world.wikisort.org - France

Search / Calendar

Camors [kamɔʁ] est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne.

Cet article est une ébauche concernant une commune du Morbihan.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?). Le bandeau {{ébauche}} peut être enlevé et l’article évalué comme étant au stade « Bon début » quand il comporte assez de renseignements encyclopédiques concernant la commune.
Si vous avez un doute, l’atelier de lecture du projet Communes de France est à votre disposition pour vous aider. Consultez également la page d’aide à la rédaction d’un article de commune de France.

Camors

La mairie de Camors

Héraldique
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Lorient
Intercommunalité Auray Quiberon Terre Atlantique
Maire
Mandat
Claude Jarno
2020-2026
Code postal 56330
Code commune 56031
Démographie
Gentilé Camorien, Camorienne
Population
municipale
3 066 hab. (2019 )
Densité 83 hab./km2
Population
agglomération
43 981 hab.
Géographie
Coordonnées 47° 50′ 55″ nord, 2° 59′ 59″ ouest
Altitude 104 m
Min. 27 m
Max. 137 m
Superficie 37,09 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Camors
(ville isolée)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Pluvigner
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Camors
Géolocalisation sur la carte : France
Camors
Géolocalisation sur la carte : Morbihan
Camors
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Camors
Liens
Site web http://www.camors.fr/

    Géographie



    Localisation


    La commune fait partie du Canton de Pluvigner, de la communauté de communes Auray Quiberon Terre Atlantique et dépend de l'arrondissement de Lorient. La commune s'étend sur 37,1 km2 et est entourée par les communes de Baud, de Pluvigner et de La Chapelle-Neuve. La commune se trouve à vol d'oiseau à 24 km au sud de Pontivy, à 28 km au nord-ouest de Vannes, à 29 km à l'est-nord-est de Lorient, à 123 km à l'ouest-sud-ouest de Rennes et à 126 km au sud-est de Brest.


    Communes limitrophes de Camors
    Baud
    La Chapelle-Neuve
    Pluvigner

    Relief et hydrographie


    Située à une altitude moyenne de 104 mètres d'altitude, celle-ci culmine à 137 mètres et est à son point le plus bas de 27 mètres. La rivière l'Ével et la rivière le Tarun sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune de Camors. Ces deux rivières sont respectivement affluent et sous-affluent du Blavet. De nombreux ruisseaux prennent leurs sources sur la commune. Elle est située pour partie sur le massif des landes de Lanvaux dont elle constitue l'extrémité occidentale. Elle est couverte en grande partie par deux massifs forestiers, la forêt domaniale de Camors et la forêt de Floranges. Avec 1 622 ha de bois[1], le taux de boisement de la commune est de 44 % contre 16,4% pour le département du Morbihan.


    Morphologie urbaine


    La population se répartit majoritairement autour de trois pôles : le bourg, le village de Lambel-Camors et le village de Locoal-Camors.


    Climat


    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 11,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 022 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Moreac », sur la commune de Moréac, mise en service en 1994[8] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de précipitations de 1 004,6 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Lorient-Lann Bihoue », sur la commune de Quéven, mise en service en 1952 et à 32 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[12], à 12 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[14].


    Urbanisme



    Typologie


    Camors est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Camors, une unité urbaine monocommunale[18] de 3 030 habitants en 2017, constituant une ville isolée[19],[20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21],[22].


    Occupation des sols


    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols simplifiée de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est la suivante : forêts (48,2 %), terres arables (23,2 %), zones agricoles hétérogènes (16,5 %), zones urbanisées (7,2 %), prairies (4,1 %), végétation arbustive ou herbacée (0,7 %)[23]. Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols détaillée de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de cette même base.

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Tissu urbain discontinu 7,2 % 267
    Terres arables hors périmètres d'irrigation 23,2 % 862
    Prairies et autres surfaces toujours en herbe 4,1 % 152
    Systèmes culturaux et parcellaires complexes 16,3 % 604
    Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 0,2 % 8
    Forêts de feuillus 16,5 % 610
    Forêts de conifères 18,3 % 678
    Forêts mélangées 13,5 % 501
    Forêt et végétation arbustive en mutation 0,7 % 26
    Source : Corine Land Cover[24]

    L'occupation des sols de la commune met en évidence la prédominance de la forêt sur les espaces agricoles. Celle-ci occupe près de la moitié de la surface communale. Elle est constituée pour moitié de feuillus et pour moitié de conifères. Camors appartient en effet à la région naturelle des Landes de Lanvaux. Cette région était autrefois occupée par des landes mais celles-ci ont été remplacées par des plantations de résineux à partir de 1950[25].


    Toponymie


    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Camor en 1204 ; Kemorz en 1228[26].

    De [car / ker], « hameau, village » et [mourz] en vannetais, « humide, bourbeux »[26].

    Le nom breton de la commune est Kamorzh[26].


    Histoire


    Le territoire de la commune de Camors est né tardivement et est constitué d'une partie du territoire de Baud et d'une partie du territoire de Pluvigner. Les habitants de Camors vivaient essentiellement de la forêt. Ils étaient charbonniers, sabotiers, scieurs de long, faiseurs de balais, bucherons... Il y a eu jusqu'à deux cents bucherons et quatre-vingt-dix sabotiers. La religion et l'autorité civile n'avaient que peu d'emprise sur cette population vivant en forêt. Camors est une des seules communes de France où il reste en 2020 deux scieries et un sabotier.


    Moyen-Âge



    Le XIXe siècle


    Une épidémie de dysenterie fit 136 malades (dont 21 moururent) à Camors en 1876. Le docteur Alfred Fouquet explique la propagation de la maladie par les conditions de vie déplorables des habitants de la région qui « ne prennent absolument aucun soin, soit de leur propreté, soit de celle de leurs maisons. Ils jettent les selles des malades devant leur porte et parfois les vident dans la maison même, au milieu des cochons et des poulets, au milieu desquels ils grouillent. (...) Ils se refusent d'ailleurs à prendre aucun médicament »[27].


    Le XXe siècle



    La Première Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Camors porte les noms de 141 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale : un est décédé au Maroc (Raphaël Allano), quatre sont décédés sur le sol belge, trois en Serbie alors qu'ils faisaient partie de l'Armée française d'Orient, trois alors qu'ils étaient prisonniers de guerre en Allemagne ; tous les autres sont décédés sur le sol français[28].

    François Bihouis, né en 1878 à Camors, soldat au 88e régiment d'infanterie territoriale fut fusillé pour l'exemple le à Maizy (Aisne) pour « voies de fait », ayant blessé un sous-lieutenant[29].


    L'Entre-deux-guerres

    À Camors il y avait, en 1936, 77 sabotiers pour 623 foyers. C'est dans la forêt de Camors qu'auraient survécu les dernières huttes de sabotiers de Bretagne[30].


    La Seconde Guerre mondiale

    Le , des feldgendarmes, épaulés de membres du Bezen Perrot (dont Ange Péresse, originaire de Bubry) et du groupe de Guy Vissault de Coëtlogon (dont Joseph Le Ruyet, originaire de Bubry) arrêtent 17 résistants à Baud, Bubry, Camors et Quistinic[31].


    Le XXIe siècle



    Blasonnement


    Les armoiries de Camors se blasonnent ainsi :
    Ecartelé : au un, d’argent à trois merlettes de sable, au chef de gueules chargé de trois quintefeuilles d’argent ; au deux, de sable à sept macles d’argent, trois, trois et un ; au trois, de gueules à neuf besants d’or, trois, trois et trois ; au quatre, d’or à trois fasces ondées d’azur, au chef de gueules ; sur le tout, burelé d’argent et d’azur de dix pièces, trois chevrons de gueules, le premier écimé, brochant.
    (Armes des familles Lannion, Arradon, Malestroit, Langouez, et sur le tout La Rochefoucauld, seigneur de Camors). Conc. M. de Roche et Mme Méeus.


