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Domont est une commune française du Val-d'Oise située dans le pays de France, à environ 20 km au nord de Paris.

Domont

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Sarcelles
Intercommunalité CA Plaine Vallée
Maire
Mandat
Frédéric Bourdin
2020-2026
Code postal 95330
Code commune 95199
Démographie
Gentilé Domontois
Population
municipale
15 504 hab. (2019 )
Densité 1 861 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 02′ 00″ nord, 2° 20′ 00″ est
Altitude 90 m
Min. 80 m
Max. 185 m
Superficie 8,33 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Domont
(bureau centralisateur)
Législatives 7e circonscription du Val-d'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Domont
Géolocalisation sur la carte : France
Domont
Géolocalisation sur la carte : Val-d'Oise
Domont
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Domont
Liens
Site web https://www.ville-domont.fr/

    Ses habitants sont appelés les Domontois.


    Géographie



    Description


    Domont est une commune périurbaine d'Île-de-France située sur le versant nord-est du plateau de la forêt de Montmorency et qui domine la plaine de France. Elle se trouve à une vingtaine de kilomètres au nordc de Paris, à 17 km à l'est de Pontoise et à 48 km au sud de Beauvais.

    La superficie du territoire communal est de 833 ha. Son altitude varie de 96 m NGF à la gare de Domont à 194 m au sommet du fort[1].


    Communes limitrophes


    La commune est limitrophe de Montmorency, Andilly, Montlignon, Saint-Prix, Bouffémont, Moisselles, Ézanville et Piscop.

    Communes limitrophes de Domont[2]
    Bouffémont Moisselles
    Saint-Prix Ézanville
    Montlignon, Andilly Montmorency, Piscop
    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Voies de communication et transports


    Domont est accessible par l'ancienne Route nationale 1 actuelle RD 301).

    Domont est desservie par la gare de Domont, sur le réseau SNCF Transilien Paris-Nord, branches Paris-Nord — Persan-Beaumont/Luzarches, ligne H. La gare est desservie à raison d'un train semi-directs tous les 1/4 d'heure aux heures de pointe le matin ainsi que le soir de la gare d'Epinay-Villetaneuse (au lieu de la gare du Nord depuis le ) à celle de Sarcelles - Saint-Brice. La desserte se réduit à un train omnibus toutes les 1/2 heures en soirée (après 20 h 30) et le week-end. Il faut de 22 (train semi-direct) à 25 minutes (train omnibus) de trajet à partir de la gare du Nord[réf. nécessaire].

    Domont est aussi desservie par la ligne 269 du réseau de bus RATP, les lignes 12, 17, 38-02 et du TàD Eaubonne-Domont du réseau de bus de la Vallée de Montmorency.

    La Ville de Domont propose aussi un service municipal de transport public : le Dobus.

    Au niveau des infrastructures routières, Domont, comme nombre de communes de la Plaine de France peu éloignées de l'aéroport de Roissy CDG, est bien desservie, avec notamment la Francilienne N 104, l'autoroute A16 vers Beauvais, ou encore la RD 301 (ex RN 1) rejoignant directement Paris.


    Hydrographie


    La commune est traversée par le Petit Rû de Vaux, le Rû de Poncelles, le Ruisseau des Quarante sous, affluents du Petit Rosne.

    Plusieurs étangs (privés) sont présents dans la ville[4] : L’étang du Beusillon, l'étang d’Ombreval [5] ouvert uniquement aux pécheurs et les étangs du Golf de Domont Montmorency.

    On compte également plusieurs fontaines et bornes fontaines : Place de la République[6], disparue avec le temps, la borne fontaine a été réhabilitée en 2016, la fontaine du Beursillon ou Berzilion[7], se trouvant à côté du tennis de Domont, la fontaine Jaune ou fontaine Prieur[8] construite en 1790 et restaurée en 1914 par Louis Breton, ainsi que la fontaine de la Boue', aujourd'hui disparue, seul son emplacement dans le mur est visible.

    La place du Gué était anciennement un lave sabots et l'on comptait deux lavoirs à Domont, mais seul le lavoir de Blémur, situé dans une propriété privée, existe toujours.

    Deux châteaux d'eau se trouvent dans la commune, mais un seul est en fonctionnement : Le château d'eau du haut Domont, se trouvant dans la forêt de Montmorency, non loin du fort de Domont et celui rue Parmentier, dans le Bas Domont), qui alimentait le réseau d'eau potable par captage . En 2012 le réseau du bas et du haut Domont ont été raccordésraccordés.


    Urbanisme


    Occupation des sols.
    Occupation des sols.

    Domont, ancien village agricole, a vu son développement favorisé par la créatiion de la gare en 1877.

    Dans les années 1960 et 1970 sont édifiés de petits immeubles collectifs et HLM ; la population double entre 1958 et 1977 et dépasse alors les 10 000 habitants.

    L'urbanisation se poursuit durant les années 1980 et 1990 par la construction de « nouveaux villages », petits collectifs et lotissements pavillonnaires contemporains, comblant finalement la plupart des espaces libres.


    Typologie


    Domont est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[12] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[15],[16].


    Toponymie


    Le lieu était désigné Dolomons, Domontium, Domuntum, Domons[17], Doomons en 1119[18], Daumont[17].

    La première partie du nom de la commune est difficile à interpréter. La seconde est claire, "mont", qui provient du latin "mons", et c'est en accord avec la topographie locale.

    Selon Dauzat et Rostaing, Domont provient de l'anthroponyme germanique "Dodo" et du latin "mons", d'après la forme de 1119 "Doomons"[19].

    F. et J. Bousquet citent "Doomunte" comme forme de 1119, mais ont trouvé "Oomons" en 1098 et "Oomont" en 1099 ; ce qui n'a pas reçu d'explication. Ils citent les autres hypothèses proposées sans base scientifique comme "dos du mont"[20].

    Il a été proposé comme origine "Dool Monte", réminiscence d'un monument druidique [20][réf. nécessaire]. Il a bien existé un mégalithe, disparu, au 1, Rue Alphonse-Provost, appelé "pierre des druides" ; les dolmens et menhirs sont d'ailleurs très antérieurs à l'époque les druides[20]. En breton, "dol" est la forme mutée de "tol" ("daol" et "taol" selon l'orthographe unifiée) et signifie table, dérivé du latin "tabula" il n'est donc pas d'origine celtique et n'est pas en accord avec la phonétique de la langue des druides (le gaulois)[21],[22].

    Plus sérieuse, l'étymologie germanique "dal mund" (porte de la vallée) s'accorde mal avec les formes anciennes du nom, rien ne l'étaye[20]. On trouve "dal" au sens de "vallée" en néerlandais, vieux saxon, "dals" en gotique, "dalr" en vieux norois, etc. "mund" signifiant "bouche" en vieux haut allemand, vieux saxon, avec variante néerlandaise "mond", gotique "munths" etc[23]...


    Histoire


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    Domont était un village de bûcherons et de paysans depuis le Haut Moyen Âge.

    Il est attesté en 1105, ou 1108, dans un acte où Rudolphe le Bel[Note 3] seigneur de Domont, donne l'abbaye bénédictine de Domont au Prieuré Saint-Martin-des-Champs à Paris. En 1149 une bulle du pape Calixte II en confirme la donation. Il n'en reste plus de nos jours que la chapelle monastique devenue paroisse sous le patronage de sainte Madeleine.

    Durant les siècles qui suivent, le village est la seigneurie de différentes familles : les Montmorency, puis les Villiers, les Billy et les Champluisant.

    L'ouverture du chemin de fer et l'inauguration de la gare de Domont en 1877 projettent le village dans la modernité. De nombreux vergers sont créés, donnant bientôt à la commune le surnom de « Domont-les-poires », des briqueteries sont édifiées sur le plateau limoneux à proximité de la gare. Le développement du village et la proximité de la capitale grâce au train amènent les débuts d'une urbanisation pavillonnaire entre le bourg et la gare dès les années 1920.


    Politique et administration



    Rattachements administratifs et électoraux


    Antérieurement à la loi du [24], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Sarcelles, après un transfert administratif effectif au .

    Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1986 de la septième circonscription du Val-d'Oise.

    Elle faisait partie de 1793 à 1964 du canton d'Écouen, année où elle intègre le canton de Sarcelles-Centre du département de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d'Oise, elle devient le chef-lieu du canton de Domont[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est désormais le bureau centralisateur, est modifié, passant de 4 à 11 communes.

    Domont fait partie[Quand ?] de la juridiction d’instance de Gonesse (depuis la suppression du tribunal d'instance d'Écouen en [26]), et du tribunal judiciaire ainsi que du tribunal de commerce de Pontoise[27],[28].


    Intercommunalité


    La commune était membre de la communauté de communes de l'Ouest de la Plaine de France, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2002 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales..

    Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du , qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine, formant le la communauté d'agglomération Plaine Vallée dont est désormais membre la commune.


    Tendances politiques


    Au premier tour des élections municipales de 2014 dans le Val-d'Oise, la liste UMP du maire sortant Jérôme Chartier obtient la majorité absolue des suffrages exprimés avec 4 428 voix (78,86 %, 30 conseillers municipaux élus dont 9 communautaires), battant très largement la liste PS menée par Sophie Bureau (1 187 voix, 21,13 %, 3 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire.
    Lors de ce scrutin, 40,49 % des électeurs se sont abstenus[29].

    Au premier tour des élections municipales de 2020 dans le Val-d'Oise, seule la liste DVD du maire sortant Frédéric Bourdin  qui avait succédé à Jérôme Chartier en 2016  était candidate et a donc obtenu la totalité des 1 986 suffrages exprimés, permettant l'élection de tous les 33 candidats dont 5 ont été également élus conseillers communautaires.
    Lors de ce scrutin marqué par la Pandémie de Covid-19 en France, 76,96 % des électeurs se sont abstenus et 12,28 des votants ont déposé un bulletin blanc ou nul dans l'urne[30].


    Liste des maires


    Liste des maires successifs[31]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 juin 1947 Pierre Aurousseau    
    juillet 1947 octobre 1947 Roland Morel    
    octobre 1947 mars 1965 Pierre Laloué    
    mars 1965 mars 1977 André Rouzée UDR Conseiller général de Sarcelles-Centre (1966 → 1967)
    Conseiller général de Domont (1967 → 1976)
    mars 1977 mars 1989 Jean Driollet PS  
    mars 1989 juin 1995 Marie-France Lecuir PS Professeur
    Députée du Val-d'Oise (4e puis 7e circ.) (1988 → 1993)
    Conseillère générale de Pontoise (1976 → 1982)
    juin 1995 4 janvier 2016[33] Jérôme Chartier UMP → LR Chef d'entreprise
    Député du Val-d'Oise (7e circ.) (2002 → 2017)
    Conseiller régional d'Île-de-France (2015 → 2020)
    Démissionnaire à la suite de son élection au Conseil régional
    4 janvier 2016[34],[33] En cours
    (au 26 juin 2021)
    Frédéric Bourdin LR puis DVD Cadre technique
    Vice-président de la CA Plaine Vallée (2020 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[35]

    Distinctions et labels



    Jumelages



    Population et société



    Démographie


    Articles connexes : Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[38],[Note 4]

    En 2019, la commune comptait 15 504 habitants[Note 5], en augmentation de 1,08 % par rapport à 2013 (Val-d'Oise : +4,6 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    697724746704900875871836936
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0071 0981 1521 2081 6181 5231 3931 4051 357
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6451 7941 8081 7852 8363 5723 7213 3584 153
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    5 8489 01610 89711 04713 22614 88314 78514 99615 401
    2019 - - - - - - - -
    15 504--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Équipements scolaires


    La ville compte huit écoles, un collège et un lycée[Quand ?] :


    Équipements culturels


    Ces équipements sont[réf. nécessaire] :


    Santé


    Clinique
    Clinique

    En 2020,, la commune accueille[réf. nécessaire] :


    Sports



    Équipements sportifs

    La ville compte des associations[42] :


    Manifestations culturelles et festivités


    On peut noter[réf. nécessaire] :


    Sécurité


    Une nouvelle brigade de gendarmerie a été livrée le et était destinée à la brigade et au peloton de surveillance de Domont.

    En 2018, la commune dispose de la brigade territoriale autonome de la Gendarmerie nationale[44].

    Le poste de la police municipale est situé au 66, rue du Chemin Vert. Il comprend 12 fonctionnaires[Quand ?] placés sous l'autorité d'un Chef de service : 7 agents de police municipale et 5 Agents de Surveillance de la Voie Publique (ASVP).

    Le centre de secours de Domont défend les communes suivantes[45] : Attainville, Baillet-en-France, Bouffémont, Domont, Ézanville, Moisselles, Montsoult, Piscop, Villaine-Sous-Bois.


    Économie


    Zone d'activité
    Zone d'activité

    Outre son tissu commercial, la ville dispose d'un marché les jeudi et dimanche.

    La ville de Domont accueille sur 233 hectares[réf. nécessaire] une zone d'activité artisanale et industrielle diversifiée[réf. nécessaire].

    Île-de-France Mobilités a décidé l'implantatation d'un centre opérationnel bus à Domont, dans le cadre de la délégation de service public 2021-2028 par les groupes Transdev, Keolis et Ratp Dev pour l'exploitation de 13 lignes de bus représentant environ 3,2 millions de kilomètres commerciaux en 2020[46]


    Culture locale et patrimoine


    Église Sainte-Marie-Madeleine.
    Église Sainte-Marie-Madeleine.

    Lieux et monuments


    Domont compte un monument historique sur son territoire :

    L'église est de plan cruciforme à déambulatoire (sans chapelles rayonnantes), et l'élévation porte sur trois niveaux avec un faux triforium dans la nef et l'abside, et un étage de fenêtres hautes. La partie sud-ouest du déambulatoire a été reconstruite à la période flamboyante, et des arcs-boutants ont été construits pour épauler le mur haut de l'abside. Leurs culées sont ornées de pinacles plaqués. La chapelle d'axe à l'extrémité orientale du chevet est rebâtie au milieu du XIXe siècle. Quant au transept, il se compose initialement de deux croisillons carrés, deux fois plus larges que les bas-côtés, et cantonnés aux angles par des énormes contreforts à ressauts.
    Le croisillon sud est resté intact avec sa façade à pignon, alors que le croisillon nord, menaçant ruine tout comme le clocher dès la fin de l'Ancien Régime, est rebâti de manière simplifiée vers le milieu du XIXe siècle pour devenir la chapelle Sainte-Marie-Madeleine. Perdant une partie de sa superficie d'origine, il se retrouve recouvert d'un toit en appentis, alors qu'un pignon en briques rouges est construit à l'intersection entre la croisée du transept et le bras nord. L'harmonie de la façade septentrionale est ainsi rompue. Le clocher se dresse à l'angle entre le croisillon nord et la nef ; il ne présente pas un style particulier et est ajouré sur son niveau supérieur par une seule baie abat-son plein cintre par face.
    La courte flèche en charpente est couverte d'ardoise. La nef se compose de trois travées et demi et d'autant de travées pour les bas-côtés : ruinée peu avant la Révolution française, elle est reconstituée de toutes pièces au milieu du XIXe siècle. La façade occidentale avec un pignon en haut est très simple ; elle laisse apparaître les arcs-boutants de la nef au-dessus des toits plats des bas-côtés, percés de baies en tiers-point à lancette simple vers l'ouest également. La porte rectangulaire est surmonté par un arc de décharge au tympan nu. Un grand oculus à huit lobes, entouré de deux tores, éclaire la nef par le haut[48],[49].
    Ancienne mairie.
    Ancienne mairie.
    Parc des coquelicots
    Parc des coquelicots
    Chapelle Saint-Pie X de Domont
    Chapelle Saint-Pie X de Domont
    Mémorial « Les Quatre Chênes »
    Mémorial « Les Quatre Chênes »
    Monument aux mort
    Monument aux mort

    On peut également noter:

    En , la ville de Domont a racheté le fort[53]
    Le 20 mai 2022 Le fort de Domont est labellisé Patrimoine d'intérêt régional[54]
    Article connexe : Fortifications de Paris aux XIXe et XXe siècles.

    Personnalités liées à la commune


    Plaque à la mémoire de Pierre Alviset, sur le collège rue Monge à Paris.
    Plaque à la mémoire de Pierre Alviset, sur le collège rue Monge à Paris.

    Domont au cinéma et à la télévision


    Article détaillé : Liste de films tournés à Domont.

    Héraldique


    Les armes de Domont se blasonnent ainsi :
    D'or au mont de sinople mouvant de la pointe, au chef d'azur chargé d'un dextrochère d'argent paré d'un brassard d'hermine brochant sur la partition


    Voir aussi


    Sur les autres projets Wikimedia :


    Bibliographie



    Articles connexes



    Liens externes



    Notes et références



    Notes


    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. ou Radulphe (Raoul) le Bel
    4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références


    1. « Géoportail ».
    2. « Communes limitrophes de Domont » sur Géoportail..
    3. « Communes limitrophes de Domont » sur Géoportail..
    4. « Lavoirs et Fontaines à Domont ».
    5. « Etang d'Ombreval », sur Plaine Vallée Tourisme - Lac d'Enghien et forêt de Montmorency (consulté le ).
    6. François Vuillemet Webmaster du site Domont et sa région Val d Oise, « Domont Histoire / PlaceRepublique », sur Domont et sa région - Galerie (consulté le ).
    7. « La fontaine du Berzilion ou du Beursillon », sur Plaine Vallée Tourisme - Lac d'Enghien et forêt de Montmorency (consulté le ).
    8. « La fontaine Prieur », sur Plaine Vallée Tourisme - Lac d'Enghien et forêt de Montmorency (consulté le ).
    9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    13. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    17. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
    18. Toponymie générale de la France, Volume 2, Ernest Nègre, p. 916.
    19. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, , 738 p..
    20. François Bousquet et Jacques Bousquet, Domont, histoire d'un village d'Île-de-France, municipalité de Domont, , 439 p., p 66 à 70.
    21. Albert Deshayes, Dictionnaire étymologique du breton, Douarnenez, Le Chasse-Marée, , 765 p. (ISBN 2-914208-25-1, BNF 39262185), p 713.
    22. Pierre-Yves Lambert, La langue gauloise : description linguistique, commentaire d'inscriptions choisies, Paris, Errance, , 239 p. (ISBN 2-87772-089-6).
    23. (de) Wolfgang Pfeifer, Etymologisches Wörterbuch des Deutschen dictionnaire étymologique de l'allemand »], Munich, Deutscher Taschenbuch Verlag, , 1665 p..
    24. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Décret du 15 février 2008 publié au Journal Officiel du 17 février 2008
    27. Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
    28. Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise
    29. Résultats officiels pour la commune Domont
    30. « Val-d'Oise (95) - Domont », Résultats des élections municipales et communautaires 2020, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
    31. « Les maires de Domont », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    32. « Louis, Ernest Brincard (1842-1920) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
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    63. Ouvrage mentionné en liens externes.

    На других языках


    [de] Domont

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    [en] Domont

    Domont (French pronunciation: [dɔmɔ̃] (listen)) is a commune in the Val-d'Oise department and Île-de-France region of France. It is twinned with the Leicestershire village of Shepshed. Domont station has rail connections to Persan, Luzarches, Sarcelles and Paris.
    - [fr] Domont

    [ru] Домон

    Домон (фр. Domont) — муниципалитет во Франции, в регионе Иль-де-Франс, департамент Валь-д'Уаз. Население — 14 883 человека (1999)[2]. Муниципалитет расположен на расстоянии около 20 км севернее Парижа, 20 км восточнее Сержи[3].



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