Bazuel est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.
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Bazuel | |
![]() Centre du village. | |
![]() Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Hauts-de-France |
Département | Nord |
Arrondissement | Cambrai |
Intercommunalité | CA du Caudrésis - Catésis |
Maire Mandat |
Jean-Félix Macarez 2020-2026 |
Code postal | 59360 |
Code commune | 59055 |
Démographie | |
Gentilé | Bazuélois |
Population municipale |
511 hab. (2019 ![]() |
Densité | 43 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 50° 05′ 30″ nord, 3° 35′ 21″ est |
Altitude | 140 m Min. 112 m Max. 158 m |
Superficie | 11,81 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Le Cateau-Cambrésis (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton du Cateau-Cambrésis |
Législatives | 18e circonscription du Nord |
Localisation | |
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Ses habitants sont appelés les Bazuélois, Bazuéloises.
Bazuel est une commune rurale du Cambrésis, desservie par l'ancienne RN 43 (actuelle RD 643), jouxtant à l'est Le Cateau-Cambrésis et situé à .26 km au sud-est de Cambrai, 30 km au sud de Valenciennes, 25 km de la frontière franco-belge, 48 km au sud-ouest de Mons, 35 km au sud-ouest de Maubeuge, 26 km à l'ouest d'Avesnes-sur-Helpe et 35 km au nord-est de Saint-Quentin.
Bien que la ligne de Creil à Jeumont traverse la commune, les stations de chemin de fer les plus proches sont les gares d'Ors et du Cateau desservies par des trains TER Hauts-de-France, qui effectuent des relations entre les gares : de Busigny et de Jeumont ; de Busigny et d'Aulnoye-Aymeries ou de Maubeuge.
Le Pommereuil | Ors | |
Le Cateau-Cambrésis | ![]() |
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Mazinghien | Catillon-sur-Sambre |
La monographie communale de 1899 indique « Occupant les dernières ramifications des collines de Belgique, le territoire de Basuel est assez accidenté : son point culminant se trouve à la Haie-Tonnoile dont l’altitude est de 155 mètres, sa plus faible élévation dans le voisinage du moulin de M. Carpentier-Lozé (du Pommereuil) est de 115 m. » et « Le sol de la Commune de Basuel est un peu humide et argileux à sa partie est, aussi est-il favorable aux nombreux pâturages qui avoisinent le village et dans lesquels on remarque beaucoup de jeunes pommiers qui ont remplacé ceux que le rigoureux hiver de 1879-80 a détruits ; sa partie nord contient un peu de sable, des pierres siliceuses ; le reste du territoire surtout au sud renferme une marne argileuse favorable aux amendements[1] ». Bazuel est situé sur la ligne de partage des eaux de la Selle et de la Sambre[2].
Le territoire communal est drainé par des ruisseaux, le Jonc de Mer et le ruisseau de Saint-Maurice (ou ruisseau de Richemont), qui confluent dans la Selle, un affluent du fleuve l'Escaut.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Étreux », sur la commune d'Étreux, mise en service en 1956[9] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,2 °C et la hauteur de précipitations de 839,4 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 41 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,3 °C pour 1981-2010[14], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[15].
Bazuel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[17],[18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Cateau-Cambrésis, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (57,9 %), prairies (37,8 %), zones urbanisées (3,7 %), zones agricoles hétérogènes (0,5 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].
La monographie communale de 1899 indique qu'il « y a sur le territoire de Basuel 2 sources jaillissantes qui forment les ruisseaux de l’Alouette et de St Maurice. Ces deux ruisseaux réunis donnent naissance au Basuyau et c’est dans l’angle de leur jonction, qu’est situé presque entièrement le village de Basuel[23] ».
En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 267, alors qu'il était de 263 en 2014 et de 251 en 2009[I 1].
Parmi ces logements, 87,3 % étaient des résidences principales, 0,7 % des résidences secondaires et 11,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,4 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Bazuel en 2019 en comparaison avec celle du Nord et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,7 %) inférieure à celle du département (1,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 67,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (69,1 % en 2014), contre 54,7 % pour le Nord et 57,5 pour la France entière[I 3].
Typologie | Bazuel[I 1] | Nord[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 87,3 | 90,6 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 0,7 | 1,6 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 11,9 | 7,8 | 8,2 |
Le village est mentionné dès 995 sous le nom Basius, puis au long des XIe au XVIIIe siècles sous les noms Wasvilare, Basuellum, Baisuel, Bazueilum, Basuyau.
Boniface[24] fait dériver le nom du bas-latin baissa (« lit de rivière », « lieu marécageux ») ou du germanique was (« eau », « courant d'eau ») et du bas-latin villare (« métairie », « exploitation agricole ») et interprète le nom comme « la métairie du ruisseau ou du marais ».
En 1793 on écrivait Basuel[25]. On trouve aussi le nom de Bazuiau ou Basuiau[réf. nécessaire].
Le lieu est habité de longe date : une hache de pierre polie a été découverte près de la route de Mazinghien, ainsi que des débris de poterie romaine au lieu-dit Le Planty[2].
En 1231, une charte communale est accordée à Bazuel, qui est dotée d'un acte déterminant les prérogatives respectives de l'échevin et de l'abbé de Saint-André du Cateau, dont relève alors la localité. Les différents ordres religieux, ainsi que l'archevêché, sont les grands propriétaires terriens de Bazuel, qu'ils détiennent à plus de la moitié de sa surface. L'Abbaye Saint-André du Cateau est ainsi propriétaire de l'ancien château de Becquériau, des fermes importantes de la Joncquière et de la Roue, ainsi que l'hôtel de ville autrefois situé sur la place[2].
Bazuel, subissant les Guerres de Religion et les nombreuses guerres qui touchent le Cambrésis, est confronté de 1599 à 1621 à plusieurs affaires de sorcellerie au cours desquelles les inculpées, de vieilles femmes, sont convaincues de débauches sataniques et de sortilèges et brûlées vives au terme de procès expéditifs[2].
En 1610, il existe une école dans le village, dont l'instituteur, Pierre Note, est clerc laïque, bien que payé par la paroisse. Cette école existe toujours au siècke suivant[26].
Les biens religieux sont vendus lors de la Révolution française comme biens nationaux, modifiant structurellement la structure foncière de la commune[2].
Le village est marqué par le passage des armées autrichiennes en 1794 « Une compagnie de grenadiers du 19e Régiment d’Infanterie postée dans le château de
Becqueriaux tint tête pendant 2 heures à des assaillants dix fois plus nombreux qu’eux. Le lendemain tous les braves gens furent tués dans la ferme, noirs de poudre, mais les cadavres
de 300 uhlans gisaient dans les pâtures et les bois d’alentour.
La même année, c’est-à-dire en 1794, une échauffourée eut lieu sur la lisière sud-ouest de Basuel entre Français et Autrichiens : elle coûta la vie à 1 200 Français qui furent enterrés par les habitants de Basuel sur le lieu même du combat au fond d’une vallée appelée pour cette raison : Vallée des Morts.
La tradition rapporte qu’une fusillade eut lieu à l’ancien moulin Objoit en 1814 entre les Français et les alliés[27] ».
En 1854, le conseil municipal vote un crédit pour la construction d'une école, puis, en 1860, pour l'acquisition de la maison de l'instituteur et la construction d'une classe. En 1867, il décide que l'instruction qui y est dispensée le sera gratuitement. Toutefois, les élèves de l'école maternelle dont les parents sont aisés paieront une participation. L'année suivante, les élus engagent les démarches pour construire une école des filles, qui est mise en service en 1872[28].
La ligne de Creil à Jeumont traverse le territoire communal d'ouest en est à partir de 1855, mais sa station est implantée à Ors. La commune refuise à cette époque la création d'un bureau de poste[2]. En 1886 est mis en service la section Le Cateau - Catillon de la ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique Cambrai - Catillon des chemins de fer du Cambrésis[29]. Cette ligne ferme en 1955.
