Venansault [vənɑ̃so] est une commune vendéenne du Centre-Ouest de la France située dans la région des Pays de la Loire. Elle appartient à l'aire urbaine et à l'agglomération de La Roche-sur-Yon (le chef-lieu du département). Ses habitants sont appelés Venansaltais et Venansaltaises.
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Venansault | |
![]() L’église Saint-Pierre | |
![]() | |
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Pays de la Loire |
Département | Vendée |
Arrondissement | La Roche-sur-Yon |
Intercommunalité | La Roche-sur-Yon-Agglomération |
Maire Mandat |
Laurent Favreau 2020-2026 |
Code postal | 85190 |
Code commune | 85300 |
Démographie | |
Gentilé | Venansaltais (e) |
Population municipale |
4 628 hab. (2019 ![]() |
Densité | 103 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 46° 41′ 13″ nord, 1° 30′ 41″ ouest |
Altitude | 60 m Min. 33 m Max. 79 m |
Superficie | 44,72 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Venansault (ville isolée) |
Aire d'attraction | La Roche-sur-Yon (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de la Roche-sur-Yon-1 |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | Site officiel |
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La commune est traversée par deux petits ruisseaux, Le Guyon à l'est de la commune traversant le bourg et la rivière du Jaunay, qui y prend sa source pour se jeter dans le fleuve de la Vie.
La commune de Venansault se situe dans le département de la Vendée, en région Pays de la Loire. Elle fait partie de l'air urbaine et de l'agglomération de la Roche-sur-Yon, qui s'étend sur treize communes formant une superficie totale de 499,4 km2. Historiquement la commune fait aussi partie du doyenné de Mareuil et à compter dans les paroisses de la principauté de la Roche-sur-Yon.
Venansault est une commune "entre ciel et terre". En effet, elle est tout d'abord limitrophe du chef-lieu du département, La-Roche-sur-Yon (centre), mais aussi située à une demi-heure du remblai des Sables d'Olonnes (littoral). De plus, elle est à trois petits quarts d'heure de Luçon et de son marais poitevin (sud-Vendée), et à égale distance avec les Herbiers (bocage).
Les communes limitrophes sont Aizenay au nord-ouest, Beaulieu-sous-la-Roche à l'ouest, Landeronde au sud-ouest, Aubigny-Les-Clouzeaux au sud-est, La Roche-sur-Yon à l'est et Mouilleron-le-Captif au nord-est.
Aizenay | La Génétouze | Mouilleron-le-Captif |
Beaulieu-sous-la-Roche | ![]() |
La Roche-sur-Yon |
Landeronde | Aubigny-Les-Clouzeaux |
À Venansault l'altitude maximale atteint 79 m, et la minimale est seulement de 33 m. À l'inverse des idées reçues, la Vendée n'a pas un sol plat, bien au contraire, elle est formée de collines et de plaines. La superficie de cette commune est de 44,49 km2.
Le territoire municipal de la commune de Venansault s’étend sur 4 472 hectares. L’altitude moyenne de la commune est de 60 mètres.
L'hygrophie fait partie des sciences de la géographie physique traitant des oceans, des mers, des lacs et des cours d'eau.
Venansault est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Venansault, une unité urbaine monocommunale[4] de 4 644 habitants en 2017, constituant une ville isolée[5],[6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Roche-sur-Yon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[7],[8].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (97,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51,7 %), prairies (25,9 %), zones agricoles hétérogènes (14,4 %), zones urbanisées (5,4 %), forêts (1,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,7 %), mines, décharges et chantiers (0,3 %)[9].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].
Saint Venant ( Saint Venance Fortunat), homme de lettres originaire d'Italie, 25e évêque de Poitiers, mort au tout début du VIIe siècle, serait à l'origine du nom de la commune mais nous pensons aussi que cela pourrait provenir du mot latin "Venantisaltus", signifiant "défilé boisé" et ça c'est pas très étonnant. Si vous connaissez un peu Venansault et même la Vendée, vous seriez que c'est très boisé, vert et naturel de nos jours, alors imaginez à l'époque.
Mais à vrai dire le radical du nom est rare et unique dans la région. Une seule commune en France semble le partager : Venanson dans les Alpes Maritimes. Il existerait aussi une commune du nom de Saint Venant dans le Pas-de-Calais, et de Saint Venant de Paquette au Québec.
En clair l'étymologie du nom de la commune "Venansault" est encore incertaine et à découvrir.
L'église Saint-Pierre a été mentionnée pour la première dans les années 1080. À l'époque l'ancienne église comportait un chœur orienté, toujours présent avec une abside du XIe siècle, un portail du XIIe siècle et un clocher dit bénédictin qui portait à l'intérieur de sa voûte les armes des Béraud de Monbail. Les Béraud de Monbail, c'est trois générations de comtes et dauphins d'Auvergne nommés tous Béraud qui se sont transmis leurs armes en héritage et ces armes ont fini dans le clocher de l'Eglise car c'est eux qui sont à l'origine de la première maison noble et du château de Venansault. Mais le , durant les colonnes infernales, l'église Saint-Pierre est incendiée par les républicains. Elle sera restaurée plusieurs fois tant bien que mal par les Venansaltais jusqu'en 1813, date à laquelle Napoléon va allouer 300 000 F pour reconstruire la Vendée détruite. Une partie de cette somme servira donc à la rénovation de l'église (800 F exactement). Et depuis ce temps-là, l'église de Saint-Pierre à Venansault n'a connu aucun travau ou rénovation, ni même un incendie.
Au XIIe siècle remontent les origines de Monbail, la première maison noble et seigneurie venansaltaise, à laquelle sera rattaché le titre de Marquis à la fin du XVIIIe siècle.
Une seconde maison noble voit le jour dans la commune. Le château de la Boursière, C'est vers 1224 qu'on retrouve ses premières traces écrite, on parle alors d'un chevalier, Hugues Primaut, propriétaire d'un moulin nommé "Borceria" qui paye ses taxes et revenus à l'Abbaye des Fontenelles. Dans les années 1365, une transaction est faite, la propriétaire de l'époque Madame Marguerite du Puy-Du-Fou, veuve et remariée à Nicolas Robineau, décide de céder à sa nièce Catherine Robineau l'ensemble de Borceria excepté le moulin. Par la suite Catherine Aymon fille de Catherine Robineau et femme de Jean Jaillard devient la propriétaire, c'est surement par cette alliance que Borceria passa entre les mains de la famille Jaillard. Plus tard dans plusieurs actes entre 1540 et 1554 Jean I Jaillard, descendant de Jean Jaillard, et son épouse Jeanne Templerie sont qualifiés de seigneur et dame de la Bourcère. Au fil du temps les descendants Jaillard se succèdent à la tête de la propriété et sont eux aussi qualifiés de Seigneur ou Dame de la Bourcère. La Famille Jaillard sera présente à la tête du domaine de la Boursière de 1390 à 1785, mais suite, un mariage entre Marie-Anne Jaillard dame de la Boursière et Charles-Baptiste de Morais seigneur de la Boucherie, la propriété sera transmise à sa mort en 1785 à Monseigneur de la Bobinière. Marie-Anne Jaillard aura eu deux filles Marie-Henriette de Morais et Charlotte-Foy de Morais. Marie-Henriette se maria avec Louis-Charles de Gazeau, seigneur de la Benastonnière, qui lui ramènera la Boursière. Et la seconde Charlotte-Foy se maria avec Henri-Aimé de la Forest-Groizardière qui résidèrent pendant la révolution à la Boursière. Marie-Henriette survécut à la révolution mais hélas pas son mari qui fut exécuté. Par la suite, la Boursière devient propriété de leur fille, Henriette-Charlotte de Gazeau, qui épousa Antoine Rousselot de Saint-Géran. Ensemble ils eurent un fils mais les malheurs arrivèrent Henriette-Charlotte de Gazeau mourut et s'ensuivit six jours plus tard leur fils. Antoine Rousselot de Saint-Géran hérita donc de la Boursière, le temps passa, il se remaria et vendit le château de la Boursière le 12 mai 1823 à Constantin-Joseph de Chabot. Marie de Chabot reprit le château de la Boursière en partage avec son mari, Henri-Augier de Moussac. Celui-ci devint maire de Venansault et mourut en 1879. Parmi les sept enfants qu'ils avaient eus, c'est Fernand de Moussac qui devint propriétaire de la Boursière, puis son frère Henry, qui n'ayant pas d'enfant le légua à son neveu, Christian de Moussac l'actuel propriétaire depuis 1959. Entre-temps, la Boursière fut occupée par les Allemands entre 1942 et 1943 pour y installer un hôpital militaire.
Venansault n'est pas un village d'irréductibles vendéens, ils n'ont donc pas évité le carnage des guerres de Vendée, avec à son apogée, le 5 février 1794, où environ 100 femmes et enfants venansaltais sont coupés en morceaux par des hommes de la colonne Duquesnoy. Durant les guerres de Vendée, la troupe de Venansault participe au soulèvement d'août 1792 et à la prise de La-Roche-sur-Yon le 14 mars 1793. Il reste de ce temps-là un monument aux morts en commémoration aux martyrs venansaltais sur l'actuel parking de la place des Acacias, la salle des fêtes.
En 1854, le troisième château de Venansault est construit. Le magistrat et fils de Jean Joseph de Bonnegens des Hermitans, Henri-Joseph de Bonnegens des Hermitans humble héritier de sang du domaine des Hermitans venu de Saint-Jean d'Angély (17) fait construire le château des Hermitans. Il est aujourd'hui occupé par la Maison des Familles rurales qui porte son nom.
En termes d’éducation, Venansault n'est pas une grande commune donc elle ne possède pas de grandes écoles, comme des collèges, des lycées, ou même des universités, se situant à moins de dix kilomètre de la Roche-sur-Yon, le Secondaire et le supérieur est accessible aux jeunes Venansaltais. Pour l'élémentaire et le professionnel, deux écoles se trouve dans la commune.
En 1891, une école privée est créée pour les filles, avec à sa tête les Sœurs de l’Immaculée Conception. L'école changera de nom en 1919 pour devenir l'école Louis Chaigne, puis, en 1919 un deuxième site est créé pour les garçons. Jusqu'en 1999 ces deux sites fonctionneront séparément aux niveaux administratif et éducatif mais ils s'uniront en 1999 pour devenir l'école privée mixte de Louis Chaigne et formeront un seul bâtiment en 2014.
Depuis le début des années 2000, des aménagements sont réalisés dans la commune. En 2003 est inaugurée, au stade, une tribune moderne.
Les pôles d’éducation ont également été aménagés avec la création d’une nouvelle garderie et d’un agrandissement conséquent de l’école privé Louis Chaigne.
Près de l’espace des "Trois Étangs", un pôle de santé a vu le jour rassemblant cabinet de médecins généralistes, cabinet dentaire et pharmacie.
Dans cette même zone a été construit "L’îlot des Arts", vaste monument où se retrouvent des associations artistiques, bibliothèque, foyer des jeunes.
Depuis fin 2017, la mairie a pour projet de réaménager le centre bourg, avec la création d’une place devant l'église et un retour des commerces. Également, une nouvelle salle de tennis et un dojo devraient voir le jour afin de pouvoir accueillir les licenciés.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Maires avant 1969
| ||||
Eugène Cougnaud | ||||
Eugène Texier[14] | Réélu en 1983 et 1989 | |||
Emmanuel Viaud | DVD-UMP | Expert-comptable Réélu en 2001[15] | ||
[16] | [17] (démission) |
Denis Guyonnet | Préparateur en pharmacie | |
[18] | en cours | Laurent Favreau | DVD | Exploitant agricole Conseiller départemental du canton de la Roche-sur-Yon-1 (2015 → ) 7e vice-président de La Roche-Agglo (2014 → ) Réélu en 2014 et 2020[19] |
Les données manquantes sont à compléter. |
Venansault a obtenu trois fleurs au Concours des villes et villages fleuris (palmarès 2007). Venansault possède plusieurs espaces verts, le plus important est l'« espace des 3-Étangs », situé sur la route des Clouzeaux, avant de quitter la commune de Venansault. Cet espace est aménagé d'une aire de jeux pour enfants, d'installations de pique-niques, puis également, tout autour des étangs, de pistes. Autour de celles-ci, plusieurs activités physiques peuvent être réalisées avec des échelles, barres à tractions, sautes-moutons, parcours de rondins, etc.
La zone de la "Vallée Verte", qui s'étend autour du Guyon, derrière la salle de sport et les écoles primaires, est un autre espace de verdure, où est chaque année organisée la fête de la commune "Venansoh", ainsi que les traditionnelles fêtes des écoles. Un potager communal a aussi vu le jour, permettant aux jardiniers amateurs de pouvoir bénéficier d'une parcelle où cultiver fruits et légumes.
En accord avec le Conseil Municipal des Enfants (CME), pour un entretien plus écologique des espaces verts, des animaux (chèvres, cochons, ânes, moutons...) ont été "employés" sur plusieurs parcelles de la commune, comme au stade ou à proximité du cimetière. En mangeant l'herbe, ils exécutent ainsi une "tonte écologique".
Le Conseil Municipal a voté en décembre 2016, à l'unanimité, une délibération permettant la signature d'une convention avec la monnaie locale vendéenne, le Vendéo, afin que les services de régie municipaux puissent être payés en monnaie locale. La commune est devenue ainsi la quatrième commune de France à accepter une monnaie locale pour ses finances publiques[20].
Créé en 1999, le Comité de Jumelage a pour but de favoriser l'établissement de relations entre les habitants de Venansault et ceux des villes jumelles. Cette association a déjà permis de créer des jumelages avec la ville de Wolin en Pologne et la ville de Mercury en France. Depuis 2019, le comité de Jumelage de Venansault est en bonne voie pour signer deux autres chartes de jumelage avec la ville de Kursterdingen en Allemagne et la ville de Villaescusa en Espagne. Il y a quelque temps l'association à aussi connu une passation de pouvoir de M. Alain Thibaud à Mme Chrystèle Chupeau.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].
En 2019, la commune comptait 4 628 habitants[Note 3], en augmentation de 0,72 % par rapport à 2013 (Vendée : +4,57 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 454 | 928 | 1 627 | 1 562 | 1 527 | 1 568 | 1 609 | 1 680 | 1 691 |
1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 720 | 1 763 | 1 794 | 1 785 | 1 826 | 1 820 | 1 863 | 1 918 | 1 951 |
1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 002 | 1 947 | 1 637 | 1 670 | 1 620 | 1 604 | 1 636 | 1 611 | 1 573 |
1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2004 | 2006 | 2009 | 2014 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 584 | 1 787 | 2 636 | 3 163 | 3 527 | 3 877 | 4 107 | 4 331 | 4 610 |
2019 | - | - | - | - | - | - | - | - |
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4 628 | - | - | - | - | - | - | - | - |
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,5 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,3 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 317 hommes pour 2 319 femmes, soit un taux de 50,02 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,16 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,4 | 90 ou + | 1,3 |
4,5 | 75-89 ans | 6,3 |
18,1 | 60-74 ans | 17,8 |
21,7 | 45-59 ans | 21,9 |
18,9 | 30-44 ans | 20,0 |
14,2 | 15-29 ans | 12,9 |
22,2 | 0-14 ans | 19,8 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,8 | 90 ou + | 2,1 |
8,4 | 75-89 ans | 11 |
19,5 | 60-74 ans | 20,4 |
20 | 45-59 ans | 19,4 |
18 | 30-44 ans | 17,1 |
14,9 | 15-29 ans | 13,2 |
18,5 | 0-14 ans | 16,8 |
Il existe des associations sportives au sein de la commune.
Le club de tennis est celui qui compte le plus de licenciés.
L'Hermitage Venansault Football est le club de football de la commune. Son équipe fanion est engagée pour la saison 2021-2022 en deuxième division de district. Elle peut compter sur sa nouvelle recrue en provenance de l'ESOF, Hugo Guillou[27].
Les "Feux Follet Gymnastique" est un autre club de sport de la commune. Les gymnastes venansaltaises se classent chaque année à un haut niveau départemental et régional.[réf. nécessaire]
La commune compte également un club d'aïkido, de badminton, de volley-ball, de basket-ball, de judo, de boxe thaïlandaise, de palet, de tennis de table, de vélo, de tir, de billard et des sports motorisés.
Les Jardins du Loriot, parc floral anglo-chinois de 5 ha, est situé à 6 km au sud du centre-ville. Les différents jardins s'inscrivent dans un paysage de bocage préservé. Autour d'un étang d'un hectare et d'un bras d'eau, le parc est composé de 2500 variétés de plantes et d'arbustes venant de tous les continents avec une prédominance de végétaux venant d'Asie . Les pièces d'eau sont ornées de lotus et de nymphéas qui rappellent l'amitié entre Georges Clemenceau et le peintre Claude Monet. D'importantes collections d'hydrangeas, de rhododendrons, de roses, de cornouillers, de camélias, et de plantes rares ... permettent une floraison tout au long de l'année. Plusieurs massifs de vivaces et de ligneux dédiés à des grands explorateurs de la flore chinoise coexistent avec les fleurs indigènes préservées grâce à une pratique écologique. Un Bambusetum dédié à Jean Houzeau de Lehaie rassemble une collection d'environ 130 variétés de bambous. Nombreuses statues sculptées en Birmanie et en Indonésie jalonnent un cheminement de 34 étapes. Deux parcours ludiques évoquent le Japon (Conte de la Princesse Lune) et la Chine, (particulièrement le Yunnan et Sichuan) avec un circuit balisé de moulins à prières et de massifs en l'honneur de 8 grands explorateurs français (missionnaires français), anglais et américains. Reconstitution d'un pont historique anglo-chinois, symbole de premier jardin anglo-chinois en France au XVIIIe siècle. Exposition permanente : "Sur les pas du Tigre en Asie" retrace le voyage de G. Clemenceau en Asie du Sud, notamment en Birmanie[28].
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