Élincourt-Sainte-Marguerite est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Élincourtois et les Élincourtoises.
Ne pas confondre avec Élincourt, une autre commune française.
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Élincourt-Sainte-Marguerite | |
![]() Église Notre-Dame et Sainte-Marguerite | |
![]() Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Hauts-de-France |
Département | Oise |
Arrondissement | Compiègne |
Intercommunalité | CC du Pays des Sources |
Maire Mandat |
Annie Menard 2020-2026 |
Code postal | 60157 |
Code commune | 60206 |
Démographie | |
Gentilé | Élincourtois, Élincourtoises |
Population municipale |
857 hab. (2019 ![]() |
Densité | 78 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 31′ 35″ nord, 2° 49′ 08″ est |
Altitude | Min. 37 m Max. 182 m |
Superficie | 10,98 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Compiègne (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Thourotte |
Législatives | 6e circonscription de l'Oise |
Localisation | |
Liens | |
Site web | https://www.elincourtsaintemarguerite.fr/ |
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Entourée par les communes de Marest-sur-Matz, Mareuil-la-Motte et Vandélicourt, Élincourt-Sainte-Marguerite est située à 12 km au nord-ouest de Compiègne, la plus grande ville des environs, à 55 km au nord-est de Beauvais, 55 km au sud-est d'Amiens, 24 km au sud-est de Montdidier et 15 km au sud-ouest de Noyon.
Elincourt-Sainte-Margueritte, desservie par plusieurs routes départementales, est aisément accessible depuis l'autoroute A1 et l'ancienne route nationale 32 (actuelle RD 1032). Le chemin de grande randonnée GR123 passe dans la commune.
Le village se situe à 80 mètres d'altitude.
Louis Graves indiquait en 1850 qu'Élincourt-Sainte-Catherine était une « Grande commune qui occupe le versant septentrional de la vallée du Mats, et qui est couronnée au nord par des coteaux garnis de bois. Le village est assis sur la déclivité dè ces coteaux, près de leur base; il est formé de six rues principales qui partent de la place, près de laquelle est l'église paroissiale : ces rues sont pavées. La rivière du Metz traverse la région inférieure de la commune, et le ruisseau du Roue descend des coteaux vers le lit de cette rivière : plusieurs vallons à bords escarpés divisent .l'ensemble du territoire[1] ».
Mareuil-la-Motte | Thiescourt | Cannectancourt |
Margny-sur-Matz | ![]() |
|
Vandélicourt | Marest-sur-Matz | Chevincourt |
Le Matz et le ruisseau du Rhosne sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune.
Ils confluent dans la commune voisine de Marest-sur-Matz.
Le Matz, dont les bras passent en limite sud du territoire communal, est un sous-affluent de la Seine par l'Oise.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ribecourt », sur la commune de Ribécourt-Dreslincourt, mise en service en 1976[8] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 738,4 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 43 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,3 °C pour 1981-2010[13], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[14].
Élincourt-Sainte-Marguerite est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (58,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (58,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58,5 %), terres arables (23,1 %), zones urbanisées (8,7 %), zones agricoles hétérogènes (5,1 %), prairies (4,5 %), mines, décharges et chantiers (0,1 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 409, alors qu'il était de 399 en 2014 et de 378 en 2009[I 1].
Parmi ces logements, 85,3 % étaient des résidences principales, 10,2 % des résidences secondaires et 4,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 95,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,9 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Élincourt-Sainte-Marguerite en 2019 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (10,2 %) supérieure à celle du département (2,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 89,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (87,2 % en 2014), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].
Typologie | Élincourt-Sainte-Marguerite[I 1] | Oise[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 85,3 | 90,4 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 10,2 | 2,4 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 4,5 | 7,1 | 8,2 |
Le nom de la localité est attesté sous la forme Aquilinicurtis en 923, Aquilinicurt en 936[22], Elencurt en 1118, Aelicurt en 1206, Eslencourt vers 1517[23].
Il s'agit d'un type toponymique médiéval en -court au sens ancien de « cour de ferme, exploitation rurale » (calque du germanique -hof « cour, ferme »), précédé du nom de personne germanique Agilin[24], autrement noté Agilenus[25].
Remarque : Aquilinicurtis est une latinisation fallacieuse inspirée d'une forme hypothétique *Aiglincurt, *Eglincurt, *Aillincurt dans lequel l'élément *Aiglin-, *Eglin-, *Aillin- a été perçu comme un dérivé du mot aigle (anciennement eigle, egle et aille qui sont des formes médiévales du mot aigle). En effet, ce dernier est issu du latin aquila, dont le dérivé est précisément aquilinus « courbé en bec d'aigle », d'où la latinisation Aquilini- (aquilin est un emprunt savant au latin XVe siècle). L'anthroponyme germanique Agilin a régulièrement donné *Aiglin-, puis *Ail(l)in- (> Aeli[n]curt en 1206, amuïssement du [g] dans certains contextes phonétiques en langue d’oïl), d'où Élin-. En outre, les toponymes en -court sont presque exclusivement composés avec des anthroponymes germaniques.
Ni cette latinisation, ni l'étymologie populaire n'ont altéré le nom d'Élincourt, contrairement à ce qui s'observe dans Aiglemont (Ardennes).
Bellinglise est une formation toponymique médiévale composée avec un autre nom de personne germanique, voir Bellinglise.
Élincourt a une origine ancienne : on a, en effet, découvert sur son territoire des instruments (1873, hache de pierre dans le jardin du sieur Devillers) et des sépultures au lieu-dit le Rosier datant de l’époque celtique (1842), ainsi que différents objets de la période gallo-romaine (des tuiles et un sarcophage) près du château de Bellinglise (1861) et en 1875, au lieu-dit le Jonquoy , un chapiteau de pierre parfaitement conservé, monument chrétien des premiers siècles[réf. nécessaire].
Élincourt est mentionnée pour la première fois dans une charte de 922, dans laquelle il est stipulé que le village, ainsi que la chapelle de Sainte-Marguerite « et autres religieux de Saint-Corneille de Compiègne, étaient dotés d’un presbytère et des revenus nécessaires aux frais du culte et aux besoins d’un prêtre qui le desservait. Le prieuré de Sainte-Marguerite, établissement social en 1119 et prieuré conventuel à partir de 1245, puis la maladrerie, créée à la suite des croisades (XIIIe siècle), dépendait de l’évêché diocésain et « rendit de grands services »[réf. nécessaire].
Louis Graves indique qu'il « y avait à Elincourt un prieuré de l'ordre de S. Benolt, dépendant du monastère de Lihons en Santerre , fondé vers 1245 par Raoul de Condun, soixante-troisième évêque de Soissons. Cet établissement, sous le titre de Sainte-Marguerite (Sancta Margarita
de Elincuria), était conféré par l'abbé de Cluny, et était placé au-dessus du village, sur la montagne du côté de Mareuil. Il devait contenir douze moines qui acquirent avec le tems une grande aisance ; les fermes de Porte , de Reverie,. de Revenne, d'Attiche, d'Orval, leur furent successivement données, ainsi que les dîmes de Remy, Welles-Pérennes, Lécouvilton, Ressons, Margny-sur-Matz, Ecuvilly, la carrière de Ville, etc., etc., (...) L'église et les cloîtres, vendus, dans la révolution, ont été démolis (...)
On trouvait encore à Élincourt une Maison-Dieu ou hospice, et une maladrerie dont la chapelle fut dotée en 1207 par le comte de Saint-Pol, et à laquelle nommait l'évêque diocésain.
Le Château de Bellinglise, domaine moderne avec parc et étang, forme un écart au nord du 'chef-lieu, dans un vallon entre les montagnes d'Élincourt et de Jérémie.
[1]».
En 1850, la commune était propriétaire de son presbytère. On comptait dans le territoire communal une carrière, une cendrière, une tuilerie, un moulin à vent et deux moulins à eau. Une partie de la population tissait des tissus de conton[1].
La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Lassigny[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton de Thourotte
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.
Élincourt-Sainte-Marguerite est membre de la communauté de communes du Pays des Sources, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1799 | 1804 | Pierre Margantin '1747-1821) |
Notaire à Paris, propriétaire du château de Bellinglise | |
1804 | 1808 | Antoine Génard (1759-1824) |
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1808 | 1809 | Antoine, vicomte de Héricourt (1781-1856) |
Devient ultérieurement maire de Machemont puis de Lassigny | |
1809 | 1820 | Pierre Margantin (1747-1821) |
Notaire à Paris, propriétaire du château de Bellinglise | |
1820 | 1838 | Jacques Nicolas Defrenois (1764-1849) |
Garde des bois du château de Bellinglise | |
1840 | 1871 | Alexandre Barrillon[28] (1801-1871) |
Centre droit | Avocat, chef de bataillon de la Garde nationale Député de l'Oise (1837 → 1839, 1842 → 1846, 1848 → 1851, 1865 → 1870) Conseiller général de Lassigny (1833 → 1833) Conseiller d'arrondissement (1833 → ?) Commissaire du gouvernement dans l'Oise (1848 → 1848) Décédé en fonction |
1871 | 1907 | François-Ernest Dutilleul[29] (1825-1907) |
Centre-droit | Inspecteur des finances, gendre d'Alexandre Barrillon Ministre des Finances (1877 → 1877) Président de la Banque de Paris et des Pays-Bas (1877 → 1894) Grand-officier de la Légion d'honneur Décédé en fonction |
1907 | 1917 | François Georges Augustin Collart-Dutilleul (1841-1917) |
Frère du précédent Conseiller référendaire à la Cour des Comptes Mort en fonction | |
1919 | 1925 | Eugène Gourlet (1859-1944) |
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1925 | 1929 | Bernard Louis Collart-Dutilleul[30] (1870-1952) |
Fils de François Georges Augustin Collart-Dutilleul Ancien élève de l'école militaire de Saint-Cyr, Capitaine de cavalerie Chevalier de la Légion d’Honneur | |
1929 | 1933 | Eugène Gourlet (1859-1944) |
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1933 | 1935 | Aimé Désiré Monchy (1880-1946= |
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1935 | 1941 | Raymond Hauroy (1869-1948 |
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1941 | 1945 | Jacques Le Queré (1872-1947) |
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1945 | 1959 | Jacques Paul Charles Joseph Pierre Lefèbvre (1911-1977) |
Croix de guerre 1939-1945 | |
1959 | 1965 | Jean Meaux | Marchand volailler | |
1965 | 1971 | Jacques Paul Charles Joseph Pierre Lefèbvre (1911-1977) |
Croix de guerre 1939-1945 | |
1971 | 2001 | Gaston Pohier (1925-2015) |
PS | Retraité des postes, militant syndical |
2001 | 2014 | Jean-Claude Hourriez (1948- ) |
PCF | Retraité GDF, militant syndical |
2014 | mai 2020[31] | Bruno Huygebaert | LR | Agent de Police |
mai 2020[32] | En cours (au 2 décembre 2021) |
Annie Ménard 1954- ) |
DVG | Greffière retraitée |
Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Marest-sur-Matz.dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI).
Les écoles d'Elincourt accueillent les classes de la toute petite section (TPS) au CP/CE1[33]. L'école maternelle date de 2020 et remplace d'anciens préfabriqués[34],[35].
Un marché hebdomadaire a lieu le lundi en fin d'après-midi[36].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[38].
En 2019, la commune comptait 857 habitants[Note 8], en diminution de 6,13 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
769 | 792 | 789 | 774 | 866 | 873 | 844 | 817 | 784 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
773 | 794 | 726 | 690 | 675 | 661 | 634 | 633 | 627 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
582 | 562 | 543 | 421 | 417 | 393 | 377 | 426 | 452 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
484 | 512 | 519 | 632 | 681 | 763 | 824 | 907 | 865 |
2019 | - | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
857 | - | - | - | - | - | - | - | - |
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,8 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 450 hommes pour 406 femmes, soit un taux de 52,57 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,0 | 90 ou + | 0,5 |
5,5 | 75-89 ans | 4,9 |
16,7 | 60-74 ans | 16,2 |
22,0 | 45-59 ans | 27,2 |
20,4 | 30-44 ans | 20,2 |
14,7 | 15-29 ans | 11,9 |
20,8 | 0-14 ans | 19,1 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,5 | 90 ou + | 1,3 |
5,3 | 75-89 ans | 7,5 |
15,1 | 60-74 ans | 15,8 |
20,9 | 45-59 ans | 20,1 |
19,5 | 30-44 ans | 19,4 |
17,9 | 15-29 ans | 16,5 |
20,8 | 0-14 ans | 19,4 |
![]() |
Blason | Parti : au premier de gueules aux deux fasces d’argent, celle en pointe chargée de trois étoiles de sable, au second d’azur à l’épée d’argent garnie d’or, surmontée d’une couronne royale du même et accostée de deux fleurs de lys aussi d’or. |
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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