Andilly est une commune française située dans le département du Val-d'Oise en région Île-de-France.
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La commune a gardé un aspect villageois, malgré la proximité de Paris, à moins de 20 kilomètres au sud. Situé à flanc de coteau dominant la vallée de Montmorency et la capitale, le village est couronné par la forêt de Montmorency.
Elle est limitrophe de Montmorency, Soisy-sous-Montmorency, Eaubonne, Margency et Montlignon.
Le territoire communal est traversé par un petit cours d'eau: le ruisseau d'Andilly.
D'une longueur de 3,2 kilomètres, il naît au centre de la commune à hauteur du village et se jette dans le ru d'Enghien, affluent du lac d'Enghien puis de la Seine, après avoir traversé le sud de la commune et le territoire de Soisy-sous-Montmorency, en souterrain pour l'essentiel. Il alimente une petite pièce d'eau à la limite d'Andilly et Soisy[3].
La commune est alimentée en eau par la station de traitement de Méry-sur-Oise, gérée par la société Veolia Environnement. L'eau potable à Montmorency est de très bonne qualité bactériologique, contenant peu de nitrates, étant peu fluorée et devenue relativement peu calcaire depuis la mise en place de la nanofiltration en 1999 à l'usine de distribution[4]. L'eau distribuée est d'origine superficielle, provenant de la filtration des eaux de l'Oise[5],[6].
Voies de communication et transports
Les voies les plus importantes qui traversent la commune sont trois routes départementales.
La route départementale 144 relie Montmorency à Saint-Leu-la-Forêt. Elle traverse la partie méridionale de la commune et se poursuit vers l'ouest à travers Margency et le nord de la vallée de Montmorency.
La route départementale 109 relie Argenteuil à Soisy puis devient la D 109 prolongée jusqu'au nord d'Andilly sur le plateau des Champeaux où elle rejoint la D 124e, antenne de la route départementale 124 reliant Montmorency à Domont. La D 109p traverse la commune dans toute sa longueur du sud au nord, à partir de la limite avec Soisy-sous-Montmorency.
Ces différentes infrastructures terrestres ont un impact assez limité en termes de pollution sonore selon la réglementation[7]. Les principales voies routières sont classées de catégorie 4, de niveau modéré, seule une section de la D 124 au nord, en zone non bâtie, est classée de catégorie 3, de nuisance moyenne. Le centre du village est hors classement, voyant transiter moins de cinq-mille véhicules par jour, seuil minimal de classification[8].
Aucune gare ne dessert la commune. Des lignes du réseau de bus de la Vallée de Montmorency permettent de relier la commune aux gares les plus proches: la ligne 10 vers les gares du Champ de courses d'Enghien et d'Ermont-Eaubonne, la ligne 11 vers les gares d'Enghien-les-Bains , d'Épinay-sur-Seine et la gare de Saint-Gratien, la ligne 12 vers les gares de Domont, du Champ de courses d'Enghien et d'Ermont-Eaubonne et la ligne 27 vers les gares de Groslay, de Sarcelles - Saint-Brice et de Garges - Sarcelles.
La commune se situe dans l'axe des pistes de l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, situé à une quinzaine de kilomètres à l'est, dont les avions en survol provoquent d'importantes nuisances acoustiques comme dans la quasi-totalité des communes du sud du Val-d'Oise.
Climat
Andilly comme toute l'Île-de-France est soumis à un climat océanique dégradé. Il se différencie du climat de Parisintra-muros par un écart de température de quelques degrés, particulièrement notable au lever du jour, et qui a tendance à s'accentuer au fil des années. Cet écart, de 2° en moyenne mais qui peut atteindre 8° par une nuit claire et un vent faible, s'explique par la densité urbaine qui augmente la température au cœur de l'agglomération. La température moyenne annuelle est de 11°C, le mois le plus le froid est janvier avec +4°C; les mois les plus chauds sont juillet et août avec +19°C (moyenne journalière)[9].
Andilly est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13].
Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[14] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17],[18].
Toponymie
Le nom du village apparaît pour la première fois dans l'histoire sous la forme Andiliacum en 1174 dans un acte mentionnant le seigneur du lieu, Baudoin d'Andiliacum, Andeliacum en 1193, Andeli en 1125, Andilli en 1151[19].
