La commune d'Aldudes se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine et est frontalière avec l'Espagne (Communauté forale de Navarre)[3].
Elle se situe à 143 km par la route[Note 1] de Pau[4], préfecture du département, à 65 km de Bayonne[5], sous-préfecture, et à 67 km de Mauléon-Licharre[6], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[3].
La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Jean-Pied-de-Port[3].
Sur le plan historique et culturel, Aldudes fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[8]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[9]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[10],[11]. La commune est dans le pays de Baïgorry-Ossès (Baigorri-Ortzaize), au sud-ouest de ce territoire.
La commune est drainée par la Nive des Aldudes, Aiztegietako erreka, Labiaringo erreka, Urbeltzerreka, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 36,62 km de longueur totale[14],[Carte 1].
La Nive des Aldudes, d'une longueur totale de 35,5 km, naît en Navarre au pied du Mendi Haundia (1 232 m), dans la commune d'Erro (Espagne), puis s'écoule au nord dans la vallée de Baïgorry pour confluer dans la Nive à Saint-Martin-d'Arrossa, à 110 mètres d'altitude à Saint-Martin-d'Arrossa, après avoir traversé 6 communes[15]. Elle traverse la commune en y pénétrant par son flanc sud, puis draine le village, où elle longe la RD 948 (route des Aldudes.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[16]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[17].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[18]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[16]
Moyenne annuelle de température: 12,1°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,3 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 2,5 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 13,2 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 9,2 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[19] complétée par des études régionales[20] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Banca», sur la commune de Banca, mise en service en 1949[21] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[22],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13,3°C et la hauteur de précipitations de 1 744,4 mm pour la période 1981-2010[23].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Socoa», sur la commune de Ciboure, mise en service en 1921 et à 38 km[24], la température moyenne annuelle évolue de 14,8°C pour la période 1971-2000[25], à 14,7°C pour 1981-2010[26], puis à 15°C pour 1991-2020[27].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats» et «Oiseaux», constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6].
Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la «directive Habitats»[29],[Carte 2]:
les «montagnes des Aldudes», d'une superficie de 18 474ha, ayant une vocation essentiellement pastorale, et dans une moindre mesure forestière, ce qui a engendré une mosaïque complexe de milieux, qui accueillent une grande diversité d’espèces de flore et de faune[30];
«la Nive», d'une superficie de 9 473ha, un des rares bassins versants à accueillir l'ensemble des espèces de poissons migrateurs du territoire français, excepté l'Esturgeon européen[31];
et une au titre de la «directive Oiseaux»[29],[Carte 3]:
la «vallée de la Nive des Aldudes, Col de Lindux», d'une superficie de 14 767ha, un massif montagneux schisteux à nombreux faciès rupestres, et pelouses montagnardes[32].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 1[Note 7] est recensée sur la commune[33],[Carte 4]:
le «site de Petexaenea et ses alentours» (8 601,95ha), couvrant 3 communes du département[34] et deux ZNIEFF de type 2[Note 8],[33],[Carte 5]:
les «montagnes et vallées des Aldudes, massifs du Mondarrain et de l'Artzamendi» (23 074,84ha), couvrant 9 communes du département[35];
le «réseau hydrographique des Nives» (3 596,23ha), couvrant 33 communes du département[36].
Chasse dans la vallée des Aldudes
La chasse aux pigeons ramiers migrateurs, appelée chasse à la palombe, rassemble dans la vallée des Aldudes un nombre important de chasseurs dans les palombières installées ou remises en état, lors des grandes migrations au début de l’automne[37]. Propriété du syndicat de la vallée de Baigorry, une palombière à 500 mètres d'altitude, a été créée en 1840, par le maire de la commune, Charles Schmarsow. Réorganisée vers 1880, elle passa ensuite entre les mains de la famille Ospital, qui dirige toujours cette chasse. Les cinq filetiers s'occupent de cinq pantières et les dix rabatteurs dirigent les palombes vers les filets.
Urbanisme
Typologie
Aldudes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9],[38],[39],[40].
La commune est en outre hors attraction des villes[41],[42].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (81,6% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88,6%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (45,7%), forêts (35,9%), prairies (15,7%), zones agricoles hétérogènes (1,5%), zones urbanisées (1,2%)[43].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 6].
Aldudes est desservie par les routes départementales 948 et 58.
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Aldudes est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité moyenne)[49]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[50].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment la Nive des Aldudes. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2009, 2014 et 2021[51],[49].
Aldudes est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[52]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[53],[54].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Aldudes.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[55]. 3% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59% au niveau départemental et 48,5% au niveau national)[Carte 7]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 10],[56].
Toponymie
Attestations anciennes
Le toponyme est documenté sous les formes
Alduide (1193[57]),
Montes de alduides (1237[58]),
Aldude (1353[58]),
Alduyde (1374[58], 1381[57] et 1392[57])
Alduide (1614[44], titres de la Camara de Comptos[59]) et
Les Aldudes (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[44]).
Le nom des Aldudes est également donné à l'ensemble de la vallée frontalière avec l'Espagne[44].
Étymologie
Le nom des Aldudes est la contraction du basqueAldubide «chemin vers les sommets» d'un ancien aldu «hauteur» et de bide «chemin»[60]. La romanisation en Aldudes en a fait un pluriel.
Autres toponymes
Ahunçarita, «lieu de la roche aux chèvres». Elhocady est une redoute sur la frontière espagnole, mentionnée en 1863[44] par le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque. Esnazu provient d'un ancien Eznaratzu, orthographié Eznazu en 1863 dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[44] et Esnaratsu sur la carte de Cassini. L'erreur de sifflante est due à une attraction du nom commun esne 'lait'. Le Labiadine, est, en 1863[44], un hameau d'Aldudes. Lepeder, noté Lépéder en 1863 (dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[44]), est un mont situé sur la commune d’Aldudes.
Le col de Phaaçaldéguy[44] est situé sur la frontière avec l’Espagne, tout comme le col d’Urtiague.
Le col Meharroztegui qui relie Banca à Aldudes est noté Méharoztéguy en 1863[44].
La pression démographique et le développement économique sont à l'origine, au XVIesiècle, de la fondation du village par des cadets des familles de Baïgorry, qui, par l'ancestrale règle de succession basque réservant l'héritage de la maison familiale à l'ainé, étaient exclus du nombre des propriétaires. La paroisse fut érigée en 1793[58].
Politique et administration
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1808
Jean Ardantz
1815
Jean Uhide
1816
Martin Arrambide
1829
Charles Schmarzow
1831
Salvat Larre
1833
Mathieu Barcelona
Jean Arambel
1839
Charles Schmarzow
1848
Pierre Mocoçain
1860
Alfred Saurel
1862
Étienne Ritou
Jean Bergougnan
1871
Étienne Ritou
1885
1898
Jean Chabagno
1995
2014
Peio Setoain
REG
2014
2020
Jean-Michel Dendarieta
2020
En cours
Martin Suquilbide
Éleveur
Intercommunalité
La commune d'Aldudes appartient à la communauté d'agglomération du Pays Basque. Elle est membre du syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques, de l'Agence publique de gestion locale et du syndicat intercommunal pour l'aménagement et la gestion de l'abattoir de Saint-Jean-Pied-de-Port[61].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[62]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[63].
En 2019, la commune comptait 324 habitants[Note 11], en augmentation de 0,93% par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques: +2,8%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
-
1 320
1 675
2 187
2 329
2 391
2 832
2 885
2 824
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
2 760
1 328
1 226
1 195
1 179
1 197
1 261
1 196
1 152
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 077
1 042
1 008
961
976
984
960
930
851
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
807
718
586
483
433
395
378
373
321
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
327
324
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[64] puis Insee à partir de 2006[65].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
La commune dispose d'une école, l'école élémentaire privée Mendi-Alde[66]. Cette école propose un enseignement bilingue français-basque à parité horaire[67].
Économie
Pisciculture.
Une pisciculture est en activité sur la route d'Urepel.
