Cardaillac (en occitan Cardalhac) est une commune française, située dans l'est du département du Lot en région Occitanie. Elle est également dans la Limargue, une région naturelle occupant une dépression verdoyante entre les causses du Quercy et le Ségala quercynois.
Pour les articles homonymes, voir Cardaillac (homonymie).
Cardaillac | |
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Lot |
Arrondissement | Figeac |
Intercommunalité | Communauté de communes Grand-Figeac |
Maire Mandat |
Sophie Picard 2020-2026 |
Code postal | 46100 |
Code commune | 46057 |
Démographie | |
Population municipale |
616 hab. (2019 ![]() |
Densité | 34 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 40′ 51″ nord, 1° 59′ 52″ est |
Altitude | 375 m Min. 226 m Max. 575 m |
Superficie | 18,1 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Figeac (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Lacapelle-Marival |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.cardaillac.fr/ |
modifier ![]() |
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Burlande, le Drauzou, le ruisseau de Saint-Perdoux, le ruisseau de Planioles et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de sept zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Cardaillac est une commune rurale qui compte 616 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 500 habitants en 1793. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Figeac. Ses habitants sont appelés les Cardaillacois ou Cardaillacoises.
Elle est adhérente de l'association Les Plus Beaux Villages de France.
Commune de l'aire urbaine de Figeac située à 9 km au nord-ouest de Figeac, à la limite du Limargue (région agricole riche) et du Ségala lotois (région pauvre produisant du seigle et des châtaignes), Cardaillac a un patrimoine médiéval riche et il est l'un des plus beaux villages de France. son nom apparaît au VIIIe siècle. Le Chevalier Bertrand prit le nom Cardaillac lorsque le roi Pépin le Bref lui confia ces terres.
Le Ruisseau de Douzet, le Ruisseau de Pisserate, le Ruisseau de la Dournelle sont les principaux cours d'eau parcourant la commune.
Saint-Bressou | Sainte-Colombe | Prendeignes |
Fourmagnac | ![]() |
Saint-Perdoux |
Camburat | Planioles | Viazac |
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Latronquière », sur la commune de Latronquière, mise en service en 1976[7] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,3 °C et la hauteur de précipitations de 1 342,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Aurillac », sur la commune d'Aurillac, dans le département du Cantal, mise en service en 1945 et à 44 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 10,2 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Cinq ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[14] :
et deux ZNIEFF de type 2[Note 5],[14] :
Cardaillac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[22],[I 1],[23].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Figeac, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 59 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (57,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (55,9 %), prairies (36,7 %), zones agricoles hétérogènes (5,3 %), zones urbanisées (2 %)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune de Cardaillac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Burlande, le ruisseau de Saint-Perdoux et le Drauzou. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[27]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1994 et 1999[28],[25].
Cardaillac est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[29].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des éboulements, chutes de pierres et de blocs et des glissements de terrain[30].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 11,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 398 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 63 sont en en aléa moyen ou fort, soit 16 %, à comparer aux 72 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[32].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[25].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Cardaillac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[33].
Le nom Cardaillac proviendrait d'un nom de domaine gallo-romain issu du nom gaulois Cardelia qui a évolué en Cardeilhac puis Cardaillac. La terminaison -ac est issue du suffixe gaulois -acon (lui-même du celtique commun *-āko-), souvent latinisé en -acum dans les textes[34].
Cardaillac fut le fief de la branche ainée de la famille de Cardaillac. Une place forte fut bâtie à partir de 1064 sur un promontoire rocheux à la demande de Hugues baron de Cardaillac. Il en reste aujourd'hui trois tours du XIIIe siècle. En 1188, il subit l'assaut de Richard Cœur de Lion, qui devint par la suite roi d'Angleterre.
Cardaillac était dans le camp protestant pendant les guerres de religion. Le village a accueilli avec enthousiasme la Révolution française.
Le à 6 heures du matin, une colonne de la 2e division SS Das Reich arrive de Figeac en tirant des rafales de fusils mitrailleurs. Ils cernent rapidement le village et installent une mitrailleuse dans le clocher. Ils sont à la recherche de résistants. Pendant deux heures, un officier allemand interroge le maire M. Lafage qui, malgré les dizaines de coups de feu tirés derrière sa tête, affirme habilement qu'il n'y a pas de maquisard dans son village. Pendant ce temps une dizaine de soldats, postés sur son balcon, tirent sur tout ce qui bouge et abattent deux jeunes : Marcel Cavarroc et Raymond Moussie. La troupe rassemble tous les hommes du village et gardent ceux âgés de seize à quarante ans et pille des maisons. L'officier convaincu par le maire relâche les prisonnier. Après le départ des allemands, ils découvrent le cadavre de Georgette Verniol, abattue en plein champ. Albertine Daynac fut aussi blessée par une balle qui perfora son dos et un de ses poumons, mais elle guérit au bout de deux mois[35].
