Cassagnes Écouter est une commune française située dans le nord du département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Fenouillèdes, une dépression allongée entre les Corbières et les massifs pyrénéens recouvrant la presque totalité du bassin de l'Agly.
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Cassagnes | |
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![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Pyrénées-Orientales |
Arrondissement | Perpignan |
Intercommunalité | Perpignan Méditerranée Métropole |
Maire Mandat |
Jean-Marie Marot 2020-2026 |
Code postal | 66720 |
Code commune | 66042 |
Démographie | |
Gentilé | Cassagnols |
Population municipale |
265 hab. (2019 ![]() |
Densité | 17 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 42° 44′ 28″ nord, 2° 36′ 44″ est |
Altitude | Min. 120 m Max. 540 m |
Superficie | 15,16 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Perpignan (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de la Vallée de l'Agly |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
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Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Agly et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Cassagnes est une commune rurale qui compte 265 habitants en 2019. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan. Ses habitants sont appelés les Cassagnols ou Cassagnoles.
La commune de Cassagnes se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 24 km à vol d'oiseau de Perpignan[1], préfecture du département, et à 22 km de Rivesaltes[2], bureau centralisateur du canton de la Vallée de l'Agly dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Ille-sur-Têt[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Bélesta (2,6 km), Rasiguères (2,9 km), Planèzes (3,0 km), Caramany (3,4 km), Latour-de-France (4,6 km), Lansac (5,0 km), Montner (5,5 km), Montalba-le-Château (6,5 km).
Sur le plan historique et culturel, Cassagnes fait partie du Fenouillèdes, une dépression allongée entre les Corbières et les massifs pyrénéens recouvrant la presque totalité du bassin de l'Agly. Ce territoire est culturellement une zone de langue occitane[4].
Rasiguères | Planèzes | Latour-de-France |
Caramany | ![]() |
Montner (sur 50 m) |
Bélesta |
La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[6].
Cassagnes abrite le barrage sur l'Agly, fleuve côtier bordant la commune.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[7].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sournia », sur la commune de Sournia, mise en service en 1967[12] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[13],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,5 °C et la hauteur de précipitations de 735,6 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 24 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[16], à 15,7 °C pour 1981-2010[17], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[18].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[19] : le « massif du pic Aubeill » (740 ha), couvrant 2 communes du département[20] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[19] : le « massif du Fenouillèdes » (34 157 ha), couvrant 40 communes dont une dans l'Aude et 39 dans les Pyrénées-Orientales[21].
Cassagnes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[22],[I 2],[23].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 3],[I 4].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (56,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (54 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (40,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (38,7 %), forêts (17,4 %), zones urbanisées (1,6 %), eaux continentales[Note 9] (1,3 %), zones agricoles hétérogènes (0,9 %)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
La ligne 17 du réseau urbain Sankéo relie le centre de la commune à Estagel, permettant des correspondances vers Perpignan notamment.
Le territoire de la commune de Cassagnes est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée)[25],[26].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin de l'Agly[27].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des glissements de terrains, soit des chutes de blocs[28].
Sur le département des Pyrénées-Orientales, on dénombre sept grands barrages susceptibles d’occasionner des dégâts en cas de rupture. La commune fait partie des 66 communes susceptibles d’être touchées par l’onde de submersion consécutive à la rupture d’un de ces barrages[29].
Mentions historiques : Cassanias (1010), Cassaines (1211), Cassaignes (1258), Cassaneis (1262). On rencontre le nom de Cassagnes-la-Frontière en 1720[30].
En occitan, le nom de la commune est Cassanhas, en catalan, Cassanyes. Cassagnes se situe dans la zone linguistique occitane, où la voyelle "u" est prononcée [y] et non [u], ce qui est un fait reconnu par les chercheurs, occitanistes[31] comme catalanistes[32]. Le toponyme Cassagnes est à l'origine issu du gaulois cassanos, signifiant chêne[33].
Cassagnes fait partie au Moyen-Âge de la vicomté de Fenouillèdes. En 934 un prêtre nommé Giscafred lègue sa maison, basse cour et son jardin à l'abbaye de Saint-Martin-Lys située près de l'église de Notre-Dame. En 955 le pape Agapet II confirme à l'abbaye la possession de tout le lieu de Cassagnes. Au treizième siècle l'archevêque de Narbonne hérite des possessions de l'abbaye mais Cassagnes n'y apparait pas. Après le traité de Corbeil, le territoire de Cassagnes revient au roi de France.
Dès 1790, la commune de Cassagnes est incluse dans le canton de La Tour (devenu plus tard Latour-de-France) et ne le quitte plus par la suite[30].
À compter des élections départementales de 2015, la commune est incluse dans le nouveau canton de la Vallée de l'Agly.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1791 | 1791 | Étienne Giran | ||
7 janvier 1792 | 1er septembre 1792 | Joseph Delonca | ||
24 mars 1793 | 24 juin 1795 | Paul Sire | ||
24 novembre 1795 | 6 avril 1796 | François Masse | ||
17 avril 1796 | 12 mars 1797 | Étienne Giran | ||
30 mars 1797 | 30 mars 1799 | Jérôme Pelissier | ||
30 mars 1799 | 16 mai 1800 | François Izard | ||
15 juillet 1800 | septembre 1804 | Joseph Delonca | ||
5 octobre 1804 | février 1808 | François Izard | ||
21 février 1808 | avril 1813 | Louis Dabat | ||
15 février 1813 | mars 1815 | Ignace Boixo | ||
1815 | 1815 | Pierre Trousseu | ||
12 juin 1815 | 15 juin 1821 | Ignace Boixo | ||
8 juin 1821 | juin 1825 | Paul Crabie | ||
3 juillet 1825 | 1830 | Ignace Boixo | ||
3 septembre 1830 | 1832 | Jean Barraut | ||
8 août 1832 | juillet 1833 | Paul Crabie | ||
36 juillet 1833 | 1837 | Joseph Vezian | ||
20 septembre 1837 | 3 avril 1838 | Paul Crabie | ||
20 juillet 1838 | 27 juillet 1838 | Louis Dabat | ||
29 octobre 1838 | octobre 1844 | Ignace de Boixo | ||
13 décembre 1844 | 1848 | Antoine Crabie | ||
27 mars 1848 | mai 1864 | Joseph Crabie | ||
20 septembre 1864 | novembre 1862 | Antoine Crabie | ||
20 novembre 1862 | 21 août 1865 | Jean Dabat | ||
14 septembre 1865 | janvier 1867 | Paul Sire | ||
11 février 1867 | 20 septembre 1870 | François Montegut | ||
27 septembre 1870 | 7 avril 1871 | Félix Barraut | ||
8 mai 1871 | 14 février 1874 | Baptiste Barraut | ||
février 1874 | mai 1876 | Joseph Pelissier | ||
16 mai 1876 | 8 novembre 1876 | Baptiste Barraut | ||
19 novembre 1876 | 19 février 1878 | Joseph Crabie | ||
1878 | 1878 | Jacques Boyer | ||
24 mars 1878 | 9 septembre 1879 | Joseph Crabie | ||
7 décembre 1879 | 17 novembre 1882 | Antoine Masse | ||
19 novembre 1882 | 1892 | Jean Dabat | ||
1892 | 1896 | Pierre Trousseu | ||
1896 | 1919 | Baptiste Trousseu | ||
1919 | 1925 | Jean Crabie | ||
1925 | septembre 1926 | Joseph Ferrier | ||
1926 | 1929 | Irénée Trousseu | ||
1929 | 1941 | Amédée Barraut | SFIO | Révoqué par le Gouvernement de Vichy[35] |
18 décembre 1941 | 14 juin 1942 | Irénée Trousseu | ||
27 juillet 1942 | 5 août 1944 | Jean Salvat | ||
10 octobre 1944 | mai 1945 | Marcel Masse | ||
1945 | 1965 | Charles Trousseu | ||
1965 | 1971 | Émile Benezet | ||
1971 | 1991 | Henri Duchand | ||
1991 | mars 2014 | Claude Alibert[36] | ||
mars 2014 | 2020 | Francis Izart[37] | ||
2020 | En cours | Jean-Marie Marot |
La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).
1693 | 1709 | 1720 | 1774 | 1788 | 1789 | 1790 |
---|---|---|---|---|---|---|
30 f | 40 f | 40 f | 70 f | 180 H | 63 f | 230 H |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[39].
En 2019, la commune comptait 265 habitants[Note 10], en augmentation de 3,11 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +3,73 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
309 | 277 | 377 | 340 | 349 | 312 | 352 | 356 | 365 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
375 | 374 | 387 | 405 | 418 | 419 | 376 | 402 | 370 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
387 | 433 | 424 | 402 | 346 | 357 | 359 | 324 | 312 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
288 | 267 | 203 | 188 | 179 | 199 | 228 | 256 | 267 |
2019 | - | - | - | - | - | - | - | - |
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265 | - | - | - | - | - | - | - | - |
selon la population municipale des années : | 1968[42] | 1975[42] | 1982[42] | 1990[42] | 1999[42] | 2006[43] | 2009[44] | 2013[45] |
Rang de la commune dans le département | 135 | 131 | 134 | 143 | 144 | 138 | 133 | 133 |
Nombre de communes du département | 232 | 217 | 220 | 225 | 226 | 226 | 226 | 226 |
En 2018, la commune compte 121 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 243 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 200 €[I 5] (19 350 € dans le département[I 6]).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 7] | 3,4 % | 8,3 % | 9,6 % |
Département[I 8] | 10,3 % | 12,9 % | 13,3 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 145 personnes, parmi lesquelles on compte 73,3 % d'actifs (63,7 % ayant un emploi et 9,6 % de chômeurs) et 26,7 % d'inactifs[Note 12],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Perpignan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 10]. Elle compte 33 emplois en 2018, contre 35 en 2013 et 41 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 93, soit un indicateur de concentration d'emploi de 35,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 48 %[I 11].
Sur ces 93 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 28 travaillent dans la commune, soit 30 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 87,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,1 % les transports en commun, 7,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
19 établissements[Note 13] sont implantés à Cassagnes au [I 14]. Le secteur des autres activités de services est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26,3 % du nombre total d'établissements de la commune (5 sur les 19 entreprises implantées à Cassagnes), contre 8,5 % au niveau départemental[I 15].
La commune est dans les « Corbières du Roussillon », une petite région agricole occupant le nord du département des Pyrénées-Orientales[47]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la viticulture[Carte 3].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 39 | 22 | 20 | 18 |
SAU[Note 15] (ha) | 363 | 317 | 150 | 166 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 39 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] à 22 en 2000 puis à 20 en 2010[49] et enfin à 18 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 54 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 73 % de ses exploitations[50],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 363 ha en 1988 à 166 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne reste stable à 9 ha[49].
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Blason | De sable à trois bandes d'or et un chef du même. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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