Articles connexes: Liste des cours d'eau du Pas-de-Calais, Liste de rivières de France et Liste des fleuves de France.
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La Sensée est une rivière de 27,07 km qui a été détournée en 1963 dans la Marche Navire dont le lit délimite la frontière entre le Nord et le Pas-de-Calais. Elle traverse un décanteur créé dans l'étang de Tortequesne, pour rejoindre ensuite les étangs de Ecourt, Palluel et Arleux (confluence). Après avoir pris sa source dans la commune de Saint-Léger, elle se jette dans le canal du Nord à Arleux[1].
Milieux naturels et biodiversité
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 2[Note 1]: le complexe écologique de la vallée de la Sensée. Cette ZNIEFF s’étend sur plus de 20 kilomètres depuis les communes de Remy et Haucourt jusqu’à la confluence de la rivière canalisée avec l’Escaut. Elle forme une longue dépression à fond tourbeux, creusée entre des plateaux aux larges ondulations; Ostrevent au Nord, bas-Artois au Sud et Cambrésis à l’Est.[2].
Urbanisme
Typologie
Tortequesne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[3],[4],[5].
Elle fait partie intégrante de la communauté de communes OSARTIS-MARQUION, qui regroupe 49 communes et dont le siège est implanté à Vitry en Artois.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[6],[7].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,8% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (68,1%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (58,6%), zones urbanisées (17,2%), zones humides intérieures (11,4%), prairies (6,8%), forêts (5,7%), zones agricoles hétérogènes (0,4%)[8].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Torteken en 1096; Tortekaine en 1239; Tortecanne au XIVe siècle; Torcanne en 1626[10]; Tortaquenne et Tortequesne en 1801[11].
Le nom du village, Tortequesne, est parfois orthographié Tortequenne[12].
Tortequesne ou Tortequenne?
Pourquoi connaissons-nous deux orthographes différentes pour désigner cette localité? Quelle est l'origine de cette dualité?
Comme tous les villages et villes de France, le patronyme du village de Tortequesne (ou Tortequenne?) a constamment évolué au cours de ces derniers siècles.
Les traces les plus lointaines que l'on connaisse relatent d'un «chevalier François de Torteken qui figure au tournoi d’Anchin en 1096» ou encore du «village de Torken, ou Torquenne» en 1722[13].
Cependant, l'orthographe actuelle «Tortequesne» existait dès le XIVesiècle, non pas pour désigner la localité, mais pour qualifier la famille de Tortequesne, propriétaire de la seigneurie d’Hamel. La famille de Tortequesne s’éteindra en 1533 avec la mort de Philippe de Tortequesne. Ses armoiries constituent aujourd'hui celles de la commune d'Hamel[14].
Les cahiers de doléances de la Révolution française témoignent de l'orthographe «Tortequesne» en 1789, mais Tortequenne prenait déjà 2 «n» sur les cartes de Cassini en 1745.
Les deux orthographes ont ensuite coexisté jusque notre période contemporaine, même si l'usage voulait que Tortequenne soit généralement ainsi orthographié jusqu’aux années 1980.
Mais cette liberté de choix devint incompatible avec la révolution informatique naissante dans les années 1980. Le secrétaire de mairie M.Christian Debert essuya donc les plâtres sur l'écran de son minitel flambant neuf.
Quelle n’était pas sa stupéfaction quand la machine refusait de valider des dossiers de Tortequenne sous prétexte que la commune n’existait pas. Pourquoi ce refus? S'étant enquis auprès du ministère de l'Intérieur, les différents services du minitel, système embryonnaire de notre internet, avaient opté pour «Tortequesne» dans leur programmation.
La rigueur et le système binaire de l'informatique allaient mettre un terme à plus de 200 ans de coexistence orthographique. C'est ainsi que «Tortequesne» devint l'orthographe officielle[12]
«Torteken, Torquenne dans les chartes. Ce nom semble indiquer un lieu consacré à Thor ou Teutates, dieu de la guerre chez les Gaulois, au temps où le culte druidrique florissait en cette contrée. Le chevalier Frémin de Torteken figure au tournoi d’Anchin en 1096. Au XIIesiècle, ce village dépendit de la châtellerie de Lécluse.»[15]
Le nom est également issu du gauloiscassanos signifiant chêne[16].
Histoire
Le village de Tortequesne représenté dans l'album De Croy.
Données historiques:
1297: en juin, le roi de France Philippe le Bel, entrant en Flandre, s'empare du château de Tortequesne[17].
1304: la garnison française de Douai prend le château et le brûle...tordam caudam ceperuntnet castellum combusserunt[18]....
1597: mention de...Jeban Desmaretz, sieur du chastel lèz Tortequenne[19]...
1632: sentence de la gouvernance de Douai...un vieux chasteau, dongeon, fossetz et singles[20]....
1694: relief de Lécluse, au profit de Louis Crule ...le chastelet de Tortequesne, et autrement Mont-Héricourt, se consistant en un chasteau, cense, enclos et fossetz[C'est-à-dire?][21]....
1722: dénombrement servi par le sieur Crulle... un donjon...au village de Torquesne, que l'on dit de Montéricourt et vulgairement du châtelet, la bassecourt...entourés de fossetz[22]….
1785: dénombrement servi par Louis Cresle:...fief du châtelet, sans seigneurie, etc. donjon et châtelet enclos d'eau, maisons, édifices, granges, étables, maréchaussées, colombiers, manoirs...fief de Montericourt et vulgairement du châtelet, tenant deux sens à la chaussée de Lécluse à Douay, canal appelé le Buironneau, rendant eau auxdits fossés[23]...
Le châtelet de Tortequesne, qui commandait le passage de la Sensée sur la route de Douai à Bapaume par Lécluse, était semble-t-il une dépendance du château de Lécluse.
Politique et administration
Découpage territorial
Article connexe: Arrondissements du Pas-de-Calais.
La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
Article connexe: Liste des intercommunalités du Pas-de-Calais.
Tortequesne était membre de la communauté de communes Osartis, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre du schéma départemental de coopération intercommunale approuvé par le préfet du Pas-de-Calais le [24], cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes Osartis Marquion dont est désormais membre la commune.
Circonscriptions administratives
Articles connexes: Liste des cantons du Pas-de-Calais, Conseil départemental du Pas-de-Calais et Liste des conseillers départementaux du Pas-de-Calais.
La commune faisait partie depuis 1793 du canton de Vitry-en-Artois[11]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Brebières.
Circonscriptions électorales
Articles connexes: Liste des circonscriptions législatives du Pas-de-Calais et Liste des députés du Pas-de-Calais.
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
Articles connexes: Élections municipales de 2020 dans le Pas-de-Calais, Histoire des maires de France et Nomination des maires sous la Troisième République française.
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La salle polyvalente du Mont-Bédu construite au cours du mandat du maire Bernard Mayeux est inaugurée le samedi .
Salle polyvalente du Mont Bédu inaugurée sous le mandat du Maire Bernard Mayeux.
L'école Léon-Waymel, vue de la rue de Bellonne.
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].
En 2019, la commune comptait 838 habitants[Note 5], en augmentation de 12,18% par rapport à 2013 (Pas-de-Calais: 0%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
422
469
509
572
567
557
578
584
567
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
573
629
648
661
674
653
613
591
537
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
514
487
464
348
387
392
387
401
403
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
415
489
504
578
719
686
713
716
724
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
826
838
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[11] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,7%, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7%). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,9% la même année, alors qu'il est de 24,9% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 422 hommes pour 414 femmes, soit un taux de 50,48% d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,50%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,7
90 ou +
1,0
3,6
75-89 ans
5,6
14,6
60-74 ans
16,2
19,2
45-59 ans
19,6
25,4
30-44 ans
24,7
12,2
15-29 ans
13,2
24,2
0-14 ans
19,8
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[33]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
1,5
5,4
75-89 ans
8,9
15,9
60-74 ans
17,3
20,2
45-59 ans
19,4
19,1
30-44 ans
18,2
18,6
15-29 ans
16,3
20,3
0-14 ans
18,3
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Le monument aux morts du cimetière est érigé en 1928 pour honorer la mémoire des Poilus de Tortequesne morts pour la France lors de la Première Guerre mondiale. Le lundi 19 avril 1928, Fernand Lefebvre, Charles Richard, François Lefebvre et Antoine Dhorme, tous les quatre anciens combattants de la grande guerre, créent le comité de construction du monument. Le 22 avril, une souscription à laquelle répond la quasi-totalité du village, récolte la somme de 1675,50 francs pour l'érection de ce monument. La marbrerie Lefebvre- Hanard de Vitry en Artois et l'entreprise de maçonnerie Norbert Lefranc Fauveaux de Estrées se voient confier les travaux. L'inauguration eu lieu le avec le concours de la municipalité, de la compagnie des sapeurs pompiers de Tortequesne, de la musique municipale de Lécluse, et avec la présence de presque toute la population de Tortequesne[34]. Le monument a perdu dans les années 1980 la statue édifiée à son sommet[35].
L'église actuelle, paroisse Saint-Martin, fut bâtie en 1827, aux frais de la commune et grâce à la générosité de madame la marquise de la Rianderie. Partiellement détruite lors des bombardements de 1917, elle fut dotée de son clocher actuel au sortir de la grande guerre. Initialement, le clocher abritait deux cloches. La plus petite des deux est disparue dans les années 1960. Elle fut vendue pour financer les travaux d'électrification de la sonnerie.
En 1923, la cloche Jeanne Juliette fut érigée dans le clocher et baptisée en présence du curé de la paroisse, Jules Corroyer, et de René Lefebvre, maire de la commune de Tortequenne. Sur la cloche, on peut lire l'inscription suivante: «Je fus baptisée à Tortequenne en 1923 par Jules Corroyer, curé et en présence de René Lefebvre, maire. Je me nomme Jeanne Juliette. J'ai pour parrain, Jean Baptiste Pecqueur et pour marraine, Juliette Cayet. La victoire des poilus m’a mise dans ce clocher pour tenir la place d’une sœur morte au Champ d’Honneur. Symbole de la résurrection du village, je veux éternellement chanter la paix pour les vivants et pour les morts».
Les plaques de cocher de Tortequesne: En 1835, à la suite d'une circulaire des préfets et de l'administration des Ponts et Chaussées, l'ensemble des routes de France est équipé de plaques indicatrices. Ces plaques de fonte étaient situées aux entrées, sorties et carrefours des villes et villages, à une hauteur de 2,30 m pour être visibles des cavaliers et des cochers. Ces plaques, devenues rares aujourd'hui, de par les destructions des dernières guerres doivent être préservées et sont propriétés de la commune. Il en subsiste deux à Tortequesne, visibles sur les axes anciennement nommés «chemin de grande communication n°10» et «chemin de grande communication n°43».
Monument aux morts situé au cimetière, érigé en 1928
Le clocher de l'église
La cloche baptisée Jeanne-Juliette en 1923.
Chemin de grande communication no10.
Personnalités liées à la commune
Louis Thbaut, né à Aniche, le , 1er au concours général de dissertation française en 1943, devient instituteur puis professeur de collège; il reprend des études universitaires en 1969; il obtient le titre de docteur de 3ecycle avec une thèse sur Pierre-Joseph Laurent; cofondateur de la Société d'histoire d'Aniche; il décède le en Lozère et est inhumé dans le carré des pauvres à Tortequesne[réf.nécessaire].
Louis Dubois: grognard de Napoléon. Dubois Louis est mort en 1874 à l'âge de 84 ans, cultivateur à Tortequesne, rue de Sailly (habitation actuelle de M. et Mme Jean Caron); il serait donc né en 1790 pendant la Révolution. C'est son frère plus âgé qui a été appelé par Napoléon à l'âge de 20 ans, vers 1809; mais c'est Louis, plus jeune frère qui est parti à sa place. Il n'aurait pas donné signe de vie à sa famille pendant sept ans; pourtant il savait lire et écrire puisqu'il était caporal au 67eRégiment de ligne dont il a suivi les campagnes. Il serait revenu de Russie à pied en faisant des petits boulots pour survivre sur la route Napoléon Ier à l'île d'Elbe, Louis XVIII devenu roi de France le décora de la Fleur de Lys à Nîmes le où le 67erégiment de ligne était cantonné. Napoléon III, honorant le vœu de son illustre oncle décora Louis Dubois de la médaille de Sainte-Hélène (décret du [36]).
Héraldique
Blason
D'argent à la champagne du même chargée de huit vergettes de sable, au chêne tordu arraché de sinople au tronc aussi de sable brochant sur le tout.
Ornements extérieurs
Croix de guerre 1914-1918
Détails
Avant 1985, la commune ne possédait pas de blason officiel. A la demande de la municipalité, Francis Détournay, un dessinateur local a créé ce blason au chêne tordu, en référence à l'étymologie du nom de Tortequesne.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
L'école de la commune porte le nom de ce maire.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p.371.
«Alors, Tortequesne ou Tortequenne?: Pourquoi existe-t-il deux orthographes différentes pour désigner cette localité: Tortequesne et Tortequenne», La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
Sources: Mémorial historique et archéologique du département du Pas-de-Calais de Louis Joseph Harbaville. 1842
Sources: Serge Dormard, Hamel, histoire d’un village du Douaisis
(fr) Mémorial historique et archéologique du département du Pas-de-Calais par Louis Joseph Harbaville (1842), page 277
Henriette Walter, L'Aventure des mots français venus d'ailleurs, Robert Laffont, p. 44
Le Glay, 1843, II, p.180
Lettenhove, histoire, I, p.484, cité par B.M.D, Mn, 1695
Nathalie Labreigne, «Premier et dernier mandat de maire pour Bernard Mayeux à Tortequesne: En six ans, il a réalisé davantage que ce qu'il avait prévu pour la commune. Mais l'élu veut désormais réserver du temps pour sa famille. En mars, il passera la main», La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
«Tortequesne: le premier adjoint Jean-Pierre Pont se présente aux municipales: Le premier adjoint entend poursuivre le travail qu'il a commencé aux côtés du maire, Bernard Mayeux», La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
«Jean-Pierre Pont élu maire à Tortequesne: Ancien premier adjoint de Bernard Mayeux, Jean-Pierre Pont prend sa succession à la mairie», La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
«Tortequesne: le monument aux morts se situe devant la mairie: Initialement surmonté de son célèbre poilu, une tempête survenue dans les années 80, a littéralement déboulonné la vaillante sentinelle du haut de son socle. La statue n’a pas résisté à cette chute fatale. Seule la colonne pyramidale reste identique à l’état d’origine. Elle est ornée de la croix de guerre attribuée à la commune de Tortequesne le 23 septembre 1920», La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
Pages histoire du site de la commune de Tortequesne
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