world.wikisort.org - France

Search / Calendar

Asnières-sur-Seine (prononcé /a.njɛʁ.syʁ.sɛn/), anciennement Asnières jusqu'au , est une commune française du département des Hauts-de-Seine en région Île-de-France.

Asnières-sur-Seine

L'hôtel de ville.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Hauts-de-Seine
Arrondissement Nanterre
Intercommunalité Métropole du Grand Paris
EPT Boucle Nord de Seine
Maire
Mandat
Manuel Aeschlimann
2020-2026
Code postal 92600
Code commune 92004
Démographie
Gentilé Asniérois
Population
municipale
87 143 hab. (2019 )
Densité 18 079 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 54′ 39″ nord, 2° 17′ 20″ est
Altitude Min. 22 m
Max. 43 m
Superficie 4,82 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Cantons d'Asnières-sur-Seine et de Courbevoie-1
Législatives 2e circonscription des Hauts-de-Seine
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Asnières-sur-Seine
Géolocalisation sur la carte : France
Asnières-sur-Seine
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-Seine
Asnières-sur-Seine
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Asnières-sur-Seine
Liens
Site web asnieres-sur-seine.fr

    Géographie



    Communes limitrophes et localisation


    La commune est située sur la rive gauche de la Seine dans la banlieue nord-ouest de Paris.

    Communes limitrophes de Asnières-sur-Seine
    Colombes Gennevilliers
    Bois-Colombes Saint-Ouen-sur-Seine
    Courbevoie Levallois-Perret Clichy

    Géologie et relief


    La superficie de la commune est de 482 hectares ; l'altitude varie de 22 à 43 mètres[1].

    Son territoire est dépourvu de relief. Les anciens bras de la Seine ont été remblayés à la fin du XXe siècle lors du prolongement de la ligne 13 du métropolitain et la construction du nouveau pont de Clichy, entraînant la disparition des deux îles parallèles : île des Ravageurs (dénommée aussi île de la Recette), souvent citée dans les romans d'Eugène Sue, et l'île Robinson qui porte le nom du célèbre héros de Daniel Defoe.

    Les bords de Seine sont construits sur des terrains sableux humides, et la plupart des immeubles près du bord de Seine n'ont que des demi-sous-sols uniquement dans la couche de remblais, jouant le rôle de vide sanitaire. Le terrain est meuble, et suit des mouvements périodiques liés au niveau d'assèchement des nappes humides de l'ancien fond marécageux désormais souterrain.

    Les constructions récentes en bord de Seine ont des sous-sol profonds qui nécessitent des pompages incessants durant chaque chantier, ce qui accentue les mouvements de terrains environnants quand les nappes voisines se vident. Ces constructions nécessitent des fondations en béton armé précontraint, munies de poutres de soutien des murs de sous-sol pour retenir la poussée des terrains environnants, particulièrement en période de sécheresse. Ces constructions récentes en bord de Seine ont posé des problèmes aux constructions voisines plus anciennes, à cause des mouvements de terrain nettement plus importants que ceux pour lesquels ils avaient pourtant été prémunis.[réf. nécessaire]

    Le territoire de la commune comprend trois anciennes îles : île des Ravageurs (dénommée aussi île de la Recette), île Robinson et île Vailard.


    Climat


    Étant donné sa proximité avec Paris, le climat n'est guère différent de celui de la capitale.


    Voies de communication et transports



    Voies fluviales

    En dehors du petit port fluvial sur la Seine au sud, à l'usage de la navigation de loisirs, et rattaché au port autonome de Paris, la ville possède une zone portuaire à caractère industriel au Nord de la ville sur la boucle suivante de la Seine. Cette zone permet les échanges de matériaux pesants, notamment de construction, dont les coûts de transport sont très élevés et que seule la navigation fluviale permet d'acheminer en grande quantité pour Paris et sa couronne immédiate.


    Voies routières

    La circulation automobile à Asnières est difficile[réf. nécessaire]. L'essentiel du trafic se fait en bord de Seine autour de la ville. La traversée du pont d'Asnières est excessivement pénible aux heures de pointe. La Grand rue Charles-de-Gaulle puis l'avenue d'Argenteuil sont également difficilement praticables car desservant Bois-Colombes et les communes du nord. De plus la ville dispose de très peu de places de stationnement, et les garages et places de parkings privés sont très convoités, rares et chers.

    À la suite d'un plan d'aménagement mis en place de 2010 à 2013[2], les rues de la ville étant à sens unique sont devenues praticables dans les deux sens pour les vélos.


    Transports en commun

    La ville dispose d'une desserte variée de transports publics.

    La desserte par le train et le bus se situe en zone 3 des transports en commun d'Île-de-France.


    Urbanisme



    Typologie


    Asnières-sur-Seine est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[6] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[9],[10].


    Morphologie urbaine


    Parc Voyer-d'Argenson.
    Parc Voyer-d'Argenson.

    L’Insee découpe la commune en sept « grands quartiers » soit Bécon-Flachat, Champs-Magenta, Alma-Philosophes, Mairie, Grésillons, Renoir-Métro et Nord, eux-mêmes découpés en 32 îlots regroupés pour l'information statistique[11].

    Occupation des sols en 2003
    Type d'occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Espace urbain construit 86,60 % 424,31
    Espace urbain non construit 8,36 % 40,94
    Espace rural 5,05 % 24,73
    Source : Iaurif[12]

    Les environs du château d'Asnières (légué à la ville au XXe siècle), non loin de l'actuel hôtel de ville, sont un secteur protégé au plan de l'urbanisme, car le château est à l'inventaire des monuments historiques. Cependant, il a été laissé à l'abandon durant des décennies, au point que celui-ci n'était même plus accessible au public, et que son ancien parc a presque totalement disparu sous la pression immobilière des années 1960. Il a été rénové dans les années 2000 et est à présent ouvert au public.

    Quelques parcs sont situés en centre-ville (parc Joffre, parc Voyer-d'Argenson, parc de l'Île Robinson sur les quais, square des Impressionnistes, square Leclerc près de la mairie).


    Habitat


    La cité-jardin des Grésillons.
    La cité-jardin des Grésillons.

    Au 100 avenue des Grésillons, 730 logements sociaux environ dans des immeubles en brique rouge, séparés par des espaces verts ont été construits en 1934 sur les anciens champs d'épandage par l'office d'HBM de la Seine qui avait engagé une politique de constructions de cités-jardins.

    L'immeuble des Gentianes a été détruit en juillet 2011. Construits en 1967, les 317 logements HLM seront remplacés par des équipements sportifs, une maison des loisirs et de la culture, une maison des femmes et un nouveau local pour la police municipale.

    Asnières-sur-Seine est fortement urbanisée, c'est une ville principalement résidentielle où alternent maisons de ville, pavillons et immeubles d'habitation. Toutefois l'urbanisation du Sud de la Ville (près de Courbevoie et Colombes, dans le quartier de Bécon-les-Bruyères) est nettement plus ancienne que les quais immédiats de la Seine (dont l'urbanisation date seulement du début du XXe siècle sur les terrains de l'ancien parc du château de la ville en bord de Seine).

    Logements[13]Nombre en 2007 % en 2007nombre en 2012 % en 2012nombre en 2017 % en 2017
    Total41 088100 %41 853100 %42 925100 %
    Résidences principales35 73587,0 %36 73387,8 %37 63787,7 %
    → Dont HLM6 76018,9 %7 03419,1 %7 11118,9 %
    Résidences secondaires et
    logements occasionnels
    1 0582,6 %1 1942,9 %1 0722,5 %
    Logements vacants[Note 3]4 29510,5 %3 9269,4 %4 2169,8 %
    Dont :
    → maisons3 8809,4 %3 6558,7 %3 6438,5  %
    → appartements36 38888,6  %37 60889,9 %38 76490,3 %

    La commune ne respecte pas les dispositions de l'article 55 de la Loi SRU, qui prescrit qu'Asnières doit disposer d'au moins de 25 % de logements sociaux. De ce fait, la commune est astreinte au paiement d'une pénalité financière, qui s'est élevée à 400 000  en 2018 et 780 000  en 2019 et a été déclaré en « état de carence » de 2018 à 2019, ce qui signifie que le préfet délivrait les permis de construire et exerçait, s'il y avait lieu, le droit de préemption urbain afin de développer l'offre de logement social[14]. La commune a en effet fait preuve d'un grand volontarisme en remplissant les objectifs triennaux 2017-2019 fixés par l'état pour parvenir à respecter les objectifs légaux[15].


    Nouveaux aménagements



    La ZAC Asnières-Bords de Seine

    La ZAC Asnières-Bords de Seine (2009) est bordée au nord par l'avenue des Grésillons et sa gare RER C, à l'ouest par les rues Pierre-et-Marie-Curie et au sud par le quai Aulagnier. Dans le cadre du renouvellement urbain d’Asnières et en accord avec les fondamentaux du développement durable, la ZAC accueille un quartier mixte comprenant un parc de 7 000 m2, 800 logements, une résidence hôtelière, un groupe scolaire, 1 500 m2 de commerces de proximité et deux immeubles de bureaux : O2 (23 420 m2) et Front Office 92 (23 470 m2 – HQE Exploitation). À terme, une crèche, un gymnase, des terrains de sport de plein air, une résidence étudiante et une pépinière d’entreprises compléteront cet ensemble urbain.


    La ZAC Parc d'Affaires

    D’une superficie de 15 hectares, la ZAC Parc d’affaires se situe en bordure de la ZAC Asnières-Bords de Seine. Ce secteur en mutation se caractérise par son orientation développement durable et la réalisation d’une mixité urbaine. Il prolonge et complète la modernisation du tissu économique de l’est de la commune. Elle accueillera un écoquartier proposant espaces verts, logements, bureaux et commerces et assurera la continuité urbaine entre le centre-ville et Bords de Seine.

    Le projet comprend :


    La ZAC PSA - Quartier de Seine Est

    Situé à l’entrée est d’Asnières et jouxtant la ZAC Bords de Seine, cet ancien site industriel de 7 ha (Ford puis Citroën) offre un potentiel de développement économique important. En mêlant la restructuration de bâtiments existants comme l’aménagement de nouveaux bureaux, le projet met en avant une gestion équilibrée de l’espace tout en gardant son patrimoine industriel hérité de l’histoire de la construction automobile. Toutes les fonctions urbaines s’y retrouvent : activités économiques, commerces, équipements, espaces verts, habitat.

    Le projet comprend :


    Le renouvellement urbain des Hauts d'Asnières

    Depuis 2008, le quartier des Hauts d'Asnières bénéficie d’un vaste programme de rénovation urbaine : requalification des espaces collectifs et publics, redistribution des équipements publics et commerciaux, reconstitution d’un nouveau quartier et revitalisation des polarités commerciales existantes. De nouveaux logements, commerces et bureaux seront livrés entre 2011 et 2016 et seront desservis par le prolongement de la ligne 1 du tramway d'Île-de-France jusqu'aux Courtilles qui, relié au terminus de la ligne 13 du métro et bénéficiant du redéploiement du réseau de bus, constitue à présent un pôle multimodal.


    Le quartier des Philosophes

    Situé au cœur historique de la ville d’Asnières, le long du boulevard Voltaire puis de l’avenue Gabriel-Péri, le quartier des Philosophes est en mutation notamment la place Voltaire (en pleine aménagements de la voirie et des espaces publics, démolition/reconstruction, nouveaux commerces). Ce renouvellement contribue à la requalification de l’entrée de ville située entre le pont de Clichy et Gennevilliers.


    L'aménagement des berges de Seine

    Dans la démarche d’ouverture de la ville sur la Seine souhaitée par le département dans le cadre du schéma d’aménagement et de gestion durables de la Seine et inscrite dans le plan local d'urbanisme (PLU), les berges de Seine seront réaménagées d’ici 2015 : promenade piétonne et cyclable continue sur l’ensemble du linéaire des berges de Seine et valorisation de la façade sur Seine.


    Toponymie


    Le nom de la commune fut Anières puis Asnières-Saint-Marcel et Asnières avant de devenir Asnières-sur-Seine le [16], nom conservé depuis[17].

    Son nom proviendrait des nombreux haras d'ânes (asinaria, asneria en latin) présents sur son territoire, et ayant été employés à la construction de l'abbaye de Saint-Denis, voire des ânes utilisés pour transporter les sacs de farine, en provenance des moulins de Sannois et d'Argenteuil, à travers la plaine de Gennevilliers.[réf. nécessaire]


    Histoire


    Articles détaillés : Histoire des Hauts-de-Seine et Histoire de l'Île-de-France.

    Asnières a une histoire commune avec la commune de Gennevilliers.

    Siège de Paris (1870) : Pont de bateaux à Asnières en remplacement du pont détruit.
    Siège de Paris (1870) : Pont de bateaux à Asnières en remplacement du pont détruit.
    Un jour de régates au bord de la Seine à Asnières, dessin de P. Merwart.
    Un jour de régates au bord de la Seine à Asnières, dessin de P. Merwart.
    Seurat : Une baignade à Asnières. 1884.
    Seurat : Une baignade à Asnières. 1884.
    Le restaurant de la Sirène par van Gogh. 1887.
    Le restaurant de la Sirène par van Gogh. 1887.
    Ancienne Mairie d'Asnières.
    Ancienne Mairie d'Asnières.
    La « nouvelle » poste de 1904 et les tramways.
    La « nouvelle » poste de 1904 et les tramways.
    Crue de la Seine de 1910 rue Dusseau à Asnières.
    Crue de la Seine de 1910 rue Dusseau à Asnières.
    Autre vue de la crue de 1910, rue de Normandie.
    Autre vue de la crue de 1910, rue de Normandie.

    Politique et administration



    Rattachements administratifs et électoraux


    Rattachements administratifs

    Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[24], la commune faisait partie du département de la Seine. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Hauts-de-Seine et à son arrondissement de Nanterre après un transfert administratif effectif au .

    Elle faisait partie entre 1801 et 1893 du canton de Courbevoie, année où elle devient le chef-lieu du canton d'Asnières-sur-Seine de la Seine. Lors de la mise en place des Hauts-de-Seine, la commune est répartie entre les cantons d'Asnières-Nord et d'Asnières-Sud[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, depuis 2014 une première partie de la commune constitue le canton d'Asnières-sur-Seine, la seconde fait partie de celui de Courbevoie-1.

    Articles détaillés : Liste des cantons des Hauts-de-Seine, Conseil départemental des Hauts-de-Seine et Liste des conseillers départementaux des Hauts-de-Seine.

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription des Hauts-de-Seine.

    Articles détaillés : Liste des circonscriptions législatives des Hauts-de-Seine et Liste des députés des Hauts-de-Seine.

    Intercommunalité


    La ville n'était membre d'aucune intercommunalité à fiscalité propre jusqu'en 2016.

    Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre[26].

    La Loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (NOTRe) du 7 août 2015 prévoit également la création de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la métropole, constituées d'ensembles de plus de 300 000 habitants, et dotées de nombreuses compétences, les établissements publics territoriaux (EPT).
    La commune a donc également été intégrée le à l'établissement public territorial Boucle Nord de Seine[27].

    Articles détaillés : métropole du Grand Paris, établissement public territorial et établissement public territorial Boucle Nord de Seine.

    Tendances politiques et résultats


    Le système mis en place par Manuel Aeschlimann, maire de 1999 à 2008, a été épinglé pendant plusieurs années par les médias. L'Express notamment parle de : « guérilla judiciaire », « esprit de famille », « occupation du terrain sans relâche » (par une communication outrancière), « discrédit des adversaires », communautarisme, mises en examen, condamnations pour diffamation, affaire de favoritisme[28]

    Ce contexte, allié à la poussée nationale de la gauche, a conduit à un changement de majorité lors des élections municipales des 9 et au profit d'une inédite coalition PS, Les Verts, Modem, divers droite. Le socialiste Sébastien Pietrasanta a remporté l'élection avec 51,86 % des voix au second tour. Un an plus tôt, Nicolas Sarkozy (UMP) avait réalisé un score de 53,61 % au deuxième tour de l'élection présidentielle sur la ville d'Asnières.

    En 2012, la ville a suivi la tendance nationale, en votant à 52,28% pour François Hollande au deuxième tour[29].

    Aux législatives de la deuxième circonscription des Hauts-de-Seine, qui couvre aussi le canton de Colombes-Sud, Sébastien Pietrasanta a été élu en 2012 avec 54,28% des suffrages exprimés sur la commune[30].

    Lors des élections municipales de 2014 dans les Hauts-de-Seine, la liste menée par Manuel Aeschlimann est élue en 2014 avec 50,1% des voix, avec 70 voix d'avance sur la liste menée par le maire sortant Sébastien Pietrasanta.

    Article connexe : Élections municipales de 2014 dans les Hauts-de-Seine.

    Toutefois, le Conseil d’État annule le 11 mai 2015 ces élections, en raison de « pressions » à voter UMP aux abords de plusieurs bureaux de vote, ainsi que pour les villes de Clichy et de Puteaux, deux autres communes du département des Hauts-de-Seine[31],[32],[33].

    De nouvelles élections ont lieu les 14 et 21 juin 2015 : la liste conduite par Manuel Aeschlimann obtient 47,42 % des suffrages exprimés à l'issue du premier tour[34] puis 56,7 % des suffrages exprimés au second tour[35],[36],[37] ce scrutin étant marqué par une très forte abstention.

    Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans les Hauts-de-Seine, la liste LR-SL-UDI menée par le maire sortant Manuel Aeschlimann obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 10 924 voix (56,62 %, 44 conseillers municipaux élus dont 2 métropolitains), devançant largement les listes menées par[38] :

    L'abstention s'est élevée à 57,67 %. La contestation des résultats de l'élection a été rejetée par le tribunal administratif de Cergy[39]

    Article connexe : Élections municipales de 2020 dans les Hauts-de-Seine.

    Administration municipale


    Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 80 000 et 99 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 53[40].


    Liste des maires


    Article détaillé : Liste des maires d'Asnières-sur-Seine.
    Liste des maires successifs depuis la Libération de la France
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 1945 Jacques Rehault (dit Jacquin)   Ingénieur[41]
    Président du comité local de libération[42]
    1945 1947 Charles-Louis Froideval   Industriel[43]
    1947 1959 Jean-Auguste Huet   Docteur en médecine[44]
    1959 1994 Michel Maurice-Bokanowski[45] UNR puis UDR puis RPR Député de la Seine (1951 → 1959)
    Ministre (1959 → 1966)
    Sénateur des Hauts-de-Seine (1968 → 1994).
    1994 1999 Jean-Frantz Taittinger[45] RPR Maître de conférences à l'IEP-Paris
    Député des Hauts-de-Seine (2e circ.) (1993 → 2002).
    1999 2008[46],[47],[48] Manuel Aeschlimann UMP Conseiller général d'Asnières-sur-Seine-Sud (1994 → 2002)
    Député des Hauts-de-Seine (2e circ.) (2002 → 2012)
    2008[46] avril 2014 Sébastien Pietrasanta PS Député des Hauts-de-Seine (2e circ.) (2012 → 2017)
    avril 2014 En cours
    (au 10 décembre 2020[39])
    Manuel Aeschlimann UMP → LR Maître de conférences à l'IEP-Paris
    Vice-président de la Métropole du Grand Paris (2016 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026 [49]

    Politique de développement durable


    Cette section doit être actualisée.
    Des passages de cette section sont obsolètes ou annoncent des événements désormais passés. Améliorez-la ou discutez-en.
    Raison : Qu'a-t-il été réalisé depuis 2005 ?

    La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2005[50].


    Finances locales


    Pour l'exercice 2019, le compte administratif du budget municipal d’Asnières-sur-Seine s'établit à 181,7 millions d’euros en dépenses et 196,6 millions d’euros en recettes[51].


    Fonctionnement

    En 2019, les charges réelles de fonctionnement s’élèvent à 102 648 000  soit 1 184  par habitant (1 377  en moyenne pour les villes de la même strate démographique). Les recettes réelles atteignent quant à elles 124 585 000  soit 1 437  par habitant (1 596  par habitant pour les villes de même strate)[51].

    Le principal pôle de dépenses en section de fonctionnement est celui des charges de personnels pour une valeur de 57 356 000  (56 %) soit 662  par habitant (le ratio des villes de la même strate étant de 813  par habitant)[51]. Entre 2014 et 2021, la masse salariale a été réduite de 3,5 %[51]. Les achats et charges externes constituent également un important pôle de dépense qui s'établit à hauteur de 29 551 000 [51]. Ce second poste a été réduit de 26% entre 2014 et 2019, en baissant de plus de 10 millions[51].

    La plus grande part des recettes de fonctionnement est constituée des taxes et impôts locaux qui concourent à hauteur de 65 727 000  au budget, représentant 758  par habitant (796  pour les villes de la même strate)[51]. La dotation globale de fonctionnement versée par l'État à la ville s'établit à 8 164 000  en 2019 et a donc baissé de plus de 67% depuis 2014, elle s'établissait alors à 25 154 000 [51].

    Les taux de la taxe d'habitation et de la taxe foncière ont connu une hausse de 17,1% en 2009[52], avant de baisser de 0,9% en 2014 pour rester totalement stables jusqu'en 2019[51].

    Ils sont fixés ainsi[51] :

    La ville applique un abattement familial dérogatoire ainsi que deux abattements facultatifs de 10% au profit des personnes de condition modeste et au profit des personnes en situation de handicap pour la taxe d'habitation.


    Investissement

    En 2019, les dépenses d'investissement comprennent par ordre d'importance :

    Les dépenses d'équipement pour une valeur de 48 110 000 , soit 555  par habitant (contre 406  en moyenne dans la strate). Entre 2014 et 2019, les dépenses d'équipement ont progressé de 153%[51].

    Les remboursements d’emprunts représentent 7 070 000 , soit 82  par habitant (contre 135  en moyenne dans la strate).

    Les ressources en investissement étaient constituées en 2019 :

    Capacité d'autofinancement par habitant (en euros)

    2019 2018 2017 2016 2015 201420132012201120102009200820072006200520042003200220012000
    Asnières-sur-Seine 253 195 186 181 139 105 1871611852121621261381601008779- 164937
    Moyenne de la strate 219 209 197 184 251 177 240251276254239207215251201210198179171192

    Dette locale

    La dette d'Asnières, importante, est au cœur des argumentations entre majorité et opposition. Elle se chiffre le 31 décembre 2018 à 175,472 millions d'euros[53].

    Cette dette est le résultat d'emprunts toxiques contractés envers la banque Dexia au début des années 2000[54] : en 2008, 93% de la dette provient d'emprunts toxiques (81% en 2010 et 67% en 2013)[55],[56],[57]. Cette situation contraint en 2009 le maire Sébastien Pietrasanta à augmenter les impôts locaux de 17%, une hausse historique. Au 31 décembre 2018, la part de ces emprunts toxiques a été réduite à 5%[58]. La commune n'a pas souscrit de nouvel emprunt en 2017, 2018 et 2019[51]. La ville jouit en 2019 d'une capacité d'autofinancement de 21 937 000 [51] et une capacité de désendettement de 7,2 ans, inférieure au seuil de criticité établi à 15 ans[59].

    Évolution de la dette en euros de 2000 à 2019[53] (le montant de la dette est pris au 31 décembre de l'année N)


    Jumelages


    Au 22 juin 2015, Asnières-sur-Seine est jumelée avec :

    Après 50 ans de jumelage en sommeil avec Berlin-Spandau, les maires des deux villes ont resigné le 9 mai 2009, jour de la fête de l'Europe, leur jumelage officiel.[réf. nécessaire]


    Population et société



    Démographie



    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[63],[Note 4]

    En 2019, la commune comptait 87 143 habitants[Note 5], en augmentation de 1,31 % par rapport à 2013 (Hauts-de-Seine : +2,07 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    3453343163865145567029251 186
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8223 2135 4556 2368 27811 35215 20319 57524 317
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    31 33636 48242 58349 60752 60963 65471 83172 27377 838
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    81 76880 11375 43171 07771 85075 83782 35183 37685 973
    2019 - - - - - - - -
    87 143--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[64].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 40,2 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (38,4 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 17,2 % la même année, alors qu'il est de 20,0 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 41 073 hommes pour 44 873 femmes, soit un taux de 52,21 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (52,41 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[65]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,5 
    4,0 
    75-89 ans
    5,8 
    10,7 
    60-74 ans
    11,7 
    17,6 
    45-59 ans
    17,9 
    25,2 
    30-44 ans
    24,5 
    20,6 
    15-29 ans
    19,6 
    21,3 
    0-14 ans
    18,9 
    Pyramide des âges du département des Hauts-de-Seine en 2018 en pourcentage[66]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90 ou +
    1,6 
    5,1 
    75-89 ans
    7,2 
    12 
    60-74 ans
    13,2 
    19,2 
    45-59 ans
    19,4 
    22,6 
    30-44 ans
    22,1 
    20,1 
    15-29 ans
    18,7 
    20,4 
    0-14 ans
    17,8 

    Enseignement


    Asnières-sur-Seine est située dans l'académie de Versailles.


    Établissements scolaires

    Élèves de l'institution Sainte-Agnès, v. 1930.
    Élèves de l'institution Sainte-Agnès, v. 1930.

    La ville administre 21 écoles maternelle publiques et 3 privées [67] ainsi que 16 écoles élémentaire publiques plus 3 privées [68].

    Le département gère quatre collèges publics (Malraux, Renoir, Truffaut et Voltaire), et trois privés (Sainte-Geneviève, Saint-Joseph et Chambertin)[69], dont le collège Malraux classé en zone d'éducation prioritaire (ZEP).

    La région Île-de-France gère trois lycées publics (le lycée professionnel de Prony, le lycée général et technologique Auguste-Renoir et le lycée d'enseignement adapté Martin-Luther-King) ainsi que le lycée général privé Sainte-Geneviève[70].

    Classement des lycées d'enseignement général et technologique à l'échelon national [71],[72],[73]:

    Lycée Sainte Geneviève: 99% de réussite au baccalauréat, 405e lycée sur 1872.

    Lycée Auguste Renoir: 86% de réussite au baccalauréat, 907e lycée sur 1872.

    Vie universitaire

    La ville a comporté un centre universitaire de l'Université de Paris III jusqu'à sa fermeture en 2012. Un nouveau quartier baptisé « Asnières-Université » - et comportant un collège - est en aménagement jusqu'en 2025.


    Manifestations cultuelles et festivités


    La ville organise tous les ans une journée du livre à l'occasion de laquelle sont invités plusieurs dizaines d'auteurs qui rencontrent ainsi leur public et procède à des dédicaces[74],[75].


    Santé


    La ville accueille l'Institut départemental Gustave-Baguer, établissement médico-social d'accueil et d'éducation des malentendants de 0 à 20 ans[76].

    Un centre municipal de santé a été inauguré dans le quartier des Mourinoux en 2018[77], afin de lutter contre le phénomène de désertification médicale en proposant des consultations en médecine générale et spécialisée (notamment en cardiologie, en endocrinologie, en gynécologie et en rhumatologie) ainsi que des soins dentaires, des prothèses, des soins infirmiers et de la kinésithérapie spécialisée en pédiatrie et urogynécologie[78].


    Sports


    Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?

    Depuis 2019, la commune est labélisée Terre de Jeux 2024, le label des territoires de Paris 2024[79].


    Équipements

    Outre la patinoire des Courtilles, la commune compte dix gymnases, six stades, un stand de tir, un skate park, un terrain de boules parisiennes et une piscine.


    Clubs


    Médias


    Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?

    Les services municipaux de la ville publient un mensuel d'informations nommé Asnières Infos. Il est tiré à 45 000 exemplaires et est destiné aux habitants de la ville. Le magazine est également publié sur le site de la ville.


    Cultes


    Les Asniérois disposent de lieux de culte catholique, juif, musulman, bouddhiste et des Témoins de Jéhovah.


    Culte catholique

    Vue de l'église Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours.
    Vue de l'église Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours.
    Article connexe : Paroisses des Hauts-de-Seine.

    Depuis janvier 2010, la commune d'Asnières-sur-Seine fait partie du doyenné de la Boucle-Nord, l'un des neuf doyennés du diocèse de Nanterre[82].

    Au sein de ce doyenné, les six lieux de culte relèvent des quatre paroisses[83] :

    S'y ajoute la Chapelle Saint-Charles d'Asnières-sur-Seine qui dépend de la paroisse de Saint-Maurice-de-Bécon à Courbevoie.


    Culte musulman

    L'association culturelle islamique d'Asnières-sur-Seine administre la mosquée El Hidaya.


    Témoins de Jéhovah

    L'association culturelle des Témoins de Jéhovah détient une Salle du Royaume située rue Adolphe Briffault.


    Économie



    Revenus de la population et fiscalité


    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 32 937 , ce qui plaçait Asnières-sur-Seine au 9 274e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[86].


    Emploi


    En 2018, l'INSEE comptait 57 737 asniérois âgés de 15 à 64 ans parmi lesquels se trouvaient 71% d'actifs ayant un emploi, 2,9% de retraités, 10,4% d'élèves, étudiants et stagiaires non rémunérés et 8,8% de chômeurs[87].

    La population active de la ville comptait en 2018, 15 agriculteurs exploitants, 2259 artisans commerçants et chefs d'entreprise, 17527 cadres et professions intellectuelles supérieures, 11049 professions intermédiaires, 10304 employés et 4295 ouvriers[87].


    Entreprises et commerces


    De nombreuses entreprises sont installées à Asnières-sur-Seine, notamment Lucas, Louis Vuitton, Lesieur, Medishop, Medistore (VPC professionnel santé), OCTÉ, Groupe PSA, Procter & Gamble…


    Culture locale et patrimoine



    Lieux et monuments


    Cinéma L'Alcazar.
    Cinéma L'Alcazar.
    La mairie d'Asnières.
    La mairie d'Asnières.

    La commune comprend de nombreux monuments répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel de la France[88].


    Patrimoine culturel



    Asnières et les arts plastiques

    Emile Bernard et Vincent van Gogh sur les berges de la Seine à Asnières (1886).
    Emile Bernard et Vincent van Gogh sur les berges de la Seine à Asnières (1886).

    De nombreux artistes, principalement impressionnistes, ont peint Asnières et ses rives : Emile Bernard, Claude Monet, Auguste Renoir, Georges Seurat, Paul Signac, Vincent van Gogh, etc.


    Asnières et la musique

    C'est la chorale des Petits Chanteurs d'Asnières qui donna naissance au groupe d'enfants stars des années 1970, les Poppys (5 000 000 de disques vendus). Elle est encore active aujourd’hui.

    L'ensemble vocal Artefonia réunit environ 70 choristes autour d'un répertoire classique français et international. Il donne des concerts plusieurs fois par an, souvent conjointement avec d'autres chorales et solistes parisiens[96].


    Asnières et les humoristes

    Asnières fut rendue célèbre par le sketch de Fernand Raynaud, le 22 à Asnières.

    C'est aussi dans cette ville qu'est né et a vécu l'humoriste et acteur François-Xavier Demaison.


    Asnières et la littérature

    Dans Viva Bertaga !, de San-Antonio, alors que le héros est réfugié dans une ambassade en Amérique du Sud, il prend le téléphone pour appeler les Services Secrets et tombe sur le 22 à Asnières.

    Dans Fleur de nave vinaigrette, de San-Antonio, le héros Bérurier compare la ville de Tokyo à Asnières, « mais un Asnières en papier ».

    Dans San-Antonio renvoie la balle, toujours du même auteur, l'écrivain fait un double jeu de mot : les assassins ont dû faire le 22, à part qu'on est à Colombes et pas à Asnières (faire le 22 signifie faire le guet en argot, et l'action se déroule au stade olympique de Colombes).

    Dans vie et mort d'un honnête homme (ISBN 979-8632555944), de Roméo Saint-H, le héros principal du roman réside dans un « Appart'hôtel du centre d'Asnières »[réf. souhaitée]


    Asnières et le cinéma


    Asnières et le théâtre


    Personnalités liées à la commune


    Article détaillé : Liste de personnalités liées à Asnières-sur-Seine.

    Héraldique


    Blason
    De gueules à la barque équipée et habillée d'argent voguant sur des ondes du même mouvant de la pointe, au chef d'or chargé de trois fleurs de chardon au naturel tigées et feuillées de sinople, au franc-quartier d'azur brochant, chargé de deux léopards couronnés d'or.
    Détails
    Par le dessin d'une barque à l'antique, le blason de la ville évoque sa vie fluviale. Des fleurs de chardon tigées et feuillées rappellent les ânes de temps révolus. Des léopards couronnés d'or sont empruntés aux armes du Marquis de Voyer d'Argenson, propriétaire du château d'Asnières. Le 27 mai 1952, la Croix de guerre est apposée au blason pour honorer les 772 victimes, militaires et civiles de la Seconde Guerre mondiale.

    Pour approfondir


    Sur les autres projets Wikimedia :


    Bibliographie



    Articles connexes



    Liens externes



    Notes et références



    Notes


    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les logements vacants comprennent notamment les logements neufs qui ne sont pas encore habités, ceux que leurs propriétaires laissent libres ou dans lesquels ils font réaliser des travaux, ou ceux qui sont libres entre deux ventes ou deux locations
    4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références


    1. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    2. http://www.mdb-idf.org/spip/spip.php?article982
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « Plan d'assemblage Grands Quartiers - IRIS 2000 – Asnières-sur-Seine », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    12. « Fiche communale d'occupation des sols », sur site de l'Institut d'aménagement et d'urbanisme de l'Île-de-France, (consulté le ).
    13. Tableaux LOG T2 et LOG T7, Recensement général de la population 2017, document mentionné en liens externes.
    14. Anne-Sophie Damecour (avec E. D et V.T.), « Hauts-de-Seine : neuf villes sanctionnées pour ne pas avoir assez construit de logements sociaux : Sur les 22 villes n’ayant pas atteint les 25 % de logements sociaux, neuf se voient aujourd’hui sanctionnées par l’Etat pour n’avoir pas respecté leurs objectifs de construction sur la période 2014-2016. », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne, consulté le ).
    15. Anne-Sophie Damecour, « Logement social : Asnières sort de la liste noire : La ville sort de la tutelle exercée par la préfecture depuis un an, car elle a programmé en douze mois plus que ses objectifs sur trois ans », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
    16. « Modifications de communes », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    17. « Code officiel géographique », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    18. Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris. Table analytique, Volume 3, par l'abbé Lebeuf
    19. Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris. Table analytique. Volume 3, par l'abbé Lebeuf
    20. Julien de Gaulle (préf. Charles Nodier), Nouvelle histoire de Paris et de ses environs : avec des notes et une introduction par M. Ch. Nodier, t. 5, Paris, P. M. Pourrat frères, , 586 p. (lire en ligne), p. 196.
    21. René Deflandre, Dictionnaire historique et géographique des voies publiques et privées d'Asnières-sur-Seine, p. 210, (ISBN 2-9508792-1-7).
    22. Excelsior du 8 janvier 1919 : Carte et liste officielles des bombes d'avions et de zeppelins lancées sur Paris et la banlieue et numérotées suivant leur ordre et leur date de chute sur Gallica.
    23. Excelsior du 22 mars 1915 : La visite des zeppelins sur Paris sur Gallica.
    24. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Décret n° 2015-1212 du 30 septembre 2015 constatant le périmètre, fixant le siège et désignant le comptable public de la métropole du Grand Paris, sur Légifrance
    27. Décret n° 2015-1658 du 11 décembre 2015 relatif à la métropole du Grand Paris et fixant le périmètre de l'établissement public territorial dont le siège est à Gennevilliers sur Légifrance.
    28. [PDF] L'Express du 28 septembre 2006 Spécial Asnières - Le système Aeschlimann, par Philippe Bidalon. Sur le site de L'Express
    29. Chiffres du Ministère de l'Intérieur, site consulté le 12 juillet 2013.
    30. Chiffres du Ministère de l'Intérieur, site consulté le 12 juillet 2013.
    31. « Élections municipales d'Asnières-sur-Seine (Hauts-de-Seine) : Le Conseil d’État annule les élections municipales d’Asnières-sur-Seine (Hauts-de-Seine) », Communiqués, Conseil d'Etat, (consulté le ).
    32. Tristan Quinault Maupoil, « Hauts-de-Seine : trois élections municipales annulées par le Conseil d'État », sur le site du quotidien Le Figaro, (consulté le ).
    33. AFP, « Asnières, Puteaux, Clichy... trois élections municipales annulées pour irrégularités », Le Monde, 115/5/2015 (lire en ligne).
    34. « Élection municipale 2015 : les résultats du 1er tour » [PDF], sur le site de la mairie, (consulté le ).
    35. AFP, « Municipales partielles dans les Hauts-de-Seine : la droite conserve Asnières et conquiert Clichy », FranceTV Info, (lire en ligne).
    36. Olivier Bureau, « À Asnières, Manuel Aeschlimann (LR) écrase Sébastien Pietrasanta (PS) », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne).
    37. « Manuel Aeschlimann élu maire d'Asnières », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne).
    38. Maxime Gil, « Municipales 2020. Asnières-sur-Seine : Manuel Aeschliman réélu maire : Les résultats du premier tour des élections municipales à Asnières-sur-Seine (Hauts-de-Seine) sont connus. Manuel Aeschliman est arrivé en tête dimanche 15 mars 2020. Les détails », Actu Hauts-de-Seine, (lire en ligne, consulté le ).
    39. A.-S.D., « Municipales 2020 : les recours contre les élections à Asnières, Boulogne et Neuilly rejetés : Le tribunal administratif de Cergy (Val-d’Oise) a rendu ses décisions, ce jeudi, donnant raison aux listes élues au premier tour le 15 mars dernier », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne, consulté le ).
    40. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    41. Les maires de Asnières-sur-Seine (Jacques Rehault), site de francegenweb.org
    42. Ville d’Asnières-sur-Seine / Culture et Patrimoine, asnieres-liban-amitie.fr
    43. Les maires de Asnières-sur-Seine (Charles-Louis Froideval), site de francegenweb.org
    44. Les maires de Asnières-sur-Seine (Jean-Auguste Huet), site de francegenweb.org
    45. Dominique Montvalon, « L'Homme de la semaine : Frantz Taittinger », L'Express, (lire en ligne, consulté le ).
    46. « Asnières: l'ex-député-maire Aeschlimann candidat UMP aux municipales », Le Nouvel Observateur, (lire en ligne, consulté le ).
    47. « Manuel Aeschlimann chassé d’Asnières », Le Parisien, Municipales 2008, (lire en ligne).
    48. « À Asnières-sur-Seine, le conseil d'Etat valide les élections : Manuel Aeschlimann, député UMP des Hauts-de-Seine, a bel et bien perdu les élections municipales à Asnières en mars 2008 », L'Express, (lire en ligne, consulté le ).
    49. « Compte-rendu analytique du conseil municipal du 27 mai 2020 », Le conseil municipal, Mairie d'Asnières-sur-Seine (consulté le ).
    50. Fiche | Agenda 21 de Territoires - Asnières-sur-Seine, consultée le 25 octobre 2017
    51. « Ccl-Loc - Recherche communes », sur www.impots.gouv.fr (consulté le )
    52. Par Le 17 janvier 2009 à 07h00, « Les impôts augmentent de 17 % à Asnières », sur leparisien.fr, (consulté le )
    53. Impot.gouv.fr, « Comptes individuels des collectivités - Asnières sur Seine » (consulté le ).
    54. « Asnières veut en finir avec les emprunts toxiques », sur leparisien.fr, Le Parisien, (consulté le ).
    55. Pauline Curtet, « Asnières-sur-Seine dans le cauchemar des emprunts toxiques », sur mediapart.fr, (consulté le ).
    56. « Comment Asnières a réussi à s'en sortir », sur leparisien.fr, (consulté le ).
    57. S.C., « Emprunts toxiques : Asnières va toucher 2 millions d'euros d'aides », sur batiactu.com, (consulté le ).
    58. « Débat d’orientations budgétaires 2019 Asnières », Mairie d'Asnières, (lire en ligne).
    59. « Plafonnement du niveau de dette des collectivités locales », sur Exfilo, (consulté le )
    60. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
    61. (en)Complete France
    62. (en)stocktonteesside.co.uk
    63. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    64. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    65. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Asnières-sur-Seine (92004) », (consulté le ).
    66. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département des Hauts-de-Seine (92) », (consulté le ).
    67. Mairie d'Asnières sur Seine, « Etablissements Scolaires - Open Data Hauts de Seine », sur Open Data des Hauts-de-Seine (consulté le ).
    68. Mairie d'Asnières-sur-Seine, « Etablissements Scolaires - Open Data Hauts-de-Seine » (consulté le ).
    69. « Collèges à Asnières-sur-Seine », sur le site du ministère de l’Éducation nationale (consulté le ).
    70. « Lycées à Asnières-sur-Seine », sur le site du ministère de l’Éducation nationale (consulté le ).
    71. « Le classement 2021 des lycées de Asnières-sur-Seine », sur LExpress.fr (consulté le )
    72. « Résultats du Lycée Sainte-Geneviève à Asnières-sur-Seine - Classement et Palmarès des Lycées 2021 - Le Parisien Etudiant », sur www.parisetudiant.com (consulté le )
    73. « Résultats du Lycée Auguste Renoir à Asnières-sur-Seine - Classement et Palmarès des Lycées 2021 - Le Parisien Etudiant », sur www.parisetudiant.com (consulté le )
    74. Par Victor Tassel « Ici et on peut vraiment échanger avec les auteurs » Le 22 octobre 2017 à 17h53, « Asnières : nouveau succès pour la journée du livre », sur leparisien.fr, (consulté le )
    75. Par Olivier Bureau Le 5 décembre 2019 à 17h21, « Asnières-Boulogne : les rois des pages tiennent salon ce week-end », sur leparisien.fr, (consulté le )
    76. « Institut Gustave Baguer », sur site de l'institut (consulté le ).
    77. « Asnières : le nouveau centre municipal de santé ouvre ce lundi », sur leparisien.fr, (consulté le )
    78. « Centre Municipal de Santé d'Asnières-sur-Seine, Centre de santé à Asnières-sur-Seine », sur www.doctolib.fr (consulté le )
    79. Par La rédaction des Hauts-de-Seine Le 27 décembre 2019 à 19h08 et Modifié Le 27 Décembre 2019 À 19h13, « 16 villes des Hauts-de-Seine prendront part aux JO 2024 », sur leparisien.fr, (consulté le )
    80. « Azur Tennis Club Asnieres », sur www.azur-tennis-club-asnieres.com (consulté le ).
    81. « MENIL (TC DU) - », sur www.club.fft.fr (consulté le ).
    82. « Carte des doyennés janvier 2010 », sur le site du diocèse de Nanterre (consulté le ).
    83. « Liste des paroisses des Hauts-de-Seine », sur le site du diocèse de Nanterre (consulté le ).
    84. « Page d'accueil », sur le site des paroisses de Sainte-Geneviève et Notre-Dame du Perpétuel Secours (consulté le ).
    85. « Page d'accueil », sur le site des paroisses de Bois-Colombes et Saint-Marc des Bruyères (consulté le ).
    86. « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    87. « Dossier complet − Commune d'Asnières-sur-Seine (92004) | Insee », sur www.insee.fr (consulté le )
    88. « Asnières-sur-Seine », base Mérimée, ministère français de la Culture.
    89. « http://www.asnieres-patrimoine.fr/ », sur Les Amis du Château et du Vieil Asnières (consulté le )
    90. « Les amis de l'orgue de Sainte Geneviève », sur aborgue.com (consulté le )
    91. « Grand Paris : une gare Lisch de toute beauté », sur leparisien.fr, (consulté le )
    92. L’hôtel de ville
    93. Église Saint-Joseph-des-Quatre-Routes Asnières-sur-Seine
    94. []
    95. « LE HOUELLEUR Yann (067) – Asnières-sur-Seine », sur asnieres-sur-seine.fr (consulté le )
    96. « ENSEMBLE ARTEFONIA », sur www.lacordevocale.org (consulté le )
    97. « Asnières : un film porno tourné dans la mairie », sur RTL.fr (consulté le )

    На других языках


    [de] Asnières-sur-Seine

    Vorlage:Infobox Gemeinde in Frankreich/Wartung/abweichendes Wappen in Wikidata

    [en] Asnières-sur-Seine

    Asnières-sur-Seine (French pronunciation: [anjɛʁ syʁ sɛn] (listen)) is a commune in the Hauts-de-Seine department and Île-de-France region of north-central France. It lies on the left bank of the river Seine, some eight kilometres from the centre of Paris in the north-western suburbs of the French capital. The inhabitants are called the Asniérois and the Asniéroises in French.[3]
    - [fr] Asnières-sur-Seine



    Текст в блоке "Читать" взят с сайта "Википедия" и доступен по лицензии Creative Commons Attribution-ShareAlike; в отдельных случаях могут действовать дополнительные условия.

    Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.

    2019-2025
    WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии