Belle-et-Houllefort est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
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Articles connexes: Liste des cours d'eau du Pas-de-Calais, Liste de rivières de France et Liste des fleuves de France.
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La commune est drainée par cinq cours d'eau:
le Wimereux, cours d'eau naturel non navigable de 22 km, qui prend sa source dans la commune de Colembert et se jette dans la Manche à Wimereux[3];
le ruisseau de Bellebrune, cours d'eau naturel non navigable de 2 km, qui prend sa source dans la commune de Crémarest et conflue dans le ruisseau la Prêle au niveau de la commune de Belle-et-Houllefort[4];
le ruisseau la Prêle, cours d'eau naturel non navigable de 2 km, qui prend sa source dans la commune de Bellebrune et se jette dans la Vignette au niveau de la commune de Belle-et-Houllefort[5];
la Vignette, cours d'eau naturel non navigable de 4 km, qui prend sa source dans la commune de Baincthun et se jette dans le Wimereux au niveau de la commune de Belle-et-Houllefort[6];
le ruisseau de Grigny, cours d'eau naturel de 8 km, qui se jette dans le Wimereux au niveau de la commune et qui prend sa source dans la commune de Boursin[7].
La Vignette.
Climat
Articles connexes: Climat du Nord-Pas-de-Calais et Réchauffement climatique.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique franc de type 5»[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8].
Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[8].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 10,3°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,7 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 0,8 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,9 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8 j
Milieux naturels et biodiversité
Parc naturel régional
En France, un parc naturel régional (PNR) est un territoire ayant choisi volontairement un mode de développement fondé sur la mise en valeur et la protection de patrimoines naturels et culturels considérés comme riches et fragiles.
Le territoire de la commune est situé dans le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale[9].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend trois ZNIEFF de type 1[Note 3]:
la forêt domaniale de Boulogne-sur-Mer et ses lisières. La forêt domaniale de Boulogne-sur-Mer s’étend entre la RN 42 et la RN 1, en arrière de l’agglomération de Boulogne-sur-Mer. Elle appartient au vaste complexe bocager et forestier de la Liane et du bas-Boulonnais[10];
le bocage et bois de Bellebrune. Le site est constitué d’un ensemble forestier et d’un complexe bocager établis l’un et l’autre sur les argiles et marnes de l’Oxfordien. La géomorphologie est assez plane malgré quelques vallonnements.[11];
la vallée du Wimereux entre Wimille et Belle-et-Houllefort. Cette partie de la vallée du Wimereux, située au nord de la RN 42, en marge de la cuvette du bas Boulonnais, marque les limites entre les terrains jurassiques et le bassin calcaire de Marquise-Rinxent.[12].
et une ZNIEFF de type 2[Note 4]:
le complexe bocager du Bas-Boulonnais et de la Liane. Le complexe bocager du bas-Boulonnais et de la Liane s’étend entre Saint-Martin-Boulogne et Saint-Léonard à l’ouest et Quesques et Lottinghen à l’est. Il correspond à la cuvette herbagère du bas-Boulonnais[13].
Urbanisme
Typologie
Belle-et-Houllefort est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Boulogne-sur-Mer, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 80 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,3% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (97,9%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (61,6%), prairies (27%), zones agricoles hétérogènes (5,7%), zones urbanisées (3,5%), forêts (2,1%)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Voies de communication et transports
Voies de communication
Article connexe: Réseau routier du Pas-de-Calais.
La commune est desservie par les routes départementales D 233, D 238, D 251 et D 252 et la commune est traversée, au sud, par N 42 qui relie Boulogne-sur-Mer et Saint-Omer[21].
Transport ferroviaire
L'ancienne gare.
Article connexe: Liste des gares du Nord-Pas-de-Calais.
La commune se trouve à 14 km de la gare de Boulogne-Ville, située sur les lignes de Longueau à Boulogne-Ville et de Boulogne-Ville à Calais-Maritime. C'est une gare de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), desservie par des trains des réseaux TGV inOui, TERGV et TER Hauts-de-France[22].
La commune disposait d'une gare, du chemin de fer Boulogne - Bonningues, située sur l'ancienne ligne de chemin de fer secondaire qui reliait Boulogne-sur-Mer à Bonningues-lès-Ardres entre 1900 et 1935. Construit à voie métrique, elle était exploitée par la Compagnie des Chemins de fer économiques du Nord (CEN).
Risques naturels et technologiques
La commune est reconnue en état de catastrophe naturelle à la suite des inondations et coulées de boues du 1er au 3 novembre 2012[23].
Toponymie
Belle
Le nom est attesté sous les formes Bello (1183), Belle (1259), Bellus vel Beallocus (XIIIesiècle), Bele (1371), Besle (1550)[24], Belle et Houttefort (1793), Belle et Houlefort et Belle-et-Houllefort depuis 1801[25].
Ernest Nègre avance l'hypothèse du germanique bala «blanc, clair», qui donne «(eau) blanche, claire»[26].
Houllefort
Le nom est attesté sous les formes Holeford (1184), Holesfort (1208), Hollefort (1224), Holfort (1334), Houlefort (XVesiècle)[27].
D'après Ernest Nègre, Houllefort tiendrait son nom de l'adjectif germanique hohl «creux» + furt «gué»: le «gué creux»[26].
Une autre hypothèse avance un hydronyme plus ancien Hunulo + furt donnant le «passage sur le ruisseau».
Belle et Houllefort
La commune de Belle absorbe celle de Houllefort entre 1790 et 1794[25].
Le nom de la commune est attesté sous les formes Belle et Houttefort (1793), puis Belle et Houlefort et Belle-et-Houllefort depuis 1801[25].
Histoire
Belle était autrefois l'une des quatre châtellenies du comté de Boulogne[28].
Au XIVesiècle et au XVesiècle la seigneurie de Houllefort appartenait à une branche cadette de la maison de Bournonville[29].
Le 7 septembre 1579, la ville d'Hénin-Liétard est érigée en comté, avec adjonction de la baillie et fief de Gouy-Servain, au bénéfice d'Oudard de Bournonville, chevalier, baron de Barlin et Houllefort, seigneur de Capres, Divion, Ranchicourt, Tournes, Bandas, du Maisnil, gentilhomme de la bouche du roi (maître d'hôtel du roi), chef d'une bande d'hommes d'armes, gouverneur et capitaine des ville et cité d'Arras, capitaine d'une compagnie de chevau-légers[30].
En 1600, les fiefs de Houllefort et de Bournonville sont érigés en duché, le duché de Bournonville, en faveur d'Alexandre Ier de Bournonville[29].
Politique et administration
Découpage territorial
Article connexe: Arrondissements du Pas-de-Calais.
La commune se trouve dans l'arrondissement de Boulogne-sur-Mer du département du Pas-de-Calais depuis 1801[25].
Commune et intercommunalités
Article connexe: Liste des intercommunalités du Pas-de-Calais.
La commune est membre de la communauté de communes de Desvres - Samer.
Circonscriptions administratives
Articles connexes: Redécoupage cantonal de 2014 en France, Liste des cantons du Pas-de-Calais, Conseil départemental du Pas-de-Calais et Liste des conseillers départementaux du Pas-de-Calais.
Articles connexes: Liste des circonscriptions législatives du Pas-de-Calais et Liste des députés du Pas-de-Calais.
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
Articles connexes: Élections municipales de 2020 dans le Pas-de-Calais, Histoire des maires de France et Nomination des maires sous la Troisième République française.
Directeur retraité du lycée Saint-Joseph de Boulogne Réélu pour le mandat 2020-2026[36],[37],[38]
La mairie actuelle.
L'ancienne mairie-école.
Équipements et services publics
Justice, sécurité, secours et défense
La commune dépend du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer, du conseil de prud'hommes de Boulogne-sur-Mer, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce de Boulogne-sur-Mer, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, , de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants de Boulogne-sur-Mer[39].
Population et société
Démographie
Les habitants de la commune sont appelés les Bellois[40].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[42].
