Vestric-et-Candiac est une commune française située dans le sud du département du Gard, en région Occitanie.
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Vestric-et-Candiac | |
![]() Château de Montcalm à Vestric | |
![]() Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Gard |
Arrondissement | Nîmes |
Intercommunalité | Communauté de communes Rhôny Vistre Vidourle |
Maire Mandat |
Jean-François Laurent 2020-2026 |
Code postal | 30600 |
Code commune | 30347 |
Démographie | |
Gentilé | Vestriçois, Vestriçoises |
Population municipale |
1 379 hab. (2019 ![]() |
Densité | 126 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 44′ 28″ nord, 4° 15′ 35″ est |
Altitude | Min. 12 m Max. 83 m |
Superficie | 10,92 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Nîmes (banlieue) |
Aire d'attraction | Nîmes (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Vauvert |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | Mairie de Vestric-et-Candiac |
modifier ![]() |
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le canal d'irrigation du Bas-Rhône Languedoc, le Vieux Vistre. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « costières nîmoises »), un espace protégé (les « Costières de Nimes ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Vestric-et-Candiac est une commune urbaine qui compte 1 379 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération de Nîmes et fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes. Ses habitants sont appelés les Vestriçois ou Vestriçoises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le château de Montcalm, inscrit en 1944.
La commune est située dans la plaine agricole de la Vistrenque.
Boissières | Uchaud | |
Vergèze | ![]() |
Beauvoisin |
Le Cailar (sur 100 m) | Vauvert |
Vestric-et-Candiac est l'une des 75 communes membres du Schéma de cohérence territoriale SCOT du sud du Gard, et fait également partie des 34 communes du Pays Vidourle-Camargue.
La commune de Vestric-et-Candiac est composée, comme son nom l'indique, du village de Vestric et du hameau de Candiac.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1966 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[6]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 2 | 2,5 | 5,1 | 7,7 | 11,4 | 14,8 | 17,4 | 17,3 | 13,9 | 10,9 | 5,8 | 3,2 | 9,4 |
Température moyenne (°C) | 6,7 | 7,6 | 10,7 | 13,3 | 17,3 | 21,2 | 24,1 | 23,8 | 19,9 | 15,8 | 10,4 | 7,4 | 14,9 |
Température maximale moyenne (°C) | 11,3 | 12,6 | 16,3 | 18,9 | 23,2 | 27,6 | 30,8 | 30,4 | 25,8 | 20,7 | 14,9 | 11,6 | 20,4 |
Record de froid (°C) date du record |
−14 15.01.1985 |
−8,5 17.02.1969 |
−6,5 07.03.1971 |
−2,1 14.04.1998 |
0 04.05.1967 |
5,8 04.06.1984 |
8,5 05.07.1978 |
8 29.08.1986 |
3,5 21.09.1977 |
−1,5 30.10.1997 |
−6,1 24.11.1998 |
−9 30.12.1968 |
−14 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
21,8 10.01.15 |
25,3 24.02.20 |
29 31.03.12 |
32,5 08.04.11 |
36 24.05.11 |
45,4 28.06.19 |
39 07.07.1982 |
41 04.08.17 |
36,2 17.09.19 |
32,5 11.10.11 |
26,5 07.11.13 |
21 17.12.1985 |
45,4 2019 |
Précipitations (mm) | 57,2 | 46 | 37,3 | 58,7 | 46,9 | 32 | 22,1 | 44 | 99,4 | 113,1 | 79,7 | 64,1 | 700,5 |
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[7],[8].
Un espace protégé est présent sur la commune : les « Costières de Nimes », un terrain acquis (ou assimilé) par un conservatoire d'espaces naturels, d'une superficie de 2 027 ha[9].
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : les « costières nîmoises »[11], d'une superficie de 13 479 ha, qui accueillait, en 2004, 300 mâles chanteurs, soit 60% des mâles reproducteurs de la région et près du quart des mâles reproducteurs en France[12].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[13] : les « costières de Beauvoisin » (1 030 ha), couvrant 5 communes du département[14], et la « plaine entre Rhony et Vistre » (1 232 ha), couvrant 6 communes du département[15].
Vestric-et-Candiac est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[16],[I 1],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nîmes, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[I 2] et 185 059 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3],[I 4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 5],[I 6].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (40,9 %), zones agricoles hétérogènes (38 %), forêts (9,8 %), prairies (6,1 %), zones urbanisées (4,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[18].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune de Vestric-et-Candiac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Nîmes, regroupant 20 communes soumises aux aléas de ruissellement pour la commune de Nîmes et de débordements de cours d’eau, notamment du Vistre, d'un de ses affluents, le Rhôny, et plus à la marge du Rhône, à l’aval, un des 31 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Rhône-Méditerranée[21]. Les événements significatifs passés relatifs à la Vistre sont des crues rapides et violentes, qui causent d’importants dégâts, voire des pertes humaines (octobre 1988, septembre 2002, décembre 2003, septembre 2005 notamment). Concernant le Rhôny, les principales crues recensées à Codognan ont eu lieu en 1845, 1933, 1945, 1958, 1963, 1976, 1987 et en octobre 1988. Cette dernière est la plus importante et marquante pour la population nîmoise. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[22],[23]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1994, 2002, 2003, 2005 et 2021[24],[19].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 93,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 509 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 508 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[27].
L'origine de cette région remonte aux domaines de la construction du Château de Candiac, est un château bâti à Vestric-et-Candiac, dans le département du Gard, en région Occitanie, en France. Le 28 février 1712, Louis-Joseph de Montcalm est né au Château de Candiac, près de Nîmes. Louis-Joseph de Montcalm, sieur de Candiac, marquis de Montcalm de Saint-Veran, commandant des troupes françaises en Nouvelle-France lors de la Guerre de Sept ans, mort au cours de la Bataille des Plaines d'Abraham, le 13 septembre 1759[28].
En 1980, le maire introduit une instance auprès du Conseil d'État en vue de chasser les personnes handicapées hébergées dans le centre de vacances de la commune, au motif qu'elles feraient peur aux habitants du village[29].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
mars 2001 | mars 2008 | Patrick Otende | DVD | |
mars 2008 | En cours | Jean-François Laurent | DVD | Vice-président de la Communauté de communes Rhôny Vistre Vidourle |
Les données manquantes sont à compléter. |
Vestric-et-Candiac appartient au canton de Vauvert. Ses conseillers départementaux sont () et ().
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].
En 2019, la commune comptait 1 379 habitants[Note 7], en diminution de 1,64 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
181 | 206 | 218 | 243 | 259 | 244 | 279 | 284 | 289 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
273 | 264 | 304 | 270 | 280 | 240 | 265 | 261 | 255 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
241 | 257 | 268 | 243 | 231 | 227 | 194 | 204 | 272 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2008 | 2013 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
313 | 436 | 503 | 654 | 1 001 | 1 324 | 1 328 | 1 331 | 1 402 |
2018 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 393 | 1 379 | - | - | - | - | - | - | - |
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 542 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 1 386 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 880 €[I 7] (20 020 € dans le département[I 8]).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 9] | 7,3 % | 10,2 % | 9,2 % |
Département[I 10] | 10,6 % | 12 % | 12 % |
France entière[I 11] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 880 personnes, parmi lesquelles on compte 75,9 % d'actifs (66,7 % ayant un emploi et 9,2 % de chômeurs) et 24,1 % d'inactifs[Note 9],[I 9]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Nîmes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 12]. Elle compte 370 emplois en 2018, contre 329 en 2013 et 230 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 593, soit un indicateur de concentration d'emploi de 62,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 60,3 %[I 13].
Sur ces 593 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 101 travaillent dans la commune, soit 17 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 86,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2 % les transports en commun, 7,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].
161 établissements[Note 10] sont implantés à Vestric-et-Candiac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 16].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 161 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 10 | 6,2 % | (7,9 %) |
Construction | 28 | 17,4 % | (15,5 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 64 | 39,8 % | (30 %) |
Activités financières et d'assurance | 3 | 1,9 % | (3 %) |
Activités immobilières | 4 | 2,5 % | (4,1 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 21 | 13 % | (14,9 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 14 | 8,7 % | (13,5 %) |
Autres activités de services | 17 | 10,6 % | (8,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 39,8 % du nombre total d'établissements de la commune (64 sur les 161 entreprises implantées à Vestric-et-Candiac), contre 30 % au niveau départemental[I 17].
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[34] :
La commune est dans la « Plaine Viticole », une petite région agricole occupant le sud-est du département du Gard[35]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la culture de fleurs et/ou horticulture diverse[Carte 4].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 42 | 25 | 15 | 11 |
SAU[Note 13] (ha) | 595 | 428 | 300 | 375 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 42 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 25 en 2000 puis à 15 en 2010[37] et enfin à 11 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 74 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[38],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 595 ha en 1988 à 375 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 14 à 34 ha[37].
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