world.wikisort.org - Italie

Search / Calendar

Sanremo[2], ou San Remo[3], est une ville d'Italie située dans la province d'Imperia, dans la région de Ligurie.

Sanremo

Armoiries

Drapeau

Le port de Sanremo
Administration
Pays Italie
Région Ligurie 
Province Imperia 
Maire
Mandat
Alberto Bianchieri
2019-
Code postal 18038
Code ISTAT 008055
Code cadastral I138
Préfixe tel. 0184
Démographie
Gentilé Sanrémasques
Population 53 114 hab. (31-05-2022[1])
Densité 968 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 49′ 00″ nord, 7° 47′ 00″ est
Altitude Min. 15 m
Max. 15 m
Superficie 5 487 ha = 54,87 km2
Divers
Saint patron San Romolo
Fête patronale 13 octobre
Localisation

Localisation dans la province d'Imperia.
Géolocalisation sur la carte : Italie
Sanremo
Géolocalisation sur la carte : Italie
Sanremo
Géolocalisation sur la carte : Ligurie
Sanremo
Liens
Site web site officiel

    Sanremo compte environ 55 000 habitants en 2020. En nombre d'habitants, elle est la quatrième commune ligurienne, après Gênes, La Spezia et Savone.

    Le nom des habitants en français est Sanrémasques, avec le suffixe -ask typique du ligure ancien. Ils parlaient traditionnellement les dialectes ligures intémélien, d'Intemelia, nom désignant la région romaine qui s'étendait de Sanremo à Nice.

    Sanremo est une ville touristique, connue notamment pour la culture des fleurs (chaque année a lieu un corso fleuri, Sanremo en fleurs, d'où le surnom de Cité des fleurs), pour son festival de la chanson italienne, son rallye automobile et son rôle de point d'arrivée de la course cycliste Milan-Sanremo.

    Elle est une des quatre seules villes italiennes à avoir un casino (avec Venise, Campione d'Italia et Saint-Vincent du Val d'Aoste).


    Géographie


    Représentations cartographiques de la commune
    La commune dans la province d'Imperia
    Carte OpenStreetMap
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte topographique
    1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique
    Vue sur la Piazza Bresca lieu animé en soirée entre centre-ville et bord de mer à San Remo
    Vue sur la Piazza Bresca lieu animé en soirée entre centre-ville et bord de mer à San Remo

    La ville est adossée à deux massifs montagneux qui commencent au mont Bignone (1 299 mètres) et s'étendent jusqu'à la mer : à l'est vers le promontoire du cap Vert (surmonté du phare du cap de l'Arme), et à l'ouest jusqu'au cap Noir.

    Le relief montagneux, les futaies de châtaigniers et l'influence de la mer permettent à la ville de profiter d'un climat méditerranéen doux.

    Le hameau résidentiel historique, la Pigna, est comme accroché aux parois d'un promontoire dominé par l'église de la Madone de la Côte où les torrents San Francesco et San Romolo dévalent. À l'est, le torrent San Martino et, à l'ouest, le torrent Foce ont donné leurs noms aux parties respectives de la ville.

    L'arrière-pays, à l'abri de la ville, est consacré en grande partie à la culture de fleurs (sous serres). En effet, la culture de fleurs joue un rôle important dans l'économie de la ville. Quelques oliveraies et des restes de cultures en terrasse, désormais pratiquement abandonnées, parsèment la campagne et les collines environnantes.

    La partie boisée de l'arrière-pays a été récemment incluse dans le parc naturel de San Romolo-Mont Bignone. D'une surface d'environ 700 ha, cette zone (anciennement parcourue par les sentiers muletiers) possède une grande valeur historique et est riche par sa faune, sa végétation, et ses paysages.

    Sanremo est entourée à l'est par le hameau Poggio et à l'ouest par le hameau Coldirodi. Le premier est connu pour être la dernière partie en pente de la course cycliste Milan-Sanremo, le second pour l'importante pinacothèque Rambaldi.

    Du point de vue administratif, la ville s'étend à l'est du cap vert jusqu'au hameau Bussana, le plus peuplé de la ville. Ce hameau a été reconstruit après le tremblement de terre de 1887 qui en avait détruit la partie centrale (ce site correspond aujourd'hui à Bussana Vecchia)[4]. Les constructions en ruines ont été abandonnées jusqu’au début des années soixante quand des artistes venus du monde entier ont décidé de les repeupler, en remettant sur pied les constructions originelles en pierre. Unique en son genre, c'est aujourd'hui un laboratoire à ciel ouvert pour l'art, une porte ouverte sur la vie et la culture rurale du XIXe siècle.

    En 2006, la ville a reçu le Pavillon Bleu d'Europe pour la qualité des services offerts dans le port touristique (Portosole di Sanremo).


    Toponymie


    Le théâtre Ariston
    Le théâtre Ariston
    Vue sur la rue piétonne Via Matteotti dans le centre-ville de San Remo
    Vue sur la rue piétonne "Via Matteotti" dans le centre-ville de San Remo

    La toponymie hésite entre deux versions dérivées de l’étymologie : Sanremo et San Remo. Le nom de la ville semble être une forme dérivée de San Romolo « saint Romule de Gênes » (en dialecte local ligure, on trouve Sanrœmu ou Sanremu) ou encore de la contraction de San Romolo in Eremo ou de Sant'Eremo. Saint Romule de Gênes était un évêque de Gênes ayant vécu au IXe siècle et qui a passé une bonne partie de sa vie dans la ville ligurienne. Il mourut en ermite sur les pentes du mont Bignone.

    La commune adopte officiellement le nom de Sanremo en 2002[2].


    En France


    Le nom officiel de cette ville italienne n'est aujourd'hui pas francisé (contrairement à d'autres toponymes italiens possédant un nom français). Les dictionnaires d'usage précisent que les deux formes Sanremo et San Remo sont autorisées en français[5]. Les grands atlas et cartes géographiques utilisent presque toujours la graphie San Remo[6]. Il est donc possible de retrouver l'une ou l'autre forme dans les divers médias contemporains français. Dans un contexte historique, on trouve aussi parfois la graphie accentuée San Rémo ou la présence d'un trait d’union San-Remo.

    Cette double toponymie s'explique par la controverse entourant la graphie de ce nom en italien (voir ci-dessous).

    Toutefois, la ville a fait historiquement partie de 1793 à 1814 du premier département français des Alpes-Maritimes (dont elle était un chef-lieu d'arrondissement), sous le nom français de Saint-Rème.


    En Italie


    Le point de vue officiel est toujours controversé et est souvent le sujet d'interprétations diverses entre les deux formes. Dans tous les cas, il n'existe pas dans la religion catholique de saint Remo, explication retenue par ceux qui retenaient uniquement la forme contractée en un seul mot, comme c'est le cas actuellement dans la ville et dans tous les organismes publics régionaux.

    Pourtant, à la fin de l'époque fasciste, il y eut des discussions sur l'orthographe exacte de la ville et de nombreuses personnes ont été tentées d'utiliser la version composée. Les partisans de cette orthographe se référaient à l'étymologie du nom et au principe de continuité historique : dans les cartes géographiques du XVIIIe siècle on peut remarquer que la forme composée était employée (soit Civitas Sancti Romuli soit San Remo — mais c'est une traduction très contestable).

    Plus récemment, en étudiant attentivement les documents des archives communales, on observe que le , l'Institut central de statistique avait listé la ville avec le nom composé San Remo, alors que l'administration, jusqu'à ce moment, ne respectait pas le nom officiel « San Remo ». En effet, le , le journal officiel italien (la Gazzetta Ufficiale) imposa que le nom officiel exact soit San Remo.

    Ce même institut statistique intervint le pour rappeler à la ville l'édit du journal officiel. Toutefois, à l'initiative du préfet, le maire de l'époque répondit « Nous insistons pour que le nom soit modifié en Sanremo ».

    Le , le président de l'institut central de statistique contacta à nouveau la ville et écrivit : « … le code communal devrait être modifié selon le nom suivi par l'institut (San Remo, ndr) en en-tête des documents officiels, des timbres utilisés par les services communaux. » et demanda des « preuves écrites de l'application de cette décision ».

    Le , le maire envoya la réponse suivante : « Nous vous demandons de remarquer qu'à partir de maintenant le nom de la ville sera orthographié « San Remo » plutôt que « Sanremo » ».

    La Seconde Guerre mondiale passée, le nom en un seul mot fut toujours utilisé. C'est pourquoi le maire, avec un édit daté du , envoya à tous les fonctionnaires la lettre suivante : « On porte à la connaissance des destinataires que l'orthographe exacte du nom de notre ville est le suivant : « San Remo ». Nous vous faisons parvenir cette information normative en vous priant de bien vouloir la faire suivre au personnel approprié, afin que les documents imprimés et les communications officielles utilisent le nom exact. ».

    Cette décision ne fut jamais appliquée dans les organismes municipaux. Malgré cette décision « officielle » de la ville, la graphie « San Remo » continua à être refusée par la population. L'autre version était utilisée en grande majorité, en particulier dans les indications routières, ferroviaires, touristiques et même presque partout dans les documents officiels de la ville, de la province et de la région. Même les documents officiels électoraux indiquaient le nom Sanremo. Dans les documents centralisés, comme le Journal officiel, les registres des contribuables et dans les documents du centre de statistique, la forme San Remo continua, un temps, à être utilisée. Désormais, l'ensemble des médias italiens utilise uniquement la forme contractée « Sanremo ».

    Finalement, à la suite des diverses délibérations du conseil municipal entre 1991 et 2002, la ville approuva (par une norme officielle de la commune) la forme en un seul mot.


    Histoire


    La Pigna, le centre historique de Sanremo.
    La Pigna, le centre historique de Sanremo.
    Le casino (it).
    Le casino (it).

    Le site de Sanremo a été habité très tôt dans l'histoire, comme en témoignent des restes d'installations humaines datées du Paléolithique. C'est à l'époque romaine que la ville commence à se développer de manière significative. Elle fut fondée le long de la Via Julia Augusta, probablement appelée ainsi par Caius Matutius, qui avait construit une somptueuse villa autour de l’oppidum ancien (près de l'actuel casino). Une autre interprétation fait référence à la divinité d'origine asiatique Mater Matuta, déesse de l'aurore, dont le nom serait donc devenu Matutia puis Villa Matutiæ.

    Quelle qu'en soit l'origine, il est cependant certain que, après la conversion de la population au catholicisme par le saint Orsmida et l'ermite saint Romolo, au IXe siècle la ville fut attaquée continuellement par des pirates sarrasins, qui contraignirent la population à se réfugier dans les montagnes. Passée cette période de dévastations, la ville fut reconstruite le long de la côte, dans les quartiers actuels de San Siro et de la Pigna (appelé ainsi à cause de la forme enroulée selon laquelle ce quartier fut construit pour des raisons militaires), entourée d'une muraille et défendue par un château. Cette zone fut par la suite dédiée à saint Romolo. Un document de 979[7] indique que plusieurs familles demandent à l'évêque Teodolfo un lopin de terre (nommé castrum Sancti Romuli) pour un loyer réduit, dédié à l'évêque qui est « maintenant considéré comme un saint et vénéré par la population, qui dans sa tombe prie et invoque la protection divine contre les ennemis qui continuent à saccager et tuer »[8].

    La ville appartenait précédemment au diocèse d'Albenga-Imperia, puis au comté de Vintimille, et finalement elle passa sous le contrôle des évêques de Gênes.

    En 1297, Sanremo fut vendue aux nobles familles génoises de Oberto Doria et Giorgio De Mari qui en modifièrent le statut administratif[9]. En 1361, elle passa sous le contrôle de la République de Gênes jusqu'en 1367 quand la population fit une collecte pour se racheter et devenir une commune libre (toujours sous la protection de Gênes mais avec un statut particulier).

    Au XVIe siècle, les invasions sarrasines recommencèrent, dont celle du pirate Barbe-rouge, qui en 1544 ravagea la ville et pilla l'église de San Siro.

    Pendant presque deux siècles, la ville resta sous le protectorat de Gênes, mais elle fut bombardée en 1745 par des bateaux britanniques. À ce moment, la ville entra en désaccord avec Gênes à cause des impôts (gabelles) importants qu'elle devait payer alors qu'elle rencontrait des difficultés économiques importantes et qu'on lui avait demandé de séparer le bourg de Colla (actuellement Coldirodi) de la ville. En 1753 la ville se rebella mais les Génois réprimèrent férocement cette révolte. À cette occasion, Gênes construisit le fort de Santa Tecla (utilisé comme prison jusqu'en 1997) aux alentours du port. Cet événement marqua le début d'une période de récession généralisée qui dura un demi-siècle.

    Les troupes napoléoniennes occupèrent la ville en 1794. Jusqu'en 1814, ce fut le chef-lieu d'un arrondissement du premier département français des Alpes-Maritimes, créé en 1805 et qui remplaçait celui de Monaco. Après la Restauration de la Maison de Savoie en 1814, San Remo devient une annexe du Royaume de Sardaigne et dépend du ressort du Sénat de Nice jusqu’en 1848. La misère urbaine avait apporté des conditions d'hygiène terribles, au point qu'une épidémie de choléra ravagea la population en 1837 : c'est à ce moment qu'un nouveau cimetière et un lavoir public furent construits.

    En quelques années, la ville commença à se développer du point de vue touristique : en 1864, la tsarine Maria Aleksandrovna choisit pour la première fois de passer l'hiver à Sanremo, ce qui ouvrit la route au tourisme élitiste des nobles russes, ceux-ci étant attirés par le climat doux et la beauté des lieux. L'impératrice d'Autriche Élisabeth de Wittelsbach (Sissi), lors de ses multiples voyages à travers l'Europe (1870-1890) s'arrête plusieurs fois à San Remo. C'est lors de cette période que les magnifiques édifices de la ville sont construits, principalement selon le style Art nouveau, pour l'aristocratie européenne qui s'installa de façon semi-permanente dans la ville. Toujours à la fin du XIXe siècle, la ville passe de l'agriculture des agrumes à la culture des fleurs.

    Affiche touristique des années 1920.
    Affiche touristique des années 1920.

    Au début du XXe siècle, des infrastructures plus adaptées aux divertissements de l'élite exigeante de la Belle Époque furent construits : le Casino (it), le terrain de golf, le téléphérique de San Remo-Mont Bignone (à l'époque le plus long du monde), l'hippodrome, le stade, etc. À la fin de la Première Guerre mondiale, la conférence de San Remo eut lieu entre alliés pour discuter de la redistribution des terres de l'Empire ottoman, dont la Palestine (donnée à la Grande-Bretagne), la Syrie, et le Liban (donné à la France).

    Pendant les années trente, la ville a connu son plus grand développement touristique : San Remo continua à augmenter ses capacités d'accueil d'un côté et développa son économie de la culture des fleurs de l'autre. À l'approche de la Seconde Guerre mondiale, le tourisme élitiste commença lentement à décroître. Avec la fin du conflit, la ville vit l'arrivée du tourisme de masse, grâce auquel les périodes de séjour sont passées de l'hiver à l'été. La croissance économique importante qui en découla et les opportunités de travail dans la culture de fleurs ont attiré de nombreux travailleurs (en particulier des Abruzzes) qui ont contribué de manière notable à agrandir la ville. La spéculation immobilière des années soixante et années soixante-dix, conjuguée à une augmentation des besoins de la ville, n'a pas eu un effet très positif : le bétonnage sauvage a empêché un développement harmonieux du centre-ville, devenu entretemps toujours plus peuplé et anarchique.

    La création du nouveau port touristique Portosole (littéralement « Port du soleil »), à la fin des années soixante a confirmé le rôle touristique de la ville qui est devenu de plus en plus important dans l'économie locale. À partir de là, une sensibilité différente a émergé : les zones les moins soignées de la ville ont été revalorisées et un nouveau plan d'urbanisme a freiné les constructions sauvages.

    Actuellement San Remo traverse une période de reconversion intensive pour contrecarrer la lente décroissance du tourisme qui a commencé dans le milieu des années 1990. Le but est de relancer le tourisme, d'améliorer la renommée culturelle et historique de la ville, et de mettre en valeur ses paysages.


    Monuments et lieux touristiques


    Sanremo offre de somptueux exemples d'architecture en tout genre du baroque, en passant par l'Art nouveau, le roman et le néoclassique.


    Églises


    Église russe aussi appelée église du Christ Rédempteur.
    Église russe aussi appelée église du Christ Rédempteur.
    Église russe en cours de travaux en avril 2019.
    Église russe en cours de travaux en avril 2019.

    Châteaux



    Palais et villas


    Palais Borea d'Olmo, portail du XVIe siècle.
    Palais Borea d'Olmo, portail du XVIe siècle.
    La villa Stefania.
    La villa Stefania.

    Parcs et Jardins



    Événements



    Personnalités


    Voir la catégorie : Personnalité liée à Sanremo.
    Lessya Oukraïnka
    Lessya Oukraïnka

    Administration


    Les maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1984 1993 Leone Pippione Démocratie chrétienne Maire
    1993 1995 Davide Oddo Ligue du Nord Maire
    1995 1995 Giuseppe Piccolo   Commissaire
    1995 2003 Giovenale Bottini Centre droit Maire
    2003 2004 Elio Maria Landolfi   Commissaire
    2004 2008 Claudio Borea L'Union Maire
    2008 2009 Umberto Calandrella   Commissaire
    2009 2014 Maurizio Zoccarato Le Peuple de la liberté Maire
    2014 En cours Alberto Biancheri Centre Maire
    Les données manquantes sont à compléter.

    Hameaux



    Communes limitrophes


    Apricale, Bajardo, Ceriana, Ospedaletti, Perinaldo, Seborga, Taggia


    Évolution démographique


    Habitants recensés


    Enseignement



    Transports et voies de communication



    Routes et autoroutes


    Sanremo est située le long de la route nationale Aurelia. On peut aussi arriver à Sanremo depuis le péage tout proche de l'autoroute A10.


