Villers-lès-Nancy se situe dans le nord-est de la France, dans la banlieue ouest de Nancy. Elle s’étend depuis Nancy jusque sur le plateau de Haye et sa forêt.
Villers
Communes limitrophes
Villers-lès-Nancy est limitrophe de cinq communes[2], toutes situées dans le département de Meurthe-et-Moselle et réparties géographiquement de la manière suivante:
Villers-lès-Nancy est reliée au Grand Nancy grâce aux lignes du réseau de transport de l'agglomération nancéienne appelé Réseau Stan, cependant, seule la ligne 16 dessert l'extrémité de la commune, à l'Ouest de la métropole:
Tempo 3: Villers Campus Sciences - Seichamps Haie Cerlin
Ligne 30: Laneuveville Gare - Villers Campus Sciences
Ligne Corol (ligne circulaire desservant Vandœuvre, Jarville, Nancy, Laxou, Villers)
Ligne 51 (scolaire): Villers Clairlieu - Villers Lycée Stanislas
Ligne 52: Villers Collège Chepfer - Villers Lycée Stanislas
Ligne 66 (scolaire): Villers Lycée Stanislas - Fléville
Le service de transport Villers intra bus, VIB, est également mis à disposition par le CCAS, en complément du Réseau Stan, afin de favoriser la mobilité des seniors de Villers-lès-Nancy. Celui-ci dessert les 3 quartiers de la commune sur 3 jours différents: Clairlieu est desservi le lundi, Village-centre le mardi et Placieux-val le mercredi[3].
Urbanisme
Typologie
Villers-lès-Nancy est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6].
Elle appartient à l'unité urbaine de Nancy, une agglomération intra-départementale regroupant 28 communes[7] et 286 041 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[8],[9].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (51,4% en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (42,5%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (41,7%), zones urbanisées (31,8%), espaces verts artificialisés, non agricoles (13,7%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,9%), prairies (4%), cultures permanentes (2,8%)[12].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[13].
Quartiers et lieux-dits
La commune est composée de trois quartiers: Placieux-Mairie, Botanique-Village, qui va du village au jardin botanique Jean-Marie-Pelt[14] et au plateau de Brabois et Clairlieu dans une clairière de la forêt de Haye, au-delà de l’autoroute A33.
Placieux-Val
Ce quartier est le plus proche de Nancy. Le parc du Placieux a été construit entre les années 1930 et 1970; les deux secteurs qui composent «Villers-bas», abritent de nombreux bâtiments à vocation publique: la mairie bien sûr, deux zones commerciales de proximité, deux centres socio-culturels, des sièges d’administration, un foyer de personnes âgées et une maison de retraite privée, plusieurs écoles. On y trouve aussi la marque de l’entrée de Villers dans le XXIesiècle avec la reconstruction de l’îlot des Poilus d’Orient et les panneaux solaires de ses nouveaux immeubles.
Village-centre
Cette zone est située entre le quartier Placieux-Mairie et Clairlieu, et s’étend du secteur du jardin botanique Jean-Marie-Pelt, en bordure de la faculté des sciences et technologies (limite de Vandœuvre-lès-Nancy), le boulevard des Aiguillettes et inclut le village (également appelé «Le Vieux Villers») jusqu’en bordure de la voie de contournement (A33), comportant le plateau de Brabois, le pôle technologique et Villers-Cottages.
Le parc de Brabois, équipement communautaire majeur, est situé en quasi-totalité sur le territoire de la commune de Villers. Dévasté par la tempête de 1999, il bénéficie actuellement d’un programme de remise en valeur. Sur son flanc ouest, la «Grande Avenue» porte le nom de l’ancien maire Paul Muller et relie Clairlieu à la Mutualité. C’est là qu’a été inauguré en 2007, le nouveau bâtiment de Télécom Nancy, école d’ingénieurs composante de l’université Henri-Poincaré. Sur le plateau, se déroulent tous les ans en mai les Eurovolies.
Après les hauteurs du village, cœur historique de la commune, on découvre le jardin botanique Jean-Marie-Pelt et le lotissement dénommé «Villa Jardin botanique» situé au lieu-dit «Sous le château» construit dans les années 1980. Il jouxte la partie villaroise de la faculté des sciences et technologies de l'université de Lorraine, et notamment le LORIA, un des plus grands laboratoires de la région Lorraine[15].
Clairlieu
Le quartier de Clairlieu est situé à l’ouest de la commune, est principalement constitué d’un grand lotissement, construit sur d’anciens terrains agricoles et pour partie inclus dans la forêt de Haye. Les habitants sont appelés Clairlocois.
Après avoir longé Promotech[16] et le technopole Nancy-Brabois, les bâtiments du centre de gestion de la fonction publique de Meurthe-et-Moselle et Fidal[17], cabinet d'avocats en droit d'affaire, puis le stade municipal Roger-Bambuck, l’avenue Paul-Muller descend vers le bassin de la Sance à l’entrée nord de Clairlieu. Bâti sur les terrains d’une ancienne abbaye cistercienne, ce lotissement a été, dans les années 1970, la plus grosse opération d’habitat social individuel d’Europe.
Toponymie
L'historien Henri Lepage donne comme nom les formes suivantes Villers vers 1169-1193, Villers desor Nancey en 1291, Villers devant Nancy en 1483 et finalement Villers-lès-Nancy[18].
Histoire
Dès le néolithique une présence humaine régulière a lieu sur le site de Clairlieu et se poursuit jusqu'à l'âge du bronze comme en attestent plusieurs pièces trouvées par MM. Barthélemy, Bleicher et Guérin[19].
Au Moyen Âge, le seigneur de Remicourt avait droit de justice sur son fief de Villiers[20]. Les historiens affirment qu'un gibet était dressé au lieu-dit « La Justice ».
Ce village de l'ancien duché de Lorraine a dépendu de la prévôté et du bailliage de Nancy sous la coutume de Lorraine, avant de passer en 1790 dans le canton et district de Nancy[21]. Sur le plan spirituel, il était à l'origine une annexe de Vandœuvre, puis il fut érigé en cure en 1600. Il dépendait de l'évêché de Nancy à partir de 1778[21].
Le plus ancien titre où il soit question de cette commune est daté de 1587; c'est un règlement de la communauté de Villers, par lequel ceux qui voulaient s'établir dans ce lieu devaient en obtenir la permission du seigneur haut-justicier et payer 12 francs[21]. Le dessinateur et graveur Jacques Callot avait une maison de campagne à Villers, où il existait autrefois une maison franche[21].
L'abbaye cistercienne de Clairlieu, fondée vers l’an 1150 sur le territoire communal, fut en activité jusqu’à la Révolution française[22].
L'église actuelle, qui est la troisième construite à Villers, a été inaugurée en 1884 sur l’emplacement de celle construite en 1788 et qui était devenue trop petite.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2014 en Meurthe-et-Moselle.
Article connexe: Élections municipales de 2020 en Meurthe-et-Moselle#Villers-lès-Nancy.
Liste des maires
Article détaillé: Liste des maires de Villers-lès-Nancy.
François Werner[27],[28] Réélu pour le mandat 2020-2026
UDI-LC
7e vice-président de la métropole du Grand Nancy[29] 5evice-président de la métropole du Grand Nancy[30] Conseiller régional du Grand Est[31],[32],[33],[34] (depuis 2016) Vice-président du conseil régional du Grand Est[35],[36]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10000habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8% de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[37],[Note 3].
En 2019, la commune comptait 14 525 habitants[Note 4], en augmentation de 2,77% par rapport à 2013 (Meurthe-et-Moselle: +0,38%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
295
305
394
425
458
601
634
632
626
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1901
664
642
733
765
850
866
921
876
839
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
944
1 132
1 197
1 389
1 863
3 131
3 569
3 890
5 956
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
2019
7 811
14 084
16 120
16 515
15 694
15 375
14 451
14 455
14 525
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
Télécom Nancy - École généraliste en informatique et sciences et technologies du numérique.
CESI[43]: École d'ingénieurs; École supérieure de l'alternance; École de formation des managers
Manifestations culturelles et festivités
Fête de la nature (3esemaine de mai)
Fête des vendanges (le 1erweek-end de septembre)
Journée du patrimoine souterrain (3edimanche de septembre)
Économie
Parmi les secteurs d'activité comptant le plus d'entreprises, Villers-lès-Nancy compte en 2022, 410 entrepises pour l'exploitation de biens immobiliers, 130 entreprises pour les organisations associatives, 78 pour les activités pour la santé, 62 pour l'enseignement et 51 commerces hors magasin[44].
En 2022, le salaire moyen par foyer à Villers-lès-Nancy est de 2 540 Euros. Le montant moyen de l'impôt est de 1 939 Euros alors que 69% des familles sont imposables[45].
Le siège de la société Pharmagest Interactive est situé sur la commune.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Édifices civils
Château de Remicourt à Villers-lès-Nancy.
Tumulus fouillé en 1904 dans le parc de Brabois.
Château de Madame de Graffigny avec son parc agrémenté d’arbres remarquables.
Château de Remicourt[46] existant dès 1270, construction d'une chapelle en 1334 restaurée au XVIIIesiècle.
Château de Brabois construit en 1536, reconstruit en 1615 et agrandi au XVIIIesiècle, détruit peu après la Révolution française; vaste parc ouvert au public.
Château et domaine de l'Asnée, XIXesiècle, reconstruit en 1869.
Tour de Greff[46], XIXesiècle, essai de reproduction d'un château féodal.
Château Saint-Fiacre[46], début XVIIIesiècle, dans le parc du même nom qui abrita avant 1345, la première église de Villers.
Château Simon-de-Chatellus, mi-XVIIIesiècle, siège un temps du district urbain de Nancy, aujourd'hui école primaire.
La source de l'Asnée (émergence des eaux du Spéléodrome de Nancy) à l'entrée de la forêt de Haye dont le captage fut construit de 1898 à 1906 et dont l'eau alimenta Nancy jusqu'en 1932[47].
Édifices religieux
Église Saint-Fiacre, XVIIIesiècle[48]. Villers-lès-Nancy possédait jadis une chapelle dédiée à saint Fiacre, patron des jardiniers, au hameau de Remicourt, dans le parc de l'actuel château Saint-Fiacre, en contrebas du château, et citée dans les textes dès 1345. Reconstruite en 1786, au centre du village avec réemploi des pierres de l'ancienne chapelle devenue vétuste et inadaptée au nombre accru de paroissiens; détruite et reconstruite après la guerre de 1870.
Église Sainte-Thérèse-de-l'enfant-Jésus, construite par Jules Criqui entre 1931 et 1934
Église Saint-Bernard (quartier Clairlieu)
Chapelle orthodoxe des Gaules (château de Remicourt)
Grand séminaire de l’Asnée, construit sous la direction de l’architecte Jules Criqui entre 1932 à 1936; désacralisé
Ancienne abbaye cistercienne du lieu-dit Clairlieu, vaste abbaye cistercienne qui fut fondée en 1159, rasée en 1791-1792, des fouilles ont été récemment entreprises à l'emplacement de l'église abbatiale.
À la suite du fort accroissement de la population de l'agglomération nancéienne lié à l'annexion de 1871, les besoins en eaux furent considérablement augmentés et un ensemble de galeries a été aménagé par l'homme afin de récupérer les eaux d'infiltration du plateau de Haye[51]. Abandonnées dès les années 1930, ces galeries développant environ 6,6 km ont été réhabilitées pour la pratique de la spéléologie par l'Union spéléologique de l'agglomération nancéienne (USAN) en 1991[52] et sont gérées par la Ligue spéléologique lorraine (LISPEL)[53]. Désormais appelées le Spéléodrome de Nancy, elles servent de lieu de formation à la spéléologie et la plongée souterraine. Chaque année, depuis 2002, le site est ouvert au grand public par l'USAN à l'occasion des Journées européennes du patrimoine; c'est la Journée du patrimoine souterrain.
Personnalités liées à la commune
Chanoine Étienne Drioton (°1889 - †1961), prêtre catholique et éminent égyptologue, inhumé au cimetière communal de Villers-lès-Nancy[54]
Daniel Prévot (°1940 - †2016), inventeur et promoteur du Spéléodrome de Nancy, inhumé au cimetière communal de Villers-lès-Nancy
Jacques Pudlowski (°1916 - †1989), père du chroniqueur gastronomique Gilles Pudlowski, inhumé au cimetière communal de Villers-lès-Nancy[55]
Philippine de Sivry (°1775 - †1851), poète qui signait Madame de Vannoz (une rue de Nancy porte son nom)
Odile Vouaux (1934-), nageuse française internationale
Héraldique, logotype et devise
Blason
D'argent, à la crosse abbatiale d'azur posée en pal, accostée de deux étoiles à cinq rais de même; à l'écusson d'or, à la bande de gueules chargée de trois alérions d'argent (qui est de Lorraine), brochant sur le tout et posé en cœur; à la chape d'azur semée à dextre de croix recroisetées au pied fiché d'or, à la tour crènelée de même, ouverte, ajourée et maçonnée de sable brochant sur le tout, chargée à senestre d'un raisin fruité, tigé; feuillé et vrillé également d'or, nervé de sable, les vrilles formant en chef la lettre «V».
Détails
Création par les "Amis de l'Histoire de Villers". Adopté le 24 octobre 1977.
Le , Villers-lès-Nancy entrait officiellement en possession de ses armoiries communales homologuées par la préfecture.
Pour clarifier, le blason se compose de trois parties, l’une centrale comportant une crosse rappelant l’abbaye de Clairlieu, deux étoiles symbolisant le culte marial (Clairlieu) et les deux curés martyrs de la Révolution, l’écusson de Lorraine, justifié par le fait que fondée par le duc de Lorraine Mathieu 1er, l’abbaye de Clairlieu fut pendant trois siècles ce que certains ont appelé le Saint-Denis lorrain.
La partie gauche comporte une tour symbolisant les seigneurs de la commune, les huit châteaux du territoire communal. Les pierres rappellent les anciennes briqueteries et tuileries. De l’autre côté, la grappe de raisin évoque la culture de la vigne (fête des vendanges depuis 1955).
La crosse abbatiale représente le bâton des abbés de Clairlieu, d'où sa position contournée, contrairement à la crosse des évêques. Elle est signe d'autorité, c'est aussi le symbole de l'axe du monde. Sa décoration florale évoque la nature, car Villers a longtemps été une commune essentiellement rurale.
Les deux étoiles figurent le sceau de l'abbaye. Elles évoquent aussi les deux abbés martyrs exécutés à Mirecourt le . On retrouve les étoiles dans les armoiries de plusieurs familles dont les Callot et les Scitivaux de Greiche. Elles symbolisent la lumière, la spiritualité, l'espoir et la liberté.
Les armes de Lorraine représentent la région tout en rappelant l'origine de l'abbaye de Clairlieu édifiée grâce au duc Mathieu 1er, qui l'a choisie comme tombeau, ainsi que de nombreux seigneurs. Les couleurs sang et or évoquent le sacrifice des Lorrains durant les guerres. Les alérions évoquent la nature.
La chape évoque le grand manteau d'église, mais aussi la montagne. C'est également l'initiale renversée de Villers ou la figuration du compas d'architecte. Les armoiries des Viriet, au XVIIIesiècle comportaient une chape.
Les croix recroisetées figurent sur les armes de Marguerite Pelerin de Remicourt, la croix fichée sur celles des Lefevre de Saint Germain. La croix commémore la participation aux croisades. Elle est devenue le symbole de la chrétienté et représente aussi bien la vie que la mort.
Le raisin évoque la tradition vinicole de Villers. Clin d'œil à la fête des vendanges, c'est aussi le symbole de la propriété et du travail très pénible. Il figure sur les armes des Viriet.
La tour évoque les seigneurs temporels, la terre de Remicourt où est implanté le plus ancien château de Villers. Elle représente non seulement le temps féodal, mais aussi le présent. Elle est maçonnée pour rappeler le temps où la commune comptait des briqueteries. Les briques symbolisent le travail. Les ouvertures sont de sable car aucun travail ne s'accomplit sans effort et l'avenir dépend de la volonté d'agir. La tour, qui symbolise la force, figure dans les armoiries des Feriet.
Les couleurs:
Les émaux: l'azur et l'argent (bleu et blanc) sont les couleurs traditionnelles de Villers. Elles figurent sur les armoiries de plusieurs seigneurs dès le XIVe. Elles représentent les quatre éléments et rappellent le côté écologique de la commune.
L'azur (bleu) signifie justice et représente l'eau.
L'argent (blanc) signifie espérance et représente aussi l'eau.
L'or (jaune) signifie foi et représente le soleil.
Le sable (noir) signifie prudence et représente la terre.
Les gueules (rouge) signifient charité et représente le feu.
Notes et références
Notes
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10000habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10000habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
«Jardin botanique du Montet», sur Base Mérimée, Plateforme ouverte du patrimoine, ministère de la Culture, (consulté le ).
(fr) Pertuy, J. & Pertuy, M. (2000) - «Notes historiques sur Hardeval à Villers-lès-Nancy», Villers au fil du temps no11(ISSN0244-6391), Bulletin de l'Association des amis de l'histoire de Villers-lès-Nancy, Impr. Kruch, Raon-l'étape, p.33-48.
(fr)
«Le spéléodrome de Nancy», sur le site l'Union spéléologique de l'agglomération nancéienne (USAN) (consulté le ).
«Villers-lès-Nancy», Monographies communales de Meurthe-et-Moselle réalisées pour l'exposition universelle de 1889 et conservées par les Bibliothèques de Nancy, sur https://galeries.limedia.fr
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