Trilbardou est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.
Trilbardou | |
![]() Un des bâtiments de l'usine élévatoire des eaux. | |
![]() Héraldique |
|
Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Île-de-France |
Département | Seine-et-Marne |
Arrondissement | Meaux |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays de Meaux |
Maire Mandat |
Romuald Jala 2020-2026 |
Code postal | 77450 |
Code commune | 77474 |
Démographie | |
Gentilé | Triboulois |
Population municipale |
657 hab. (2019 ![]() |
Densité | 87 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 56′ 33″ nord, 2° 48′ 21″ est |
Altitude | Min. 47 m Max. 60 m |
Superficie | 7,54 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Claye-Souilly |
Législatives | Sixième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | mairie-trilbardou.org |
modifier ![]() |
Trilbardou est située à 8 km à l'ouest de Meaux[Carte 1].
Villeroy | Chauconin-Neufmontiers | |
Charmentray | ![]() |
Villenoy |
Jablines, Précy-sur-Marne |
Lesches | Vignely |
La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1]. L'altitude varie de 47 mètres à 60 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 53 mètres d'altitude (mairie)[2].
Le réseau hydrographique de la commune se compose de quatre cours d'eau référencés :
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 4,52 km[7].
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000 | |
- Moyenne annuelle de température : 11,1 °C |
La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[9]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[8]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[10]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 38 km à vol d'oiseau[11], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[12] à 11,6 °C pour 1991-2020[13].
La commune est desservie par les lignes d'autocars :
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[16],[17].
Un espace protégé est présent sur la commune : le « plan d'eau des Olivettes », objet d'un arrêté préfectoral de protection de biotope, d'une superficie de 131 ha[18].
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Oiseaux »[20],[Carte 2] :
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Trilbardou comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 2],[23],[Carte 3], les « Pâture et bois du Château de Montigny » (28,93 ha), couvrant 2 communes du département[24] et les « plans d'eau de Trilbardou » (278,86 ha), couvrant 3 communes du département[25]. et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[23], la « vallée de la Marne de Coupvray à Pomponne » (3 619,57 ha), couvrant 17 communes du département[26].
Trilbardou est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[27],[28],[29].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire regroupe 1 929 communes[30],[31].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (76,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,7% ), eaux continentales[Note 6] (8,7% ), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,7% ), mines, décharges et chantiers (4,4% ), forêts (4,4% ), zones urbanisées (3,2 %)[32].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[33],[34],[Carte 4]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 5].
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 288, alors qu'il était de 294 en 2013 et de 274 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 87,2 % étaient des résidences principales, 4,9 % des résidences secondaires et 8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 79,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 17,4 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Trilbardou en 2018 en comparaison avec celle de Seine-et-Marne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,9 %) supérieure à celle du département (2,9 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 75,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (73,3 % en 2013), contre 61,8 % pour la Seine-et-Marne et 57,5 pour la France entière[I 3].
Typologie | Trilbardou[I 1] | Seine-et-Marne[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 87,2 | 90,3 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 4,9 | 2,9 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 8 | 6,8 | 8,2 |
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[35]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 6].
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Tria vers 1172[36] ; Tria le Bardol en 1217[37] ; Pedagium de Tria Bordoli en 1229[38] ; Triabardulphi en 1248[39] ; Villa de Tria Bardouli en 1249[40] ; Triabardolii en 1254[41] ; Tribaldolt en 1258[39] ; Triabardolli en 1260[39] ; Tria lou Bardou en 1265[42] ; Triunbardol en 1273[43] ; Tillebardoul en 1275[44] ; Trie en 1275[45] ; Trie le Bardoul en 1306[46] ; Tria Bardonis en 1327[47] ; Tri Le Bardou en 1347[48] ; Try le Bardoul en 1394[49] ; Trillebardou près Meaulx en 1481[50] ; Trillebardoul en 1482[51] ; Tribaldou en 1563[52] ; Trilbardou en 1594[53] ; Trillebardoult en 1606[54].
Tri : Altération du mot trajectum qui veut dire « traversée, passage » en latin. En effet, Trilbardou était le passage obligé de la Marne sur la route de Paris vers l’Est en passant par Lagny.
Nommée ainsi, en hommage, au retour des croisades en 1101, à son seigneur du village Hugues Ier de Broyes surnommé Bardulfl qui signifie « revêtu d’une carapace » (en référence à son armure), dit Bardoul, devenu par corruption Trilbardou[55].
On retrouve la même situation et origine dans les villes de Trilport, Trie-Château, le Trait.
Le , a lieu un combat entre une compagnie de cavalerie du sieur de Givry[Note 7],[56] agissant pour le compte d'Henri IV et l'avant garde du duc de Mayenne venu délivrer Paris.
La commune se trouve dans l'arrondissement de Meaux du département de Seine-et-Marne. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la sixième circonscription de Seine-et-Marne.
Elle faisait partie de 1793 à 1962 du canton de Claye-Souilly, année où elle intègre le canton de Meaux, puis, en 1975, le canton de Meaux-Sud[57]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune réintègre le canton de Claye-Souilly, qui comprend désormais 30 communes.
La commune est membre de la communauté d'agglomération du pays de Meaux, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2003 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1804 | 1809 | M. Adam | ||
1811 | 1825 | M. Adam | ||
1826 | 1830 | M. Lenfumé de Lignieres | ||
1831 | Jean Meilhan, | Maire-adjoint assurant l'intérim de M. Lenfumé de Lignieres, absent | ||
1834 | Louis Joseph Alexandre Pachot | |||
1836 | M. Pachot | |||
1848 | Pierre Victor Bussieres | Maire-adjoint assurant l'intérim du maire absent | ||
avant 1870 | avant 1876 | Adolphe de Lignieres | propriétaire | |
1876 | Adolphe Lenfumé de Lignieres | Propriétaire | ||
1883 | François Ernest Michon | Cultivateur | ||
1885 | Louis Delaroche | |||
1895 | Jean Eugène Koller | Agent de change | ||
1910 | après 1919 | Jean Fernand Koller | Propriétaire | |
1936 | 1937 | Jean Raymond Koller | Ingénieur | |
1937 | Jean Fernand Koller | |||
1947 | Raymond Koller | |||
1953 | Robert Debeaupuis | |||
1965 | René Hunsinger | |||
1983 | 2003 | Michel Proffit | Agriculteur | |
2003 | 2008 | Véronique Devaux | ||
2008 | mai 2020 | Jacques Drèveton[59] | ||
mai 2020 | septembre 2021[60],[61] | Matthieu Fourny | Démissionnaire | |
6 décembre 2021[62] | En cours | Romuald Jala |
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [63],[64].
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Trilbardou est assurée par le CA du Pays de Meaux (CAPM) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [65],[66],[67].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[68]. assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[65],[69].
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SMAEP de Thérouanne, Marne et Morin (TMM) qui en a délégué la gestion à la SAUR, dont le contrat expire le [65],[70],[71].
Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Meaux[72].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[73]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[74].
En 2019, la commune comptait 657 habitants[Note 8], en diminution de 3,24 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +4,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
373 | 406 | 429 | 385 | 443 | 473 | 461 | 445 | 407 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
395 | 409 | 432 | 433 | 416 | 400 | 369 | 381 | 369 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
382 | 390 | 406 | 328 | 329 | 318 | 345 | 402 | 387 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2008 | 2013 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
353 | 310 | 358 | 367 | 406 | 517 | 592 | 613 | 679 |
2018 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
651 | 657 | - | - | - | - | - | - | - |
En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 257, représentant 646 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 24 980 euros[76].
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 115, occupant 336 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 78,1 % contre un taux de chômage de 6,2 %. Les 15,7 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 3,6 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 5,9 % de retraités ou préretraités et 6,2 % pour les autres inactifs[77].
En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 56 dont 5 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 13 dans la construction, 16 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 2 dans l’information et communication, 3 dans les activités financières et d'assurance, 1 dans les activités immobilières, 8 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 2 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 6 étaient relatifs aux autres activités de services[78].
En 2019, 9 entreprises individuelles ont été créées sur le territoire de la commune.
Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[79].
Trilbardou est dans la petite région agricole dénommée la « Goële et Multien », regroupant deux petites régions naturelles, respectivement la Goële et le pays de Meaux (Multien)[Carte 7]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 9] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[80].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[81]. Cette tendance n'est pas confirmée au niveau de la commune qui voit le nombre d'exploitations rester constant entre 1988 et 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations diminue, passant de 234 ha en 1988 à 179 ha en 2010[80]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Trilbardou, observées sur une période de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Dimension économique[80],[Note 10] | |||
Nombre d’exploitations (u) | 3 | 3 | 3 |
Travail (UTA) | 12 | 9 | 5 |
Surface agricole utilisée (ha) | 702 | 542 | 538 |
Cultures[82] | |||
Terres labourables (ha) | 702 | 542 | 538 |
Céréales (ha) | 389 | s | s |
dont blé tendre (ha) | 252 | 322 | s |
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) | s | ||
Tournesol (ha) | s | ||
Colza et navette (ha) | 64 | s | s |
Élevage[80] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 11]) | 0 | 0 | 0 |
![]() |
Blason | Ecartelé : au 1er de gueules au mouton d'argent, au 2e d'azur à trois broyes d'or rangées en pal, au 3e d'azur à l'aigle d'or , au 4e d'or au silex de sable entre deux divises ondées d'azur[85]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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