Beaumontois en Périgord est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine. Elle a été créée le sous le statut de commune nouvelle et regroupe les anciennes communes de Beaumont-du-Périgord, Labouquerie, Nojals-et-Clotte et Sainte-Sabine-Born[1].
Beaumontois en Périgord
De haut en bas, de gauche à droite: l'allée couverte du Blanc à Nojals-et-Clotte; l'église Saint-Martin de Bannes; le château de Bannes à Beaumont-du-Périgord; l'église de Labouquerie; maison à empilage à Sainte-Sabine-Born.
À sa création en 2016, la commune de Beaumontois en Périgord devient la deuxième du département en superficie, avec plus de 72 km2, derrière La Roche-Chalais. Après la création de vastes communes nouvelles en 2017 et 2019, elle devient la sixième commune la plus étendue du département.
Communes limitrophes
Beaumontois en Périgord est limitrophe de treize autres communes, dont trois dans le département de Lot-et-Garonne, parmi lesquelles Rives au sud par un simple quadripoint.
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Beaumontois en Périgord est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[2].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5c, date du Campanien 3, une alternance de marnes à glauconie et de calcaires crayo-marneux jaunâtres. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs: sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles «no830 - Eymet» et «no831 - Belvès» de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3],[4] et leurs notices associées[5],[6].
Carte géologique de Beaumontois en Périgord.
Légende de la carte géologique.
Ère
Période
Époque
Formations géologiques
Cénozoïque (0 - 66.0)
Quaternaire (0 - 2.58)
Holocène
CFvs :
Formations superficielles: colluvions carbonatées de vallons secs: sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris
Formations superficielles: colluvions indifférenciées sablo-argileuses et argilo-sableuses de pentes et de vallons indifférenciés des terrains tertiaires et quaternaires, des terrains mésozoiques et de socle
Fy3-z :
Alluvions subactuelles à actuelles indifférenciées: argiles silteuses, argiles sableuses, argiles tourbeuses, sables argileux, sables fins à graviers (Pré-boréal à actuel)
Pléistocène
non présent
Néogène (2.58 - 23.03)
Pliocène
non présent
Miocène
m1-Cb :
Calcaire blanc de l'Agenais: calcaire lacustre blanc renfermant localement des silex et localement gréseux (Aquitanien basal continental)
Paléogène (23.03 - 66.0)
Oligocène
g2-A :
Molasse de l'Agenais sup. à faciès argileux dominant: argiles silteuses carbonatées vertes, noires à blanches à niveaux de sables ou grès micacés à rares graviers, quelques bancs de calcaires lacustres localement meuliérisés (Chattien continental)
g1-Cmo :
Calcaire de Monbazillac: calcaire lacustre et marno-calcaire localement meuliérisé et argiles carbonatées à nodules calcaires (niveau intercalé séparant les molasses de l'Agenais sup. et inf.) (Rupélien continental)
g1-A :
Molasse de l'Agenais inf. à faciès argileux dominant: argiles silteuses carbonatées jaunâtres à verdâtres à niveaux gréseux tendres à la base (Rupélien continental)
g1-Cc :
Formation du Calcaire de Castillon s.s.: calcaire lacustre micritique dur azoïque à nodules d'argiles vertes (plusieurs mètres d'épaisseur), faciès de meuliérisation localement (Rupélien basal continental)
Éocène
e7-g1(Gy) :
Molasse du Fronsadais sup. - Gypse de Sainte-Sabine: niveau différencié de gypse dans les molasses cartographié sur la feuille de Belvès (Priabonien sup. à Rupélien basal continental)
e7c-A :
Molasses du Fronsadais inf. à moy. (faciès argileux dominant): argiles sableuses bariolées jaunes à vertes à chenaux sableux micacés et feldspathiques (Priabonien sup. continental)
e7c :
Calcaire d'Issigeac: calcaires blancs et roses à meulières éparses (niveau intercalé dans la molasse du Fronsadais: sépare les molasses du Fronsadais inf. et moy.) (Priabonien sup. continental)
e7b-Cc :
Calcaires des Ondes - Calcaire de Sainte-Croix-de-Beaumont (Belvès) - Calc. Saint-Cernin (Duras), Calc. de Langles (Fumel): calcaires clairs à silex et Meulières (Priabonien moy. continental)
e6-7 :
Argiles à Paléotherium: argiles carbonatées silteuses versicolores à niveaux sableux, à niveaux carbonatés +/- durcis, sables grossiers micacés marron rouge à la base (Bartonien sup. à Priabonien inf. continental)
e5-6 :
Formation de Guizengeard sup.: sables feldspathiques micacés, graviers, galets et argiles sableuses, ensemble ferrugineux, versicolore à lentilles argileuses parfois kaoliniques (Lutétien sup. à Bartonien sup. continental)
Paléocène
non présent
Mésozoïque (66.0 - 252.17)
Crétacé (66.0 - ≃145.0)
Supérieur
Ac :
Altérites du Crétacé sup.: argiles kaoliniques, silteuses à sableuses, parfois rubéfiées, à gravier, à silex et chailles, avec apport local du Tertiaire (complexe des Doucins)
c5e :
Campanien 5: calcaires bioclastiques jaunâtres à rudistes, orbitoides media, Larrazetia, calcaires gréseux jaunes à grands silex versicolores, lumachelles à huîtres (Pycnodonte vesicularis) (formation d'Aubeterre, de Lalinde, de Couze)
c5c :
Campanien 3: alternance de marnes à glauconie et calcaires crayo-marneux jaunâtres (formations de Biron et de Coursac), présence localement de niveaux de calcaires gréseux fins ocre à Larrazetia et tempestites (formation de Journiac)
inférieur
non présent.
Jurassique (≃145.0 - 201.3)
non présent
Trias (201.3 - 252.17)
non présent
Paléozoïque (252.17 - 541.0)
non présent
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 50 m et 235 m[7].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[9]. La commune est dans le Bergeracois, une région naturelle présentant un relief contrasté, avec les deux grandes vallées de la Dordogne et du Dropt séparées par un plateau plus ou moins vallonné, dont la pente générale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages périgourdins. Il est composé de vignes, vergers et cultures[10],[11].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 72,71 km2[12],[Note 2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[15]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[16].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[15]
Moyenne annuelle de température: 12,6°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,1 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 8,8 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,6 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,9 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[19] complétée par des études régionales[20] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Belves», sur la commune de Pays de Belvès, mise en service en 1988[21] et qui se trouve à 19 km à vol d'oiseau[22],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 12,9°C et la hauteur de précipitations de 895,6 mm pour la période 1981-2010[23].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Bergerac», sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 24 km[24], la température moyenne annuelle évolue de 13,2°C pour la période 1971-2000[25], à 13,1°C pour 1981-2010[26], puis à 13,3°C pour 1991-2020[27].
Urbanisme
Typologie
Beaumontois en Périgord est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[28],[29],[30].
La commune est en outre hors attraction des villes[31],[32].
Villages, hameaux et lieux-dits
Outre les bourgs de Beaumont-du-Périgord, Clotte, Labouquerie, Nojals et Sainte-Sabine proprement dits, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits détaillés sur cet article, sur celui-ci, sur cet autre et sur celui-là.
Prévention des risques
Le territoire de la commune de Beaumontois en Périgord est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[33]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[34].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Bournègue et la Couze. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988 et 1999[35],[33].
Beaumontois en Périgord est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées: interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[36]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[37],[38].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Beaumontois en Périgord.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[39]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[40]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[41]. 70,5% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6% au niveau départemental et 48,5% au niveau national métropolitain)[42]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[43].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[33].
Toponymie
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Histoire
La création de la nouvelle commune, entérinée par l'arrêté du [44], est effective le , entraînant la transformation des quatre anciennes communes, Beaumont-du-Périgord, Labouquerie, Nojals-et-Clotte et Sainte-Sabine-Born, en communes déléguées.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune de Beaumontois en Périgord dépend administrativement de l'arrondissement de Bergerac[45].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Lalinde[46], et de la 2e circonscription législative[47].
Intercommunalité
À sa création en 2016, elle est intégrée à la communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord[46].
Communes déléguées
Liste des communes déléguées
Nom
Code Insee
Intercommunalité
Superficie (km2)
Population (dernière pop. légale)
Densité (hab./km2)
Beaumont-du-Périgord (siège)
24028
CC des Bastides Dordogne-Périgord
24,18
1 064 (2015)
44
Labouquerie
24219
CC des Bastides Dordogne-Périgord
10,76
220 (2015)
20
Nojals-et-Clotte
24310
CC des Bastides Dordogne-Périgord
13,80
221 (2015)
16
Sainte-Sabine-Born
24497
CC des Bastides Dordogne-Périgord
23,97
363 (2015)
15
Administration municipale
Pendant une période courant jusqu'au prochain renouvellement des conseils municipaux (prévu en 2020), le conseil municipal de la nouvelle commune est constitué de l'ensemble des conseillers municipaux des quatre anciennes communes (quinze pour Beaumont-du-Périgord, et onze pour chacune des trois autres ex-communes, soit un total de quarante-huit)[44]. Le maire de la nouvelle commune est élu début 2016. Les maires des quatre anciennes communes deviennent maires délégués.
La population de la commune étant comprise entre 1 500 et 2 499 habitants au recensement de 2017, dix-neuf conseillers municipaux auraient dû être élus en 2020[48]. Cependant, s'agissant du premier renouvellement du conseil municipal d'une commune nouvelle, le nombre de conseillers élus est celui de la strate supérieure[49], soit vingt-trois[50].
Dans le domaine judiciaire, Beaumontois en Périgord relève[53]:
du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Bergerac;
En 2016[56], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 706 personnes, soit 38,2% de la population municipale. Le taux de chômage de cette population active s'établit à 14,1%, soit 99 personnes.
Établissements
Au , la commune compte 283 établissements[57], dont 133 au niveau des commerces, transports ou services, 59 dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, 35 relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, 33 dans la construction, et 23 dans l'industrie[58].
Entreprises
Dans le secteur du BTP, parmi les entreprises ayant leur siège social en Dordogne, la «SARL Moron constructions» (travaux de maçonnerie générale et gros œuvre de bâtiment), implantée à Beaumontois en Périgord, se classe 33e en chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016 avec 3 523 k€[59].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Allée couverte de Blanc
Église Saint-Laurent-et-Saint-Front de Beaumont-du-Périgord.
Château de Bannes
Maison à empilage de planches des Jouandis (Sainte-Sabine-Born)
Maison à empilage de poutres de Saint-Germain (Sainte-Sabine-Born)
Personnalités liées à la commune
Léo Testut
Héraldique
Article détaillé: Armorial des communes de la Dordogne.
Blason
Écartelé: au 1er d'azur semé de fleurs de lys d'or, à la tour d'argent maçonnée de sable, au 2e d'or à trois tourteaux de gueules, au 3e d'or à trois bandes de gueules, au 4e de gueules à la fasce d'argent; sur le tout, d'or au gonfanon de gueules frangé de sinople[60].
Détails
Reprise des armes de l'ancienne commune de Beaumont-du-Périgord. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13],[14]
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[17].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[18].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Décédé en fonctions.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
«Arrêté n° PREF/DDL/2015/0231portant création de la commune nouvelle de Beaumontois en Périgord», Recueil des actes administratifs de la Dordogne, , p.18-20 (lire en ligne[PDF]).
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