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Villaroger est une commune française située dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Villaroger

Mairie.
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Savoie
Arrondissement Albertville
Intercommunalité Communauté de communes de Haute-Tarentaise
Maire
Mandat
Alain Emprin
2020-2026
Code postal 73640
Code commune 73323
Démographie
Gentilé Villarogiens
Population
municipale
360 hab. (2019 )
Densité 13 hab./km2
Population
agglomération
16 708 hab.
Géographie
Coordonnées 45° 35′ 31″ nord, 6° 52′ 30″ est
Altitude Min. 859 m
Max. 3 779 m
Superficie 28,15 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bourg-Saint-Maurice
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bourg-Saint-Maurice
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Villaroger
Géolocalisation sur la carte : France
Villaroger
Géolocalisation sur la carte : Savoie
Villaroger
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Villaroger
Liens
Site web https://mairie-villaroger.fr/

    Commune du massif de la Vanoise dans la vallée de la Tarentaise, le village est relié au domaine skiable des Arcs domaine Paradiski par les télésièges du Replat et du Plan des Violettes.


    Géographie


    Le village se situe à 1 090 m d'altitude, sur la rive gauche de l'Isère. Sa partie basse débute au hameau de la Bonneville à 890 m d'altitude puis monte vers le hameau du Planchamp à 1 100 m d'altitude et le hameau Le Loissel à 1 050 m d'altitude. L'accès au domaine skiable des Arcs se situe au hameau du Pré à 1 210 m d'altitude, celui à la Réserve naturelle nationale des Hauts de Villaroger se fait au hameau du Planay qui se situe à 1 300 m d'altitude tandis que la porte d'entrée au Parc National de la Vanoise (1215 hectares) se situe à la sortie de village de la Gurraz qui se situe à 1 600 m d'altitude à proximité du hameau de la Savinaz à 1 540 m d'altitude. La commune comporte de fortes pentes de plus de 50% sur la moitié de son territoire et six sommets : celui du Mont Pourri à 3 779 m d'altitude, celui de l'aiguille rouge à 3 226 m d'altitude, celui de l'aiguille du Saint-Esprit à 3 419 m d'altitude, celui du Dôme de la Sache à 3 601 m d'altitude, celui du Grand Parei à 3 365 m d'altitude et celui du mont Turia à 3 653 m d'altitude.

    La commune de Villaroger s'étant sur 28,15 km2 et est traversée par la rivière Isère , les torrents de Pissevieille et de Saint-Claude ainsi que les ruisseaux de la Savinaz, du Planay, du Lavancher des Gourettes, des Fresses, du Mont Pourri et des Rossets. Elle a cinq glaciers : Savinaz, Gurriaz, Inverneau, Turia et Grand Col ainsi que des lacs comme celui des moraines de Riondaz. Une grande partie de son territoire est recouvert de forêts entre 845 et 2200 mètres d'altitude sur 550 hectares soit 1/6 du territoire.


    Communes limitrophes


    Communes limitrophes de Villaroger
    Séez,
    Montvalezan
    Bourg-Saint-Maurice Sainte-Foy-Tarentaise
    Peisey-Nancroix Tignes

    Urbanisme



    Typologie


    Villaroger est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bourg-Saint-Maurice, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 9 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[4],[5].


    Occupation des sols


    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (94,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (95 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (39,2 %), forêts (29,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (25,9 %), zones agricoles hétérogènes (5,8 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].



    Voies de communication et transports


    On accède à la station par la route, via une voie express extension de l'A430, en provenance de la combe de Savoie-Albertville, qui reprend la RN 90. La voie express se termine au niveau de la commune d'Aime et la route se poursuit avec la RN 90. Au sortir de la ville de Bourg-Saint-Maurice, il faut suivre la direction de la commune en suivant la D 902.

    Par ailleurs, le TGV arrive jusqu'en gare de Bourg-Saint-Maurice toute l'année et des liaisons via l'Eurostar et le Thalys depuis Londres et Bruxelles sont mises en place lors de la saison touristique hivernale. La station se situe à 30 kilomètres et est accessible par des liaisons régulières en autocar ou en taxi.

    On peut aussi atterrir dans les aéroports internationaux de Lyon-Saint-Exupéry (219 km - 2 h 45 min) et Genève (208 km - 2 h 35 min), ainsi que celui de Chambéry - Savoie (142 km - 1 h 40 min).


    Toponymie


    La première mention de la commune remonte à 1258 où la paroisse apparait sous la forme de Villa Rogier[7]. Selon cette première mention, il s'agirait de la villa de Roger[7]. Toutefois, les formes successives suggèrent « clairement que cette paroisse s'appelle Villar Ogier » soit le villard de Ogier ou Oger[7]. Ainsi, selon Adolphe Gros, la première mention serait la conséquence d'une erreur de copiste qui aurait décomposé Villarogier en Villa Rogier plutôt que Villar Ogier[7].

    En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Vlaodjé, selon la graphie de Conflans[8].


    Histoire


    Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations contenues dans cette section proviennent du fascicule La mémoire des Goyet et des Choupé (2018)[9].

    La paroisse de Villaroger était déjà mentionné en 1258, c'est un territoire essentiellement agricole, en 1780, on y compte 435 vaches, 245 moutons et brebis ainsi que 358 boucs et chèvres et on y cultive de l'orge, de l'avoine, des fèves et des pommes de terre. Dès le XVIIIe siècle, le village connait des migrations l'hiver vers les grandes villes comme Paris pour y effectuer des activités de colporteurs, de ramoneurs et de déménageurs. Le village comprend aussi des maçons, des charpentiers, des menuisiers, des tisserands, des tailleurs et des cordonniers.

    La paroisse de Villaroger a appartenu à la seigneurie de La Val d'Isère avec les paroisses de Tignes, Montvalezan, Sainte-Foy, ainsi que Séez, qui est le centre de celle-ci[10],[11]. Cette seigneurie dépendait initialement de la famille de Briançon[12], puis à la fin du XIIIe siècle, sous le règne du comte Philippe Ier de Savoie, elles passent sous le contrôle direct des Savoie[13].

    En 1310, la seigneurie de la Val d'Isère passe aux Beaufort[14], puis, au XVe siècle, aux Mareschal de Duin[11] et enfin par mariage à la famille d'Allinges-Coudrée[15].

    Le , les communiers obtiennent du marquis Joseph Joachim d'Allinges, vicomte de Tarentaise et de la Val d'Isère, l'affranchissement de leur paroisse contre 10 000 livres[16].

    Le village de la Gurraz avait une fonderie et une mine de fer oxydée jusqu'à une avalanche au XVIIe siècle ainsi qu'une carrière de grès anthracifère pour les pierres à meule et de lauze et une mine de cuivre pyriteux. Il a connu une épidémie de peste en 1630, un grand incendie le et une épidémie de variole entre le et le qui fit 53 malades dont 22 morts sur une population de 149 habitants.

    Au chef-lieu, une école de garçons est construite en 1775 puis une école de filles en 1829 qui fonctionnaient de décembre à mars pour permettre aux enfants de garder le bétail le reste de l'année. Les effectifs étaient d'une centaine d'enfants. Elle est fermée depuis le début des années 2000. Une école a fonctionné dans le hameau du Planay entre 1865 et 1944.

    En 1865, le conseil municipal ouvre une école primaire temporaire dans le village de la Gurraz puis y construit un bâtiment à titre définitif en 1895, elle est toujours en activité. Le village de la Gurraz a sa propre paroisses à compter de 1714 lors la construction de l'église Saint Roch et avait le statut de commune autonome de 1857 à 1860.

    Pendant la Première Guerre mondiale, la commune de Villaroger perd 33 de ses appelés "Morts pour France".

    La première remontée mécanique au hameau du Pré vers les Arcs 2000 fut mise en service lors des vacances de Noël 1982.


    Politique et administration


    La commune fait partie de la maison de l'intercommunalité de Haute-Tarentaise dont le siège se trouve dans la ville voisine de Séez.


    Tendances politiques


    Élection présidentielle (2d tour) :

    Élections Législatives (2d tour) :

    Élections Régionales (2d tour) :

    Élections référendaires :


    Administration municipale


    Le conseil municipal de Villaroger est composé d'un maire et de dix conseillers municipaux. Les villages de la Gurraz et de la Savine formait de mai 1872 jusqu'en mars 2014 une section communale qui élisait quatre conseillers municipaux dont un adjoint spécial. Voici ci-dessous le partage des sièges au sein du conseil municipal :

    GroupePrésidentEffectifStatut
    SEAlain Emprin11majorité
    La Mairie.
    La Mairie.

    Liste des maires


    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1860 1865 Charles-Antoine Emprin    
    1865 1878 François Emprin    
    1878 1881 Célestin Arnaud    
    1881 1896 François Emprin    
    1896 1912 Stanislas Emprin    
    1912 1925 Charles Marie Recordon    
    1925 1929 Gustave Servonnet    
    1929 1941 François Emprin    
    1941 1944 Célestin Emprin    
    1944 1965 Edmond Borrel   Maire provisoire élu par le comité de Libération
    1965 1973 Roland Boy PCF  
    septembre 1973 mars 1977 Fernand Jeantet PCF  
    mars 1977 mars 1983 Henri Béjean PS  
    mars 1983 mars 2001 Fernand Jeantet PCF  
    mars 2001 mars 2014 Gaston Pascal-Mousselard SE  
    mars 2014 En cours Alain Emprin SE  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société


    Les habitants de la commune sont appelés les Villarogiens[17]


    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[19].

    En 2019, la commune comptait 360 habitants[Note 3], en diminution de 5,26 % par rapport à 2013 (Savoie : +3 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
    600746729800854900757738684
    1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
    649592609615643532482506503
    1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
    555505509505504477322284274
    1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018 2019 -
    256374368400409380356360-
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement


    La commune de Villaroger est située dans l'académie de Grenoble. Elle administre une école primaire à classe unique d'une douzaine d'élèves au village de la Gurraz. Elle dépend du collège et du lycée de Bourg-Saint-Maurice


    Médias



    Radios et télévisions

    La commune est couverte par des antennes locales de radios dont France Bleu Pays de Savoie, Radio Courchevel... Enfin, la chaîne de télévision locale TV8 Mont-Blanc diffuse des émissions sur les pays de Savoie. Régulièrement l'émission La Place du village expose la vie locale de la vallée de la Tarentaise. France 3 et son décrochage France 3 Alpes, peuvent parfois relater les faits de vie de la commune.


    Presse et magazines

    La presse écrite locale est représentée par des titres comme Le Dauphiné libéré avec une édition locale, et l'hebdomadaire La Savoie.


    Compétition sportive


    En juillet, Villaroger est le départ d'une compétition de double Kilomètre vertical (K2), avec une arrivée au sommet de l'Aiguille Rouge. Le village a également accueilli le 28 août 2022 l'arrivée de la dernière étape du Tour de l'avenir regroupant les espoirs du cyclisme de moins de 23 ans.


    Cultes


    Les deux églises et les chapelles sont désormais intégrées à la paroisse Saint Maurice en Haute Tarentaise, qui fait partie du doyenné de Haute Tarentaise, dont le siège se trouve à Bourg-Saint-Maurice. Elle se trouve dans l'archidiocèse de Chambéry, Maurienne et Tarentaise.


    Économie


    La commune possède une usine hydroélectrique à Bonneville - La Viclaire construite entre 1919 et 1927. Il y a 5 exploitations agricoles en 2005 sur une surface agricole utilisée de 293 hectares en dessous de 1700 mètres d'altitude ainsi que des alpages sur une suface de 470 hectares. Il s'agit surtout d'élevage ovins (230 brebis et 260 agneaux); bovin laitier (50 vaches) pour la fabrication du fromage Beaufort et de caprins (170 chèvres) dont est issu le fromage Le Tarentais dans le hameau du Planay. 50 à 60 ruches pour la production de miel sont présentes sur le territoire. on note la présence de deux restaurants dans le hameau du Pré et d'entreprises artisanales (plomberie, tapisserie, électricité, travaux publics, menuiserie, charpenterie et ébénisterie.


    Tourisme


    Villaroger est une station de sports d'hiver appartenant au domaine skiable des Arcs et ainsi au grand domaine de Paradiski. On y accède à partir du village du Pré avec 20 km de pistes . Au village du Planay, on accède à la Réserve naturelle nationale des Hauts de Villaroger crée en 1991 pour protéger l'oiseau Tétras-lyre et le chamois sur 1062 hectares entre 1200 et 650 mètres d'altitude gérée par l'office National des Forêts (OMF) Au parking du Chantel à la sortie du village de la Gurraz, on est à la porte du Parc National de la Vanoise

    En 2014, la capacité d'accueil de la station, estimée par l'organisme Savoie Mont Blanc, est de 995 lits touristiques répartis dans 193 établissements[Note 4]. Deux refuges (refuge de La Martin et refuge de Turia)[22] si situent sur le territoire de la commune.


    Flore et Faune

    Le commune possède une riche flore de 460 espèces de lichens, de 400 espèces de champignons, de 9 espèces de plantes rares et protégées : potentille blanc de neige, primevère du Piémont, trèfle des rochets, cortuse de Matthiole, saxifrage fausse mousse, rhapontique de Alpes et d'autres plus symboliques : lis martagon et orangé, l'edelweiss, gentianes bleues, ... Certaines sont à usage alimentaire comme la gentiane jeune et les génépis qui servent à la préparation de liqueurs tandis que les framboises et les myrtilles sont aussi présentes. D'autres sont à usage médicale comme l'arnica des montagnes (propriétés anti-inflammatoires), le millepetuis perforé (propriétés antalgiques et balsamiques) consommé sous forme de thé des montagnes, la reine des près contre les rhumatismes, les baies de genevrier (antiseptiques) ou resine de mélèze (pommade). Certaines sont toxiques comme le dompte-venin officinal, le colchique et le vérâtre. Le bois de pin cembro est antimites, le bois de frêne sert à fabirquer le manche des râteaux, l'épicéa, le sapin pectiné et le noisetier, le bouleaux servent à faire des balais. L'aulne vert sert à chauffer les maisons. On note la présence de jouarbe aranéeuse, de renouée bistorte, des coquelicots, du sorbier des oiseleurs, du lis martagon, de l'ail victorial, de mégaphorbiaie, de streptope à feuilles embrassantes, du pigamon à feulles d'ancolie ... et de beaucoup de andes (à génevrier, à rhododendron ...) et des landines (à azalée naine, à mousse et à myrtlle)

    La faune de la commune est composée de 132 espèces vertébrés dont des mammifères : marmotte alpine, campagnol des neiges, lièvre variable, bouquetin des Alpes, musaraigne carrelet ou musette, renard, blaireau, fouine, lérot, taupe, martre, hermine, écureuil, sanglier, cerf, chevreuil, des chauves-souris (19 types), ... des oiseaux : aigle royal, gélinotte des bois, lagopède alpin, perdrix bartavell, chouette de Tengmalm, chevêtte d'Europe, pipit spioncelle, cingle plongeur, chocard à bec jaune, crave à bec rouge, niverolle, tichodrome échelette, sizerin flammé, fauvettes babillarde, pouillot de Bonelli, roitelé huppé et des mésanges, tarin des aulnes, merles à plastron ..., des reptiles : lézard vivipare et des murailles, orvet , vipère aspic et coronelle lisse, des amphibiens : grenouille rousse et triton alpestre, des poissons : truite de rivière ou arc-en-ciel, chabot ..., ainsi que des invertébrées : papillons tel que la petite tortue, le vulcain, le damier rouge et la belle dame, machaon, grand nacré, grand apollon, azuré du serpolet, solitaire, criquet des pâtures, grande sauterelle verte ou cymbalière ...


    Culture locale et patrimoine



    Lieux et monuments


    Églises
    Chapelles
    Petit patrimoine

    Voir aussi



    Bibliographie



    Articles connexes



    Liens externes


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    Notes et références



    Notes et cartes


    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    4. La structure Savoie Mont Blanc, pour ces données statistiques de capacité d'accueil en termes de lits touristiques d'une station ou d'une commune, additionne les établissements marchands, qui appartiennent au secteur de l'hôtellerie, et les hébergements non marchands, qui n'implique donc pas de transaction commerciale comme les résidences secondaires[22].
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références


    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bourg-Saint-Maurice », sur insee.fr (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé (réimpr. 2004) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 360. (édition 2021)
    8. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 19
      Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
    9. « La mémoire des Goyet et des Choupé » [PDF], sur Syndicat d'initiative de Villaroger, (consulté en ), p. 88.
    10. Chanoine Joseph Garin, Le Beaufortain : une belle vallée de Savoie : guide historique et touristique illustré, Montmélian, La Fontaine de Siloé, (réimpr. 1996) (1re éd. 1939), 287 p. (ISBN 978-2-84206-020-6 et 2-84206-020-2, lire en ligne), p. 33.
    11. Hudry 1982, p. 173.
    12. Jean-Paul Bergeri, Histoire de Moûtiers : Capitale de la Tarentaise, Montmélian, La Fontaine de Siloé, Coll. « Les Savoisiennes », , 503 p. (ISBN 978-2-84206-341-2, lire en ligne), p. 293.
    13. Volume 1 de Archives de l'ancien duché de Savoie. Série S A. Inventaire, Archives départementales de la Savoie, 1966, p. 59.
    14. Marcel Charvin, Histoires... de Val d'Isère, Éditions du C.N.R.S., Centre régional de publications Lyon, 1979, 323 pages, p. 69.
    15. Christian Regat et François Aubert, Châteaux de Haute-Savoie : Chablais, Faucigny, Genevois, Éditions Cabédita, , 193 p. (ISBN 978-2-88295-117-5), p. 163.
    16. Victor Flour de Saint-Genis, Histoire de Savoie, vol. 3, Chambéry, Bonne, Conte-Grand et Cie, (lire en ligne), p. 119
    17. « Villaroger », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté en ), Ressources - Les communes.
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    22. « La capacité d'accueil touristique en Savoie-Mont-Blanc », Observatoire, sur le site Savoie-Mont-Blanc - pro.savoie-mont-blanc.com, (consulté en ) : « Les données détaillées par commune, et par station : nombre de structures, nombre de lits par type d'hébergements (fichier : Détail des capacités 2021, .xlsx) ».
    23. André Clerc, « La mémoire des Goyet et des Choupe » [PDF], (consulté le )
    24. Inventaire du patrimoine bâti culturel de la commune de villaroger réalisé en 1981 puis 1989 puis 1993 par le Parc national de la Vanoise.
    25. Marius Hudry, Sur les chemins du Baroque en Tarentaise, Volume 2, Chambéry/Montmélian, La Fontaine de Siloé - FACIM, , 335 p. (ISBN 978-2-84206-422-8, lire en ligne), p. 293-298.

    На других языках


    [de] Villaroger

    Villaroger ist eine französische Gemeinde mit 360 Einwohnern (Stand: 1. Januar 2019) im Département Savoie in der Region Auvergne-Rhône-Alpes. Villaroger gehört zum Kanton Bourg-Saint-Maurice im Arrondissement Albertville und ist Mitglied im Gemeindeverband Communauté de communes de Haute Tarentaise.

    [en] Villaroger

    Villaroger is a commune in the Savoie department in the Auvergne-Rhône-Alpes region in south-eastern France. It is situated in the upper Tarentaise Valley, between Bourg-Saint-Maurice and Tignes.

    [es] Villaroger

    Villaroger es una comuna francesa situada en el departamento de Saboya, en la región Auvernia-Ródano-Alpes.
    - [fr] Villaroger



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