Beaumont-du-Périgord est une ancienne commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Dordogne en région Nouvelle-Aquitaine, devenue le une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Beaumontois en Périgord.
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Beaumont est une bastide anglaise fondée en 1272 au nom d'Édouard Ier, roi d'Angleterre, par Lucas de Thaney, sénéchal de Guyenne. Le plan de la ville est en forme de H. De la place centrale partent deux rues (rue Foussal et rue Romieu) formant les deux bras du «H». Sa place centrale est entourée d'arcades appelées «cornières» sur lesquelles donnent les magasins. À côté de la place se trouve la grande église fortifiée dont la taille est démesurée proportionnellement à celle de la cité.
Beaumont-du-Périgord possède encore des vestiges de son enceinte fortifiée et une porte médiévale récemment[Quand?] restaurée, la Porte de Luzier. De 1790 à 2015, la commune a été le chef-lieu d'un canton. Jusqu'en 2001, elle a porté le nom officiel de Beaumont.
Géographie
La place du village, pavoisée pour la fête locale.
Beaumont du Périgord est situé au Sud-Ouest de la France et au Sud de la Dordogne.
C'est un terrain composé de beaucoup de collines avec une forte pente d'où vient le nom Beaumont (comme une belle montée). La place centrale est en haut de toutes ces collines ainsi que l'église.
Communes limitrophes
Carte de Beaumont-du-Périgord et des communes avoisinantes en 2015.
En 2015, année précédant la création de la commune nouvelle de Beaumontois en Périgord, Beaumont-du-Périgord était limitrophe de sept autres communes.
Outre le bourg de Beaumont-du-Périgord proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[1]:
Bannes
les Bellones
Belpech
le Biard
Bidot
Bidounet
Blanc
Bois du Sol
Bonhôte
Bonne Vitte
Bontemps
la Borie Basse
la Borie Neuve
Bourdiol
les Brandes
Cabirat
Calpré
Carrière
au Castagnol
Catalat
Caufour
Cazelle
Champs Noirs
Château de Bannes
Combe Largue
Combe Molière
Comte
Coste
Coumol
Couzage
Crabier
Cros Blanc
au Crouzille
le Dougnou
les Drals
Flory
Fonsalade
la Galage
Gondras
Grand Mayne
la Grande Borie
les Granges
Guillaumot
Guillaumy
Ize
la Janthe
Jouanat
Jouannet
Lalande
Lapradelle
Laquais
Laroque
Lartigue
Lasplate
Lenteuil
Loudat
Luzie
Magal
Malpas
Mamont
Marinier
Moncani
le Moulin de Chevalier
le Moulin de Jarry
le Moulin de Surier
le Moulin de la Taillade
le Moulin de la Ville
Neyrat
Pech del Four
Petit Mayne
les Peyères
Peygrand
au Peyroulet
Peyroux
Peyrugue
les Pins
la Plane
Pont de Belpech
Pont Roudier
Ponterie
Pradal
aux Pradasques
le Pressoir
Revauget
Rocher du Corbeau
aux Rocs
Rodemioule
Rolland
Tertre Blanc
Travade.
Toponymie
Le nom du lieu est attesté sous la forme latine Villa Belli Montis en 1286[2], Belli Mons en 1315.
Le nom de la commune est la francisation de l'occitanbèl mont, correspondant à une hauteur remarquable[3],[4]. La seconde partie du nom correspond naturellement à l'ancienne province du Périgord.
En occitan, la commune porte le nom de Bèlmont de Perigòrd[4].
Histoire
Plan de la ville avec ses fortifications.
Beaumont-du-Périgord est au départ une bastide anglaise fondée en 1272 par le sénéchal de Guyenne, Lucas de Thaney au nom du roi d'Angleterre, Édouard Ier[5],[6]. Elle a été fondée sur des terres données par le prieur de Saint-Avit-Sénieur, l'abbé de Cadouin, et par le seigneur de Biron.