    Politique et administration


    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1839 1877 Jean Pierre Le Houezec   Cultivateur
    Les données manquantes sont à compléter.
    1940 1944 Armand Lorcy
    (1887-1972)
      Industriel de la conserverie
    1944 1945 Noël Le Goff[32]
    (1894-1953)
    SFIO Sabotier, résistant Libération-Nord
    Démissionnaire
    1945 1947 Marcel Allanic PCF Artisan électricien
    1947 1956 Marcel Le Gallo   Démissionnaire
    décembre 1956 mars 1971 Mathurin Le Mer
    (1897-1972)
    SFIO Commerçant, ancien premier adjoint
    mars 1971 mars 1989 Pierre Jarno[33],[34]
    (1913-2003)
    PS Militaire, résistant et déporté
    Maire honoraire
    mars 1989 juin 1995 François Dudoret DVG Retraité de la Poste
    juin 1995 mars 2001 Joseph Le Tutour DVD  
    mars 2001 mars 2014 Bernadette Desjardins PS Professeure d'éducation physique retraitée
    Maire honoraire
    mars 2014
    Réélu en 2020[35]
    En cours Claude Jarno PS Cadre bancaire retraité

    Population et société



    Démographie



    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37].

    En 2019, la commune comptait 3 066 habitants[Note 6], en augmentation de 3,79 % par rapport à 2013 (Morbihan : +2,97 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 8141 6821 5261 7151 8321 9532 0072 1402 100
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 0402 0862 1962 1682 2102 3222 3842 5122 553
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 6032 6972 8022 7592 8943 0362 9953 0182 545
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    2 5572 4362 3002 3212 3752 3532 6642 7532 954
    2018 2019 - - - - - - -
    3 0483 066-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,1 % la même année, alors qu'il est de 31,3 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 519 hommes pour 1 529 femmes, soit un taux de 50,16 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,51 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7 
    90 ou +
    0,8 
    7,4 
    75-89 ans
    8,8 
    18,9 
    60-74 ans
    19,7 
    20,1 
    45-59 ans
    19,0 
    21,1 
    30-44 ans
    20,1 
    10,9 
    15-29 ans
    11,1 
    20,9 
    0-14 ans
    20,6 
    Pyramide des âges du département du Morbihan en 2018 en pourcentage[41]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7 
    90 ou +
    2 
    8,1 
    75-89 ans
    11,6 
    19,5 
    60-74 ans
    20,5 
    21 
    45-59 ans
    20,3 
    17,4 
    30-44 ans
    16,5 
    15,6 
    15-29 ans
    13,2 
    17,8 
    0-14 ans
    15,9 

    Économie



    Revenus de la population et fiscalité


    Les indicateurs de revenus et de fiscalité à Camors et dans l'ensemble du Morbihan en 2016 sont présentés ci-dessous.

    Revenus des ménages à Camors (56) en 2016.
    Camors[42] Morbihan[43]
    Nombre de ménages fiscaux1 293332 909
    Nombre de personnes dans les ménages fiscaux3 106740 023
    Médiane du revenu disponible par unité de consommation (en euros)19 97120 607
    Part des ménages fiscaux imposés43,0 %49,1 %

    Sports



    Lieux et monuments



    Personnalités liées à la commune



    Culture


    Le Bagad Bleidi Kamorh lors du festival interceltique de Lorient.
    Le Bagad Bleidi Kamorh lors du festival interceltique de Lorient.

    Enseignement


    Camors compte deux écoles. :


    Accès


    Le bourg de Camors est situé au croisement de la route départementale 768 (ancienne RN 168), axe Quiberon - Dinard et de la route départementale 769 (ancienne route nationale 779), axe Vannes - Camors).

    La commune est aussi traversée par la ligne de chemin de fer d'Auray à Pontivy. La gare de Lambel-Camors est une ancienne halte sur cette ligne, désormais uniquement desservie lors de trajets touristiques l'été. Elle a été ouverte au public le 29 juin 1898, et a connu une activité voyageur jusqu'en 1949. L'activité marchandise (transport de bois de mine, pomme à cidre, engrais) a cessé en 1973. L'histoire de cette halte met en avant la détermination des élus de Camors qui auront bataillé à l'époque pendant 35 ans (6 août 1862/juillet 1897) pour permettre sa construction et ainsi permettre l'expédition du bois au départ de Lambel, et non plus de Baud ou de Pluvigner. La ligne Auray-Pontivy ouverte le 18 décembre 1864 permit un développement sans précédent des communes desservies par les trains de la compagnie des chemins de fer d'Orléans.


    Jumelages



    Notes et références



    Notes


    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références


    1. Camors sur le site France, le trésor des régions, Roger Brunet
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Moreac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Camors et Moréac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Moreac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Camors et Quéven », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Camors », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « Données statistiques sur les communes de Métropole ; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
    24. « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
    25. « Le pays de Pontivy est constitué de 4 unités paysagères » (consulté le )
    26. Hervé Abalain - 2000 - Noms de lieux bretons - éditions Jean-Paul Gisserot - Page 61.
    27. Docteur Alfred Fouquet, « Compte-rendu des épidémies, des épizooties et des travaux des conseils d'hygiène du Morbihan. », (consulté le ).
    28. Memorialgenweb.org - Camors : monument aux morts
    29. Anne Lessard, « 14-18. 51 fusillés bretons et toujours pas de réhabilitation », sur Le Telegramme, (consulté le ).
    30. Sylvie Le Menn-Pellada, "Sabotiers des forêts de Bretagne", Le Télégramme éditions, 1997, (ISBN 2909292231).
    31. http://www.histoquiz-contemporain.com/Histoquiz/Lesdossiers/LaFrance19391945/pnb/Dossiers.htm
    32. Notice LE GOFF Noël par François Prigent, version mise en ligne le 10 avril 2011, dernière modification le 10 avril 2011
    33. Notice JARNO Pierre par François Prigent, version mise en ligne le 27 août 2010, dernière modification le 23 octobre 2020
    34. « Nécrologie. Pierre Jarno maire honoraire de Camors : Une personnalité importante et originale de la vie politique morbihannaise vient de disparaître avec le décès de Pierre Jarno, maire honoraire de Camors, survenu samedi à Ploemeur, dans sa 91e année. », Le Télégramme, (lire en ligne).
    35. « Claude Jarno en place pour une deuxième mandature à Camors », La Gazette du Centre Morbihan, (lire en ligne, consulté le ).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Camors (56031) », (consulté le ).
    41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Morbihan (56) », (consulté le ).
    42. « Chiffres clés - Revenus et pauvreté des ménages en 2016 à Camors » (consulté le ).
    43. « Chiffres clés - Revenus et pauvreté des ménages en 2016 dans le Morbihan » (consulté le ).
    44. À Camors, Claude Simon est sabotier depuis 30 ans, Ouest-France, 14 février 2012.
    45. Joséphine Le Tutour, Grazia.

    Voir aussi


    Sur les autres projets Wikimedia :


    Bibliographie



    Articles connexes



    Liens externes



    На других языках


    [de] Camors

    Camors ist eine französische Gemeinde mit 3066 Einwohnern (Stand 1. Januar 2019) im Département Morbihan in der Region Bretagne. Sie gehört zum Arrondissement Lorient sowie zum Kanton Pluvigner.

    [en] Camors

    Camors (French pronunciation: ​[kamɔʁ]; Breton: Kamorzh) is a commune in the Morbihan department of Brittany in north-western France.[3]
    - [fr] Camors

    [it] Camors

    Camors (in bretone: Kamorzh) è un comune francese di 2.851 abitanti situato nel dipartimento del Morbihan nella regione della Bretagna.



    Текст в блоке "Читать" взят с сайта "Википедия" и доступен по лицензии Creative Commons Attribution-ShareAlike; в отдельных случаях могут действовать дополнительные условия.

    Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.

    2019-2025
    WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии