Cadéac est une commune française située dans le sud-est du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays d'Aure, constitué de la vallée de la Neste (en aval de Sarrancolin), de la vallée d'Aure (en amont de Sarrancolin) et de la vallée du Louron.
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Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par la Neste et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable: un site Natura 2000 («Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste») et huit zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Cadéac est une commune rurale qui compte 299 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975..
Ses habitants sont appelés les Caducéens.
Géographie
Localisation
Carte interactive de Cadéac
Limite communale
Mairie
La commune de Cadéac se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 44 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, à 25 km de Bagnères-de-Bigorre[2], sous-préfecture, et à 24 km de Capvern[3], bureau centralisateur du canton de Neste, Aure et Louron dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].
La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Arreau[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4]:
Lançon (1,4 km), Arreau (1,9 km), Ancizan (2,0 km), Grézian (2,2 km), Barrancoueu (2,5 km), Pailhac (2,6 km), Cazaux-Debat (2,8 km), Gouaux (2,8 km).
Sur le plan historique et culturel, Cadéac fait partie du pays de la vallée d'Aure ou pays d'Aure, constitué de la vallée de la Neste (en aval de Sarrancolin), de la vallée d'Aure (en amont de Sarrancolin) et de la vallée du Louron (confluente à Arreau)[5].
Cadéac est limitrophe de cinq autres communes, dont Arreau en deux endroits séparés par la commune de Barrancoueu, le plus occidental étant un quadripoint situé au Cap de Sarrat Termé.
Carte de la commune de Cadéac et des proches communes.
Le pont au-dessus de la Neste d'Aure.La fontaine de la place.Une fontaine.
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le Neste, la Cuneille, le ruisseau de Bacarisse, le ruisseau de Barrancoueu, le ruisseau de Hourcoueu, le ruisseau de Labat et par un petit cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 9 km de longueur totale[8],[Carte 1].
Le Neste, d'une longueur totale de 73,1 km, prend sa source dans la commune d'Aragnouet et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Montréjeau, après avoir traversé 34 communes[9].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat de montagne», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[11].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]
Moyenne annuelle de température: 10,6°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 5,7 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 3,4 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 9,9 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8,1 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Arreau Borderes», sur la commune d'Arreau, mise en service en 1943[15] et qui se trouve à 2 km à vol d'oiseau[16],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 9,6°C et la hauteur de précipitations de 894,8 mm pour la période 1981-2010[17].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Tarbes-Lourdes-Pyrénées», sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 45 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 12,2°C pour la période 1971-2000[19], à 12,6°C pour 1981-2010[20], puis à 12,9°C pour 1991-2020[21].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats» et «Oiseaux», constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la «directive Habitats»: «garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste»[23], d'une superficie de 9 581ha, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs (zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège[24].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
Article connexe: Liste des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique des Hautes-Pyrénées.
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Cinq ZNIEFF de type 1[Note 6] sont recensées sur la commune[25]:
«la Neste, amont» (100ha), couvrant 18 communes du département[26];
le «massif entre les Nestes d'Aure et du Louron» (2 749ha), couvrant 16 communes du département[27];
la «montagne des Quatre Véziaux, Montarrouye et Gaoube» (3 754ha), couvrant 8 communes du département[28];
la «Neste moyenne et aval» (283ha), couvrant 25 communes dont une dans la Haute-Garonne et 24 dans les Hautes-Pyrénées[29];
le «versant est de la vallée de la Neste d'Aure, de l'Arbizon au col d'Aspin» (3 665ha), couvrant 8 communes du département[30];
le «bassin du Haut Adour» (27 303ha), couvrant 18 communes du département[31];
les «Garonne amont, Pique et Neste» (1 788ha), couvrant 112 communes dont 42 dans la Haute-Garonne et 70 dans les Hautes-Pyrénées[32];
la «Haute vallée d'Aure» (43 605ha), couvrant 38 communes du département[33].
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Cadéac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[34],[I 2],[35].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].
Rues du village.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (87,2% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,1%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (84%), zones urbanisées (10,2%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,2%), prairies (2,6%)[36].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Voies de communication et transports
Cette commune est desservie par la route départementale D929.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Cadéac est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier: le risque de radon[37]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[38].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Neste. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[39]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2001, 2009 et 2013[40],[37].
Cadéac est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord le code forestier et l’arrêté préfectoral du , qui réglementent l’emploi du feu à moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[41]
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Cadéac.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[42].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 7,2% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (44,5% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 201 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 101 sont en en aléa moyen ou fort, soit 50%, à comparer aux 75% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[43],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[44].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2013[37].
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval d'un barrage de classe A[Note 9]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[46].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Cadéac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[47].
Toponymie
Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Cadéac au sud d'Arreau
On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[48] qui rapporte les dénominations historiques du village:
Dénominations historiques:
Cadiaco, latin (XIIIesiècle, cartulaire de Bigorre);
De Cadinhaco, latin (1387, pouillé du Comminges);
Cadiac, (1790, Département 1 et 2).
Étymologie: nom de domaine antique, du nom de personnage Catenus et suffixe -acum (= domaine de Catenus).
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[51].
En 2019, la commune comptait 299 habitants[Note 10], en augmentation de 1,7% par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées: +0,31%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
463
440
403
495
506
499
429
522
519
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
461
426
448
420
411
265
305
283
260
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
268
257
248
244
209
214
200
206
287
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
223
181
169
134
161
221
236
240
294
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
300
299
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee à partir de 2006[53].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
La Poste en 2022.
La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2018[54].
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 108 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 231 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 040 €[I 5] (20 420 € dans le département[I 6]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 201 personnes, parmi lesquelles on compte 83,6% d'actifs (77,6% ayant un emploi et 6% de chômeurs) et 16,4% d'inactifs[Note 12],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 10]. Elle compte 48 emplois en 2018, contre 44 en 2013 et 79 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 160, soit un indicateur de concentration d'emploi de 30% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 69,4%[I 11].
Sur ces 160 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 24 travaillent dans la commune, soit 15% des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 88,8% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,8% les transports en commun, 5,6% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 1,9% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Chapelle Notre-Dame de Pène-Tailhade. Peut-être d'origine romane, elle a été rebâtie dans la seconde moitié du XVIesiècle. Son grand porche enjambe la route départementale 929 (circulation alternée). Elle est inscrite aux monuments historiques le 22 juillet 1971[55],[56].
Tour de guet, ruines du château de Cadéac du XIIIesiècle[58]. C'est avec le château de Tramezaygues, l'un des derniers vestiges en vallée d'Aure des tours à signaux ou tours de guet[59].
Lavoir.
Personnalités liées à la commune
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Héraldique
Article connexe: Armorial des communes des Hautes-Pyrénées.
Les armoiries de Cadéac se blasonnent ainsi:
Parti, au 1 d’argent au lion de gueules, au 2 d’or à 4 pals de gueules; le tout sommé d’un chef d’argent chargé d’un lévrier courant de sable colleté de gueules, à la bordure aussi de sable chargée de 8 besants d’or.
Blason officiel (avril 2015)
Galerie
La chapelle Notre-Dame de Pène-Tailhade et son porche où passe la route départementale 929.
La statue de la Vierge, à côté de la chapelle.
L'église Saint-Félix.
Le portail de l'église.
La chapelle Bacarisse en 2021.
Le château.
Le lavoir de la chapelle en 2017.
Le lavoir du centre en 2022.
Notes et références
Notes et cartes
Notes
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[22].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Le classement des barrages est fonction de deux paramètres: hauteur et volume retenu[45].
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348p. (ISBN2-9514810-1-2, BNF37213307)..
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