Évricourt est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
Cet article est une ébauche concernant une commune de l’Oise.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment?). Le bandeau {{ébauche}} peut être enlevé et l’article évalué comme étant au stade «Bon début» quand il comporte assez de renseignements encyclopédiques concernant la commune. Si vous avez un doute, l’atelier de lecture du projet Communes de France est à votre disposition pour vous aider. Consultez également la page d’aide à la rédaction d’un article de commune de France.
Évricourt
Mairie du village
Administration
Pays
France
Région
Hauts-de-France
Département
Oise
Arrondissement
Compiègne
Intercommunalité
CC du Pays des Sources
Maire Mandat
Michel Debonne 2020-2026
Code postal
60310
Code commune
60227
Démographie
Gentilé
Ebroïciens, Ebroïciennes
Population municipale
227 hab. (2019 )
Densité
76 hab./km2
Géographie
Coordonnées
49° 34′ 07″ nord, 2° 54′ 23″ est
Altitude
Min. 45 m Max. 163 m
Superficie
3 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Compiègne (commune de la couronne)
Élections
Départementales
Canton de Thourotte
Législatives
6ecirconscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Évricourt
Géolocalisation sur la carte: France
Évricourt
Géolocalisation sur la carte: Oise
Évricourt
Géolocalisation sur la carte: Hauts-de-France
Évricourt
modifier
Ses habitants sont les Ebroaldiens ou Ebroïciens[1].
Géographie
Description
Évricourt est un village périurbain du Noyonnais dans l'Oise, situé au pied du mont de Cuy et dans la vallée de la Divette, à 7 km à l'ouest de Noyon, 20 km au sud-est de Roye, 16 km à l'ouest de Chauny, 32 km au nord-ouest de Soissons et 22 km au nord-est de Compiègne.
Il est aisément accessible depuis les grands axes du secteur: les anciennes RN 32 et RN 334) actuelles RD 1032 et 934). L'autoroute A1 peut être rejointe à Roye.
En 1850, Louis Graves indiquait que «cette petite commune est située au pied du mont de Cuy, dans la vallée de la Divette; son territoire très-borné comprend une
superficie presque circulaire sur la pente de la colline; le chef-lieu est rapproché de la limite méridionale qui est déterminée par la rivière[2]».
Communes limitrophes
Cuy
Suzoy
Thiescourt
N
OÉvricourtE
S
Cannectancourt
Ville
Hydrographie
Le moulin d'Epinoy dans les sannées 1920.
Le territoire communal est limité au sud par le lit de la Divette, un affluent de l'Oise et donc un sous-affluent de la Seine.
Le moulin à eau d'Épinoy est attesté au XIIIesiècle et constituait une propriété du chapitre de la cathédrale Notre-Dame de Noyon. Il broyait alors du blé. Incendié, il est reconstruit en 1855 par son propriétaire, M. Reneufve, puis est reconverti à la fin du XIXesiècle par Armand Lepage pour fournir l'énergie d'une fabrique de roues en bois qui cesse dans les années 1930. Le moulin est endommagé durant les guerres, et sa roue motrice est remplacée par une turbine. Après l’arrêt de l’activité, le moulin devient une habitation[1],[3].
Dans le cadre de la remise en fond de vallée du lit de la Divette, des travaux de restitution de son lit ont été menées en 2019 dans le secteur du moulin d'Épinoy afin de rétablir la dynamique de la rivière, et donc permettra le libre écoulement des sédiments, faciliter le passage des poissons et le stockage des eaux en période de crue[4],[5]
Une pisciculture y aménagée afin d’accueillir des truitelles qui, élevées par les bénévoles, peuplent ensuite l’affluent une fois qu’elles ont atteint la taille de 25 centimètres[6].
La rivière est bordée de zones humides et de marais[7].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]
Moyenne annuelle de température: 10,6°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,8 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 3,9 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,4 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8,6 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Ribecourt», sur la commune de Ribécourt-Dreslincourt, mise en service en 1976[14] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[15],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2°C et la hauteur de précipitations de 738,4 mm pour la période 1981-2010[16].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], «Saint-Quentin», sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 35 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 10°C pour la période 1971-2000[18] à 10,3°C pour 1981-2010[19], puis à 10,8°C pour 1991-2020[20].
Urbanisme
Typologie
Évricourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[21],[22],[23].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[24],[25].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (68%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (53,3%), forêts (23,7%), zones agricoles hétérogènes (14,7%), zones urbanisées (8,2%)[26].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[27].
Lieux-dits, hameaux et écarts
La commune compte un hameau, Épinoy, sur la Divette. En 1850, il comptait quinze maisons[2].
Habitat et logement
En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 95, alors qu'il était de 89 en 2014 et de 82 en 2009[I 1].
Parmi ces logements, 90,5% étaient des résidences principales, 4,2% des résidences secondaires et 5,3% des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,9% d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,1% des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Évricourt en 2019 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,2%) supérieure à celle du département (2,4%) et à celle de la France entière (9,7%). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 82,4% des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (87,3% en 2014), contre 61,4% pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].
Résidences secondaires et logements occasionnels (en%)
4,2
2,4
9,7
Logements vacants (en%)
5,3
7,1
8,2
Toponymie
La localité a été désignée comme Ebraldocurtis en 775, Evericourt en 1570.
Il s'agit d'une dénomination constituée à partir d'un nom de personne, dérivé de “Ebroald” en germain ou en latin “Evri”, et de “curtis” en latin, en français moderne Court, signifiant le domaine d’Ebroaldo[1].
Histoire
Autrefois, au centre du territoire communal se trouvait Dive-le-Franc, dont la seigneurie est donnée, en 1390 , à la cathédrale de Noyon, par Garnier-Gérault, curé de Saint-Jean-en-Grève, à Paris. Louis Graves indiquait en 1850: «On prétend que ce lieu était le véritable centre du pays, et qu'Evricourt n'a été bâti qu'après la destruction de Dive-le-Franc,
qui a disparu en entier; on retrouve à peine quelques vestiges de fondations sur son emplacement[2]».
Au Haut Moyen Âge, l'Abbaye de Saint Denis possédait des biens à Evricourt, dont elle avait été dépouillée; Pépin le Bref, maire du palais, par un jugement rendu en 751, après la vérification de ses titres, et après une enquête contradictoire, ordonnela restitution à l'abbaye de ce qui lui appartenait[28].
Sous l'Ancien Régime, la paroisse d'Évricourt relevait du bailliage, de l'élection de Noyon et
de la Généralité de Soissons. Les grosses dîmes étaient perçues par les chanoines de la cathédrale Notre-Dame de Noyon[28].
En 1850, on comptait sur le territoire communal un moulin à eau et deux moulins à vent[2].
Première Guerre mondiale
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
L'ancien hameau de Marquency, qui comptait quelques maisons, a été détruit durant la Première Guerre mondiale. Le lieu-dit les Aulnes de Marquecy, situé au nord du village, est le seul souvenir de ce hameau[1].
Le village est occupé par l'armée allemande dès le jusqu'au lors de son repli sur la ligne Hindenburg loirs de l'Opération Alberich. Les hommes restés sur place sont déportés en Allemagne au début de cette occupation. L'armée française devient alors maître du village, qui reste en zone avancée sous contrôle militaire strict. Il est réoccupé par les Allemands de juin à fin, août 1918[29],[30].
Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[31] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [32].
Évricourt pendant la Première Guerre mondiale
Le village détruit, en 1917.
Intérieur de l'église
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Rattachements administratifs
La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Lassigny[33]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton de Thourotte
Articles détaillés: Liste des cantons de l'Oise, Conseil départemental de l'Oise et Liste des conseillers départementaux de l'Oise.
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.
Articles détaillés: Liste des circonscriptions législatives de l'Oise et Liste des députés de l'Oise.
Intercommunalité
Évricourt est membre de la communauté de communes du Pays des Sources, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Thiescourt et Cannectancourt dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI). L'école Marquecy d'Évricourt est dotée depuis 2021 d'un accueil périscolaire[37].
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[39].
En 2019, la commune comptait 227 habitants[Note 8], en augmentation de 10,73% par rapport à 2013 (Oise: +1,72%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
213
216
233
228
240
237
215
210
204
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
201
203
211
181
166
154
146
146
134
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
117
132
119
93
103
89
86
89
93
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
104
117
105
148
188
199
209
210
201
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
224
227
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Saint-Sulpice
Église Saint-Sulpice, partiellement détruite pendant la Première Guerre mondiale et réparée à l'identique, datedu XVIesiècle L’intérieur dispose d'un mobilier complet, en pierre et plâtre moulé, de style néo-roman ou composite, très richement orné, ainsi qu'une sainte Catherine en bois, XVIesiècle[41]
L'arbre de la liberté, un marronnier planté en 2021 aux abords de l’école d’Évricourt[42].
Personnalités liées à la commune
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
En 1246, Guillaume Muideblé, écuyer, est seigneur de Dive-la-Franche et donne à l'Abbaye Notre-Dame d'Ourscamp une muiée de terre nommée: le Champ Soibert, contigüe au marais de Larbroye[28].
Carte spéciale des régions dévastées: 22 SO, Laon [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), sur Gallica.
Notes et références
Notes
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[11].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Lassigny, arrondissement de Compiègne (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 116p. (lire en ligne), p.57-58, sur Google Livres.
«Le lit de la Divette repositionné à Évricourt», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )«Ce chantier, d’un montant de 800 000 euros entièrement financés par l’Agence de l’eau, est prévu en plusieurs étapes».
«À Évricourt, le nouveau lit de la Divette est prêt», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
«Une pollution tue 640 kilos de truites à Évricourt: Un déversement dans la Divette, près de Noyon, a notamment impacté la pisciculture animée par des bénévoles», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
«À Évricourt, des jeunes ont restauré le marais pour partir en vacances», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, A. Mennecier, , 432p. (lire en ligne), p.206, sur Gallica
Marie-Christine Leroy, «À 72 ans, le maire d’Évricourt garde le bâton de pèlerin: Alain Bonte, premier magistrat d’Évricourt depuis cinq mandats, vient de conclure un périple de 1 700 kilomètres en cinq ans, jusqu’à Saint-Jacques-de-Compostelle. Il ne veut pas raccrocher.», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )«Mais non, le maire d’Évricourt n’a pas oublié le village dont il s’occupe depuis cinq mandats, et même sept en comptant son ancien rôle de conseiller municipal».
«À Sermaize, le maire Marcel Dausque passe la main», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )«Dans la commune d’Évricourt, le maire, Alain Bonte, ne s’est lui non plus pas représenté, après cinq mandats de premier magistrat».
«Un «arbre de la liberté» planté à l’école d’Évricourt: Le syndicat intercommunal à vocation multiple, à l’origine de ce projet citoyen, souhaite également que l’espace vert soit utilisé par les enfants pour des activités autour de l’environnement», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )«Ce projet, émis par les élus du Syndicat intercommunal à vocation multiple (SIVOM) qui unit le village à Thiescourt et Cannectancourt, avait été proposé aux enseignantes, afin d’offrir un symbole des valeurs de la République».
Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.
2019-2025 WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии