Verneuil-l'Étang est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.
Pour les articles homonymes, voir Verneuil et L'Étang.
Cet article est une ébauche concernant une commune de Seine-et-Marne.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?). Le bandeau {{ébauche}} peut être enlevé et l’article évalué comme étant au stade « Bon début » quand il comporte assez de renseignements encyclopédiques concernant la commune.
Si vous avez un doute, l’atelier de lecture du projet Communes de France est à votre disposition pour vous aider. Consultez également la page d’aide à la rédaction d’un article de commune de France.
Consultez la liste des tâches à accomplir en page de discussion.
Verneuil-l'Étang | |
La mairie. | |
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Île-de-France |
Département | Seine-et-Marne |
Arrondissement | Provins |
Intercommunalité | Communauté de communes de la Brie nangissienne |
Maire Mandat |
Christian Cibier 2020-2026 |
Code postal | 77390 |
Code commune | 77493 |
Démographie | |
Gentilé | Verneuillais |
Population municipale |
3 204 hab. (2019 ![]() |
Densité | 410 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 38′ 40″ nord, 2° 49′ 58″ est |
Altitude | Min. 77 m Max. 119 m |
Superficie | 7,81 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Verneuil-l'Étang (ville isolée) |
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Nangis |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | mairie-verneuil77.fr |
modifier ![]() |
Verneuil-l’Etang est située au centre de la plaine de la Brie, à 45 km de Paris. La commune s’étend sur une superficie de 7,8 km2 dont une partie occupée par des exploitations agricoles.
![]() |
Chaumes-en-Brie (3 km) | Beauvoir (2 km) | ![]() | |
Guignes (3 km) | N | |||
O Verneuil-l'Étang E | ||||
S | ||||
Andrezel (4 km) | Aubepierre-Ozouer-le-Repos (4,3 km) |
L'altitude de la commune varie de 77 mètres à 119 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 99 mètres d'altitude (mairie)[1]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].
Le réseau hydrographique de la commune se compose de deux cours d'eau référencés :
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 6,59 km[5].
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[6].
La commune fait partie du SAGE « Yerres », approuvé le . Le territoire de ce SAGE correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de 1 017 km2, parcouru par un réseau hydrographique de 450 kilomètres de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l'Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon[7]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l'assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse »[8].
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000 | |
- Moyenne annuelle de température : 11,2 °C |
La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[9]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[11]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[12], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[13] à 11,6 °C pour 1991-2020[14].
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[15],[16],[17].
Verneuil-l'Étang est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[18],[19],[20]. Elle appartient à l'unité urbaine de Verneuil-l'Étang, une unité urbaine monocommunale[21] de 3 204 habitants en 2019, constituant une ville isolée[22],[23].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[24],[25].
La commune compte 36 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés consultables ici[26].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (75,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,5% ), zones urbanisées (12,4% ), forêts (9,5% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,6 %)[27].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[28],[29],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].
La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme intercommunal couvrant le territoire de la communauté de communes des Deux Morin, prescrit le 28 juin 2018, était en élaboration[30],[31].
En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 1 219 dont 74,3 % de maisons et 25,5 % d'appartements.
Parmi ces logements, 96,5 % étaient des résidences principales, 0,2 % des résidences secondaires et 3,3 % des logements vacants[Note 6].
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait t à 64,5 % contre 34,7 % de locataires[32] dont, 21,9 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 7] et, 0,8 % logés gratuitement.
La commune est desservie par la gare de Verneuil-l'Étang située sur la ligne P du Transilien et par la ligne 01 du réseau de bus Brie et 2 Morin direction Melun, Coulommiers et Rebais aux arrêts pont et gare.
Le sentier de grande randonnée GR 1 traverse le territoire de la commune entre Chaumes-en-Brie au nord-est et Andrezel au sud-ouest.
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Vernoilum en 1114[33] ; Vernoil vers 1222 (Livre des vassaux)[34] ; Vernueil en 1260[35] ; Vernuil en 1278[36] ; Verneil en 1362[37] ; Verneul en 1363[38] ; Verneil en Brye lez Chaulmes en 1436[39] ; Verneul l'Estang en 1671[40].
Le village est mentionné pour la première fois en 1114 sous le nom de Vernoilum. Vern faisant allusion à une forêt d’aulnes.
Verneuil se décompose en deux éléments gaulois (celtique) : le terme *uerno-[41] « marécage, aulne » (cf. breton gwern, irlandais fern), resté dans les termes dialectaux verne et vergne, sortes d'aulnes. Le second élément est un appellatif toponymique également d'origine celtique *ialon, latinisé en -ialum, et qui signifie initialement « espace découvert par un défrichement », « essart », puis par extension « village » (cf. gallois tir ial « espace découvert ») et qui a donné les finales -ueil / -euil en langue d'oïl et -(u)éjol / -(u)éjoul, etc.[42] en langue d'oc.
Les communes de Verneuil et l’Étang ont fusionné en 1839, mais l'agglomération ainsi formée prend le nom de Verneuil-l'Étang par le décret du .
Au milieu du XIXe siècle plusieurs lignes ferroviaires desservent le village. La ligne de Vincennes qui relie Verneuil-l’Etang à Paris est inaugurée en 1892 mais le tronçon desservant la commune est fermé en 1939. Une autre ligne reliant Verneuil-l’Etang à Melun est inaugurée en 1901 et est fermée par la suite. Aujourd'hui la gare conserve son activité grâce à sa position sur la ligne Paris-Mulhouse[43].
Verneuil-l'Étang se trouve dans le département de Seine-et-Marne. Rattachée depuis la Révolution française à l'arrondissement de Melun[44], elle intègre le l'arrondissement de Provins afin de faire coïncider les limites d'arrondissement et celles des intercommunalités[45].Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la troisième circonscription de Seine-et-Marne.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Mormant[44]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune intègre le canton de Nangis.
La commune était le siège de la petite communauté de communes la Brie centrale, créée fin 2004.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (et 5 000 habitants en zone de montagnes)[46], la communauté de communes la Brie centrale éclate et Verneuil-l'Étang est membre depuis le de la communauté de communes de la Brie nangissienne.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
mai 1925 | août 1965 | Albert Hubschwerlin[48] (1894-1965) |
SFIO | Conseiller général de Mormant (1956 → 1965) Officier de la Légion d'honneur Décédé en fonction |
septembre 1965 | mars 1989 | Albert Hubschwerlin (fils du précédent) |
SFIO → PS | Agent de presse Conseiller général de Mormant (1965 → 1967) |
mars 1989 | mars 2008 | André Berquier | PS | Artisan menuisier retraité Conseiller général de Mormant (1998 → 2004 et 2006 → 2011) |
mars 2008[49] | En cours (au 4 juillet 2020) |
Christian Cibier | PS | Contrôleur de travaux Conseiller général de Mormant (2011 → 2015) Président de la CC de la Brie centrale (avant 2011 → 2016) 9e vice-président de la CC de la Brie Nangissiène (2017 → 2020) 5e vice-président de la CC de la Brie Nangissiène[50] (2020 → ) Réélu en 2014 et 2020 |
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [51],[52].
En 2020, la commune de Verneuil-l'Étang gère le service d’assainissement collectif (collecte, transport et dépollution) en régie directe, c’est-à-dire avec ses propres personnels[53].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[54]. La communauté de communes Brie Nangissienne (CCBN) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à l'entreprise Veolia, dont le contrat arrive à échéance le 31 décembre 2021[53],[55].
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SIAEP d'Andrezel, Verneuil-l'Etang, Yèbles qui en a délégué la gestion à l'entreprise Aqualter Exploitation, dont le contrat expire le [53],[56],[57].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[58]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[59].
En 2019, la commune comptait 3 204 habitants[Note 8], en diminution de 1,08 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +4,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
239 | 209 | 206 | 206 | 213 | 217 | 266 | 274 | 260 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
284 | 302 | 322 | 314 | 350 | 402 | 434 | 527 | 510 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
584 | 580 | 601 | 605 | 701 | 744 | 711 | 781 | 822 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2007 | 2012 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 157 | 1 299 | 1 707 | 1 948 | 2 577 | 3 135 | 3 069 | 3 058 | 3 203 |
2017 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
3 237 | 3 204 | - | - | - | - | - | - | - |
En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 1 126 (dont 62 % imposés), représentant 3 106 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 23 980 euros[61].
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 827, occupant 1 542 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 69,9 % contre un taux de chômage de 8,3 %. Les 21,8 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 11,3 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 4,9 % de retraités ou préretraités et 5,6 % pour les autres inactifs[62].
En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture. ) par secteur d'activité était de 154 dont 17 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 20 dans la construction, 54 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 5 dans l’Information et communication, 5 dans les activités financières et d'assurance, 2 dans les activités immobilières, 20 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 19 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 12 étaient relatifs aux autres activités de services[63].
En 2020, 21 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 18 individuelles.
Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[64].
Les Grands Moulins de Paris dispose d'une minoterie desservie par la voie ferroviaire.
Verneuil-l'Étang est dans la petite région agricole dénommée la « Brie française », (ou Basse-Brie), une partie de la Brie autour de Brie-Comte-Robert[Carte 3]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 9] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[65].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[66]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 4 en 1988 à 2 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 166 ha en 1988 à 178 ha en 2010[65]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Verneuil-l'Étang, observées sur une période de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Dimension économique[65],[Note 10] | |||
Nombre d’exploitations (u) | 4 | 4 | 2 |
Travail (UTA) | 16 | 78 | 4 |
Surface agricole utilisée (ha) | 665 | 459 | 355 |
Cultures[67] | |||
Terres labourables (ha) | 665 | 451 | s |
Céréales (ha) | 438 | 231 | s |
dont blé tendre (ha) | 276 | 144 | s |
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) | 121 | s | |
Tournesol (ha) | 60 | ||
Colza et navette (ha) | s | s | |
Élevage[65] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 11]) | 35 | 0 | 0 |
Sur les autres projets Wikimedia :