La première mention écrite connue du lieu, tardive, remonte à l'an 1286 sous la forme villa Bellis monti[3]. Le 15 novembre de cette même année, le roi Édouard Ier accorde une charte à la ville de Beaumont. Une lettre du roi datée de 1289 autorise les consuls à construire une halle sur le côté sud de la place des Cornières. Cette halle est dessinée sur le cadastre de 1840. Elle a été détruite pour cause de vétusté en 1864.
La ville est construite suivant un plan de rues droites se coupant à angles droits. La place centrale est entourée de cornières. Elle a un plan presque rectangulaire mesurant, dans l'enceinte, 338 mètres par 137 mètres. Chaque côté de la place comprenait quatre maisons dont le premier étage s'avance sur la place grâce à des piliers formant des porches ou cornières.
L'enceinte de la ville est construite en 1320. C'est vers 1330-1350 que commence la construction de l'église Saint-Laurent-et-Saint-Front, située à côté de l'angle nord-est de la place centrale.
La ville est prise en 1442 par Pierre de Beaufort, vicomte de Turenne. Louis XI confirme en 1461 la charte aux habitants de la bastide. Assiégée à trois reprises par les huguenots en 1561, 1575 et 1576, la ville est finalement prise le 5 février 1576, par les protestants commandés par le capitaine Bernard de Gontaut de Saint-Geniez, seigneur de Campagnac de Ruffen (repaire noble à Bouillac)[7],[8]. Après la signature d'un traité de paix, la ville revient aux catholiques mais elle est de nouveau assiégée par les huguenots commandés par le capitaine Panissaut et tombe le 13 novembre 1585.
En 1596, le roi Henri IV cède ses droits et revenus sur le comté de Beaumont. Les habitants sont mécontents. Les Beaumontois rachètent en 1605 cette aliénation au profit du roi.
En 1643, la seigneurie de Beaumont est donnée en engagement par le roi Louis XIII, pour la somme de 7 563 livres, au duc de Bouillon, qui a possédé la ville et le comté de Beaumont comme engagiste du roi. La même année, les droits et revenus du comté sont cédés pour 3 780 livres au nom du roi Louis XIV au sieur Jean-Jacques de Bergues. Les Beaumontois rachètent de nouveau cette aliénation.
Le 20 mars 1651, Louis XIV, «pour le bien de son état et pour mettre à couvert la frontière de Champagne, suivant la résolution du défunt roy son père Louis XIII» a acquis les principautés de Sedan et de Raucourt avec toutes leurs appartenances et dépendances en échange d'un grand nombre de territoires, dont la ville et le comté de Beaumont[9].
Au XVIIIesiècle, la ville perd ses remparts. Le mur d'enceinte est vendu aux riverains qui l'abattent ou y adossent leurs maisons. Il n'en reste que la porte de Luziès (ou porte de Luzier), des parties de murs et une tour.
En 1707 commence la construction du couvent des Dames de la Foy qui ne sera terminé qu'après 1740.
Le comté de Beaumont fait partie des biens de la famille de Beaumont jusqu'en 1733, lorsque la duchesse de Bouillon le vend au président d'Augeard. En 1763, Jean de Paty, seigneur de Lusies, achète le comté de Beaumont à la veuve d'Augeard pour 20 000 livres. Entre 1763 et 1782, plusieurs conflits vont exister entre Jean de Paty et Charles de Montsec, premier consul de la ville de Beaumont. En 1782, Jacques de Belerd devient premier consul, assisté de Louis Ters et des sieurs Redon et Tinet.
Un hôpital est construit à partir de 1789, mais le second étage reste inachevé.
Dès les premières années de la Révolution française, la commune de Bannes fusionne avec celle de Beaumont[10].
La commune a été décorée de la croix de guerre 1939-1945 le , distinction également attribuée à dix-huit autres communes de la Dordogne[11].
Avant le décret du 1er février 2001, la commune s'appelait Beaumont[12].
Dès 1790, la commune de Beaumont a été rattachée au canton de Beaumont qui dépendait du district de Belvès jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est rattaché à l'arrondissement de Bergerac[14].
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[15]. La commune est alors rattachée au canton de Lalinde.
