Communauté de communes de la Région Lézignanaise, Corbières et Minervois
Maire Mandat
Hervé Baro 2020-2026
Code postal
11330
Code commune
11388
Démographie
Gentilé
Termenais, Termenaises
Population municipale
47 hab. (2019 )
Densité
2,5 hab./km2
Géographie
Coordonnées
43° 00′ 05″ nord, 2° 33′ 47″ est
Altitude
300 m Min. 200 m Max. 680 m
Superficie
18,63 km2
Unité urbaine
Commune rurale
Aire d'attraction
Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales
Canton des Corbières
Législatives
Troisième circonscription
Localisation
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Termes
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Termes
Géolocalisation sur la carte: Aude
Termes
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Termes
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Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du massif des Corbières, un chaos calcaire formant la transition entre le Massif central et les Pyrénées. Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Libre, le Sou, le ruisseau de Caulière et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable: trois sites Natura 2000 (les «hautes Corbières», les «Corbières occidentales» et la «vallée de l'Orbieu») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Termes est une commune rurale qui compte 47 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 326 habitants en 1836. Ses habitants sont appelés les Termois ou Termoises.
Ses habitants sont les Termenais.
Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : l'église Notre-Dame, inscrite en 1951, et le château, classé en 1989.
Géographie
Vue de Termes et de la rivière le Sou.
Commune située dans les Corbières, sur le Sou de Laroque. Par la route, Narbonne est à 52 km, Carcassonne à 54 km, Limoux à 38 km et Perpignan à 64 km.
La commune est dans la région hydrographique «Côtiers méditerranéens»[2], au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse[3]. Elle est drainée par le Libre, le Sou, le ruisseau de Caulière, le ruisseau Coume de Lierre, le ruisseau de Font Taulier, le ruisseau de la Bruyère, le ruisseau de la Clape, le ruisseau de la Garrigue, le ruisseau de Menou, le ruisseau des Abellanies, le ruisseau des Canals et le ruisseau des Grataillais, qui constituent un réseau hydrographique de 26 km de longueur totale[4],[Carte 1].
Le Libre, d'une longueur totale de 14,8 km, prend sa source dans la commune de Palairac et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Orbieu à Saint-Martin-des-Puits, après avoir traversé 6 communes[5].
Le Sou, d'une longueur totale de 17,2 km, prend sa source dans la commune de Massac et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Orbieu à Vignevieille, après avoir traversé 4 communes[6].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat du Bassin du Sud-Ouest», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type «climat méditerranéen» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[7].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 13,4°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,3 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 9,7 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 8,7 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 4 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Mouthoumet», sur la commune de Mouthoumet, mise en service en 1989[12]et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[13],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,3°C et la hauteur de précipitations de 844,6 mm pour la période 1981-2010[14].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Carcassonne», sur la commune de Carcassonne, mise en service en 1948 et à 29 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 13,7°C pour la période 1971-2000[16], à 14,1°C pour 1981-2010[17], puis à 14,5°C pour 1991-2020[18].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[20]:
la «vallée de l'Orbieu», d'une superficie de 17 765ha, servant d'habitat, entre autres, pour le Barbeau méridional et du Desman des Pyrénées en limite nord de répartition[21]
les «Corbières occidentales», d'une superficie de 22 912ha, présentant des milieux propices à la nidification des espèces rupicoles: des couples d'Aigles royaux occupent partagent l'espace avec des espèces aussi significatives que le Faucon pèlerin, le Grand-duc d'Europe ou le Circaète Jean-le-Blanc[22];
les «hautes Corbières», d'une superficie de 28 398ha, accueillant une avifaune riche et diversifiée: rapaces tels que les Busards, l'Aigle Royal, le Circaète Jean-le-Blanc, qui trouvent sur place des conditions favorables à la nidification et à leur alimentation du fait de l'importance des milieux ouverts[23].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[24]:
la «clape de Termes et pech Sec» (536ha), couvrant 2 communes du département[25], et
la «vallée du Sou à Termes» (751ha), couvrant 3 communes du département[26]
et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[24]:
les «Corbières centrales» (68 810ha), couvrant 56 communes dont 54 dans l'Aude et 2 dans les Pyrénées-Orientales[27].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Termes.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Termes est une commune rurale[Note 7],[28]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1],[29].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (98,4% en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (95,1%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (61,2%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (37,2%), zones agricoles hétérogènes (1,7%)[30].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Termes est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible)[31]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[32].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le ruisseau de Glandes. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1987, 1992, 1996, 1999, 2000, 2005, 2009, 2014 et 2018[33],[31].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Termes.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 31,3% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (75,2% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 70 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 64 sont en en aléa moyen ou fort, soit 91%, à comparer aux 94% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[34],[Carte 3].