Le nom d'Andilly provient peut-être de l'anthroponyme gallo-romain Andillius et du suffixe gallo-romain -acum qui signifie "domaine de". Homonymie avec Andillac et peut-être aussi avec Andely.
Histoire
Il est fait mention d'Andilly, pour la première fois, en 1125 dans une charte qui indique: «Balduinus de Andeli meus est de feodo quod tenet apud Garges»[20]. Le premier seigneur, connu, d'Andilly est donc Baudoin d'Andilly qui sera suivi de Radulphus de Andeli puis du chevalier Thibaud de Bruyères qui avait une seigneurie à Andilly[20].
En 1426, la terre appartient à Jean Fromont seigneur de Boissy, clerc du Roi en la chambre des comptes. Guillaume de Fromont lui succéda, puis Claude et Guillaume II qui se partagèrent le territoire. Claude de Fromont eut Andilly-le-Haut et Guillaume II Andilly-le-Bas.
Le fief fut acquis au XVIesiècle par Antoine Arnauld, avocat général au Parlement de Paris et docteur en théologie à la Sorbonne.
Son fils Robert Arnauld d'Andilly fut un des fondateurs du jansénisme, persécuté par Louis XIV. Le village accueillit sous la Restauration Mme de Duras, l'auteur d'«Ourika» et amie de Chateaubriand qu'elle hébergea.
Le village, éloigné des grandes voies de communications et de toute gare est resté agricole jusque dans les années 1960, période à laquelle il connut comme les villages voisins une urbanisation essentiellement pavillonnaire. Une zone d'activité, dite des "Cures", a été créée au sud de la commune, en limite de Soisy-sous-Montmorency.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Antérieurement à la loi du [21], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Sarcelles, après un transfert administratif effectif au . Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1986 de la sixième circonscription du Val-d'Oise.
La commune a fait partie de 1793 à 1967 du canton de Montmorency de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d'Oise, elle est intégrée en 1967 dans le nouveau canton de Soisy-sous-Montmorency[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est à nouveau membre du canton de Montmorency, dont la composition est très différente de celui qu'il était autrefois.
Andilly fait partie de la juridiction d’instance de Montmorency, et de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[23],[24].
Intercommunalité
La commune faisait partie de la communauté d'agglomération de la vallée de Montmorency (CAVAM), créée en 2002.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du , qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine le pour former la communauté d'agglomération Plaine Vallée (CAPV, dont la commune est désormais membre.
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Maires avant 1965
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1789
1790
Maurice Robinot
1790
1791
Pierre Isore
1791
1793
Jean Charpentier
1793
1795
Antoine Moris
1795
1796
Cyprien Dubost
1796
1797
Charles Dhéret
1797
1799
P. Médard Boudignon
1799
1800
Jean Sevestre
1800
1803
Nicolas Bouchez
1803
1814
Cyprien Dubost
1814
1816
Gabriel Roger
1816
1831
Tardieu de Saint-Marcel
1831
1848
Sébastien Edy
1848
1866
François Schaal
1866
1875
Antoine Boissel
1875
1878
Louis Legendre
1878
1882
Felix Fiaux
1882
1892
Louis Bourgeois
1892
1896
Charles-F. Dufour
1896
1920
Alfred Deschars
1920
1921
Victor Isore
1921
1925
Jules Rostand
Banquier et homme d'affaires Propriétaire du château de Belmont
Expert-comptable Vice-président de la CAVAM (? → 2016) Vice-président de la CAPV (2017 → ) Président de l'Union des maires du Val-d'Oise[27] Réélu pour le mandat 2020-2026[28],[29]
Habitat - Loi SRU
Article détaillé: Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains.
Andilly est une commune dont la population est particulièrement aisée, et aurait été, en 2008, la 22ecommune de France des villes préférées des gros salaires[30]. Contrairement aux dispositions de la loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains, la commune ne dispose en 2015 que de 15,78 % de logements sociaux, et n'en a construit aucun durant la période 2011-2013. En conséquence, elle est astreinte au paiement d'une compensation de 65 000 euros pour l'année 2015[31].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].
En 2019, la commune comptait 2 574 habitants[Note 3], en augmentation de 0,66% par rapport à 2013 (Val-d'Oise: +4,6%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
351
342
345
320
364
389
396
390
403
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
412
447
477
507
685
663
647
654
633
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
828
934
707
653
824
1 017
848
863
1 141
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
1 277
1 519
1 652
1 589
2 116
2 013
2 402
2 520
2 604
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
2 574
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique
Sports
Un centre nautique a été construit en limite d'Andilly et de Soisy-sous-Montmorency. Il comprend trois bassins (un bassin de compétition de 25 m à 8 couloirs, un bassin de perfectionnement et un d'initiation et un «espace forme»). Les travaux ont été lancés en 2010. Le coût du bâtiment est évalué à 11,5 millions d'euros, et a été notamment financé dans le cadre d'un contrat de territoire passé avec l'État, le Département et la Région.
La mise en service de l'équipement a été réalisée mi-2011[35].
D'après le numéro de fin 2009 du magazine Capital, 5,6% de contribuables au-dessus de 97 500 € de revenus annuels après abattement, avec des revenus annuels moyens de 292 407 € habiteraient Andilly, la plaçant à la vingt-deuxième place du palmarès national des villes préférées des gros salaires (établi d’après les statistiques de l’impôt sur le revenu 2008), derrière le XVIe arrondissement de Paris, Neuilly-sur-Seine, Le Vésinet, Ramatuelle, mais devant Saint-Tropez. La ville abriterait ainsi des professions libérales aisées et des chefs d'entreprises[36].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Colombier.Église Saint-Médard.Château de Belmont.
Monument historique
Andilly ne compte qu'un seul monument historique sur son territoire.
Le Colombier, 7 rue Charles-de-Gaulle (inscrit monument historique par arrêté du [37]): Il représente le seul vestige du château de la famille Arnauld. De forme cylindrique, il comporte une colonne centrale en pierre. La paroi intérieure est divisée en niches à pigeons (ou boulins) en argile. Les façades sont dépourvues d'ornementations, à l'exception d'une double rangée de moulures toriques en haut du mur. Le toit en poivrière est couronné par un clocheton[38].
Autres éléments du patrimoine
L'Église Saint-Médard, place Finot: Financée par le seigneur local, elle fut bâtie à partir de 1719 à l'emplacement d'un édifice antérieur du XVIesiècle. De style classique, elle est couverte d'un toit à deux croupes, avec un fronton triangulaire surmontant la partie centrale de la façade occidentale. Une baie plein cintre est percée au-dessus du portail en anse de panier. Le clocher-tour latéral se dresse devant l'angle sud-ouest de la façade. La nef est flanquée de deux collatéraux et se termine par un chœur en hémicycle. Un transept sous la forme de deux chapelles latérales se faisant face complète l'édifice. Il abrite une Vierge à l'Enfant du XVIIesiècle. La cloche en bronze date de 1783[38],[39].
Le Château de Belmont, 4 rue Aristide-Briand: Il a été édifié à la fin du XVIesiècle et largement remanié depuis. Quand il sert de résidence à la duchesse de Duras entre 1817 et 1824, François-René de Chateaubriand y séjourne plusieurs fois. Ensuite, le château est vendu à Talleyrand, qui y installe sa nièce et maîtresse, Dorothée de Courlande. À la fin du XIXesiècle, le château est occupé par Jules Rostand, banquier, maire d'Andilly et parent d'Edmond Rostand. Ce n'est que par la suite que l'étage en comble brisé est ajouté[38]. Laissé à l'abandon pendant plus de six ans, il est devenu un hôtel de luxe, puis, récemment, a été restauré et transformé en appartements de standing, puis est devenu un centre de cures.
Le Château du Gaz, rue Aristide-Briand: Appelé ainsi car devenu maison de retraite des employés de Gaz de France, il fut bâti par le financier Rodocanachi dans la seconde moitié du XIXesiècle. Après la Seconde Guerre mondiale, le château sert un temps d'orphelinat. Son style avec alternance de la brique rouge et de la pierre de taille pour les chaînages et ornementations est caractéristique du Second Empire, mais le château se distingue par les deux pavillons polygonaux qui le flanquent à deux angles. L'un est couvert par une coupole[38].
Le Fort de Montlignon, au nord-est du village, à cheval sur la commune d'Andilly: Bâti entre 1874 et 1879 sous la direction du futur maréchal Joffre, il était destiné, avec les forts de Domont et de Montmorency, à assurer la défense nord de Paris, renforcée par la batterie de Blémur à Domont, en forêt de Montmorency. Eugène Villetel, entrepreneur à Montmorency, obtint le marché de la construction du fort. D'un coût de 2 439 546 francs, il pouvait abriter une garnison théorique 794 hommes[38]. Il est occupé aujourd'hui par le Centre national de tir de la police nationale.
Article connexe: Fortifications de Paris - deuxième programme de fortification.
«La terrasse», route de la Croix-Blanche: ce terrain communal planté de châtaigniers centenaires offre un très beau panorama sur Paris et la banlieue Nord.
Le plateau d'Andilly, d'une surface de 93 hectares et constitué d'anciennes carrières et briqueteries, a été progressivement acquis par l'agence régionale des espaces verts d'Île-de-France afin d'empêcher son lotissement et maintenir son rôle d'espace naturel.
Personnalités liées à la commune
Robert Arnauld d'Andilly (1589-1674) obtient la seigneurie à son mariage en 1613. Il la revend mais en porte le nom toute sa vie.
Claire Louisa Rose Bonne, duchesse de Duras (1777-1828), écrivaine, est propriétaire du château de Belmont entre 1817 et 1824.
Dorothée de Courlande (1793-1862), la duchesse de Dino, habite le château de Belmont à partir de 1824, mis à sa disposition par Talleyrand.
Talleyrand, Chateaubriand et Stendhal ont séjourné à Andilly.
Jean Finot a résidé à Andilly. Son fils Louis-Jean né en 1898 en devient le maire en 1929 et le reste jusqu'à sa mort en 1957.
Stendhal (1783-1842). Andilly représente un lieu privilégié dans l'œuvre et dans la vie de Stendhal. Depuis son premier roman Armance, jusqu'à la réalisation le 22 septembre 2012 d'un vœu exprimé dans le livre Souvenirs d'égotisme écrit en 1832[réf.nécessaire]. Par ailleurs, Stendhal dans son testament du , souhaite être inhumé à Andilly [40].
Héraldique
Les armes d'Andilly se blasonnent ainsi:
D'azur au chevron d'or, accompagné en chef de deux palmes adossées du même et en pointe d'une montagne de six coupeaux aussi d'or.
Andilly au cinéma et à la télévision
Article détaillé: Liste de films tournés à Andilly.
Voir aussi
Bibliographie
Jean-Marie Vijoux, À la découverte d'Andilly, Corlet éditions, (ISBN2-913328-07-5), 2000, 120 pages.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Hippolyte Cocheris, Conservateur de la Bibliothèque Mazarine, Conseiller général du département de Seine-et-Oise, DICTIONNAIRE DES ANCIENS NOMS DES COMMUNES DU DÉPARTEMENT DE SEINE-ET-OISE, 1874
Jean Lebeuf: Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris Volume 3 page 403
Daniel Pestel, «Le maire d’Andilly soutient sa fille contre son adjoint», Le Parisien - Municipales 2008, (lire en ligne, consulté le ).
C. L., «Daniel Fargeot, chargé de mission auprès des républicains du Val-d’Oise: Celui-ci fera office de secrétaire fédéral en attendant la nomination d’un nouveau secrétaire», Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
6/12/2020, «Maire d'Andilly, Daniel Fargeot réélu président de l'Union des maires du Val-d'Oise: Daniel Fargeot, maire (Lr) d'Andilly, a été réélu président de l'Union des maires du Val-d'Oise jeudi 3 décembre 2020», La Gazette du Val-d'Oise, julien ducouret (lire en ligne, consulté le ).
Réélu pour le mandat 2014-2020: «Votre équipe municipale», Andilly & Vous - Le magazine de votre commune, no16, , p.3-5 (lire en ligne[PDF], consulté le ).
«Andilly, nouvel eldorado des riches: Cette petite ville du département est au 22erang des villes préférées des gros revenus, après Neuilly, mais avant Saint-Tropez!», Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
Alexandre Boucher, «Le maire d'Andilly dénonce «le racket fiscal» de l'Etat», Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
Amélie Marty et Toussainte Bendiba, «Le patrimoine des communes du Val-d’Oise: Andilly», Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol.II, , p.829-830 (ISBN2-84234-056-6).
Mathieu Lours, «Andilly - Saint-Médard», Églises du Val-d’Oise: Pays de France, vallée de Montmorency, Gonesse, Société d’histoire et d’archéologie de Gonesse et du Pays de France, , p.36-37 (ISBN9782953155402).
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