Bruges-Capbis-Mifaget (en béarnaisBrutges-Capbís-Mieihaget ou Brùdjẹs-Capbis-Mihagét) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Bruges, Capbis et Mifaget.
Le gentilé de la commune est Brugeois[1].Les habitants de Bruges sont les Brugeois, ceux de Capbis sont les Capbisois et ceux de Mifaget sont les Mifagétois.
Géographie
Le territoire de la commune de Bruges-Capbis-Mifaget, d'une superficie de 16,55 km2, présente un relief vallonné au pied des premiers contreforts de la chaîne pyrénéenne. Les altitudes varient de 277 à 473 mètres.
Localisation
La commune de Bruges-Capbis-Mifaget se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].
Elle se situe à 30 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à 9 km de Nay[4], bureau centralisateur du canton d'Ouzom, Gave et Rives du Neez dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2].
La commune fait en outre partie du bassin de vie de Pau[2].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5]:
Lys (4,0 km), Asson (4,2 km), Haut-de-Bosdarros (5,5 km), Arthez-d'Asson (5,9 km), Nay (6,7 km), Igon (6,8 km), Coarraze (7,6 km), Lestelle-Bétharram (7,6 km).
Sur le plan historique et culturel, Bruges-Capbis-Mifaget fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].
La rivière principale, le Béez prend sa source à Capbis sous la forme d’une résurgence et se jette dans le gave de Pau en amont du bourg de Nay. Le Béez est alimenté sur la commune par de nombreux affluents (d’amont en aval): les ruisseaux de la Toupiette (+ de Hourticot), le Baset, de Cousi, de Picas, le Lestarrès, de Trubès (+ de Marlies), le Landistou (+ l’Arrec et de Bonnasserre) et enfin les ruisseaux de Herran (+ de Taillades et de Pareil) et de Mourté. Bien d’autres rus dont la longueur est moins significative (moins de 1 km) ne sont pas cités. Marquant la limite nord de la commune avec celle de Haut de Bosdarros, la rivière le Luz, affluent du gave de Pau, prend sa source à Bruges, à l’extrême nord-ouest du lieu-dit le Boala.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]
Moyenne annuelle de température: 12,7°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,1 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 4,9 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,1 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 9,1 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Asson», sur la commune d'Asson, mise en service en 1970[13] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[14],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13°C et la hauteur de précipitations de 1 304,6 mm pour la période 1981-2010[15].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Pau-Uzein», sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 32 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 13,2°C pour la période 1971-2000[17], à 13,4°C pour 1981-2010[18], puis à 13,8°C pour 1991-2020[19].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats» et «Oiseaux», constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la «directive Habitats»: le «gave de Pau»[21], d'une superficie de 8 194ha, un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues[Note 7] encore vivace[22],[Carte 1].
Urbanisme
Typologie
Bruges-Capbis-Mifaget est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[23],[24],[25].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[26],[27].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,7% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,9%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
prairies (60,6%), terres arables (24%), forêts (9,3%), zones agricoles hétérogènes (4,1%), zones urbanisées (2%)[28].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Lieux-dits et hameaux
Bruges;
Capbis;
Mifaget;
Voies de communication et transports
Bruges-Capbis-Mifaget est desservie par les routes départementales 35, 232, 287 et 335.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Bruges-Capbis-Mifaget est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité moyenne)[29]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[30].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment l'Estarrèsou, le Béez, le Landistou et le Luz. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1997, 2007 et 2009[31],[29].
Bruges-Capbis-Mifaget est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[32]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[33],[34].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bruges-Capbis-Mifaget.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[35]. 88,9% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59% au niveau départemental et 48,5% au niveau national)[Carte 3]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 10],[36].
Toponymie
Le toponyme Bruges apparaît sous les formes
Brutges (1360[37], titres de Bruges[38]) et
Brudges (1580[37], titres de Béarn[39]).
Le toponyme Capbis apparaît sous les formes
Cabbis (XIIesiècle[37], d'après Pierre de Marca[40]),
Grangia Capbisii (1235[37], réformation de Béarn[41]),
L'espitau de Capbiis (1385[37], censier de Béarn[42]) et
La cappere et grange apperat de Nostre Dame de Capbiis (1536[37], réformation de Béarn[41]).
Le toponyme Mifaget apparaît sous les formes
Medium-Faget (1100[37], titres de Mifaget),
Faied (XIIesiècle[37], cartulaire de Lescar[43]),
Medius-Fagetus (1257[37], collection Duchesne volume XCIX[44]),
Mieyfaget (1287[37], contrats de Barrère[45],
l'espitau de Mieyfayet (1385[37], censier de Béarn[42]),
Myfaget et Mieyhaget (respectivement 1538[37] et 1675[37], réformation de Béarn[41]),
Saint-Michel de Mieyhaget (1678[37], insinuations du diocèse d'Oloron[46]) et
Mi Faget (1793[47] ou an II).
Le nom béarnais de la commune est Brutges-Capbís-Mieihaget[48] ou Brùdjẹs-Capbis-Mihagét[49].
Histoire
Capbis et Mifaget ont leurs racines au début du XIIesiècle. Le vicomte du Béarn Gaston IV le Croisé y créa, sous l’autorité d’ordres monastiques, des petits points de peuplement et de refuge pour les pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle. La «grange» de Capbis dépendait des Bénédictins de l'abbaye de Sauvelade, près de Navarrenx. La commanderie et l’hôpital de Mifaget[37] dépendaient des Augustins de l'abbaye de Sainte-Christine du Somport.
En 1357: fondation de la bastide de Bruges par Bertrand de Pujols, lieutenant général de Gaston Fébus, vicomte de Foix Béarn. Le nom de Bruges provient vraisemblablement de la ville flamande de Bruges où Gaston Fébus séjourna la même année, avant de s'embarquer et participer en Prusse à une croisade avec les Chevaliers Teutoniques[50].
En 1385[37], le dénombrement général des feux de la vicomté précise que Bruges, qui dépendait alors du bailliage de Nay, comptait cinquante-deux feux, (dont, inclus, trois à Capbis) et que Mifaget comptait trois feux.
Pendant plusieurs siècles, agriculture, pastoralisme et artisanat constituent l'essentiel de l'activité économique, émaillée de nombreux conflits de territoire pour l'utilisation de terres communes, appelées les "herms", entre Bruges, Asson, Louvie-Juzon et Capbis[51].
Au XIXesiècle (1835 et 1855): près de 150 personnes décèdent à Bruges lors des deux importantes épidémies de choléra qui touchent le canton en 1835 et surtout en 1855 où on note le décès de très jeunes enfants (ref. registre d'état civil)
À la fin du XIXesiècle: Bruges connait un épisode industriel de fabrication de sandales qui prend de l’importance, au XXesiècle, entre les deux guerres. Trois usines et de nombreux petits fabricants indépendants emploient une main d’œuvre qualifiée, réputée et très nombreuse. Cette filière disparait définitivement à la fin des années 1960.
Le , les trois communes voisines, Bruges, Capbis et Mifaget, fusionnent pour former la nouvelle commune de Bruges-Capbis-Mifaget sous l'égide de la loi "Marcelin"[52].
Héraldique
Blasonnement:
D’or à une vache passante et contournée de gueules, accollée, accornée et clarinée d'azur, sortant d'un bois de haute futaie de sinople[53].
Politique et administration
Les communes de Bruges, Capbis et Mifaget ont fusionné par association le 1er janvier 1973, sous l’égide de la loi Marcellin de 1971, pour former la commune de Bruges-Capbis-Mifaget. Chaque commune associée avait, jusqu’en 2014, une section électorale qui élisait ses conseillers municipaux (douze à Bruges, un à Capbis et deux à Mifaget). Depuis la mise en application de la loi n° 2013 – 403 du 17 mai 2013, une liste électorale unique de quinze candidats est proposée dès 2014 aux électeurs des trois communes associées avec pour conséquence directe une représentation possiblement différente qu’auparavant. Le conseil municipal ainsi formé, élit le maire de la commune de Bruges-Capbis-Mifaget ainsi que les maires délégués de Capbis et de Mifaget. Chaque maire garde dans sa commune associée ses fonctions en matière d’état-civil et de police.
Liste des maires de Bruges-Capbis-Mifaget
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1973
1983
Jean Condou
Centre droit
1983
2001
Michel Maton
DVD
2001
2014
Xavier de Canet
DVD
2014
2016
Laurent Aubuchou-Aurouix
UMP
Ancien maire d'Asson, ancien conseiller général du canton de Nay-Ouest
2016
En cours
François Lescloupé
DVD
Les données manquantes sont à compléter.
Intercommunalité
Bruges-Capbis-Mifaget appartient à cinq structures intercommunales[54]:
la communauté de communes du Pays de Nay;
le syndicat d'eau potable et d’assainissement du Pays de Nay (SEAPAN);
le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques;
le syndicat de la perception d'Arudy;
le syndicat mixte du bassin du gave de Pau.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[56].
En 2019, la commune comptait 870 habitants[Note 11], en diminution de 6,85% par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques: +2,8%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 650
1 441
1 501
1 774
1 849
1 782
1 784
1 771
1 720
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 557
1 580
1 671
1 568
1 613
1 574
1 630
1 723
1 678
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 583
1 529
1 438
1 123
1 100
1 050
970
937
859
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
779
722
850
827
833
915
874
867
945
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
901
870
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[57] puis Insee à partir de 2006[58].)
Histogramme de l'évolution démographique
Nota: les recensements jusqu'à 1968 concernent la seule commune de Bruges; le recensement de 1975 et les suivants concernent la commune de Bruges-Capbis-Mifaget.
Bruges-Capbis-Mifaget fait partie de l'aire urbaine de Pau.
Économie
La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
Les habitants de Bruges étaient surnommés los pelacas (prononcer en français lous pélacas 'pêle-chiens') parce que, dit-on, certains d'entre eux avaient pris l'habitude, pendant les périodes de disette, de faire subir aux chiens le même sort qu'aux porcs. Une autre version dit que les Brugeois tuaient des porcs si maigres qu'ils ressemblaient à des chiens, ce dont les voisins d'Asson, peut-être plus riches, se moquaient. Les habitants de Capbis étaient surnommés los clabetos", prononcez en français, "lous clabétous parce qu'ils avaient développé dès le XVIIesiècle, une activité artisanale de fabrication de clous en fer forgé.
Patrimoine civil
Bastide de Bruges;
le quartier Maubec avec deux anciennes (XVIIesiècle) maisons de Cagot;
nombreuses grandes maisons de ferme typiques du piémont béarnais avec un escalier au centre et une porte d'entrée surmontée d'un linteau très travaillé.
Patrimoine religieux
L’église Saint-Martin de Bruges[59] inscrite partiellement aux monuments historiques, date du XVesiècle. Elle recèle un guéridon[60],
classé, du début du XVIIIesiècle.
L'église Notre-Dame de Capbis[61], possède des éléments provenant du XIIesiècle.
L'église Saint-Michel de Mifaget[62], possède une crypte du XIIIesiècle.
Patrimoine environnemental
Héritage de la charte de fondation de la bastide de Bruges d'une part et de la création de l'abbaye de Sauvelade et de sa grange de Capbis d'autre part, la commune de Bruges-Capbis-Mifaget détient des droits d'usage en matière de pacage pour les troupeaux et d'affouage sur des montagnes (environ 34 km2) attenantes à son territoire, et cadastrées sur les territoires des communes voisines d'Asson, Louvie-Juzon et Castet. Constituées de forêts et de pâturages, ces montagnes culminent à 1 580 mètres au pic de Monbula et 1 540 mètres au pic de Merdanson
Équipements
Éducation et sports
La commune de Bruges-Capbis-Mifaget dispose, à Bruges, d'une école primaire, d'une école maternelle avec garderie et cantine, d'une salle des sports.
Personnalités liées à la commune
Albert Saléza, artiste lyrique, 1867-1916;
Jean-Baptiste Laborde, curé de Bruges, historien béarnais, 1878-1963;
Jean-Marie Soutou, diplomate, président de la Croix rouge française, 1912-2003.
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[20].
La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN2-213-59961-0), p.30.
Carte IGN sous Géoportail
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
Titres de Bruges - Archives de la mairie de Bruges
Titres de la vicomté de Béarn - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll.«manuscrits du XVIeauXVIIIesiècle».
Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne).
.
Cartulaire de l'évêché de Lescar, publié dans les preuves de l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papiers d'Oihenart, ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France
Contrats retenus par Barrère, notaire de Béarn, manuscrit du XIVesiècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Manuscrits du XVIIesiècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, «Notice communale: Mifaget», sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
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