Bargny est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
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Bargny | |
![]() L'église Saint-Denis. | |
Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Hauts-de-France |
Département | Oise |
Arrondissement | Senlis |
Intercommunalité | CC du pays de Valois |
Maire Mandat |
Martine Vanier 2020-2026 |
Code postal | 60620 |
Code commune | 60046 |
Démographie | |
Population municipale |
339 hab. (2019 ![]() |
Densité | 45 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 10′ 45″ nord, 2° 57′ 24″ est |
Altitude | Min. 105 m Max. 139 m |
Superficie | 7,54 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Nanteuil-le-Haudouin |
Législatives | [4e circonscription de l'Oise |
Localisation | |
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Bargny est village picard périurbain situé sur le plateau du Valois-Multien, dans l'Oise et limitrophe de l'Aisne, à 9 km au sud-est de Crépy-en-Valois, 27 km à l'est de Senlis, 26 km au nord de Meaux, 56 km au nord-est de Paris et à 78 km à l'ouest de Reims, et est aisément accessible par la route nationale 2 (France métropolitaine).
La commune ne possède aucun cours d'eau permanent. À l'est, un vallon sec, débouchant à la ferme de la Clergie (Antilly), la sépare de la commune de Cuvergnon. À l'ouest de la route de Betz, un autre vallon sec, moins prononcé, a parfois causé des inondations dans le village.
Le territoire communal, dont l'altitude varue de 134 à 139 mètres, s'étend sur 754 ha, est exploité sous la forme de vastes exploitations agricoles et est presque entièrement déboisé..
Le village de Bargny se situe au centre de la commune. La RD 51 le traverse, constituant l'axe Betz (sud) - Ivors (nord-est). Deux routes vicinales, vers Ormoy-le-Davien et Antilly, la croisent au centre du village.
La station de chemin de fer la plus prochje est la Gare de Crépy-en-Valois, desservie par des trains TER Hauts-de-France, qui effectuent des missions entre les gares de Paris-Nord et de Laon ainsi qu'entre celles de Crépy-en-Valois et de Laon. C'est également une gare terminus de la ligne K du réseau Transilien Paris-Nord.
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Trumilly », sur la commune de Trumilly, mise en service en 1975[7] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 717,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Le Bourget », sur la commune de Bonneuil-en-France, dans le département du Val-d'Oise, mise en service en 1920 et à 45 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,1 °C pour 1991-2020[13].
Le bâti est disposé en ordre assez lâche, avec notamment un grand nombre de jardins, ainsi que trois mares. Il n'y a ni hameau, ni ferme isolée sur le territoire communal.
Bargny est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17],[18].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,9 %), forêts (9,6 %), zones agricoles hétérogènes (4,5 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 120, alors qu'il était de 114 en 2013 et de 106 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 94,9 % étaient des résidences principales, 0 % des résidences secondaires et 5,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,4 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Bargny en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 88,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (90,4 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].
Typologie | Bargny[I 1] | Oise[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 94,9 | 90,4 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 0 | 2,5 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 5,1 | 7,1 | 8,2 |
Louis Graves [21]donne les toponymes suivants : Brinnacum, Berenniacum (1138), Berniacum (1145), Branacum, Berinneium, Bernegium, Brinnagum (1144), Beriniacum (1202), Bergniacum, Berinniacum, Berigniacum, Beregniacum, Berriginacum, Barregniacum, Berrgniacum, Beringiacum, Britanicum, Berigneium, Barniacum ; Bargni, Bergni (1202), Beregni (1234).
Cette liste pose toutefois problème, dans la mesure où elle mélange des toponymes attestés pour le village de Bargny (les derniers) avec les toponymes liés à la villa royale de Brinnacum (les premiers) que Graves, à la suite de l'abbé Jean Lebeuf, localisait à Bargny.
Le territoire de Bargny se situait aux limites de la cité gauloise des Meldes, puis dans celles de l'évêché de Meaux, auquel il a appartenu jusqu'en 1791.