Toponymie
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Le nom de la localité est attesté sous les formes Olivari Bernardi de Termino en 1061[35], Castello quem vocant Termen vers 1084[36], Petro Oliverii de Terme vers 1084[37], Castel de Terme, vers 1112[38], Castello qui vocatur Termen en 1139[39], Castrum de Terminis en 1110[40] et en 1179[41], de Terme en 1118[40], Termen en 1139[40], de Termene en 1179[40], Termas castrum Termarum vers 1212[42], Termes Terminis en 1215[43], Olivarius de Terminis, Bernardi de Terminis, Domino de Termino, castrum de Termes en 1228[44], de Terminus en 1260[40], apud de Termenas en 1262[40], Li chastiaus de Termes[45] et Castrum Termarum XIIIesiècle[40].
De l'occitan terme (tertre, colline, flanc de montagne, coteau)[40].
Histoire
1210: siège et prise de Termes.
Termes[46] était, avant la conquête du Roussillon, une des cinq forteresses défendant les frontières du Languedoc avec Aguilar, Quéribus, Peyrepertuse et Puylaurens. Par un acte de 1110, Termes est attribué au Narbonnais. Les seigneurs de Termes, tapis en leur repaire, véritable nid d’aigle, profitaient de cette position pour se vendre tantôt à la France, tantôt à l’Espagne, se donnant au plus offrant. Raymond III, comte de Toulouse, en 1179 rend hommage au roi d’Aragon et reçoit le Termenès. En 1236 le Termenès est cédé au roi Louis. Jusqu’au traité des Pyrénées, en 1659, cette région demeure une marche, frontière avec l’Espagne.
Héraldique
Blason
D'azur, à un pal fuselé d'argent et de sable.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Politique et administration
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1945
mars 1989
Joseph Baro
PS
Assistant technique à l'Equipement Conseiller général (1961-1988)
Enseignant retraité Conseiller général puis départemental
Les données manquantes sont à compléter.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[49].
En 2019, la commune comptait 47 habitants[Note 8], en augmentation de 14,63% par rapport à 2013 (Aude: +2,52%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
242
236
284
273
242
326
321
275
287
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
280
296
283
247
241
222
214
218
196
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
189
172
145
147
132
121
110
88
84
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
70
53
45
50
43
54
54
58
50
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
38
47
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee à partir de 2006[51].)
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 27 personnes, parmi lesquelles on compte 73,3% d'actifs (60% ayant un emploi et 13,3% de chômeurs) et 26,7% d'inactifs[Note 9],[I 4]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 7]. Elle compte 12 emplois en 2018, contre 16 en 2013 et 12 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 19, soit un indicateur de concentration d'emploi de 62,5% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 54,3%[I 8].
Sur ces 19 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 10 travaillent dans la commune, soit 52% des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 71,4% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 9,5% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 19% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
4 établissements[Note 10] sont implantés à Termes au [I 11].
Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 50 % du nombre total d'établissements de la commune (2 sur les 4 entreprises implantées à Termes), contre 8,8% au niveau départemental[I 12].
La commune est dans la «Région viticole» de l'Aude, une petite région agricole occupant une grande partie centrale du département[52], également dénommée localement «Corbeilles Minervois et Carcasses-Limouxin»[Carte 5]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'élevage d'équidés et/oud' autres herbivores[Carte 6]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 13] (onze en 1988). La superficie agricole utilisée est de 157ha[54],[Carte 7],[Carte 8].
Personnalités liées à la commune
Olivier de Termes né vers 1200 à Termes et décédé le à Saint-Jean-d'Acre, fut l'un des plus célèbres chevaliers du XIIIesiècle, le plus actif des opposants à la croisade des Albigeois et un protecteur des Cathares. Il devint ensuite un fidèle du roi Louis IX et de l'église catholique en Languedoc et en Terre sainte où il mourut à la tête des armées croisées.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Patrimoine civil
Vue sur l'angle nord-ouest du château de Termes.
Le château de Termes est classé monument historique depuis 1989[55], le château est ouvert à la visite, tous les jours d'avril à la fin des vacances de Toussaint. Le site bénéficie actuellement de fouilles archéologiques.
Le village a été restauré grâce à un programme national et a reçu le Prix Spécial du jury des trophées de l'aménagement urbain en 2006.
Le château fort et ses abords sont classés au titre des sites naturels depuis 1942[56].
Patrimoine religieux
L'église Notre-Dame date de la fin du XIIesiècle et a été rénovée au XIXesiècle. Elle a été inscrite monument historique par arrêté du [57]. Elle est ouverte aux horaires de l'accueil du château.
Chapelle Saint-André de Termes.
Chapelle castrale de Termes.
Le clocher-mur de l'église Notre-Dame de Termes
Église Notre-Dame de Termes
L'intérieur de l'église Notre-Dame de Termes
Chapelle castrale du château de Termes
Patrimoine environnemental
Les gorges du Termenet[58] et les gorges de Coynepont[59] constituent des sites naturels inscrits, en bordure du GR 36 et de boucles de randonnée.
Termes, le village dominé par les vestiges du château.
Voir aussi
Jacques-Michel Ducros - " Le Cœur des Corbières et son Patrimoine" - 2012 - (ISBN2-9520321-5-7) - pages 299 à 324.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[53].
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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