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Thiers-sur-Thève est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Thierois et Thieroises[1].

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Thiers-sur-Thève

Ruines du château : l'ancienne chapelle.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Senlis
Intercommunalité Communauté de communes Senlis Sud Oise
Maire
Mandat
Pierre Boufflet
2020-2026
Code postal 60520
Code commune 60631
Démographie
Gentilé Thierois,Thieroises
Population
municipale
1 077 hab. (2019 )
Densité 172 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 09′ 11″ nord, 2° 34′ 23″ est
Altitude Min. 54 m
Max. 102 m
Superficie 6,25 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Senlis
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Thiers-sur-Thève
Géolocalisation sur la carte : France
Thiers-sur-Thève
Géolocalisation sur la carte : Oise
Thiers-sur-Thève
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Thiers-sur-Thève

    Géographie


    L'horticulture sous serres appartient désormais au passé à Thiers.
    L'horticulture sous serres appartient désormais au passé à Thiers.

    Situation


    Thiers-sur-Thève est située dans le sud du département de l'Oise, à la lisière sud de la forêt de Chantilly, sur la RD 607 entre Pontarmé et Mortefontaine, à une distance orthodromique de 36 km au nord-nord-est de Paris, respectivement de km au sud du chef-lieu d'arrondissement de Senlis. La distance routière de la capitale est de 44 km par la RD 1017 et l'autoroute A1, via le connecteur no 7 de Survilliers / Saint-Witz, et l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle est éloigné de 21 km. La RD 607 constitue l'unique accès à Thiers ; l'autoroute traverse le territoire communal à l'est du village sans moyen de la rejoindre directement.


    Transports en commun


    Concernant les transports en commun, Thiers est desservi à certaines heures par la ligne d'autocars no 13 du réseau départemental Sud-Oise, gare d'Orry-la-Ville - Coye - Senlis. Du lundi au vendredi, trois cars partent le matin pour la gare d'Orry-la-Ville - Coye qu'ils rejoignent en 15 min, et deux cars en reviennent en soirée. Le mardi et vendredi, jour de marché à Senlis, deux allers-retours sont proposés pour cette ville. Le tarif est de 1 euro pour un ticket aller-retour à destination d'Orry, La Chapelle-en-Serval ou Senlis[2].


    Communes limitrophes


    Thiers-sur-Thève compte cinq communes limitrophes, dont Pontarmé est celle avec Thiers partage le plus de limites communes, à savoir 5,8 km pour une circonférence totale de 12 km environ. Bien que Pontarmé soit située à l'ouest de Thiers, la limite nord de Thiers donne également sur Pontarmé. Par contre, Mont-l'Évêque ne côtoie Thiers que sur 200 m environ, au nord-est de la butte aux Gens d'Armes et au-delà de l'autoroute. Sinon, toutes les parcelles de la forêt d'Ermenonville qui touchent le territoire communal de Thiers à l'est sont situées sur Fontaine-Chaalis. Le golf de Morfontaine et les pistes d'essais du C.E.R.A.M. correspondent à la commune de Mortefontaine, et ce sont le parc Astérix et le hameau de Neufmoulin qui sont situés sur la commune de Plailly, au sud-est[3].

    Communes limitrophes de Thiers-sur-Thève
    Mont-l'Évêque
    Pontarmé Fontaine-Chaalis
    Plailly Mortefontaine

    Climat


    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 11,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 680 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Senlis », sur la commune de Senlis, mise en service en 1959[10] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[11],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 724,6 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Le Bourget », sur la commune de Bonneuil-en-France, dans le département du Val-d'Oise, mise en service en 1920 et à 23 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[14] à 11,6 °C pour 1981-2010[15], puis à 12,1 °C pour 1991-2020[16].


    Milieux naturels


    Comme son nom l'indique, Thiers est située sur la Thève, petit affluent de l'Oise qui coule à travers la forêt de Chantilly. Cette forêt et plus précisément sa partie appelée forêt de Pontarmé, occupe 195 ha soit 31 % du territoire communal. S'y ajoutent le Bois Bourdon et plusieurs petits bois privés disséminés sur le territoire, conférant à Thiers le caractère d'un village-clairière. Le relief est pratiquement plat, exception faite de la butte aux Gens d'Armes au nord-est, point culminant de la commune à 103 m d'altitude. C'est une butte-témoin sablonneux avec une végétation de pins et bruyères, proche de la forêt d'Ermenonville. Le point le plus bas est localisé à l'endroit où la Thève quitte la commune, près des étangs de Saint-André, à 54 m au-dessus du niveau de la mer. Le village lui-même est situé à une altitude inférieure à 54 m.


