Montalba-le-ChâteauÉcouter (en occitan: Montalban lo Castèl) est une commune française située dans le nord du département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Fenouillèdes, une dépression allongée entre les Corbières et les massifs pyrénéens recouvrant la presque totalité du bassin de l'Agly.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Riberette, le ruisseau de Bellàgre. La commune possède un patrimoine naturel remarquable: deux sites Natura 2000 (les «fenouillèdes» et les «sites à chiroptères des Pyrénées-Orientales») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Montalba-le-Château est une commune rurale qui compte 149 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 455 habitants en 1836. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan. Ses habitants sont appelés les Montalbanais ou Montalbanaises.
Géographie
Localisation
Carte de la commune avec localisation de la mairie.
La commune de Montalba-le-Château se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 27 km à vol d'oiseau de Perpignan[1], préfecture du département, à 14 km de Prades[2], sous-préfecture, et à 19 km du Soler[3], bureau centralisateur du canton de la Vallée de la Têt dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].
La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Ille-sur-Têt[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4]:
Trévillach (2,8 km), Rodès (4,3 km), Caramany (4,5 km), Bélesta (4,6 km), Tarerach (4,8 km), Bouleternère (5,6 km), Ille-sur-Têt (5,7 km), Trilla (5,9 km).
Sur le plan historique et culturel, Montalba-le-Château fait partie du Fenouillèdes, une dépression allongée entre les Corbières et les massifs pyrénéens recouvrant la presque totalité du bassin de l'Agly. Ce territoire est culturellement une zone de langue occitane[5].
La superficie de la commune est de 1 590 hectares. L'altitude varie entre 280 et 661 mètres[7].
Selon "L'atlas des paysages du Languedoc-Roussillon"[8], la commune, dont le chef-lieu est établi à 483 mètres d'altitude, est située sur le plateau de Roupidère, qui s'incline d'ouest en est de 600 à 400 mètres environ.
La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[9].
La plus grande partie de la commune repose sur un plateau granitique de date hercynienne (environ 300 millions d'années), comme on peut le voir ici depuis le Puig Pedrós (alt. 435 m)[10],[11]. Ce sommet se trouve dans le coin sud de la commune. La limite nord de la commune s'étend jusqu'à la crête des collines au-delà du village, et ces collines reposent sur des marnes noires du Crétacé (environ 100 millions d'années). La jonction entre le plateau granitique et les collines crétacées est définie par la faille nord-pyrénéenne, qui s'étend d'ouest en est, et qui est l'une des failles principales de la chaîne des Pyrénées.
Hydrographie
Situé sur une hauteur, le village est entouré de bassins versants. Parmi les rivières que l'on trouve sur le territoire de la commune, on trouve:
La Crabayrisse et ses divers affluents qui descendent du nord et du centre vers l'est en direction de Bélesta. Parmi les affluents:
Le Ruisseau del Roumenga marque une partie de la frontière au nord-ouest avec Trévillach;
Le Ravin de l'Encantada descend du nord et marque l'autre partie de la frontière avec Trévillach.
Le Còrrec de Vallagra qui marque une part importante de la frontière sud-occidentale de la commune avec Rodès.
La Vernosa et ses affluents qui descendent vers le sud en direction d'Ille-sur-Têt.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat du Bassin du Sud-Ouest», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[12]. En 2020, la commune ressort du type «climat méditerranéen» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[13].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[12].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 12,9°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,2 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 9,7 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 6,7 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 4,1 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[15] complétée par des études régionales[16] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Eus», sur la commune d'Eus, mise en service en 1994[17]et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[18],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,4°C et la hauteur de précipitations de 500,9 mm pour la période 1981-2010[19].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Perpignan», sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 27 km[20], la température moyenne annuelle évolue de 15,4°C pour la période 1971-2000[21], à 15,7°C pour 1981-2010[22], puis à 16,1°C pour 1991-2020[23].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5].
Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[25]:
les «Fenouillèdes», d'une superficie de 479ha, un site qui renferme des mares temporaires dont l'état de conservation est encore excellent[26];
les «sites à chiroptères des Pyrénées-Orientales», d'une superficie de 2 437ha, abritent d'importantes colonies d'espèces de chauves-souris d'intérêt communautaire[27];
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Trois ZNIEFF de type 1[Note 6] sont recensées sur la commune[28]:
le «massif du Sarrat d'Espinets» (1 772ha), couvrant 6 communes du département[29];
le «plateau de Rodès et de Montalba» (2 677ha), couvrant 5 communes du département[31];
et une ZNIEFF de type 2[Note 7],[28]:
le «massif du Fenouillèdes» (34 157ha), couvrant 40 communes dont une dans l'Aude et 39 dans les Pyrénées-Orientales[32].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Montalba-le-Château.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Montalba-le-Château est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[33],[I 2],[34].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 3],[I 4].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (58,2% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (57,2%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (49,3%), zones agricoles hétérogènes (23,9%), cultures permanentes (17,8%), forêts (8,9%)[35].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
Le village est situé au carrefour de deux routes départementales, la D 2 et la D 17:
La D 2 traverse la commune depuis le nord-ouest en provenance de Trévillach et vers le sud-est en direction d'Ille-sur-Têt;
La D 17 traverse la commune depuis l'ouest en provenance de Tarerach et vers le nord-est en direction de Bélesta.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Montalba-le-Château est vulnérable à différents aléas naturels: inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon[36],[37].
Risques naturels
Zones inondables de la commune de Montalba-le-Château.
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin de la Têt[38].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des glissements de terrains, soit des chutes de blocs[39].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Montalba-le-Château est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[40].
Toponymie
Montalba est mentionné pour la première fois en 955, sous le nom de Monte Albo, pour délimiter le territoire d'Ille[41].
En occitan, le nom de la commune est Montalban. Le village se situe dans la zone linguistique occitane, où la voyelle "u" est prononcée [y] et non [u], ce qui est un fait reconnu par les chercheurs, occitanistes[42] comme catalanistes[43].
Le , Montalba devient officiellement Montalba-le-Château[44].
Histoire
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Politique et administration
Canton
En 1790, la commune de Montalba-le-Château est rattachée au canton de Latour-de-France[7]. Le , elle est rattachée au canton de Vinça. Par la même occasion elle passe alors de l'arrondissement de Perpignan à l'arrondissement de Prades[44].
À compter des élections départementales de 2015, la commune de Montalba-le-Château rejoint le nouveau canton de la Vallée de la Têt.
Administration municipale
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La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).
Évolution de la population
1693
1709
1720
1767
1774
1788
1789
1790
60 f
60 f
60 f
152 H
60 f
290 H
69 f
131 H
(Sources: Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France: dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol.66: Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378p. (ISBN2-222-03821-9))
Démographie contemporaine
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[50].
En 2019, la commune comptait 149 habitants[Note 10], en stagnation par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales: +3,73%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
312
335
340
405
425
455
417
430
440
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
437
417
404
378
374
365
365
330
317
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
304
289
279
277
260
241
230
216
224
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
212
203
156
121
111
120
139
145
149
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
149
149
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee à partir de 2006[52].)
Fête de la chèvre: 1erdimanche d'octobre, depuis 2013[58].
Santé
Il n'y a pas de médecin ou de pharmacie à Montalba-le-Château. Les plus proches sont à Ille-sur-Têt. Les centres hospitaliers les plus proches sont à Prades ou à Thuir.
Sports
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En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 89 personnes, parmi lesquelles on compte 78,7% d'actifs (62,9% ayant un emploi et 15,7% de chômeurs) et 21,3% d'inactifs[Note 11],[I 5]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Perpignan, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 8]. Elle compte 20 emplois en 2018, contre 13 en 2013 et 20 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 56, soit un indicateur de concentration d'emploi de 35,7% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 54,7%[I 9].
Sur ces 56 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 19 travaillent dans la commune, soit 34% des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 83,9% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,8% les transports en commun, 3,6% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,7% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].
Activités
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 18 277€[I 12].
Emploi
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Entreprises et commerces
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Culture locale et patrimoine
Église Notre-Dame-de-l'Assomption.
Église Sainte-Marie
Église Sainte-Marie, située extra-muros au nord-est du village.
Le château.
Eglise Sainte-Marie.
Le village sur fond de Canigou.
Monuments et lieux touristiques
Les monuments et lieux notables de Montalba-le-Château sont les suivants[57]:
Le château et son enceinte (Inscrit MH(1984)), dont une tour-donjon, construits du XIIeauXIIIesiècle et remanié aux XVIeetXVIIesiècles;
L'église paroissiale Notre-Dame de l'Assomption, de construction récente, avec un clocher-mur;
L'église Sainte-Marie, des XIIIeetXIVesiècles, située extra-muros au nord-est du village.
Personnalités liées à la commune
Alfred Sauvy: économiste et professeur au collège de France; il avait une maison dans la commune et aimait s'y retirer pour rédiger ses ouvrages.
Héraldique
Blason
De sable à trois pals d'argent; au chef du même.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Voir aussi
Bibliographie
Michel Tondon, Montalba le Château: Le site, les seigneurs, les habitants, le trésor, les coutumes et les promenades environnantes, Saint-Estève, Les Presses littéraires, , 147p. (ISBN978-2-35073-991-5, BNF45022859)
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[14].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[24].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Genna A. (2009) Carte géologique harmonisée du département des Pyrénées-Orientales. Notice technique, Rapport final, BRGM/RP-57032-FR, en particulier pages 417-8. http://infoterre.brgm.fr/rapports/RP-57032-FR.pdf.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Jean Sagnes (dir.), Le pays catalan, t.2, Pau, Société nouvelle d'éditions régionales, , 579-1133p. (ISBN2904610014).
Alibert, Louis (1884-1959)., Gramatica occitana: segon los parlars lengadocians, Institut d'estudis occitans, dl2000 (ISBN84-7283-554-5, 978-84-7283-554-2 et 2-85910-274-4, OCLC490650821, lire en ligne).
Henri Guiter, Atlas linguistique des Pyrénées Orientales, Paris, Centre National de la Recherche Scientifique, .
Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France: dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol.66: Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378p. (ISBN2-222-03821-9).
Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales: Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll.«Villes et villages de France», (ISBN2-7399-5066-7).
Jean-Luc Bobin, «Fête de la chèvre de Montalba: une appétissante façon de rentrer en automne», L'Indépendant, (lire en ligne, consulté le ).
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