L'élevage du porc pie noir du Pays basque est une activité en plein renouveau dans la vallée des Aldudes, sous l'impulsion de l'Institut Technique du Porc (ITP).
La commune accueille la société Ets Pierre Oteiza (charcuterie artisanale) qui fait partie des cinquante premières[68] entreprises agroalimentaires du département.
Elle fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
Langues
D'après la Carte des Sept Provinces Basques éditée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte, le dialecte basque parlé à Aldudes est le bas-navarrais occidental.
Le laxoa
Du siècle dernier à 1952, la place de l'église et de la mairie se transformait en terrain de "laxoa". Cet ancien jeu de pelote se joue avec des gants de cuir.
À l'entrée du porche de l'église se trouve le butoir.
Lieux et monuments
Patrimoine civil
La ferme Iguchkaguerrea[46] date du XVIIIesiècle. La ferme Joalginenborda[47] date du XIXesiècle, tout comme la ferme Menementa[48].
Les cromlechs
Il en existe trois au site d'Argibel. Ce sont de grands cercles de pierre, des «menhirs» à fin funéraire, datant du Ier millénaire avant notre ère. Les cromlechs basques se distinguent par leurs nombres (plus de 100 recensés), témoins de la connaissance d'anciens rites funéraires.
Patrimoine religieux
Église de l'Assomption et fronton d'Esnazu.
L'église Notre-Dame d'Aldudes.
L'église de l'Assomption d'Esnazu[45], au lieu-dit Eznazu, date du XIXesiècle et est inscrite à l’Inventaire général du patrimoine culturel depuis le 21 mars 2003[45]. Elle recèle des sculptures[69] inventoriées par le ministère de la Culture. L'église est dédiée à l'Assomption de Marie.
L'église Notre-Dame d'Aldudes[70], datant partiellement de la fin du XVIIesiècle, possède, quant à elle, un chapelet de l'empereur Maximilien. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 2014[71]. L'église est dédiée à Notre-Dame. Le préau-porche typique donne accès à l'église et au cimetière.
Au cimetière se dressent des stèles basques du XIXesiècle dont deux de 1805.
Personnalités liées à la commune
Perkain, joueur de balle basque de la fin du XVIIIesiècle.
Georges Lacombe, né le à Orthez et mort le juillet 1947 à Paris, est un linguiste, bascologue et académicien basque français de langue basque et française. À la veille de la Première Guerre mondiale, il prépare avec l'aide du Dr Jean Etchepare[72],[73], un doctorat en Lettres sur le dialecte des Aldudes.
Bernard Delhom, né à Aldudes en 1885, fut le doyen masculin des Français du 30 décembre 1995 au 7 février 1996, date à laquelle il meurt à Paris, à l'âge de 110 ans et 213 jours;
Jean-Baptiste Urrutia, né en 1901 à Aldudes et mort à Montbeton, fut missionnaire en Indochine et évêque de Hué pendant la guerre d'Indochine et la guerre du Viêt Nam.
Mixel Itzaina, né le 19 février 1933, désigné membre correspondant d'Euskaltzaindia, l'académie de la langue basque, le 25 août 1967, membre honoraire depuis le 30 mai 2014.
Héraldique
Blasonnement:
Écartelé, au 1 de gueules bordé d'or au monogramme de la Vierge d'or sommé d'une croisette du même et une bordure cousue d'azur; au 2 d'argent à trois palombes d'azur; au 3 d'or au gant de lachua posé en bande et accompagné en chef d'une pelote le tout au naturel; au 4 de gueules à la lettre majuscule K (Kintoa) d'argent sommé d'une couronne royale d'or[74].
Pour approfondir
Bibliographie
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La vallée des Aldudes par l’association des commerçants et agriculteurs de la vallée des Aldudes (ACVA)
Notes et références
Notes et cartes
Notes
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français: le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[28].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque: noms des pays, vallées, communes et hameaux, Pessac, Presses Universitaires de Bordeaux, coll.«Centre d'études linguistiques et littéraires basques», , 246p. (ISBN2867813964 et 9782867813962), p.166 et 167.
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