Bully-les-Mines est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Pour les articles homonymes, voir Bully.
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La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Lens-Liévin qui regroupe 36 communes et compte 241 703 habitants en 2018.
Géographie
Localisation
La commune est traversée, à l'ouest, par l'autoroute A21 et, au sud, par l'autoroute A26, et à 10 km, à l'ouest de Lens et limitrophe de Liévin. Elle est située en Gohelle.
Carte interactive (cliquer sur la carte).
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes:
Articles connexes: Liste des cours d'eau du Pas-de-Calais, Liste de rivières de France et Liste des fleuves de France.
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La commune est traversée par le Surgeon, un cours d'eau naturel de 14 km, qui prend sa source dans la commune de Bouvigny-Boyeffles et se jette dans le Canal d'Aire à La Bassée au niveau de la commune de Cuinchy[1]. Le fossé des quatre Hallots, cours d'eau naturel de 3 km, qui prend sa source dans la commune de Bouvigny-Boyeffles, se jette dans le Surgeon au niveau de la commune de Bully-les-Mines[2].
Climat
Articles détaillés: Climat du Nord-Pas-de-Calais et Réchauffement climatique en France.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique dégradé de type 3»[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3].
Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[3].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 10,3°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 1,7 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8,9 j
Urbanisme
Entrée de la commune.
Typologie
Bully-les-Mines est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[4],[5],[6].
Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens, une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes[7] et 503 966 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Douai-Lens est la dixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice, Nantes et Toulon[8],[9].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lens - Liévin dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (70,1% en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (63,1%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
zones urbanisées (59,4%), terres arables (29,9%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,2%), mines, décharges et chantiers (4,5%)[12].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[13].
Voies de communication et transports
Voies de communication
Article connexe: Réseau routier du Pas-de-Calais.
La commune est desservie par les routes départementales D 58, D 165 et D 166, et par les autoroutes A21 et l'A26 via la sortie no6.2[14].
Transport ferroviaire
La gare de Bully - Grenay.
Article connexe: Liste des gares du Nord-Pas-de-Calais.
Sur la commune se trouve la gare de Bully - Grenay, située sur la ligne d'Arras à Dunkerque-Locale, desservie par des trains TER Hauts-de-France.
Toponymie
Article connexe: Toponymie française.
Le nom de la localité est attesté sous les formes Bulgi en 1135; Bugi en 1152; Builli en 1154; Bulli en 1266; Builly en 1295; Buylly en 1410; Builly-lez-Grenay en 1513; Builli-en-Gohelle au XVIIIesiècle; Bully-en-Gohelle en 1847[15], Bully en 1793 et 1801; Bully-les-Minesdepuis 1925, en raison de la vigueur de l'activité minière de l'époque[16].
Bully-les-Mines est issue de la scission de Bully-Grenay[15].
Le nom, selon plusieurs sources, serait d’origine gauloise[réf.souhaitée].
La gare, située à cheval sur la commune de Bully-les-Mines et la commune de Grenay, a gardé le nom de Bully-Grenay, ce qui entraîne parfois des confusions.
Histoire
Bien que la région ait été habitée dès la préhistoire, on ne trouve rien à Bully-les-Mines. La plus ancienne découverte est un bracelet celte. Les découvertes gallo-romaines sont en revanche nombreuses. Bully-les-Mines appartient au Pagus Silvinus, région administrative des Atrébates, la future Gohelle. En 2006, des fouilles effectuées lors de la construction d'un lotissement ont mis au jour une nécropole gallo-romaine[17].
Moyen âge et époque moderne
Au VIesiècle, Bully est rattaché spirituellement à l'évêque de Cambrai-Arras en résidence à Cambrai et civilement à l'Artois primitif, chef-lieu Arras.
Bully fait partie intégrante de l'Artois. Le village appartient au comté de Flandre. Il n'est rattaché au domaine royal qu'avec l'annexion des Pays-Bas bourguignons par le roi de France en 1477. En 1492, la région est cédée aux Habsbourg qui la conserve jusqu'en 1659, où elle est cédée à la France dans le traité des Pyrénées.
Bully est une commune située à proximité des cités et place fortes d'Arras, Béthune et de Lens. Les sièges et attaques contre ces villes font que Bully est régulièrement le théâtre de combats et subit le passage des armées.
En 1213, lors de la campagne de Philippe II Auguste contre les flamands, le village est ravagé par les armées de l'ost royal.
En 1303, lors de la guerre de Flandre menée par Philippe IV contre les flamands révoltés, Bully est attaquée par l'ost royal et détruit. Les destructions y sont notamment plus importantes, les bois constituant une des ressources de la paroisse sont coupés par les armées royales françaises, possiblement afin de construire des machines de siège ou des lignes de circonvalations.
En 1348, un tiers de la population meurt de la peste noire. La peste sévit encore quatre fois durant le siècle, alternant avec des disettes et les guerres opposant Français, Anglais et Bourguignons.
En 1537, Bully est ravagée par les troupes du roi de France qui emportent tout et les malheurs continuèrent jusqu'à la prise de Lens par les Français en 1556-1557. Le receveur ne peut prélever aucun impôt à Bully, tant la population est éprouvée. En 1648, le village supporte la présence des armées pour la bataille de Lens.
De 1709 à 1712, Bully subit les marches et contremarches des armées lors de la guerre de succession d’Espagne. La situation est aggravée par une épidémie qui fit vingt-quatre morts. En 1796, un incendie détruit la moitié du village (en souvenir un lieu-dit est nommé ‘’Chemin brûlé’’).
Quelques propriétaires encaissant des revenus de terres à Bully en 1792 (hors seigneurs et particuliers):
la Pauvreté d'Aix-Noulette (bureau de bienfaisance de l’époque)
La Fosse n° 1 - 1 bis - 1 ter de la Compagnie des mines de Béthune était un charbonnage constitué de trois puits situé à Bully-les-Mines.
La ville se développe avec l'exploitation des mines de charbon.
Le , une machine et sa chaudière déclenchent un incendie dans la fosse n°1 de Bully-Grenay appartenant à la compagnie des mines de Béthune. La catastrophe fait 19 morts[18],[19].
Lors de la grève de 1948, le maire et un mineur jaunes sont tabassés par des grévistes[20].
Première Guerre Mondiale
La salle des fêtes de la compagnie des mines de Béthune (toujours existante aujourd'hui sous le nom de salle Jean Vasseur) sert d'hôpital militaire pour les troupes françaises puis pour les troupes britanniques[21]. La ville se situe à proximité de la ligne de front, et subit d'importantes destructions. Les combats pour la préservation des mines, vitales pour le complexe militaro-industriel français, éprouvent la région.
Seconde Guerre Mondiale
Lors de la bataille de France, les troupes allemandes atteignent la ville le 29 mai 1940, prenant le maire Pierre Baillot et 10 autres personnes en otage pendant une journée[22].
Lors de la rafle du 11 septembre 1942, la famille Schwarz, composée d'Israël (né le 12 janvier 1899) et de son épouse Gitla (née Dzialoszynska le 14 décembre 1901), sont arrêtés à Bully-les-Mines parce que juifs, puis déportés le 15 septembre 1942 depuis le camp de rassemblement de Malines en Belgique à Auschwitz. Israël sera le seul à rentrer de déportation[23],[24].
La ville est libérée par les troupes britanniques et canadiennes les 2 et 3 septembre 1944[25]. Le 2 septembre, un adolescent de 13 ans, Pierre Carton, est accidentellement tué par le ricoché d'une balle, tirée par un membre des FFI qui cherchait à ouvrir la voie à un convoi[26].
Politique et administration
Découpage territorial
Article connexe: Arrondissements du Pas-de-Calais.
La commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune de 1801 à 1961, et, depuis 1962, dans l'arrondissement de Lens du département du Pas-de-Calais[16].
Commune et intercommunalités
Article connexe: Liste des intercommunalités du Pas-de-Calais.
La commune est membre de la communauté d'agglomération de Lens-Liévin.
Circonscriptions administratives
Articles connexes: Redécoupage cantonal de 2014 en France, Liste des cantons du Pas-de-Calais, Conseil départemental du Pas-de-Calais et Liste des conseillers départementaux du Pas-de-Calais.
Articles connexes: Liste des circonscriptions législatives du Pas-de-Calais et Liste des députés du Pas-de-Calais.
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la douzième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
Articles connexes: Élections municipales de 2020 dans le Pas-de-Calais, Histoire des maires de France et Nomination des maires sous la Troisième République française.
Ouvrier mineur 3e vice-président du DU de l'agglomération de Lens-Liévin (1968 → )
mars 1983
janvier 2002 (démission)
Michel Vancaille
PS
Contrôleur PTT retraité Conseiller général du canton de Bully-les-Mines (1994 → 2014) 1er vice-président du conseil général (2004 → 2014) Président de la CA Lens-Liévin (2001 → 2010)
janvier 2002
En cours (au 3 février 2022)
François Lemaire
PS
Cadre supérieur 2e vice-président de la Communaupole de Lens-Liévin (2014 → ) Réélu pour le mandat 2014-2020[28],[29],[30] Réélu pour le mandat 2020-2026[31],[32]
Jumelages
Articles connexes: Jumelage et coopération dans le Pas-de-Calais et Jumelages franco-allemands.
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Justice, sécurité, secours et défense
La commune dépend du tribunal de proximité de Lens, du conseil de prud'hommes de Lens, du tribunal judiciaire de Béthune, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants de Béthune[35].
Population et société
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
Les habitants de la commune sont appelés les Bullygeois[36].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10000habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8% de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[37],[Note 5].
En 2019, la commune comptait 12 156 habitants[Note 6], en diminution de 4,12% par rapport à 2013 (Pas-de-Calais: 0%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
410
380
431
447
495
469
428
430
453
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
896
1 448
1 727
2 040
2 529
2 797
3 072
3 827
3 947
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
4 722
5 851
6 671
7 551
9 280
9 597
9 259
10 500
13 138
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
14 183
14 052
12 236
12 533
12 577
12 045
11 985
12 726
12 299
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
12 156
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,7%, soit égal à la moyenne départementale (36,7%). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,9% la même année, alors qu'il est de 24,9% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 5 695 hommes pour 6 422 femmes, soit un taux de 53% de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,3
90 ou +
1,7
5,9
75-89 ans
10,4
14,4
60-74 ans
16,6
20,9
45-59 ans
19,3
19,4
30-44 ans
17,6
17,6
15-29 ans
16,8
21,4
0-14 ans
17,7
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[40]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
1,5
5,4
75-89 ans
8,9
15,9
60-74 ans
17,3
20,2
45-59 ans
19,4
19,1
30-44 ans
18,2
18,6
15-29 ans
16,3
20,3
0-14 ans
18,3
Économie
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L'économie de commune était issue, pour l'essentiel, des houillères du Nord-Pas-de-Calais et de la Compagnie des mines de Béthune.
Culture locale et patrimoine
Lieux
Le terril no52, 2 de Béthune Est, ancien terril conique de la fosse no2 des mines de Béthune. Exploité, il n'en reste que la base.
Le terril no52A, 2 de Béthune Ouest, ancien terril plat de la fosse no2 des mines de Béthune. Exploité, il n'en reste quasiment plus aucune trace.
Le terril no53, 1 de Béthune, situé à Bully-les-Mines, est le terril de la fosse no1 - 1 bis - 1 ter des mines de Béthune. Exploité, il a été reconverti en espace vert.
Le terril n° 52, 2 de Béthune Est.
Les restes du terril n° 52A, 2 de Béthune Ouest.
Le terril n° 53, 1 de Béthune, reconverti.
Monuments historiques
L'église Saint-Maclou: la tour-clocher fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [41].
Le monument aux morts de la Compagnie des Mines de Béthune: le monument avec ses plaques placées sur les murs des écoles et les grilles de la cité des Brebis font l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [42].
Le monument au soldat Marche: fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [43] et est inscrit depuis 2012 au patrimoine mondial de l'UNESCO.
L'ancienne clinique-maternité Sainte-Barbe, ou des Marronniers, de la compagnie des mines de Béthune (aujourd'hui centre de psychothérapie et psychogériatrie Les Marronniers): fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [44].
L'église Saint-Maclou.
Le monument aux morts de la Compagnie des mines de Béthune.
Le monument au soldat Marche.
Autres monuments
L'église Sainte-Barbe de la cité des Brebis, démolie en 1982. Une chapelle est réaménagée sous ce vocable.
L'église Sainte-Thérèse, à la cité des Alouettes, désaffectée en 1974 pour devenir le centre culturel Jean-Macé.
Le type 3 dégradé affecte l'ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud (vallée moyenne de la Loire, le nord du Massif central et vallée de la Saône). Le climat reste océanique mais avec de belles dégradations. Les températures sont intermédiaires (environ 11°C en moyenne annuelle, entre 8 et 14 jours avec une température inférieure à -5°C). Les précipitations sont faibles (moins de 700 mm de cumul annuel), surtout en été, mais les pluies tombent en moyenne sur 12 jours en janvier et sur 8 en juillet, valeurs moyennes rapportées à l'ensemble français. La variabilité interannuelle des précipitations est minimale tandis que celle des températures est élevée (Source: Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10000habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10000habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais: comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale de Paris, , 499p. (lire en ligne sur Gallica), p.77.
Nicolas Chauty, «Le bilan de François Lemaire, maire de Bully-les-Mines: «Globalement, nous avons atteint 80% des objectifs que l’on s’était fixés»: François Lemaire va boucler ces prochaines semaines un deuxième mandat à la tête de la commune de Bully. Aujourd’hui, l’élu se prête à l’exercice du bilan depuis 2008. Et dans le rétroviseur, quelques réussites se mêlent à d’autres frustrations pour celui qui aimerait bien repartir pour un tour (ou deux) au printemps prochain.», La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
Virginie Pruvost, «Bully-les-Mines: François Lemaire entame son troisième mandat: C'est samedi matin à la mairie de Bully-les-Mines que François Lemaire a officiellement commencé son troisième mandat de maire. À la tête de la ville depuis 2002, il compte bien, avec sa nouvelle équipe, continuer le travail entamé depuis maintenant douze ans.», La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
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