Arras-en-Lavedan[aʁas ɑ̃ lavdɑ̃] est une commune française située dans l'ouest du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la province du Lavedan, partie sud-occidentale de la Bigorre et constituée d'un ensemble de sept vallées en amont de la ville de Lourdes.
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Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le gave d'Azun, le gave d'Estaing, le ruisseau du Bergons et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le Parc national des Pyrénées, la commune possède un patrimoine naturel remarquable: un site Natura 2000 (le «moun Né de Cauterets, pic de Cabaliros») et cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Arras-en-Lavedan est une commune rurale qui compte 482 habitants en 2019. Elle est dans l'agglomération d'Argelès-Gazost et fait partie de l'aire d'attraction d'Argelès-Gazost. Ses habitants sont appelés les Arrasiens ou Arrasiennes.
Géographie
Localisation
Carte interactive d’Arras-en-Lavedan
Limite communale
Mairie
La commune d'Arras-en-Lavedan se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 31 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, et à 3 km d'Argelès-Gazost[2], sous-préfecture.
Sur le plan historique et culturel, Arras-en-Lavedan fait partie de la province historique du Lavedan, partie sud-occidentale de la Bigorre et constitué d'un ensemble de sept vallées en amont de la ville de Lourdes. Historiquement, elle fait partie de la province de Gascogne, et plus particulièrement du comté de Bigorre. La commune est dans le pays du val d'Azun, qui bute au nord sur le bassin de Lourdes, à l'est sur la vallée de l'Adour, au sud sur l'Aragon (Espagne) par le Balaïtous et, à l'ouest sur le Béarn (département des Pyrénées-Atlantiques, région Nouvelle-Aquitaine),[4].
La commune est dans le bassin de l'Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par le gave d'Azun, le gave d'Estaing, le Ruisseau du Bergons, le Bacherou, le ruisseau d'arribancie, le ruisseau de Banciole, le ruisseau de Bergouey, le ruisseau de Carasse, le ruisseau de Larrode et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 32 km de longueur totale[7],[Carte 1].
Le gave d'Azun, d'une longueur totale de 29,1 km, prend sa source dans la commune d'Arrens-Marsous et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Ayros-Arbouix, après avoir traversé 10 communes[8].
Le gave d'Estaing, d'une longueur totale de 18,2 km, prend sa source dans la commune d'Estaing et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Azun à Arras-en-Lavedan, après avoir traversé 4 communes[9].
Le Ruisseau du Bergons, d'une longueur totale de 15,6 km, prend sa source dans la commune d'Aucun et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Agos-Vidalos, après avoir traversé 10 communes[10].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat des marges montargnardes», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type «climat de montagne» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[12].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[11]
Moyenne annuelle de température: 11,9°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,9 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 4,5 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,1 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 9,4 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Ayros-Arbouix», sur la commune d'Ayros-Arbouix, mise en service en 1982[16] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[17],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,7°C et la hauteur de précipitations de 1 031,4 mm pour la période 1981-2010[18].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Tarbes-Lourdes-Pyrénées», sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 23 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 12,2°C pour la période 1971-2000[20], à 12,6°C pour 1981-2010[21], puis à 12,9°C pour 1991-2020[22].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[23],[24].
Dans ce cadre, la commune fait partie de l'aire d'adhésion du Parc National des Pyrénées[Note 5]. Ce parc national, créé en 1967, abrite une faune riche et spécifique particulièrement intéressante: importantes populations d’isards, colonies de marmottes réimplantées avec succès, grands rapaces tels le Gypaète barbu, le Vautour fauve, le Percnoptère d’Égypte ou l’Aigle royal, le Grand tétras et le discret Desman des Pyrénées qui constitue l’exemple type de ce précieux patrimoine confié au Parc national et aussi l'Ours des Pyrénées[25],[26],[27].
Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats» et «Oiseaux», constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la «directive Habitats»: le «moun Né de Cauterets, pic de Cabaliros»[29], d'une superficie de 3 703ha, présente une végétation caractéristique de la haute montagne pyrénéenne sur calcaire et substrats siliceux[30].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
Article connexe: Liste des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique des Hautes-Pyrénées.
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Trois ZNIEFF de type 1[Note 7] sont recensées sur la commune[31],
le «Gave d'Azun, ruisseau du Bergons et Gave de Lourdes» (437ha), couvrant 31 communes dont deux dans les Pyrénées-Atlantiques et 29 dans les Hautes-Pyrénées[32];
le «massifmontagneux entre Argelès-Gazost et l'Ouzom» (6 108ha), couvrant 12 communes dont une dans les Pyrénées-Atlantiques et 11 dans les Hautes-Pyrénées[33],
les «massifs du Cabaliros et du Moun Né» (7 764ha), couvrant 11 communes du département[34];
les «massifs calcaires de l'Estibète, du Granquet et du Pibeste, forêt de Très Crouts, vallée du Bergons et crêtes» (17 871ha), couvrant 24 communes dont trois dans les Pyrénées-Atlantiques et 21 dans les Hautes-Pyrénées[35];
le «val d'Azun et haute vallée du Gave de Cauterets» (35 378ha), couvrant 22 communes dont une dans les Pyrénées-Atlantiques et 21 dans les Hautes-Pyrénées[36].
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Arras-en-Lavedan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9],[37],[I 2],[38].
Elle appartient à l'unité urbaine d'Argelès-Gazost, une agglomération intra-départementale regroupant 13 communes[I 3] et 6 840 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue[I 4],[I 5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Argelès-Gazost dont elle est une commune de la couronne[Note 10]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 6],[I 7].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (82,8% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,7%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (46,4%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (33,1%), prairies (8,7%), zones agricoles hétérogènes (7,3%), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3,3%), zones urbanisées (1,1%)[39].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Logement
En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 385[I 8].
Parmi ces logements, 58,9% sont des résidences principales, 35,4% des résidences secondaires et 5,7% des logements vacants.
Risques naturels et technologiques
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Rues du village.
Voies de communication et transports
Cette commune est desservie par la route départementale D918 et par les routes départementales D13, D103 et D613.
Toponymie
Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Arras-en-Lavedan à l'ouest d'Argelès-Gazost.Le château en 2015.
On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[40] qui rapporte les dénominations historiques du village.
Dénominations historiques:
Arras (entre 1025 et 1078, cartulaire Saint-Savin; v. 1025-1070, cartulaire de Bigorre; v. 1200-1230, ibid.; etc.);
de Ras (1168, bulle d'Alexandre III; 1313, Debita regi Navarre);
d’Aras (v. 1184, cartulaires Bigorre);
Garsias Arnaldi de Ratz, latin et gascon (1300, enquête Bigorre);
On a longtemps exploité à Arras-en-Lavedan des mines de cuivre et de plomb.
Cadastre napoléonien d'Arras-en-Lavedan
Le plan cadastral napoléonien d'Arras-en-Lavedan est consultable sur le site des Archives départementales des Hautes-Pyrénées[41].
Politique et administration
La mairie en 2017.
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1995
mars 2008
Jean-Pierre Prat
SE
mars 2008
mars 2014
Élie Pucheu
SE
mars 2014
en cours
Charles Legrand
Rattachements administratifs et électoraux
Historique administratif
Pays et sénéchaussée de Bigorre, Lavedan, Vallée d'Azun, canton d'Azun, Argelès (1790), d'Aucun (depuis 1801). Arras prend le nom d'Arras-en-Lavedan en 1937[42].
Intercommunalité
Arras-en-Lavedan appartient à la communauté de communes Pyrénées Vallées des Gaves créée en janvier 2017 et qui réunit 46 communes.
Services publics
La commune d'Arras-en-Lavedan dispose d'une agence postale.
Liste des juridictions compétentes pour la commune
[43]
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[45].
En 2019, la commune comptait 482 habitants[Note 11], en diminution de 4,74% par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées: +0,31%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
796
816
836
817
824
794
780
840
796
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
723
739
733
706
732
697
676
645
639
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
608
624
610
533
504
564
457
394
423
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
449
455
402
418
418
456
506
521
527
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
498
482
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[47].)
Histogramme de l'évolution démographique
La tour de l'abbatiale.
Enseignement
La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle dispose d’une école en 2016[48].
École primaire: Joseph Contraires
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 212 ménages fiscaux[Note 12], regroupant 490 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 050 €[I 9] (20 420 € dans le département[I 10]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 294 personnes, parmi lesquelles on compte 71,8% d'actifs (65,7% ayant un emploi et 6,2% de chômeurs) et 28,2% d'inactifs[Note 13],[I 11]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Argelès-Gazost, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 14]. Elle compte 71 emplois en 2018, contre 68 en 2013 et 79 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 200, soit un indicateur de concentration d'emploi de 35,6% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,1%[I 15].
Sur ces 200 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 48 travaillent dans la commune, soit 24% des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 84,4% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,5% les transports en commun, 7,1% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].
Tourisme
Station de sports d'hiver de Val d’Azun.
Culture locale et patrimoine
La fontaine.
Lieux et monuments
Le monument aux morts municipal.Le menhir de Bayle.
Église Saint-Martin d'Arras-en-Lavedan. Église de montagne (inscrite à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques) avec une porte gothique de cagots emmurée, un clocher rectangulaire qu'abrite une toiture d'ardoise à trois pentes, un maître autel en bois doré du XVIIIesiècle, une peinture du XVIIesiècle du martyre de sainte Catherine et une « Vierge assise à l'Enfant » en bois polychrome du XIVesiècle.
À côté de l'église, seul vestige de l'Abbadie ou manoir des abbés lays d'Arras, se dresse une tour cylindrique aux murs épais dont le rez-de-chaussée est une salle en voûte.
Surplombant le village, les ruines d'une petite forteresse, le Castet-Naou en cours de restauration, rappellent qu'Arras-en-Lavedan fut anglais pendant quarante ans sous la domination du Prince Noir.
Menhir de Bayle.
Sélection de vues de l'église Saint-Martin en 2017.
Le clocher.
Personnalités liées à la commune
Henri Lemoine, célèbre escroc de la Belle Époque. Il employa l'argent que le millionnaire Wernher et d'autres actionnaires lui avaient confié, à construire une centrale électrique à Arras-en-Lavedan.
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Héraldique
Article connexe: Armorial des communes des Hautes-Pyrénées.
Blasonnement:
D'azur à la fasce d'argent chargée d'un sanglier de sable défendu aussi d'argent et amputé de sa patte antérieure dextre, accompagnée, en chef, de trois corneilles aussi de sable * becquées et membrées de gueules et, en pointe, d'un château sommé de trois donjons couverts et girouettés d'argent et maçonné de sable[49].
Commentaires: Officiel * Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs: ces armes sont fautives (Sable/azur).
Voir aussi
Bibliographie
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Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[13].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[28].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348p. (ISBN2-9514810-1-2, BNF37213307)..
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