Barre[ba.ʁə] (en occitan Barre['ba.re]) est une commune française située dans le département du Tarn, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Lacaunais, un ensemble de plateaux où l'élevage de brebis laitières est prépondérant.
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Barre
Mairie et école.
Administration
Pays
France
Région
Occitanie
Département
Tarn
Arrondissement
Castres
Intercommunalité
Communauté de communes des Monts de Lacaune et de la Montagne du Haut Languedoc
Maire Mandat
Claude Aninat 2020-2026
Code postal
81320
Code commune
81023
Démographie
Gentilé
Barrois
Population municipale
208 hab. (2019 )
Densité
14 hab./km2
Géographie
Coordonnées
43° 45′ 10″ nord, 2° 49′ 37″ est
Altitude
930 m Max. 1 065 m
Superficie
15,07 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Lacaune (commune de la couronne)
Élections
Départementales
Canton des Hautes Terres d'Oc
Législatives
Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Barre
Géolocalisation sur la carte: France
Barre
Géolocalisation sur la carte: Tarn
Barre
Géolocalisation sur la carte: Occitanie
Barre
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Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le Viau, le ruisseau de Grelle et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional du Haut-Languedoc, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Barre est une commune rurale qui compte 208 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 530 habitants en 1881. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Lacaune. Ses habitants sont appelés les Barrois ou Barroises.
Géographie
Localisation
Commune située à la pointe est du département du Tarn, Barre est limitrophe du département de l'Aveyron.
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par le Viau et le ruisseau de Grelle et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 14 km de longueur totale[3],[Carte 1].
Le Viau, d'une longueur totale de 16,7 km, prend sa source dans la commune et s'écoule vers le sud. Il traverse la commune et se jette dans la Vèbre à Nages, après avoir traversé 4 communes[4].
Réseaux hydrographique et routier de Barre.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat semi-continental», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[5].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 9,4°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 4,9 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 0 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,7 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 5,6 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Belmont Limou», sur la commune de Belmont-sur-Rance, mise en service en 1987[10] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[11],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,6°C et la hauteur de précipitations de 748,4 mm pour la période 1981-2010[12].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Millau», sur la commune de Millau, dans le département de l'Aveyron, mise en service en 1964 et à 43 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 10,7°C pour la période 1971-2000[14], à 10,9°C pour 1981-2010[15], puis à 11,3°C pour 1991-2020[16].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[17],[18].
La commune fait partie du parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[19]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[20],
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[21]:
les «bois de Melou et de Gipoul» (231ha), couvrant 2 communes dont une dans l'Aveyron et une dans le Tarn[22].
Urbanisme
Typologie
Barre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[23],[I 1],[24].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lacaune, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,2% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,3%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
prairies (66,6%), zones agricoles hétérogènes (28,6%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,8%), zones urbanisées (1,5%), forêts (0,4%)[25].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Barre est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier: le risque de radon[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Viau. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[28]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2014[29],[26].
Barre est exposée au risque de feu de forêt. En 2022, il n'existe pas de Plan de Prévention des Risques incendie de forêt (PPRif). Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 7],[30].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Barre.
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[31]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 31% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (76,3% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 180 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 76 sont en en aléa moyen ou fort, soit 42%, à comparer aux 90% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[32],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[33].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[34].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Barre est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[35].
Toponymie
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À rapprocher du gaulois *barr- qui a dû signifier "barrière, obstacle" d'où « escarpement rocheux, à-pic, falaise », de la racine pré-indo-européenne *bal/*bar, même sens.
Baro ou Bàrro en occitan alpin a le sens de vire, « bande de terrain de forme allongée ».
En ancien occitan barra signifie «droit de circulation dont le produit est
affecté à l'entretien des routes et emplacement où se trouve l'habitation du
fermier levant le droit de barre»[36].
Histoire
Cabannes et Barre forment deux communes distinctes en 1790, aussitôt réunies jusqu'en 1900.
Le décret du scinde la commune en deux communes: Barre et Moulin-Mage.
En 1790, la commune comprenait deux paroisses: Notre-Dame de Barre et Saint-Hilaire de Cabannes qui faisaient partie du diocèse de Castres.
La paroisse de Notre-Dame de Moulin-Mage est créée le .
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[39].
En 2019, la commune comptait 208 habitants[Note 8], en augmentation de 2,97% par rapport à 2013 (Tarn: +2,07%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 336
1 092
1 233
1 272
1 282
1 447
1 476
1 437
1 453
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 415
1 372
1 402
1 434
1 451
1 530
1 475
1 452
1 371
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
646
589
571
551
514
501
459
439
373
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
362
384
369
286
257
215
211
210
202
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
207
208
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 88 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 207 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 250 €[I 4] (20 400 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 110 personnes, parmi lesquelles on compte 83,6% d'actifs (78,2% ayant un emploi et 5,5% de chômeurs) et 16,4% d'inactifs[Note 10],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Lacaune, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 9]. Elle compte 54 emplois en 2018, contre 51 en 2013 et 54 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 88, soit un indicateur de concentration d'emploi de 61,3% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,4%[I 10].
Sur ces 88 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 43 travaillent dans la commune, soit 49% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 63,6% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 20,5% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 15,9% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
14 établissements[Note 11] sont implantés à Barre au [I 13].
Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 50 % du nombre total d'établissements de la commune (7 sur les 14 entreprises implantées à Barre), contre 13% au niveau départemental[I 14].
Agriculture
La commune est dans les Monts de Lacaune, une petite région agricole située dans le sud-est du département du Tarn. Entre bocages et forêt, cette zone est dédiée à l’élevage de ruminants de races à viande ou laitières. Sur les plus hauts plateaux, de nombreux élevages de brebis laitières produisent le lait destiné à la fabrication du roquefort[42]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 5].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 41 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 28 en 2000 puis à 15 en 2010[44] et enfin à 15 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 63% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 58% de ses exploitations[45],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 1432 ha en 1988 à 1443 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 35 à 96 ha[44].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Statue-menhir de Cantoul.
Statue-menhir de Cantoul.
Statue-menhir de Combeynard.
Statue-Menhir de la Reche de Combeynard (selon les auteurs). Servait de ponceau sur un ruisseau.
Menhir de la Croix de la Barraque de Muratel. Déplacé dans la cour de la mairie de Barre dans les années 1980.
Menhir du Plo de la Matte, dit aussi Menhir de Fabet ou Menhir de Las Roques. Il y en aurait trois, selon les auteurs.
Le maréchal Soult, de passage à Barre en 1815, de retour de Waterloo, a dû fuir précipitamment de l'auberge Tabaries, devant laquelle la foule manifestait son hostilité.
Auberge Tabaries.
Vie pratique
Service public
Enseignement
Culture
Activités sportives
Écologie et recyclage
Pour approfondir
Bibliographie
Lucien Aguié, Le Débutant. Barre avant la Guerre, Nages, Centre de recherches du patrimoine de Rieumontagné,
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[43].
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Xavier Gouvert - "Problèmes et méthodes en toponymie française. Essai de linguistique historique sur les noms de lieux du Roannais" (thèse, Paris IV, oct. 2008)
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