Ancien Régime
L'histoire de Bargny commence peut-être avec le Brinnacum, dont parle Grégoire de Tours à plusieurs reprises dans son Histoire des Francs[22]. Cette villa fut un des lieux favoris de résidence du roi mérovingien Clotaire Ier, ainsi que de son successeur Chilpéric Ier et de son épouse Frédégonde. L'abbé Jean Lebeuf[23] soutint la localisation de Brinnacum à Bargny, tandis que les commentateurs se divisaient entre plusieurs sites et que la majorité de ceux-ci optaient pour Braine (Aisne), dans le cadre d'une polémique qui dura tout le XIXe siècle.
Charlemagne ou son successeur Louis le Débonnaire fait don de la terre de Bargny à l'abbaye de Saint-Denis, qui la céde au Xe siècle aux seigneurs de Crépy. Bargny est alors le siège d'un "maire" (officier dépendant du seigneur), qui administrait de nombreuses paroisses et tenait ses audiences sous un orme, puis sur une pierre, près un noyer, devant l'église[24].
À partir de la première moitié du XIIe siècle, Bargny dépend de plusieurs établissements religieux. Le principal est l'abbaye Notre-Dame de Lieu-Restauré. À sa fondation, en 1145, le comte Raoul Ier de Vermandois, comte de Crépy, dote la nouvelle institution des dîmes de Bargny[25]. En 1238, à l'érection de Bargny en paroisse, l'évêque de Meaux attribue à l'abbaye Notre-Dame de Lieu-Restauré le droit de nommer le desservant[26]. Par ailleurs, en 1329, en tant que comte de Crépy, Philippe de Valois, roi de France depuis l'année précédente, donne à la chartreuse de Bourgfontaine les redevances qu'il percevait encore à Bargny[27]. D'autres établissements religieux étaient aussi possessionnés à Bargny. Cette situation dura jusqu'à la Révolution[28].
Époques moderne et contemporaine
Durant le XIXe siècle, la société rurale est très diversifiée. À côté de jardiniers, de petits agriculteurs, d'artisans, se trouvent déjà de gros cultivateurs, dont deux exploitent des surfaces de 325 et 150 hectares[21], sans doute héritiers des domaines religieux d'avant la Révolution française. Certains habitants ont alors leur célébrité : M. Morel, pépiniériste réputé[29], et M. Desouches, qui défriche et plante des terres incultes, et reçoit pour cela la médaille d'or de la Société royale et centrale d'agriculture en 1844[30].
Durant les premières semaines de la Première Guerre mondiale, Bargny se retrouve au cœur de la tourmente de la première bataille de la Marne. Les Allemands ne restent qu'une petite semaine à Bargny, où se déroulent de rudes combats les 7, 8 et [31]. Le village est pris, puis abandonné plusieurs fois. Le 10 septembre, « les villages (sont) dévastés, remplis de cadavres…, les meules brûlent encore »[32].
La commune se trouve dans l'arrondissement de Senlis du département de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Betz[33]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Nanteuil-le-Haudouin
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de l'Oise.
Bargny est membre de la communauté de communes du Pays de Valois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1996 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1792 | 1793 | Pierre-Jean Congy | ||
1793 | 1793 | Nicolas Roussin | officier public | |
1793 | 1795 | Rémy Dorion | officier public | |
1795 | 1800 | Pierre-Basile Pottier | agent municipal | |
1800 | 1815 | Éloi Lefevre | ||
1815 | 1831 | Guillaume-Victor Desouche | ||
1831 | 1836 | Zacharie Carriat | ||
1836 | 1843 | Joseph-Marie Morel | ||
1843 | 1854 | Honoré-Pierre-Antoine Moquet | ||
1854 | 1882 | Victor-François Triboulet | ||
1883 | 1887 | Alfred Triboulet | ||
1887 | 1889 | Léon Courtier | ||
1889 | mai 1892 | Albert-Anatole Triboulet | ||
mai 1892 | 1895 | Jean-Baptiste Albert Lamboi | ||
1895 | mai 1908 | Albert Triboulet | ||
mai 1908 | 1916 | Olivier Lebon | ||
décembre 1919 | 1923 | Louis Maillard | ||
mai 1924 | mai 1929 | Jules Blay | ||
mai 1929 | mai 1945 | Édouard Triboulet | ||
mai 1945 | mars 1971 | Pierre Bardin | ||
mars 1971 | mars 2001 | Jacques Triboulet | ||
mars 2001 | 2014 | Alain Bara | DVD | Cadre retraité |
2014[35] | En cours (au 2 décembre 2020) |
Martine Vanier | SE | Employée Réélue pour le mandat 2020-2026[36] |
En 2009, l'adduction en eau potable est réalisée à partir d'un captage situé à Cuvergnon[37].
