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Albias [albjas] est une commune française, située dans le centre du département de Tarn-et-Garonne en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays Montalbanais, correspondant à la partie méridionale du Quercy.

Albias

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Tarn-et-Garonne
Arrondissement Montauban
Intercommunalité Communauté de communes Quercy Vert-Aveyron
Maire
Mandat
Véronique Magnani
2020-2026
Code postal 82350
Code commune 82002
Démographie
Gentilé Albiassains
Population
municipale
3 294 hab. (2019 )
Densité 153 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 05′ 27″ nord, 1° 27′ 01″ est
Altitude 91 m
Min. 78 m
Max. 107 m
Superficie 21,6 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Albias
(ville isolée)
Aire d'attraction Montauban
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Quercy-Aveyron
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Albias
Géolocalisation sur la carte : France
Albias
Géolocalisation sur la carte : Tarn-et-Garonne
Albias
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Albias

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Aveyron, la Lère, le ruisseau de la Brive, le ruisseau de la Tauge, le ruisseau de Gratis, le ruisseau de la Mouline, le ruisseau de la Nauge, le ruisseau de Laujole et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (Les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou »), un espace protégé (le « cours de la Garonne, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Albias est une commune rurale qui compte 3 294 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'unité urbaine d'Albias et fait partie de l'aire d'attraction de Montauban. Ses habitants sont appelés les Albiassains ou Albiassaines.


    Géographie



    Localisation


    Commune de l'aire urbaine de Montauban située à 10 km au nord-est de Montauban sur l'Aveyron et la Tauge, elle est traversée par l'ancienne RN 20 (déclassée en D 820) qui en constitue l'artère centrale, et par l'autoroute A 20 qui passe à l'ouest du bourg.


    Communes limitrophes


    Communes limitrophes d’Albias[1]
    Mirabel,
    L'Honor-de-Cos
    Réalville Cayrac
    Lamothe-Capdeville Nègrepelisse
    Montauban Saint-Étienne-de-Tulmont

    Voies de communication et transports


    La ville compte une gare sur son territoire, la gare d'Albias, desservie quotidiennement par des TER Occitanie effectuant des missions entre les gares de Toulouse-Matabiau, Montauban-Ville-Bourbon, Cahors et Brive-la-Gaillarde.

    La ligne 203 du réseau liO relie la commune à Montauban et à Villefranche-de-Rouergue[2].


    Hydrographie


    La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par l'Aveyron, le ruisseau de la Brive, le ruisseau de la Tauge, le ruisseau de Gratis, le ruisseau de la Mouline, le ruisseau de la Nauge, le ruisseau de Laujole, la Tauge, le ruisseau de Galon et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 36 km de longueur totale[4],[5].

    L'Aveyron, d'une longueur totale de 291 km, prend sa source dans la commune de Sévérac d'Aveyron et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Barry-d'Islemade, après avoir traversé 60 communes[6].

    Le ruisseau de la Brive, d'une longueur totale de 13,2 km, prend sa source dans la commune de Vaïssac et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Aveyron à Albias, après avoir traversé 4 communes[7].

    Le ruisseau de la Tauge, d'une longueur totale de 19,5 km, prend sa source dans la commune de Monclar-de-Quercy et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Aveyron à Lamothe-Capdeville, après avoir traversé 7 communes[8].

    Réseaux hydrographique et routier d'Albias.
    Réseaux hydrographique et routier d'Albias.

    Climat


    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]

    • Moyenne annuelle de température : 13,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 759 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bioule », sur la commune de Bioule, mise en service en 2002[14] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[15],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 743,9 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 11 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour 1981-2010[18] à 14 °C pour 1991-2020[19].


    Milieux naturels et biodiversité



    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[20],[21].

    Un espace protégé est présent sur la commune : le « cours de la Garonne, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 1 262,3 ha[22].


    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.
    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : Les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou »[24], d'une superficie de 17 144 ha, s'étendant sur 136 communes dont 41 dans l'Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles présentent une très grande diversité d'habitats et d'espèces dans ce vaste réseau de cours d'eau et de gorges. La présence de la Loutre d'Europe et de la moule perlière d'eau douce est également d'un intérêt majeur[25].