En 2019, la commune comptait 566 habitants[Note 7], en augmentation de 2,91% par rapport à 2013 (Pas-de-Calais: 0%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
361
345
397
404
355
390
396
324
351
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
332
338
360
361
363
366
354
360
307
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
342
357
343
365
344
317
317
322
299
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
278
267
278
340
405
533
526
525
543
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
560
566
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,8%, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7%). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,8% la même année, alors qu'il est de 24,9% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 273 hommes pour 291 femmes, soit un taux de 51,6% de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[44]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
1,5
90 ou +
4,5
7,8
75-89 ans
10,0
13,0
60-74 ans
12,5
25,1
45-59 ans
25,3
16,9
30-44 ans
15,5
18,4
15-29 ans
14,2
17,3
0-14 ans
17,9
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[45]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
1,5
5,4
75-89 ans
8,9
15,9
60-74 ans
17,3
20,2
45-59 ans
19,4
19,1
30-44 ans
18,2
18,6
15-29 ans
16,3
20,3
0-14 ans
18,3
Économie
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Héraldique
Article connexe: Armorial des communes du Pas-de-Calais.
Blason
Parti: au 1er à un dextrochère vêtu d’argent, mouvant du trait de partition, tenant une rose tigée et feuillée du même, surmonté de deux dauphins adossés du même; au 2d de sable à un lion d'argent à la queue fourchée et passée en sautoir[47].
Détails
Au premier du parti, les dauphins appartiennent à la famille Duquesne de Clocheville, châtelains de Belle. Au second, figurent les armes de la famille de Bournonville, seigneurs d'Houllefort, dont le lion d'argent est resté célèbre pour sa queue fourchée. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Le climat océanique franc de type 5 occupe un mince liseré en bordure de la mer du Nord et l'ensemble de la Normandie, la Bretagne, la Vendée et les Charentes. Un espace océanique réduit occupe l'ouest des landes et des Pyrénées-atlantiques. Les températures sont moyennes et très homothermes : l'amplitude annuelle (moins de 13°C d'écart entre juillet et janvier), le nombre de jours froids (moins de 4) et chauds (moins de 4) et la variabilité interannuelle sont minimaux. Les précipitations sont annuellement abondantes (un peu plus de 1000 mm) et fréquentes en hiver (plus de 13 jours en janvier). L'été est également pluvieux (8-9 jours en juillet) mais les cumuls sont réduits. Le climat océanique se caractérise enfin par une forte variation interannuelle des précipitations d'hiver. (Source: Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 2, Librairie Droz, (lire en ligne), p.728-729.
Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p.206.
Paul Roger, Archives historiques et ecclésiastiques de la Picardie et de l'Artois, Amiens, Duval et Herment, (lire en ligne), p.327.
Bertrand Schnerb, Enguerrand de Bournonville et les siens. Un lignage noble du Boulonnais aux XIVe et XVe siècles, Paris, Presses de l'Université de Paris-Sorbonne, coll.«Cultures et civilisations médiévales» (no14), , 384p. (ISBN2-84050-074-4)
Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 160, lire en ligne
«Belle-et-Houllefort: le maire Jules Humières fait le bilan de ses mandats et ne se représentera pas: La carrière municipale de Jules Humières a débuté pratiquement avec son installation au village à l’heure de la retraite.Cet ancien artisan s’est immédiatement mis à l’œuvre pour rendre service à sa commune d’adoption. C’est en 1995 qu’il est entré à l’assemblée communale. Ses qualités ont été vite remarquées de la population et en 2001 il a pris les commandes de la mairie.», La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
«Belle-et-Houllefort: Michel Dufay prend la succession de Jules Humière: Implanté depuis plusieurs mandats et auteur de nombreuses transformations de la commune, Jules Humière avait annoncé dès le milieu de l’année 2013 qu’il n’avait pas l’intention de solliciter un nouveau mandat.», La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
Joël Rochoy (CLP), «Belle-et-Houllefort: Michel Dufay pense à l’entretien de la voirie et aux économies d’énergie: Retraité de l’enseignement, Michel Dufay est âgé de 65 ans. Conseiller municipal entre 1989 et 2001, il a décidé, après le départ de Jules Humières, de prendre la tête de liste pour les élections du printemps dernier. Il dirige la commune de 548 habitants depuis fin mars.», La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
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