La collecte et le traitement des déchets relève de la compétence de la communauté de communes du Pays de Valois[37].
En 2009, les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Betz et Antilly au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI). L'école de Bargny compte alors 25 élèves et un service de ramassage scolaire permet d'accéder aux autres établissements du groupement[37].
Ils poursuivent leur scolarité secondaire à Betz ou Crépy-en-Valois.
Le centre hospitalier le plus proche est celui de Crépy-en-Valois[37].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[39].
En 2019, la commune comptait 339 habitants[Note 8], en augmentation de 8,65 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
203 | 267 | 242 | 211 | 240 | 235 | 234 | 236 | 235 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
214 | 221 | 223 | 226 | 228 | 225 | 243 | 219 | 160 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
187 | 155 | 157 | 165 | 166 | 157 | 169 | 143 | 137 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2007 | 2012 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
135 | 160 | 158 | 177 | 207 | 215 | 253 | 258 | 308 |
2017 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
332 | 339 | - | - | - | - | - | - | - |
Selon le rapport de présentation du PLU de Bargny, « Entre 1968 et 1999, la tendance démographique de Bargny a été supérieure à celle enregistrée pour le département de l’Oise. Par contre, elle fut bien moindre que celle du canton de Betz qui a connu un accroissement considérable.
La commune a donc connu une croissance démographique régulière mais relativement modérée.
Depuis 1999, la situation a sensiblement changé et la commune connaît une croissance démographique sans précédent, due aux soldes migratoire et naturel positifs (solde naturel = +20, solde migratoire = +23)[37] ».
En 1999, « L’analyse de la population active de plus de 15 ans ayant un emploi par C.S.P. indique clairement une nette dominance des ouvriers et des employés sur le territoire communal. Ils représentent 62% des actifs occupés[37] ».
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 43,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 13,2 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 161 hommes pour 173 femmes, soit un taux de 51,8 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,0 | 90 ou + | 0,0 |
3,1 | 75-89 ans | 1,7 |
11,9 | 60-74 ans | 9,9 |
20,0 | 45-59 ans | 16,9 |
22,5 | 30-44 ans | 27,3 |
10,0 | 15-29 ans | 18,0 |
32,5 | 0-14 ans | 26,2 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,5 | 90 ou + | 1,3 |
5,3 | 75-89 ans | 7,5 |
15,1 | 60-74 ans | 15,8 |
20,9 | 45-59 ans | 20,1 |
19,5 | 30-44 ans | 19,4 |
17,9 | 15-29 ans | 16,5 |
20,8 | 0-14 ans | 19,4 |
Bargny est un village à l’économie peu développée possédant un caractère essentiellement résidentiel, comme de nombreuses communes rurales en Picardie[37].
En 2000, la commune compte 4 exploitations agricoles, dont 3 exploitées à titre professionnel, et la surface agricole utilisée est de 635 hectares[37]
L’église Saint-Rémy occuperait l’emplacement de la chapelle du palais mérovingien de Brinnacum et n’a été érigée en église paroissiale qu’en 1238. Elle conserve les restes d'une abside ronde du XIIe siècle, avec une fenêtre en plein cintre basse et murée, dotée d'un cordon de billettes. L'église a été fortement remaniée aux XVIe et XVIIe siècles[43] et restaurée en 1996[44],[45].