Le lendemain, une autre colonne arrive et commence à piller le village, mais le maire aidé d'un traducteur lorrain, démontre que sa commune a déjà été contrôlée la veille. Les soldats repartent alors vers Figeac[35].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1799 | 1813 | Pierre Marroncle | ||
1813 | 1818 | Jacques Cayla | ||
1818 | 1825 | Jean Baptiste Vialars | ||
1826 | 1835 | Géraud Marroncle | ||
1835 | 1852 | Jean Baptiste Vialars | ||
1852 | 1870 | Chevalie | ||
1870 | 1871 | Emile Laparra | ||
1871 | 1874 | Baptiste Antoine Lafage | ||
1875 | 1876 | Chevalier | ||
1876 | 1908 | Émile Laparra | Notaire | |
1908 | 1935 | Léopold Laparra | Notaire | |
1935 | 1951 | Gustave Lafage | Greffier | |
1951 | 1965 | Jules Cantarel | Instituteur en retraite | |
1965 | 1983 | Edgar Laparra | Fonctionnaire à la préfecture de la Seine | |
1983 | 1989 | Bernard Benoit | Directeur d'établissement d'enseignement | |
1989 | 2014 | Maurice Cabridens[37] | ||
2014 | 2020 | Alain Dauga | ||
2020 | En cours | Sophie Picard | DVG | Professeure de piano |
Les données manquantes sont à compléter. |
Les eaux usées de Cardaillac sont traitées par une nouvelle station d'épuration terminée en avril 2019[38]. Un système de traitement aérobie a été adopté avec des filtres plantés de roseaux sur deux étages successifs. Les travaux de cette installation ont débuté en octobre 2018, pour un coût global de 318 176,71 €, dont la moitié prise en charge par la circonscription administrative de Bassin Adour-Garonne et le quart par la commune[39].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[41].
En 2019, la commune comptait 616 habitants[Note 8], en augmentation de 4,76 % par rapport à 2013 (Lot : +0,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 500 | 1 121 | 1 031 | 1 258 | 1 300 | 1 329 | 1 320 | 1 260 | 1 329 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 320 | 1 273 | 1 226 | 1 241 | 1 255 | 1 237 | 1 224 | 1 126 | 1 077 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 049 | 1 009 | 949 | 842 | 759 | 673 | 616 | 550 | 476 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 | 2006 | 2010 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
456 | 372 | 407 | 434 | 475 | 498 | 552 | 549 | 566 |
2015 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
602 | 616 | - | - | - | - | - | - | - |
En 1783, Cardaillac comptait 1600 habitants[44].
En 2018, la commune compte 260 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 563 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 220 €[I 4] (20 740 € dans le département[I 5]).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 8,2 % | 7,8 % | 6,1 % |
Département[I 7] | 7,3 % | 8,9 % | 9,6 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 354 personnes, parmi lesquelles on compte 77,8 % d'actifs (71,7 % ayant un emploi et 6,1 % de chômeurs) et 22,2 % d'inactifs[Note 10],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département et inférieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Figeac, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 71 emplois en 2018, contre 70 en 2013 et 70 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 255, soit un indicateur de concentration d'emploi de 27,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,6 %[I 10].
Sur ces 255 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 51 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 86,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,5 % les transports en commun, 3,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 9,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
49 établissements[Note 11] sont implantés à Cardaillac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 13].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 49 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 5 | 10,2 % | (14 %) |
Construction | 8 | 16,3 % | (13,9 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 18 | 36,7 % | (29,9 %) |
Information et communication | 1 | 2 % | (1,8 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 7 | 14,3 % | (13,5 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 7 | 14,3 % | (12 %) |
Autres activités de services | 3 | 6,1 % | (8,7 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 36,7 % du nombre total d'établissements de la commune (18 sur les 49 entreprises implantées à Cardaillac), contre 29,9 % au niveau départemental[I 14].
L'entreprise ayant son siège social sur le territoire communal qui génère le plus de chiffre d'affaires en 2020 est[45] :
La commune est dans la Limargue », une petite région agricole occupant une bande verticale à l'est du territoire du département du Lot[46]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est l'élevage de bovins, pour la viande[Carte 4].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 35 | 20 | 17 | 12 |
SAU[Note 14] (ha) | 515 | 484 | 375 | 348 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 35 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 20 en 2000 puis à 17 en 2010[48] et enfin à 12 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 66 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations[49],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 515 ha en 1988 à 348 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 15 à 29 ha[48].
Berceau de la famille de Cardaillac.
Sur les autres projets Wikimedia :