    Environnement


    Le « Trou de Sable » entre le GR 1 et le stade.
    Le « Trou de Sable » entre le GR 1 et le stade.

    Le patrimoine naturel et paysager de Thiers-sur-Thève est protégé par deux ZNIEFF du type 1. La ZNIEFF n° national 220014323 « Massif forestier de Chantilly / Ermenonville » concerne sur Thiers l'ensemble des parcelles de la forêt de Chantilly, appelée ici forêt de Pontarmé, et les petits bois privés à la lisière de cette forêt[17]. La ZNIEFF n° national 220014325 « Bois de Morrière » porte essentiellement sur un bois de ce nom situé sur la commune de Plailly, mais englobe également le Bois Bourdon au sud de Thiers, les près humides à l'est du village, et l'ensemble du secteur au-delà de l'autoroute, avec notamment la lisière des bois autour de la butte du Maulois[18]. L'ensemble du territoire communal fait partie du site classé « Forêts d'Ermenonville, de Pontarmé, de Haute-Pommeraie, butte et clairière de Saint-Christophe », créé par arrêté du sur la base de la loi du 2 mai 1930 relative à la protection des monuments naturels et des sites de caractère artistique, historique, scientifique, légendaire ou pittoresque[19]. Antérieurement, l'ensemble de la commune avait déjà été retenu pour le site inscrit de la vallée de la Nonette, créé par arrêté du [20]. Ce site inscrit a préfiguré le Parc naturel régional Oise-Pays de France pour sa partie située dans l'Oise, créé par décret du et incorporant l'ensemble de la commune de Thiers[21]. - Concernant la randonnée pédestre et équestre, la commune est traversée d'est en ouest par le GR 1, passant par la forêt et parfois en lisière de forêt, en provenance d'Ermenonville, et en direction des étangs de Commelles et de la gare d'Orry-la-Ville - Coye. Par la forêt, l'on peut rejoindre Senlis, Mont-l'Évêque ou l'abbaye de Chaalis. Des chemins ruraux permettent de rejoindre La Chapelle-en-Serval, mais en raison de la présence du parc Astérix, du circuit d'essais et du golf de Morfontaine, tout le secteur au sud-est du village est parfaitement inaccessible.


    Urbanisme



    Typologie


    Thiers-sur-Thève est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[22],[23],[24].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[25],[26].


    Occupation des sols


    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (60,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (60,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,2 %), prairies (23,4 %), zones urbanisées (10 %), terres arables (5,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,5 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[28].


    Toponymie


    Thiers-sur-Thève ne doit pas être confondu avec la ville de Thiers dans le Puy-de-Dôme (capitale mondiale de la coutellerie).

    Ces deux dernières ont la même homographie et la même homophonie .


    Histoire


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    Politique et administration


    La « villa Brica » de 1904 est devenue la nouvelle mairie en 2011.
    La « villa Brica » de 1904 est devenue la nouvelle mairie en 2011.

    Rattachements administratifs et électoraux


    La commune se trouve dans l'arrondissement de Senlis du département du Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de l'Oise.

    Elle fait partie depuis 1801 du canton de Senlis[29]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, Thiers-sur-Thève reste intégré à ce canton, dont le nombre de communes est réduit de 17 à 14 communes.


    Intercommunalité


    Jusqu'au début de l'année 2009, la commune appartenait à la communauté de communes du Pays de Senlis qui regroupait 19 collectivités.

    À la suite de désaccords profonds entre élus des communes membres[30], le préfet a décidé de dissoudre l'intercommunalité le [31].

    Il autorise la création :
    - de la Communauté de communes des Trois Forêts (CC3F) avec les 5 communes de Senlis, Aumont-en-Halatte, Courteuil, Chamant et Fleurines.
    - de la communauté de communes Cœur Sud Oise (CCCSO), regroupant treize communes et dont le siège était à Ognon, l'une des plus petites de l'intercommunalité[32].

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[33],[34], le schéma départemental de coopération intercommunale approuvé par le préfet de l'Oise le prévoit notamment la fusion de la communauté de communes des Trois Forêts et de la communauté de communes Cœur Sud Oise[35].

    Après consultation des conseils municipaux et communautaires concernés[36], la nouvelle intercommunalité, recréant de fait l'ancienne communauté de communes du Pays de Senlis (sans Orry-la-Ville)[37], dont la scission en 2010 avait créée ces deux intercommunalités, est constituée au par un arrêté préfectoral du sous le nom de communauté de communes Senlis Sud Oise, dont la commune est désormais membre.


    Liste des maires


    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    2001 mars 2008 Jacky Boyelle    
    mars 2008 Juin 2020 Didier Jeudon   Réélu pour le mandat 2014-2020[38]

    Population et société



    Démographie



    Évolution démographique

    Articles connexes : Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[40].

    En 2019, la commune comptait 1 077 habitants[Note 7], en augmentation de 0,47 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    222208238242271284281282281
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    274291281292272284254248270
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    276287284277254292301340384
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    4505225686798249791 0721 0981 072
    2018 2019 - - - - - - -
    1 0701 077-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,5 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 525 hommes pour 545 femmes, soit un taux de 50,93 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[42]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ou +
    1,5 
    4,0 
    75-89 ans
    6,1 
    16,8 
    60-74 ans
    16,5 
    26,1 
    45-59 ans
    22,9 
    20,0 
    30-44 ans
    20,0 
    15,4 
    15-29 ans
    14,5 
    17,5 
    0-14 ans
    18,5 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[43]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,3 
    75-89 ans
    7,5 
    15,1 
    60-74 ans
    15,8 
    20,9 
    45-59 ans
    20,1 
    19,5 
    30-44 ans
    19,4 
    17,9 
    15-29 ans
    16,5 
    20,8 
    0-14 ans
    19,4 

    Culture locale et patrimoine



    Lieux et monuments



    Monument historique

    Entrée du château.
    Entrée du château.

    Thiers-sur-Thève ne compte qu'un seul monument historique sur son territoire.

    Article détaillé : Château de Thiers-sur-Thève.

    Autres éléments du patrimoine


    Personnalités liées à la commune



    Héraldique


    Les armes de Thiers-sur-Thève se blasonnent ainsi :
    Tiercé en pairle : au 1er de gueules au château donjonné ruiné d’argent maçonné de sable, ouvert et ajouré du champ, au 2d d’or à l’arbre de sinople posé sur une champagne ondée d’azur chargé de trois burelles ondées d’argent, au 3e d’argent à la cognée de sable semestrée d’une scie passe-partout du même posée en pal.


    Voir aussi


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    Bibliographie



    Articles connexes



    Liens externes



    Notes et références



    Notes


    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références


    1. Cf. « Thiers-sur-Thève (60520) », sur Habitants.fr - Nom des habitants des communes françaises (consulté le ).
    2. [PDF] « Horaire de la ligne 13 », sur Oise-mobilité (consulté le ).
    3. Communes limitrophes et autres renseignements topographiques selon la carte topographique 1 : 25000e « TOP 25 » de l'IGN, consultable en 3D sur le site « Geoportail » (consulté le ). Distances mesurées par l'outil proposé dans le mode de visionnage en 3D.
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    10. « Station Météo-France Senlis - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Thiers-sur-Thève et Senlis », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Senlis - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Thiers-sur-Thève et Bonneuil-en-France », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. Cf. « Description de la znieff Massif forestier de Chantilly / Ermenonville », sur DREAL Picardie (consulté le ).
    18. Cf. « Description de la znieff Bois de Morrière », sur DREAL Picardie (consulté le ).
    19. [PDF] « Forêts d'Ermenonville, de Pontarmé, de Haute-Pommeraie, butte et clairière de Saint-Christophe », sur DREAL Picardie (consulté le ).
    20. Cf. [PDF] « Vallée de la Nonette », sur DREAL Picardie (consulté le ).
    21. Cf. [PDF] « Journal officiel de la République française du 15 janvier 2004, p. 1143-1144 », sur DREAL Picardie (consulté le ).
    22. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    28. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. « Les maires rebelles montent au créneau », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    31. « Le préfet dissout la communauté de communes », Le Parisien, (lire en ligne).
    32. « La nouvelle donne de l'intercommunalité », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne) « Sur les cendres encore fumantes de la communauté de communes du Pays de Senlis (CCPS), de nouvelles entités sont en train de naître, reflétant l'éclatement d'un Pays de Senlis désormais bien morcelé. Sur les dix-neuf communes qui composaient la CCPS, ce sont les treize villages rebelles ayant souhaité et obtenu la dissolution qui ont le plus avancé sur leur nouvelle organisation. (...) Ce nouveau regroupement intercommunal est désormais entré dans une phase plus concrète puisque le préfet de l'Oise vient d'en valider le périmètre et les statuts. Avec un peu moins de cinq mille habitants, les treize membres de Cœur Sud Oise ont désormais leur avenir intercommunal en main pour mettre sur pied la communauté de communes à échelle humaine dont ils rêvaient ».
    33. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    34. « Cœur Sud Oise fait de la résistance sur la coopération intercommunale », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
    35. « Nouveau Schéma départemental de Coopération Intercommunale » [PDF], Signature de l'arrêté approuvant le nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 24-25.
    36. « Oise : voici le nouveau schéma départemental finalisé », L'Observateur de Beauvais, (lire en ligne).
    37. « Des vœux en guise d’adieux pour Cœur Sud Oise », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne) « Senlis Sud Oise marquera la renaissance du Pays de Senlis — sans compter toutefois Orry-la-Ville qui a rejoint l’Aire cantilienne — mais dans un climat plus apaisé que celui qui avait conduit à la dissolution de ce dernier en 2009. De graves désaccords entre Senlis et les treize communes parties fonder Cœur Sud Oise avaient provoqué la séparation. « C’est surtout notre bilan humain qu’il faut mettre en avant, conclut Alain Battaglia. Cœur Sud Oise nous a permis de nouer des contacts très forts entre nous et, cet acquis-là, on ne nous l’enlèvera jamais ».
    38. « Six nouveaux recours rejetés », Le Parisien, édition de l'Oise, .
    39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    42. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Thiers-sur-Thève (60631) », (consulté le ).
    43. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    44. Notice no PA00114919, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    45. Ernest Dupuis, « Notice sur le château de Thiers », Comité Archéologique de Senlis, Comptes-Rendus et Mémoires, années 1897-98, Senlis, Imprimerie Eugène Dufresne, 4e série, vol. II, , p. 17-58 (ISSN 1162-8820, lire en ligne).
    46. Jean Mesqui, Île-de-France Gothique 2 : Les demeures seigneuriales, Paris, Picard, , 404 p. (ISBN 2-7084-0374-5), p. 310-315.
    47. Cf. Ernest Dupuis, « Notice sur le château de Thiers : L'église », Comité Archéologique de Senlis, Comptes-Rendus et Mémoires, Senlis, Imprimerie Eugène Dufresne, 4e série, vol. II, 1897-98, p. 32-33 (lire en ligne).
    48. Dominique Vermand, Églises de l'Oise : Cantons de Chantilly et Senlis, Beauvais, Conseil général de l'Oise, avec le concours des communes des cantons de Chantilly et Senlis, , 54 p., p. 53.
    49. Ernest Dupuis, « La Seigneurie et le village de Pontarmé », Comité archéologique de Senlis, Comptes-rendus et mémoires, année 1894, Senlis, Imprimerie Eugène Dufresne, 3e série, vol. IX, , p. 1-128 (ISSN 1162-8820, lire en ligne) ; p. 44.
    50. Cf. « Son Histoire - Notre Histoire », sur Thiers-sur-Thève (site officiel) (consulté le ).
    51. Cf. le magazine du parc, « Soyons parc, n° 16 », p. 6.

    На других языках


    [de] Thiers-sur-Thève

    Vorlage:Infobox Gemeinde in Frankreich/Wartung/abweichendes Wappen in Wikidata

    [en] Thiers-sur-Thève

    Thiers-sur-Thève is a commune in the Oise department in northern France.

    [es] Thiers-sur-Thève

    Thiers-sur-Thève es una población y comuna francesa, en la región de Picardía, departamento de Oise, en el distrito de Senlis y cantón de Senlis.
    - [fr] Thiers-sur-Thève



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