En 1899, l’instituteur de Bazuel note dans sa monographie communale « Il n’y a à proprement parler pas d’industrie à Basuel. Signalons cependant 2 brasseries, un moulin à eau, un équarrissage qui dépouille annuellement une moyenne de 200 bêtes à cornes et 100 chevaux. Une laiterie coopérative est en construction et les intéressés espèrent qu’elle produira journellement 200 kilogrammes de beurre destinés à être vendus dans certaines villes importantes. Beaucoup d’ouvriers sont employés aux travaux agricoles ; quelques-uns se rendent chaque matin au Cateau où ils trouvent des occupations diverses ; d’autres enfin travaillent à l’entretien des voies ferrées de la Cie du Nord et de celle du Cambrésis[30] ».
En 1982, un poulailler industriel s'installe dans la commune[2].
La commune se trouve dans l'arrondissement de Cambrai du département du Nord.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton du Cateau-Cambrésis[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton du Cateau-Cambrésis
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dix-huitième circonscription du Nord.
Bazuel était membre de la communauté de communes de Haute Sambre-Bois l'Évêque, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1993 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Cette intercommunalité fusionne le au sein de la communauté de communes du Caudrésis – Catésis, qui se transforme en communauté d'agglomération sous la dénomination de communauté d'agglomération du Caudrésis - Catésis dont est ainsi membre la commune.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1793 | Cassiodore Alard | |||
1795 | François Leroy | |||
1796 | Jean Louis Pruvot | |||
en 1797 et avant 1802[32] | après 1807[33] | Charles Joseph Leblond | ||
1808 | 1813 | François Druesne | ||
1813 | 1816 | M. Fleuru | ||
1816 | 1832 | Philippe Joseph Hovine | ||
1832 | 1835 | Jacques Herlemont | ||
1835 | 1838 | Jacques Désiré Druesne | ||
1838 | 1842 | Hubert Denise | ||
1842 | 1848 | Joseph Franquet | ||
1848 | août 1848 | André Mairesse | Nommé maire provisoire pendant la Révolution française de 1848 | |
1848 | 1852 | Joseph Franquet | ||
1852 | 1853 | Leblond Druon | ||
1853 | 1865 | Augustin Herlemont | ||
septembre 1865 | André Mairesse | |||
octobre 1870[Note 8] | mai 1871 | Cassiodore Démaretz | ||
1871 | 1875 | André Mairesse | ||
1875 | 1881 | Antoine Goffart | ||
1881 | 1887 | Charles Besse | ||
1887 | 1896 | Constant Lemaire-Lejeune | ||
1896 | François Dehaussy-Vérin | |||
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
mars 2001 | mars 2008 | Henri Bara | ||
mars 2008 | En cours (au 13 septembre 2022) |
Jean-Félix Macarez | Réélu pour le mandat 2020-2026[34] |
Bazuel relève de l'académie de Lille.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].
En 2019, la commune comptait 511 habitants[Note 9], en diminution de 7,43 % par rapport à 2013 (Nord : +0,49 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
550 | 703 | 848 | 959 | 1 112 | 1 167 | 1 216 | 1 243 | 1 299 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 239 | 1 256 | 1 288 | 1 245 | 1 153 | 1 056 | 1 026 | 966 | 931 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
940 | 941 | 881 | 689 | 753 | 770 | 710 | 713 | 762 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
788 | 801 | 795 | 726 | 674 | 571 | 602 | 553 | 533 |
2019 | - | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
511 | - | - | - | - | - | - | - | - |
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,7 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 262 hommes pour 255 femmes, soit un taux de 50,68 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,23 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,4 | 90 ou + | 2,0 |
9,7 | 75-89 ans | 10,3 |
16,6 | 60-74 ans | 20,4 |
24,4 | 45-59 ans | 20,6 |
18,2 | 30-44 ans | 12,9 |
17,6 | 15-29 ans | 16,7 |
13,1 | 0-14 ans | 17,1 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,5 | 90 ou + | 1,3 |
5,1 | 75-89 ans | 8,1 |
14,3 | 60-74 ans | 15,6 |
19,2 | 45-59 ans | 18,6 |
19,6 | 30-44 ans | 18,7 |
20,7 | 15-29 ans | 19,1 |
20,7 | 0-14 ans | 18,5 |
La fête communale a lieu le 3e week-end de juin[2].
Le nom jeté des habitants de Bazuel est « les Endormis »[42].
![]() |
Blason | De gueules à une rose tigée et feuillée d'argent. |
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |