Jablines est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.
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Le village est situé dans une boucle de la Marne à 9,5 km au nord-est de Thorigny.
Communes limitrophes
Communes limitrophes de Jablines
Fresnes-sur-Marne
Précy-sur-Marne
Trilbardou
Annet-sur-Marne
Dampmart
Chalifert
Lesches
Géologie et relief
La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1]. L'altitude varie de 37 mètres à 78 mètres pour le point le plus haut , le centre du bourg se situant à environ 53 mètres d'altitude (mairie)[2].
Hydrographie
Carte des réseaux hydrographique et routier de Jablines.
Le réseau hydrographique de la commune se compose de six cours d'eau référencés:
la rivière la Marne, longue de 514,26 km[3], principal affluent de la Seine, ainsi que:
la rivière Beuvronne[Note 1], longue de 23,90 km[8], affluent en rive droite de la Marne;
le canal 01 de la Commune de Fresnes-sur-Marne, 1,50 km[9], qui conflue avec la Marne.
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 7,11 km[10].
Climat
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000
- Moyenne annuelle de température: 11,3 °C
- Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C: 3,1 j
- Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 4,9 j
- Amplitude thermique annuelle[Note 2]: 15,1 °C
- Cumuls annuels de précipitation: 700 mm
- Nombre de jours de précipitation en janvier: 0,3 j
- Nombre de jours de précipitation en juillet: 2,9 j
La commune bénéficie d’un «climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord», selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[11].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[12]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[11]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[13]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 35 km à vol d'oiseau[14], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2°C pour 1981-2010[15] à 11,6°C pour 1991-2020[16].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[17],[18].
Un espace protégé est présent sur la commune:
le «Marais de Lesches», objet d'un arrêté préfectoral de protection de biotope, d'une superficie de 84ha[19].
Réseau Natura 2000
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats» et «Oiseaux». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[20].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la «directive Oiseaux»[21],[Carte 1]:
les «Boucles de la Marne», d'une superficie de 2 641ha, un lieu refuge pour une population d’Œdicnèmes criards d’importance régionale qui subsiste malgré la détérioration des milieux[22],[23].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Jablines comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 3],[24],[Carte 2],
le «Marais du Refuge» (135,43ha), couvrant 3 communes du département[25];
et le «plan d'eau de la Boucle de Jablines» (509,63ha), couvrant 3 communes du département[26]
et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[24],
la «vallée de la Marne de Coupvray à Pomponne» (3 619,57ha), couvrant 17 communes du département[27].
Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.
Urbanisme
Typologie
Jablines est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[28],[29],[30].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[31],[32].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,7% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (67,6%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (52,3% ), eaux continentales[Note 8] (15,8% ), espaces verts artificialisés, non agricoles (8,7% ), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,8% ), forêts (6,2% ), prairies (5,4% ), zones urbanisées (4,9%)[34].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[35],[36],[Carte 3]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Marne, Brosse et Condoire, approuvé en février 2013 et dont la révision a été lancée en 2017 par la Communauté d'Agglomération de Marne et Gondoire[37].
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[38]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 5].
Logement
En 2014, le nombre total de logements dans la commune était de 264 (dont 89,8% de maisons et 9,8% d’appartements).
Parmi ces logements, 90,5% étaient des résidences principales, 5,1% des résidences secondaires et 4,4% des logements vacants.
La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 81% contre 15,6% de locataires[39].
Voies de communication et transports
Voies de communication
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Transports
La commune est desservie par les lignes d'autocars du réseau de bus de Marne-la-Vallée:
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Javelles d'osier brut
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Jabellinae en 1179[40]; Jablinae au XIIesiècle[41]; Jabelines en 1205[42]; Jabliniaux en 1227[43]; Jabelignes en 1260[44]; Jablineaus in vico Meldensi en 1277[45]; Jablineaus au XIIIesiècle[46]; Jabellines en 1501[47]; Jablines en 1560[48]; Jabline près Annet en 1656[49]; Jableyne près Annet en Brie en 1667[49]; Jablinne en 1712[49]; Jabeline en 1720[49]; Jablaines en 1720 (Saugrain)[50]; Gablines en 1772[51].
Ce toponyme n'est pas très rare et le mot dont il est issu désigne tout simplement une «petite javelle» (gerbe, de foin ou botte de blé ou d'osier).
Histoire
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Politique et administration
Le , la commune a intégré la communauté d'agglomération de Marne et Gondoire.
Tendances politiques et résultats
Élections nationales
À l’élection présidentielle de 2002, le premier tour a vu arriver en tête Jean-Marie Le Pen avec 21,57%, suivi de Lionel Jospin avec 12,55%, puis de Jacques Chirac avec 10,59%, François Bayrou avec 8,63%, Noël Mamère avec 8,24%, Arlette Laguiller avec 7,45%, Alain Madelin avec 7,06%, Jean-Pierre Chevènement avec 6,27%, Bruno Mégret avec 3,53%, Jean Saint-Josse avec 3,53%, Robert Hue avec 3,14%, Olivier Besancenot avec 2,75%, Corinne Lepage avec 2,75%, Christiane Taubira avec 1,18%, Christine Boutin avec 0,78%, et enfin Daniel Gluckstein avec 0% des voix. Au second tour, les électeurs ont voté à 73,97% pour Jacques Chirac contre 26,03% pour Jean-Marie Le Pen (nationalement 82,21% et 17,79%; abstention 20,29%)[52].
À l’élection présidentielle de 2007, le premier tour a vu arriver en tête Nicolas Sarkozy avec 37,75%, suivie par Ségolène Royal avec 21,90%, puis de François Bayrou avec 19,02%, puis Jean-Marie Le Pen avec 9,22%, puis de Olivier Besancenot avec 3,46%, puis de Philippe de Villiers avec 2,88%, puis de Marie-Georges Buffet avec 2,31%, puis de José Bové avec 1,44%, puis de Dominique Voynet avec 0,86%, puis de Arlette Laguiller avec 0,58%, puis de Frédéric Nihous avec 0,58%, et enfin de Gérard Schivardi avec 0% des voix. Au second tour, les électeurs ont voté à 57,10% pour Nicolas Sarkozy (national: 53,06%) contre 42,90% pour Ségolène Royal (résultat national: 46,94%). Au premier tour la participation est de 96,71%, au second tour elle est de 90,63%[53].
Élection présidentielle de 2012[54]: 57,47% pour Nicolas Sarkozy (UMP), 42,53% pour François Hollande (PS). Taux de participation de 86,48%.
Élection présidentielle de 2017[55]: 57,18% pour Emmanuel Macron (REM), 42,82% pour Marine Le Pen (FN), Taux de participation de 80,63%.
membre de la Communauté d'agglomération Marne et Gondoire
Politique environnementale
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Équipements et services
Eau et assainissement
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [57],[58].
Assainissement des eaux usées
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Jablines est assurée par le SIA de Marne-la-Vallée (SIAM) pour la dépollution[59],[60],[61].
La station d'épuration Equalia est quant à elle gérée par le SIA de Marne-la-Vallée (SIAM) qui a délégué la gestion à une entreprise privée, VEOLIA, dont le contrat arrive à échéance le [59],[62].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[63]. La communauté d'agglomération Marne et Gondoire (CAMG) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à la Société Française de Distribution d’Eau (SFDE), dont le contrat arrive à échéance le 31 décembre 2025[59],[64].
Eau potable
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [59],[65],[66].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[67]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[68].
En 2019, la commune comptait 691 habitants[Note 9], en augmentation de 1,17% par rapport à 2013 (Seine-et-Marne: +4,1%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
266
326
294
312
311
273
277
300
292
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
278
300
286
243
214
241
220
210
184
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
182
160
189
172
180
191
174
198
244
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
213
288
260
260
333
574
620
628
660
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
686
691
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[69] puis Insee à partir de 2006[70].)
Histogramme de l'évolution démographique
Manifestations culturelles et festivités
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Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 229, représentant 674 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 27 020 euros[71].
Emploi
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 106, occupant 372 actifs résidants.
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 73,2% contre un taux de chômage de 6%.
Les 20,9% d’inactifs se répartissent de la façon suivante: 12,9% d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 3% de retraités ou préretraités et 5% pour les autres inactifs[72].
Entreprises et commerces
En 2015, le nombre d'établissements actifs était de 68 dont 3 dans l'agriculture-sylviculture-pêche, 5 dans la construction, 51 dans le commerce-transports-services divers et 9 étaient relatifs au secteur administratif[73].
Ces établissements ont pourvu 97 postes salariés.
Les ressources viennent principalement de la Sablières et de la pisciculture.
Secteurs d'activité
Agriculture
Jablines est dans la petite région agricole dénommée les «Vallées de la Marne et du Morin», couvrant les vallées des deux rivières, en limite de la Brie[Carte 6]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 10] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[74].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30% du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[75]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 4 en 1988 à 2 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 79ha en 1988 à 190ha en 2010[74].
Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Jablines, observées sur une période de 22 ans:
Évolution de l’agriculture à Jablines entre 1988 et 2010.
Le point de confluence donné par Sandre est contestable, celui-ci étant au milieu de la Marne, limite administrative entre Jablines et Annet-sur-Marne. Le point terrestre où la Beuvronne rejoint la Marne est sur la commune d’Annet-sur-Marne.
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
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