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 30,6% du nombre total d'établissements de la commune (15 sur les 49 entreprises implantées à Castelsagrat), contre 29,7% au niveau départemental[I 14].
Entreprises et commerces
Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[42]:
La commune est dans le «Bas-Quercy de Montpezat», une petite région agricole couvrant une bande nord du département de Tarn-et-Garonne[43]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 58 lors du recensement agricole de 1988[Note 17] à 39 en 2000 puis à 28 en 2010[45] et enfin à 30 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 48% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57% de ses exploitations[46],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 1 745ha en 1988 à 1 975ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 30 à 66 ha[45].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église de l'Assomption de Castelsagrat. L'édifice a été classé au titre des monuments historiques en 1972[47].
Église Saint-Jean-Baptiste de Buzenou.
Église Saint-Michel de Castelsagrat. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[48]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy[48].
Arcades de la place de la Liberté.
Monument aux morts.
La place de la Liberté, le puits et l'église.
Le monument aux morts (octobre 2011).
Église de l'Assomption
Personnalités liées à la commune
Louis Dupiech (1900-1945), Préfet résistant mort pour la France en déportation, né dans la commune. Son nom est gravé sur le monument aux morts et une rue porte également son nom.
Michel Sitjar (1942-2019), joueur international de rugby à XV, né dans la commune.
Héraldique
Blason
De gueules au château portillé d'argent flanqué de deux tours et surmonté de trois autres mal ordonnées du même, l'ensemble maçonné de sable, les tours ouvertes et ajourées aussi de sable, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or.
François Moulenq, «Documents historiques sur le Tarn-et-Garonne. - Castelsagrat», dans Bulletin archéologique de la Société archéologique de Tarn-et-Garonne, 1882, tome 10, p.13-32(lire en ligne)
Émile Rébouis, «Coutumes de Castelsagrat», dans Bulletin archéologique de la Société archéologique de Tarn-et-Garonne, 1887, tome 15, p.81-116(lire en ligne)
Mathieu Méras, «L'architecture d'une Bastide du XIIIe siècle Castelsagrat», dans Bulletin de la Société archéologique de Tarn-et-Garonne, 1968, tome 94, p.25-29(lire en ligne)
Pierre Garrigou Grandchamp, Anne-Laure Napoléone, «Les demeures du XIIIe siècle dans la bastide de Castelsagrat (Tarn-et-Garonne)», dans Mémoires de la Société archéologique du Midi de la France, 2016, tome 76, p.75-116(lire en ligne)
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
Le périmètre de 2 km correspond au périmètre de mise à l'abri réflexe. Alertés par les sirènes et/ou par un appel automatique sur le téléphone du domicile, les habitants concernés doivent se mettre à l’abri dès l’alerte et suivre les consignes.
Les comprimés d’iode stable protègent efficacement la thyroïde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nucléaire.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[44].
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Roger de Figuères, Les noms révolutionnaires des communes de France: listes par départements et liste générale alphabétique, Paris, Société de l'histoire de la Révolution française, (BNF35460306), p.67
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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