    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[26] : la « rivière Aveyron » (3 500 ha), couvrant 63 communes dont 38 dans l'Aveyron, cinq dans le Tarn et 20 dans le Tarn-et-Garonne[27] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[26] : la « vallée de l' Aveyron » (14 644 ha), couvrant 68 communes dont 41 dans l'Aveyron, cinq dans le Tarn et 22 dans le Tarn-et-Garonne[28].


    Urbanisme



    Typologie


    Albias est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[29],[I 1],[30]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Albias, une unité urbaine monocommunale[I 2] de 3 260 habitants en 2018, constituant une ville isolée[I 3],[I 4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montauban, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 5],[I 6].


    Occupation des sols


    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,7 %), zones agricoles hétérogènes (31,7 %), cultures permanentes (18,3 %), zones urbanisées (7,3 %)[31].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].


    Risques majeurs


    Le territoire de la commune d'Albias est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[32]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[33].


    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Aveyron, la Lère, le ruisseau de la Brive et le ruisseau de la Tauge. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[34]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2003, 2006, 2019 et 2021[35],[32].

    Albias est exposée au risque de feu de forêt. Le département de Tarn-et-Garonne présentant toutefois globalement un niveau d’aléa moyen à faible très localisé, aucun Plan départemental de protection des forêts contre les risques d’incendie de forêt (PFCIF) n'a été élaboré. Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 9],[36].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Albias.
    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Albias.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[37].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (92 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 273 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 273 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 96 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[38],[Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[39].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 2003, 2008, 2011, 2015 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[32].


    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[40].

    La commune est en outre située en aval du barrage de Pareloup, un ouvrage de classe A[Note 10] dans l'Aveyron sur les rivières Aveyron et Viaur, disposant d'une retenue de 169 millions de mètres cubes[42]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[43].


    Toponymie


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    Histoire


    À la période gallo-romaine : sur l’emplacement actuel de la paroisse de Sainte-Raffine existait un quartier de la ville de Cos[44], ville qui avait à la même époque l'étendue de Toulouse.

    La voie romaine de Cahors à Toulouse passait par Cos.

    Vers 1150 le vicomte de Bruniquel créa trois bastides dont celle d’Albias qui portera successivement les noms de « Biaccié », « Bias », « Albiassio », « Albiac », et enfin Albias. Elle porta aussi le nom de Tulmont.

    Entre 1561 et 1669 : Albias n'échappe pas aux guerres de religion et à plusieurs reprises elle a été détruite et reconstruite pour atteindre une population de 1 500 habitants vers 1669.

    À partir de 1752 : Albias tire son importance de la création du tracé de la route nationale 20 actuelle (Paris-Toulouse-Espagne) qui se concrétise par la construction du pont sur l’Aveyron de 1757 à 1767. Deux mois après la fin des travaux la poste à chevaux empruntera cette nouvelle voie.


    Politique et administration


    La commune d'Albias fait partie de la communauté de communes Terrasses et Vallée de l'Aveyron.


    Tendances politiques et résultats


    Article connexe : Élections municipales de 2014 en Tarn-et-Garonne.
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    Liste des maires


    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1947 Émile Rodolausse    
    octobre 1947 mars 1965 Roger Degans DVG  
    mars 1965 mars 1977 Jean-Pierre Deltemps    
    1977 1983 Roger Degans DVG  
    mars 1983 mars 2001 Robert Batut    
    mars 2001 mars 2014 Christian Teyssières UMP Agriculteur
    mars 2014 En cours Véronique Magnani DVD Agricultrice
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[46].

    En 2019, la commune comptait 3 294 habitants[Note 11], en augmentation de 3,52 % par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne : +4,13 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2331 3951 4031 2021 1821 2221 2571 2501 238
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1961 2321 1781 1951 1731 2791 1071 1461 097
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0561 0411 0359781 0661 1021 0801 1321 233
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 3811 6681 8882 0912 3132 3382 5732 6083 166
    2017 2019 - - - - - - -
    3 2463 294-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie



    Revenus


    En 2018, la commune compte 1 357 ménages fiscaux[Note 12], regroupant 3 299 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 110 [I 7] (20 140  dans le département[I 8]). 41 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 13] (42,6 % dans le département).


    Emploi


    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 9]6,5 %8,7 %9 %
    Département[I 10]8,4 %10,2 %10,3 %
    France entière[I 11]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 926 personnes, parmi lesquelles on compte 74,3 % d'actifs (65,2 % ayant un emploi et 9 % de chômeurs) et 25,7 % d'inactifs[Note 14],[I 9]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montauban, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 12]. Elle compte 647 emplois en 2018, contre 693 en 2013 et 635 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 285, soit un indicateur de concentration d'emploi de 50,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 56,2 %[I 13].

    Sur ces 1 285 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 273 travaillent dans la commune, soit 21 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 90,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,2 % les transports en commun, 3,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].


    Activités hors agriculture



    Secteurs d'activités

    234 établissements[Note 15] sont implantés à Albias au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 16],[I 16].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble234100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    2711,5 %(9,6 %)
    Construction3615,4 %(14,9 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    7029,9 %(29,7 %)
    Information et communication41,7 %(1,9 %)
    Activités financières et d'assurance52,1 %(3,4 %)
    Activités immobilières208,5 %(3,3 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    2912,4 %(14,1 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    2611,1 %(13,6 %)
    Autres activités de services177,3 %(9,3 %)

    Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 29,9 % du nombre total d'établissements de la commune (70 sur les 234 entreprises implantées à Albias), contre 29,7 % au niveau départemental[I 17].


    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[49] :


    Agriculture


    La commune est dans les « Vallées et Terrasses », une petite région agricole occupant le centre et une bande d'est en ouest du département de Tarn-et-Garonne[50]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 17] sur la commune est la culture de fruits ou d'autres cultures permanentes[Carte 4].

    1988200020102020
    Exploitations83684841
    SAU[Note 18] (ha)1 5361 4421 117953

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 83 lors du recensement agricole de 1988[Note 19] à 68 en 2000 puis à 48 en 2010[52] et enfin à 41 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 51 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[53],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 536 ha en 1988 à 953 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 19 à 23 ha[52].


    Culture locale et patrimoine



    Lieux et monuments


    Généralités historiques :

    Bastide fondée au XIIIe siècle par les vicomtes de Bruniquel.

    Vestiges préhistoriques et antiques :

    Agglomération gallo-romaine de Cosa au lieu-dit Sainte-Raffine : poterie, ustensiles, monnaies ; voie romaine.

    Architecture civile :

    Domaine de La Clare : manoir et pigeonnier circulaire XIXe siècle.

    Architecture sacrée :

    Église Saint-Georges d'Albias, XVIIe siècle et XIXe siècle. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[54].

    Temple, XIXe siècle.

    Sites :

    Rives de l'Aveyron, nombreux ruisseaux et plan d'eau.

    Gare d'Albias


    Personnalités liées à la commune



    Héraldique


    Blason
    De gueules à la fasce ondée d'argent chargée d'un lion d'azur et accompagnée en chef d'une croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces et en pointe de deux épées passées en sautoir, le tout d'or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir



    Bibliographie


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    Articles connexes



    Liens externes


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    Notes et références



    Notes et cartes


    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
    10. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[41].
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    12. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    13. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    14. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    15. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    16. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    17. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    18. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    19. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[51].
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références



    Site de l'Insee

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    7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Albias » (consulté le ).
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    9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Albias » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
    11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
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    14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Albias » (consulté le ).
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    Autres sources

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    2. « Lignes régulières dans le Tarn-et-Garonne », sur liO : Service Public Occitanie Transports (consulté le ).
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    7. Sandre, « le Ruisseau de la Brive »
    8. Sandre, « le Ruisseau de la Tauge »
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    11. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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    48. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    49. « Entreprises à Albias », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
    50. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    51. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    52. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune d'Albias - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    53. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
    54. « Église paroissiale Saint-Georges », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )

    На других языках


    [de] Albias

    Albias ist eine französische Gemeinde mit 3.294 Einwohnern (Stand 1. Januar 2019) im Département Tarn-et-Garonne in der Region Okzitanien (zuvor Midi-Pyrénées). Sie gehört zum Kanton Quercy-Aveyron im Arrondissement Montauban. Die Einwohner werden Albiassain(e)s genannt.

    [en] Albias

    Albias (French pronunciation: ​[albjas]; Occitan: Albiàs) is a commune in the Tarn-et-Garonne department in the Occitanie region in southern France.
    - [fr] Albias



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