Intercommunalité
Fin 1995, Beaumont intègre dès sa création la communauté de communes du Pays beaumontois. Celle-ci est dissoute au 31 décembre 2012 et remplacée au 1er janvier 2013 par la communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2011, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2014[16],[17]. Ceux-ci sont membres d'office du conseil municipal de la commune nouvelle de Beaumontois en Périgord, jusqu'au renouvellement des conseils municipaux français de 2020[13].
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
Les habitants de Beaumont-du-Périgord se nomment les Beaumontois[22].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Beaumont depuis 1793. À partir du XXIesiècle, les recensements des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2006, 2011 pour Beaumont-du-Périgord[23]). Depuis 2006, les autres dates correspondent à des estimations légales. En 2015, Beaumont-du-Périgord comptait 1 064 habitants.
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 392
1 505
1 543
1 551
1 850
1 806
1 835
1 788
1 760
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 796
1 801
1 811
1 926
1 867
1 834
1 728
1 605
1 523
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 343
1 349
1 270
1 052
1 014
960
940
892
865
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2015
1 019
1 110
1 226
1 261
1 155
1 150
1 145
1 101
1 064
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Les données économiques de Beaumont-du-Périgord sont incluses dans celles de la commune nouvelle de Beaumontois en Périgord.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
De son passé de bastide, Beaumont-de-Périgord a gardé de nombreuses traces. Pierre Garrigou-Grandchamp, dans son article sur L'architecture domestique des bastides périgourdines aux XIIIeetXVesiècles[25] décrit succinctement 43 maisons construites pendant ces siècles et dont sont encore perceptibles des traces malgré les reconstructions.
En dehors des sept maisons à cornières qui subsistent sur la place centrale, l'actuelle place Jean-Moulin, un ensemble de maisons peut se voir entre les rues Ratier et Féliciane. Ces dernières maisons se découvrent le long de la rue Féliciane avec des façades en mur-pignon qui laisseraient penser qu'elles pouvaient jouer le rôle de deuxième défense après les remparts dont elles sont séparées par les lices. Sur la rue Ratier, certaines ont conservé au rez-de-chaussée les baies ogivales qui permettaient leurs activités commerciales.
Église Saint-Laurent-et-Saint-Front[26],[27],[28] du XIIIesiècle et XIVesiècle, classée en 1909 au titre des monuments historiques.
Couvent des Dames de la Foi[29], actuelle maison de retraite, construite à partir de 1707. La chapelle est ouverte en 1712, mais le bâtiment n'est terminé qu'en 1740. Pour permettre l'achèvement des travaux, la fondatrice, Mademoiselle de Lagorce, a acheté une partie de l'enceinte de la ville[30]
C'est en 1771 que l'abbé Geneste acquiert une maison au "puissant seigneur" messire Jean Jérosme de Saint-Hilaire, chevalier, seigneur dudit Saint-Hilaire et de Ferrière,
Louis XV donne des lettres patentes pour l'Hospice de Beaumont en 1772,
L'abbé Geneste lègue sa maison à l'hospice de Beaumont en 1773,
En 1778, Louis Ters, maître en chirurgie, premier consul de Beaumont entreprend la construction du nouvel hospice,
L'hospice est ouvert au début de 1789 alors que le second étage est non achevé. La chapelle qui devait être construite contre le mur nord ne l'a pas été. Il fonctionne grâce à une donation de 33 799 livres faite par 22 donateurs qui donne une rente annuelle de 1 689 livres.
En 1818, l'hospice est déplacé dans l'ancien couvent des Dames de la Foi, actuelle maison de retraite. On installe alors dans le bâtiment:
- côté nord: la mairie, l'école, la justice et une prison,
- côté sud: le logement pour l'instituteur, puis, après 1840, le presbytère.
Une nouvelle porte donnant accès au couloir de la mairie est ouverte en 1840.
Porte de Luzier ou de Lusies, seule porte subsistante des fortifications de la ville, fin XIIIe- débutXIVesiècle, inscrite en 1952 au titre des monuments historiques[32]. Une tour peut se voir au nord-ouest. Des traces de l'enceinte sont visibles dans les murs de certaines maisons.
Cimetière mérovingien dont plusieurs tombes sont composées de sarcophages en pierre. Certains sont visibles depuis la route qui mène de la route départementale 25 au Moulin de la Justice (au lieu-dit Capy).
Château de Bannes, XVe – XVIesiècle, classé en 2002 au titre des monuments historiques[33].
Église Saint-Martin de Bannes.
Château de Luzier, XIVe, XVIIeetXVIIIesiècles, inscrit en 2009 au titre des monuments historiques[34].
Château de la Pradelle[35], vestiges d'un château du XIesiècle dont il reste un mur de 2 m d'épaisseur.
Chapelle Notre-Dame de Belpech, édifiée au XIIesiècle et agrandie au XIIIesiècle, ancien prieuré de l'abbaye de Cadouin.
Dolmen de Peyre Nègre, néolithique[36], situé près du lieu-dit Blanc. Il est parfois confondu avec un autre site mégalithique situé à proximité, sur le territoire de la commune voisine de Nojals-et-Clotte: l'allée couverte du Blanc[37].
La porte de Lusies (ou Luzier).
L'église de Bannes.
Le château de Bannes.
Fenêtre de la fin du XVesiècle dans la rue du Barry représentée dans un article de Jules de Verneilh[38]
Patrimoine environnemental
Partagée avec la commune de Naussannes, une petite zone de coteaux calcaires d'une cinquantaine d'hectares constitue une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 1[39],[40] sur environ un kilomètre de long, de part et d'autre du ruisseau de Naussanes, entre le bourg de Naussanes et le lieu-dit Luzier. Parmi la centaine de plantes phanérogames répertoriées sur les lieux, quatre espèces sont considérées comme déterminantes pour la protection du site: la cardoncelle (Carduncellus mitissimus), la laitue vivace (Lactuca perennis), l'orchis guerrier (Orchis militaris) et la sabline des chaumes (Arenaria controversa).
Personnalités liées à la commune
Gabriel Aimé Robert Joubert (1898-1944), instituteur à Beaumont engagé dans la résistance, arrêté le 20 décembre 1943, déporté le 22 janvier 1944 au départ de Compiègne à destination de Buchenwald. Mort en déportation à Buchenwald le 16 septembre 1944.
Lucien Misermont (Beaumont, 17 juillet 1864-Paris,16 mai 1940). Ordonné prêtre en 1889, docteur en droit canon et licencié en théologie. Il s'occupa de procès de canonisation en cour de Rome, où il séjourna. Il écrivit aussi plusieurs articles et ouvrages historiques ou religieux (Les Filles de la Charité d'Arras, dernières victimes de Joseph Le Bon; Études sur Jean Le Vacher, consul de France et vicaire apostolique, etc.).
Dominique Mortemousque (1950-), homme politique, maire de la commune depuis 2008.
Léo Testut (1849-1925), médecin et anatomiste français, qui a réalisé une étude historique et archéologique de la bastide de Beaumont et des pages sur l'histoire locale de la ville à la fin de l'Ancien Régime[41],[42].
Héraldique
Les armes de Beaumont-du-Périgord se blasonnent ainsi: «Écartelé: au 1, d'azur semé de fleurs de lys d'or à la tour d'argent maçonnée de sable brochant sur le tout, au 2, d'or à trois tourteaux de gueules, au 3, d'or à trois bandes de gueules, au 4, de gueules à la fasce d'argent, sur le tout d'or au gonfanon de gueules frangé de sinople.»
Félix de Verneilh, «Architecture civile au Moyen Âge: Monpazier», p.79-82, dans Annales archéologiques, 1847, tome 6 (lire en ligne), et plan (voir) sur Gallica
Léo Testut, La Vie communale à Beaumont en Périgord à la fin de l'Ancien Régime (1763-1789), Féret et fils libraires-éditeurs, Bordeaux, 1921 (lire en ligne) sur Université Bordeaux-Montaigne
Léo Testut, La Petite ville de Beaumont en Périgord pendant la période révolutionnaire, Féret et fils libraires-éditeurs, Bordeaux, 1922, tome 1, (lire en ligne) sur Université Bordeaux-Montaigne
Léo Testut, La Petite ville de Beaumont en Périgord pendant la période révolutionnaire, Féret et fils libraires-éditeurs, Bordeaux, 1922, tome 2, (lire en ligne) sur Université Bordeaux-Montaigne
Léo Testut, La Société populaire des Amis de la Constitution de Beaumont-en-Périgord sous la Législative et la Convention (avril 1792-août 1795), Féret et fils libraires-éditeurs, Bordeaux, 1923 (lire en ligne) sur Gallica
François Deshoulières, «Beaumont-du-Périgord», dans Congrès archéologique de France. 90e session, Périgueux, 1927, p.156-165, Société française d'archéologie, Paris, 1928 (lire en ligne) sur Gallica
Pierre Garrigou Grandchamp, «L'architecture domestique des bastides périgourdines aux XIIIeetXIVesiècles», dans Congrès archéologique de France, 156e session, Monuments en Périgord, 1999, p.47-71, Société française d'archéologie, Paris, 1999
Christian Corvisier, «Beaumont-du-Périgord: Bastide», in Congrès archéologique de France, 1998, p.353-354, (lire en ligne) sur Gallica
Bertrand Charneau, Le pays Beaumontois, Le Festin (collection Itinéraires du patrimoine no219), Bordeaux, 2000 (ISBN978-2-909423739), p.32
Pierre Garrigou Grandchamp, L'architecture domestique des bastides périgourdines aux XIIIeetXIVesiècles, p. 47-71, dans Congrès archéologique de France. 156esession. Monuments en Périgord. 1999, Société française d'archéologie, Paris, 1999
Bertrand Charneau - Le Pays Beaumontois - CDPDRACA (collection «Itinéraires du Patrimoine» n°219) - Bordeaux, 2000 (ISBN2-909423-73-5)
Chanoine Jean Tarde, Les chroniques annotées par le vicomte Gaston de Gérard, Alphonse Picard, Paris, 1887, p.265(lire en ligne)
Jean-Baptiste-Pierre Jullien de Courcelles, Histoire généalogique et héraldique des pairs de France, Artus Bertrand libraire, Paris, 1822, tome 2, De Gontaut, p.76(lire en ligne)
Léo Testut, La prise de possession de la ville et comté de Beaumont en Périgord par la famille de Bouillon, en mai 1654p.192-200, Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, année 1921, tome 48(Texte)
Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, «Notice communale: Bannes», sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
«Arrêté n° PREF/DDL/2015/0231portant création de la commune nouvelle de Beaumontois en Périgord», Recueil des actes administratifs de la Dordogne, , p.18-20 (lire en ligne[PDF]).
Pierre Garrigou-Grandchamp, L'architecture domestique des bastides périgourdines aux XIIIeetXVesiècles, Congrès archéologique de France, Monuments en Périgord, 1979, Société française d'archéologie, p.64-66
Jacques Gardelles - Aquitaine gothique - pp. 153-158 - Picard - Paris - 1992 - (ISBN2-7084-0421-0)
Michèle Pradelier, Les églises des bastides du Périgord méridional (Molières, Monpazier, Beaumont), pp. 73-82, dans Congrès archéologique de France. 156esession. Monuments en Périgord. 1999 - Société Française d'Archéologie - Paris - 1999
«Porte de Luzier», notice noPA00082355, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 17 avril 2015.
«Château de Bannes», notice noPA00082340, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 17 avril 2015.
«Château de Luzier», notice noPA00082341, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 17 avril 2015.
André Jouanel, «Le château de la Pradelle, commune de Beaumont-du-Périgord», dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1960, tome 87, 2e livraison, p.70-81(lire en ligne)
Carte de la ZNIEFF 720014273, DREAL Aquitaine, consulté le 9 février 2019. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, dans la «Légende» (en bas à gauche), ouvrir la couche «Référentiels» et barrer la couche «Photographie IGN».
Léo Testut, La bastide de Beaumont en Périgord, 1272-1789: étude historique et archéologique, Feret et fils, 1920
Testut, Léo, La Vie communale à Beaumont en Périgord à la fin de l'Ancien Régime (1763-1789): Pages d'histoire locale, Bordeaux, Feret et fils, , 344p. (lire en ligne)
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