    Lignes ferroviaires


    Sanremo est dotée d'une station sur la ligne ferroviaire Vintimille-Gênes et est située dans le secteur local Vintimille-Savone.


    Transport en commun


    Sanremo possède un réseau de trolleybus et un réseau de bus.


    Jumelages



    Sport


    Chaque année, Sanremo constitue l'arrivée de la course cycliste Milan-Sanremo, via Roma.

    Le , la 17e étape du tour d'Italie, la boucle (départ et arrivée à Sanremo) du circuit des fleurs a eu lieu. Elle fut remportée par Pietro Caucchioli.

    Le Rallye Sanremo (ou rallye de Sanremo) est un rallye automobile, créé en 1970, qui se déroule autour de la ville. Il comptait auparavant pour le championnat du monde des rallyes.

    Sanremo héberge également les associations sportives suivantes :


    Notes et références


    1. (it) Popolazione residente e bilancio demografico sur le site de l'ISTAT.
    2. Statuto del Comune di Sanremo
    3. Pour l'Eglise catholique. Pour vérifier : voir la publication des actes de mariage dans les églises. Vous y trouverez "San Remo".
    4. « Sanremo et ses environs - Azurseisme », sur www.azurseisme.com (consulté le ).
    5. Le Petit Larousse (illustré) 2008, p. 1 666 (ISBN 978-2-0358-2502-5)
      Le Robert encyclopédique des noms propres 2008, p. 2 036 (BNF 41384938)
      Dictionnaire Hachette 2008, p. 1 453.
    6. Carte IGN 901, France basique au 1 millionième
      Geo Gallimard pour le XXIe siècle
      Grand Atlas du monde de la Sélection du Reader's Digest
      Grand Atlas Le Monde
      Geographica.
    7. A. Canepa, Illustrazione di antichi documenti riferentesi al Castello di S. Romolo, Albenga, 1935.
      • N. Calvini, Pagine di storia sanremasca, Casabianca, Sanremo, 1978.
    8. E. Bernardini, San Remo, storia e anima di una città, De Agostini, Novara, 1987
    9. (it) parrocchiasansiro.it.
    10. Les hypothèses à propos de la décision de Nobel de s’installer à San Remo en acquérant cette villa.
    11. Voir l'essai d'Italo Calvino intitulé, « Note biographique objective », dans son Ermite à Paris, Éditions du Seuil, Paris (2001), p. 76.
    12. Site de l'ITPCG.
    13. Site de l'Institut professionnel public pour l'agriculture et l'environnement Domenico Aicardi.
    14. Site de l'Institut public professionnel de l'Industrie et des Artisans Guglielmo Marconi.
    15. Lycée Gian Domenico Cassini.
    16. (it) Site du Polisportiva Matuziana Sanremo.
    17. (en) Times online.

    Voir aussi



    Articles liés


    Sur les autres projets Wikimedia :


    Liens externes



    На других языках


    [de] Sanremo

    Sanremo (auch San Remo) ist ein italienischer Kurort mit 54.850 Einwohnern (Stand 31. Dezember 2019) an der Riviera di Ponente in Ligurien. Die Stadt ist etwa 20 Kilometer von der französischen Grenze entfernt und vor allem für das seit 1951 jährlich Anfang des Jahres ausgetragene Sanremo-Musikfestival bekannt.

    [en] Sanremo

    Sanremo (Italian: [sanˈrɛːmo]; Ligurian: Sanrémmo(ro)[3] or Sanreumo(ro), pronounced [saŋˈɾøːmu(ɹu)]) or San Remo is a city and comune on the Mediterranean coast of Liguria, in northwestern Italy. Founded in Roman times, it has a population of 55,000, and is known as a tourist destination on the Italian Riviera. It hosts numerous cultural events, such as the Sanremo Music Festival and the Milan–San Remo cycling classic.

    [es] San Remo

    San Remo (en italiano, Sanremo) es una ciudad de Italia perteneciente a la provincia de Imperia, en la región de Liguria. Está ubicada en la costa mediterránea, al noroeste del país.
    - [fr] Sanremo

    [ru] Сан-Ремо

    Сан-Ре́мо или Санре́мо (итал. Sanremo[1], лиг. Sanremu) — итальянский курортный город. Четвёртый по величине город Лигурии и самый большой город в провинции Империя.



    Текст в блоке "Читать" взят с сайта "Википедия" и доступен по лицензии Creative Commons Attribution-ShareAlike; в отдельных случаях могут действовать дополнительные условия.

    Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.

    2019-2025
    WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии