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Vernon est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

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Vernon
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Poitiers
Intercommunalité Communauté de communes des Vallées du Clain
Maire
Mandat
Bertrand Hérault
2020-2026
Code postal 86340
Code commune 86284
Démographie
Gentilé Vernonais
Population
municipale
714 hab. (2019 )
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 26′ 28″ nord, 0° 28′ 38″ est
Altitude Min. 113 m
Max. 139 m
Superficie 38,38 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Poitiers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vivonne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Vernon
Géolocalisation sur la carte : France
Vernon
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Vernon
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Vernon

    Géographie


    Vernon est une commune rurale.

    Les habitants sont appelés les Vernonais et les Vernonaises.


    Localisation


    La commune est proche du parc naturel régional de la Brenne.


    Communes limitrophes


    Communes limitrophes de Vernon
    Nieuil-l'Espoir Fleuré
    Gizay Dienné
    Saint-Maurice-la-Clouère Saint-Laurent-de-Jourdes

    Géologie et relief


    La région de Vernon présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées.

    La commune est traversée par le Miosson sur une longueur de km. Le terroir se compose[1] :

    En 2006, 75 % de la superficie de la commune était occupée par l'agriculture, 24 % par des forêts et des milieux semi-naturels et 2 % par des zones construites et aménagées par l'homme (voirie)[2]. La forêt privée représente 948 hectares soit 25 % du territoire communal[3]. La présence de milieux naturels et semi-naturels riches et diversifiés sur le territoire communal permet d’offrir des conditions favorables à l’accueil de nombreuses espèces pour l'accomplissement de leur cycle vital (reproduction, alimentation, déplacement, refuge). Forêts, landes, prairies et pelouses, cours d’eau et zones humides … constituent ainsi des cœurs de biodiversité et/ou de véritables corridors biologiques.


    Hydrographie


    La commune est traversée par km de cours d'eau. Comme pour l'ensemble de la région Poitou-Charentes, la commune a vu la qualité de son eau se dégrader ces dernières années. Au déficit récurrent s'ajoute une pollution engendrée par les diverses activités humaines, notamment agricoles. Ainsi, la commune se situe en zone de répartition des eaux, où l'on observe une insuffisance chronique des ressources en eau par rapport aux besoins. Par ailleurs, elle est concernée par le classement en zones sensibles, où une élimination plus poussée des paramètres azote et/ou phosphore présents dans les eaux usées est nécessaire pour lutter contre les phénomènes d’ eutrophisation[2].

    313 mares ont été répertoriées sur l’ensemble du territoire communal (30 000 recensées dans la région de Poitou-Charentes). Les mares de Poitou-Charentes ont été créées par l'homme, notamment pour répondre aux besoins en eau des habitants (mares communautaires), du cheptel ou à la suite d'activités extractives (argile, marne, pierres meulières). Très riches au niveau botanique, elles jouent un rôle majeur pour les batraciens (tritons, grenouilles), les reptiles (couleuvres) et les libellules. Elles sont un élément symbolique du patrimoine rural et du maintien de la biodiversité en zone de plaine et de bocage[4].


    Climat


    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

    • Moyenne annuelle de température : 11,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 773 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1986 à 2006 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[11]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

    Statistiques 1981-2010 et records VERNON (86) - alt : 128 m 46° 25′ 00″ N, 0° 29′ 06″ E
    Statistiques établies sur la période 1986-2006 - Records établis sur la période du 01-01-1986 au 28-02-2006
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,7 1,5 3,4 4,8 8,7 11,6 13,2 13,2 10 8,2 3,9 2,4 6,9
    Température moyenne (°C) 4,9 5,6 8,6 10,2 14,7 17,9 19,9 20,3 16,4 13,1 7,8 5,5 12,1
    Température maximale moyenne (°C) 8,2 9,6 13,8 15,7 20,7 24,1 26,5 27,4 22,9 18 11,7 8,7 17,3
    Record de froid (°C)
    date du record
    −15,5
    13.01.87
    −12
    10.02.86
    −11
    01.03.05
    −4
    21.04.91
    −1
    14.05.95
    3,5
    08.06.89
    6
    17.07.00
    4
    31.08.86
    1
    25.09.02
    −4,5
    30.10.97
    −10
    24.11.98
    −10,5
    31.12.96
    −15,5
    1987
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    17
    05.01.99
    24,5
    15.02.98
    26
    19.03.05
    30
    30.04.05
    34
    27.05.05
    38
    22.06.03
    38
    22.07.90
    42
    05.08.03
    36
    03.09.05
    29
    12.10.01
    22
    11.11.95
    18,5
    16.12.89
    42
    2003
    Précipitations (mm) 72,3 56,3 56,8 66,4 71,8 58,3 56,7 51,4 58,8 84,6 79,3 80,2 792,9
    Source : « Fiche 86284001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Urbanisme



    Typologie


    Vernon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[12],[13],[14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].


    Occupation des sols


    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (74,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,8 %), zones agricoles hétérogènes (30,8 %), forêts (23,2 %), prairies (2 %), zones urbanisées (1,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,6 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].


    Risques majeurs


    Le territoire de la commune de Vernon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque nucléaire[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].


    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Miosson. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1987, 1999 et 2010[20],[18].

    Vernon est exposée au risque de feu de forêt. En 2014, le deuxième plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2015-2024[21]. Les obligations légales de débroussaillement dans le département sont définies dans un arrêté préfectoral du [Note 6],[22], celles relatives à l'emploi du feu et au brûlage des déchets verts le sont dans un arrêté permanent du [23],[24].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Vernon.
    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Vernon.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[25]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[26]. 98,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[27].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 2003, 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[18].


    Risque technologique

    La commune étant située dans le périmètre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nucléaire de Civaux, elle est exposée au risque nucléaire. En cas d'accident nucléaire, une alerte est donnée par différents médias (sirène, sms, radio, véhicules). Dès l'alerte, les personnes habitant dans le périmètre de km se mettent à l'abri[Note 8]. Les personnes habitant dans le périmètre de 20 km peuvent être amenées, sur ordre du préfet, à évacuer et ingérer des comprimés d’iode stable[Note 9],[28],[29].


    Toponymie


    Vernon est un nom d'origine botanique, « verne », c'est-à-dire « aulne ».

    Le nom du bourg proviendrait du celte et du gaulois et indiquerait un marché situé autour ou proche d'un arbre[30].


    Histoire


    La paroisse apparaît tardivement dans les textes (1274). Elle dépend, jusqu'à la Révolution, du sous-chantre du chapitre cathédral de Poitiers, qui nomme donc le curé.

    L'ancienne commune de Chiré-les-Bois a été unie à celle de Vernon par ordonnance royale du .


    Politique et administration



    Liste des maires


    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
             
    mars 2001 février 2004 Frédéric Schneider PRG  
    mars 2004 mars 2014[31] Jean-Paul Gatineau    
    mars 2014 En cours Bertrand Hérault    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Services publics


    Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.


    Instances judiciaires et administratives


    La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.


    Population et société



    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].

    En 2019, la commune comptait 714 habitants[Note 10], en augmentation de 7,21 % par rapport à 2013 (Vienne : +1,67 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    520442415700760900927945870
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    860834874807852913904924916
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    869909892821755734711670644
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    604552431469540583610631696
    2019 - - - - - - - -
    714--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Vernon a connu une hausse de 8,6 % de sa population par rapport à 1999.

    En 2008, selon l'Insee, la densité de population de la commune était de 16 hab./km2, contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.


    Enseignement


    La commune de Vernon dépend de l'académie de Poitiers et son école primaire publique dépend de l'inspection académique de la Vienne.


    Économie



    Agriculture


    Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[36], il n'y a plus que 28 exploitations agricoles en 2010 contre 45 en 2000.

    Les surfaces agricoles utilisées ont diminué et sont passées de 2 487 hectares en 2000 à 2 272 hectares en 2010. 41 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 19 % pour les oléagineux (colza et tournesol), 29 % pour le fourrage et 7 % restent en herbe. En 2000, 3 hectares (1 en 2010) étaient consacrés à la vigne[36].

    8 exploitations en 2010 (contre 13 en 2000) abritent un élevage de bovins (1 189 têtes en 2010 contre 1 172 têtes en 2000). C’est un des troupeaux de bovins importants de la Vienne qui rassemblent 48 000 têtes en 2011[37]. 10 exploitations en 2010 (contre 13 en 2000) abritent un élevage d'ovins en augmentation (3 319 têtes en 2010 contre 1 967 têtes en 2000). Cette évolution est inverse à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007[37]. L'élevage de volailles a disparu au cours de cette décennie (8 032 têtes têtes réparties sur 17 fermes en 2000). La commune accueille, par ailleurs, un troupeau important de caprins : 1 829 têtes en 2010 réparties sur 4 fermes contre 1 159 têtes en 2000 pour 5 exploitations. C'est l'un des plus importants du département de la Vienne (74 500 têtes en 2011) qui est le deuxième département pour l’élevage des chèvres derrière le département des Deux-Sèvres[37].


    Commerce


    En 2009, selon l'Insee, il restait un seul commerce : un bar-restaurant.


    Culture locale et patrimoine



    Lieux et monuments



    Patrimoine civil et religieux


    Patrimoine naturel


    Arbres remarquables

    Selon l'Inventaire des arbres remarquables de Poitou-Charentes[39], il y a un arbre remarquable sur la commune qui est un cormier.


    Le plateau de Fontcoudreau

    Le plateau de Fontcoudreau est situé à une dizaine de kilomètres à l’est de Gençay. Le site est à cheval sur plusieurs communes : Brion, Dienné, Saint-Laurent-de-Jourdes, Saint-Maurice-la-Clouère et de Vernon. C'est une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[40] qui couvre 16 % du territoire communal.

    Le relief du plateau est très homogène. Son altitude moyenne est de l’ordre de 130 mètres. Il est constitué de calcaires et d’argiles lacustres. Sur ces sols de « terres fortes » très argileux, tantôt saturés ou calcaires, tantôt acides et riches en cailloux et blocs de meulières, plusieurs dizaines de mares ont été créées autrefois par l’homme pour l’extraction de marne. Ces mares sont dispersées au sein d’un paysage semi-naturel où les prairies pâturées et les haies bocagères dominent, interrompues par quelques bosquets.

    Elles constituent de nos jours un habitat de choix pour une faune d’amphibiens d’une diversité exceptionnelle (12 espèces différentes recensées) qui a justifié son classement et sa protection. Y ont été recensés:


    Personnalités liées à la commune


    Thierry Leguerson, double champion du marathon de New York (2001 et 2002), vice-champion olympique aux jeux d'Atlanta. Actuel entraineur de l'équipe de course de fond de la fédération kenyane en parallèle avec son activité de comptable[réf. nécessaire][pertinence contestée].


    Voir aussi



    Bibliographie


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    Articles connexes



    Liens externes


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    Notes et références



    Notes et cartes


    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Le brûlage des déchets verts à l’air libre ou à l’aide d’incinérateurs individuels est interdit toute l’année et sur l’ensemble du département de la Vienne.
    7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    8. Le périmètre de km correspond au périmètre de mise à l'abri réflexe. Alertés par les sirènes et/ou par un appel automatique sur le téléphone du domicile, les habitants concernés doivent se mettre à l’abri dès l’alerte et suivre les consignes.
    9. Les comprimés d’iode stable protègent efficacement la thyroïde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nucléaire.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références


    1. Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charente - 2007
    2. Observatoire Régional de l'Environnement de Poitou-Charente
    3. Centre Régional de la Propriété Forestière de Poitou-Charente
    4. Mares répertoriées par maille, d’après cartes IGN, dans l’Inventaire des mares de Poitou-Charentes - Poitou-Charentes Nature 2003
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    7. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    8. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    11. « Fiche du Poste 86284001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    На других языках


    [de] Vernon (Vienne)

    Vernon ist eine französische Gemeinde im Département Vienne in der Region Nouvelle-Aquitaine. Sie zählt 714 Einwohner (Stand: 1. Januar 2019) und gehört zum Arrondissement Poitiers und zum Kanton Vivonne (bis 2015: Kanton La Villedieu-du-Clain). Die Einwohner werden Vernonais genannt.

    [en] Vernon, Vienne

    Vernon (French pronunciation: ​[vɛʁnɔ̃]) is a commune in the Vienne department in the Nouvelle-Aquitaine region in western France.

    [es] Vernon (Vienne)

    Vernon es una población y comuna francesa, situada en la región de Poitou-Charentes, departamento de Vienne, en el distrito de Poitiers y cantón de La Villedieu-du-Clain.
    - [fr] Vernon (Vienne)



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