Ségur est une commune française située dans le département de l'Aveyron en région Occitanie.
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Ségur | |
![]() Eglise Saint-Agnan. | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Aveyron |
Arrondissement | Millau |
Intercommunalité | Communauté de communes de Lévézou Pareloup |
Maire Mandat |
Gilles Plet 2020-2026 |
Code postal | 12290 |
Code commune | 12266 |
Démographie | |
Gentilé | Ségurois, Séguroises |
Population municipale |
548 hab. (2019 ![]() |
Densité | 8,2 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 17′ 36″ nord, 2° 50′ 07″ est |
Altitude | Min. 716 m Max. 1 005 m |
Superficie | 67,05 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Rodez (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Raspes et Lévezou |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
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Le patrimoine architectural de la commune comprend trois immeubles protégés au titre des monuments historiques : l'église Saint-Agnan, classée en 1979, l'église Saint-Étienne, classée en 1979, et une croix, classée en 1979.
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Arques Le Vibal |
Laissac-Sévérac-l'Église | Gaillac-d'Aveyron | ![]() |
Pont-de-Salars | N | Vézins-de-Lévézou | ||
O Ségur E | ||||
S | ||||
Prades-Salars | Curan | Saint-Léons |
La commune de Ségur développe en majorité son territoire sur l'entité géographique du Lévézou sur le versant de la rive gauche du Viaur, et sur la chaîne et massif des Palanges sur la rive opposée. Ce village est situé sur la route départementale 29, principale voie reliant la capitale du Rouergue, Rodez, à celle de l'industrie du gant, Millau.
La commune est drainée par le Viaur, le Ruisseau de Varayrous, le Bouzou, le ruisseau de Cadousse, le ruisseau de Sauganne, le ruisseau d'Estache, le ruisseau de Clauvèrhes, le ruisseau de Combe Méjane, le ruisseau de Lacan, le ruisseau de Pauplanche, le ruisseau de Poulentines, le ruisseau de Roque Civière, le ruisseau des Cazalets, par divers petits cours d'eau[1].
Le Viaur prend sa source à 1200 m d’altitude dans la région naturelle du Lévézou qui présente un relief vallonné, dans la commune de Vézins-de-Lévézou pour confluer, après avoir parcouru environ 168 km, avec l'Aveyron à 400 m d’altitude à Lacroix-Barrez, après avoir arrosé 30 communes[2].
Le Ruisseau de Varayrous, d'une longueur totale de 11,5 km, prend sa source dans la commune de Vézins-de-Lévézou et se jette dans le Viaur à Ségur, après avoir arrosé 2 communes[3].
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles pour définir et mettre en œuvre un programme d’actions de réhabilitation et de gestion des milieux aquatiques : le SDAGE (Schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE (Schéma d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Trois SAGE sont mis en oeuvre dans le département de l'Aveyron[4].
La commune fait partie du SAGE du bassin versant du Viaur, approuvé le , au sein du SDAGE Adour-Garonne. Le périmètre de ce SAGE couvre 89 communes, sur trois départements (Aveyron, Tarn et Tarn-et-Garonne)[5],[6]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par l’établissement public d'aménagement et de gestion des eaux (EPAGE) du bassin du Viaur, une structure qui regroupe les établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre (EPCI-FP) dont le territoire est inclus (en totalité ou partiellement) dans le bassin hydrographique du Viaur et les structures gestionnaires de l’alimentation en eau potable des populations et qui disposent d’une ressource sur le bassin versant du Viaur. Il correspond à l’ancien syndicat mixte du Bassin versant du Viaur[7],[8].
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
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La commune bénéficie d’un « climat océanique altéré », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type, qui concerne la moitié ouest du département de l'Aveyron, constitue une transition entre le climat océanique franc et le climat océanique dégradé. La température moyenne annuelle est assez élevée (12,5 °C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8 par an)[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[9]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[11]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Rodez-Marcillac, qui se trouve à 21 km à vol d'oiseau de la commune[12], où la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[13], à 10,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[15].
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[16]. Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional des Grands Causses, créé en 1995 et d'une superficie de 327 937 ha, s'étend sur 97 communes. Ce territoire rural habité, reconnu au niveau national pour sa forte valeur patrimoniale et paysagère, s’organise autour d’un projet concerté de développement durable, fondé sur la protection et la valorisation de son patrimoine[17],[18],[19].
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[20].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[21] :
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Ségur comprend quatre ZNIEFF de type 1[Note 3],[23] :
et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[23], la « Vallée du Viaur et ses affluents » (27 587 ha), qui s'étend sur 56 communes dont 45 dans l'Aveyron, 10 dans le Tarn et 1 dans le Tarn-et-Garonne[28].
Ségur est une commune rurale[Note 5],[29]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1],[30].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rodez, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 68 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (48,3 %), prairies (31,4 %), forêts (10 %), terres arables (9,4 %), zones urbanisées (0,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,4 %), eaux continentales (0,1 %)[31].
La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Lévézou, prescrit en juin 2018. La structure porteuse est le Pôle d'équilibre territorial et rural du Lévézou, qui associe deux communautés de communes, notamment la communauté de communes de Lévézou Pareloup, dont la commune est membre[32]
La commune disposait en 2017 d'une carte communale approuvée[33].
Le territoire de la commune de Ségur est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier, le risque radon[34],[35].
Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité faible[36].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic et une canalisation de transport de gaz. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[37].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Ségur est classée à risque moyen à élevé[38]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[39] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[40].
De l'occitan segur signifiant « sûr, ferme, sans danger », du latin securus, « sûr », appliqué à une place-forte, une forteresse ou un château.
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Les armes de Ségur se blasonnent ainsi : Écartelé de gueules et d'or, au premier et au quatrième au lévrier rampant d'or, au deuxième et au troisième à trois fasces de gueules.
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La commune de Ségur est membre de la communauté de communes de Lévézou Pareloup[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Salles-Curan. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[41].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Millau, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 4]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Raspes et Lévezou pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la troisième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[42].
Le conseil municipal de Ségur, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[43] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[44]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 15. Sur les vingt-neuf candidats en lice[45], quinze sont élus dès le premier tour, le , correspondant à la totalité des sièges à pourvoir, avec un taux de participation de 48,05 %[46]. Gilles Plet est élu nouveau maire de la commune le [47].
Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[48]. Trois sièges sont attribués à la commune au sein de la communauté de communes de Lévézou Pareloup[49].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1881 | Auguste Trémolet | Agriculteur | ||
avant 1981 | ? | Daniel Delmas | DVG | |
mars 2001 | mai 2020 | Hubert Capoulade[50] | Agriculteur exploitant | |
mai 2020 | en cours | Gilles Plet[50],[51] | Ancien cadre | |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[53].
En 2019, la commune comptait 548 habitants[Note 7], en diminution de 5,35 % par rapport à 2013 (Aveyron : +0,67 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 166 | 1 370 | 1 404 | 1 497 | 1 503 | 1 594 | 1 599 | 1 536 | 1 636 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 590 | 1 600 | 1 651 | 1 470 | 1 718 | 1 711 | 1 785 | 1 717 | 1 601 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 527 | 1 607 | 1 530 | 1 420 | 1 248 | 1 318 | 1 213 | 1 256 | 1 116 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2008 | 2013 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 031 | 896 | 803 | 738 | 662 | 623 | 595 | 587 | 579 |
2018 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
548 | 548 | - | - | - | - | - | - | - |
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 227 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 520 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 810 €[I 5] (20 640 € dans le département[I 6]).
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 7] | 1,8 % | 2,9 % | 3,7 % |
Département[I 8] | 5,4 % | 7,1 % | 7,1 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 297 personnes, parmi lesquelles on compte 76,4 % d'actifs (72,7 % ayant un emploi et 3,7 % de chômeurs) et 23,6 % d'inactifs[Note 9],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Rodez, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 1],[I 10]. Elle compte 165 emplois en 2018, contre 183 en 2013 et 211 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 219, soit un indicateur de concentration d'emploi de 75,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 51,3 %[I 11].
Sur ces 219 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 114 travaillent dans la commune, soit 52 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 65,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 11,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 22,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
47 établissements[Note 10] sont implantés à Ségur au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 14].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 47 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 25 | 53,2 % | (17,7 %) |
Construction | 8 | 17 % | (13 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 9 | 19,1 % | (27,5 %) |
Activités financières et d'assurance | 2 | 4,3 % | (3,4 %) |
Activités immobilières | 2 | 4,3 % | (4,2 %) |
Autres activités de services | 1 | 2,1 % | (7,8 %) |
Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 53,2 % du nombre total d'établissements de la commune (25 sur les 47 entreprises implantées à Ségur), contre 17,7 % au niveau départemental[I 15].
La commune est dans le Levezou, une petite région agricole située dans le centre de l'Aveyron et constituée d'un haut plateau cristallin[56]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 2].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 102 | 78 | 66 | 58 |
SAU[Note 13] (ha) | 5 421 | 5 581 | 5 317 | 4 762 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 102 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 78 en 2000 puis à 66 en 2010[58] et enfin à 58 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 43 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[59],[Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 5 421 ha en 1988 à 4 762 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 53 à 82 ha[58].
Classé MH (1979)[60]
Ancien prieuré du XIIe siècle dépendant de Saint-Léons.
Classé MH (1979)[61]
Édifice à nef unique du XIIe siècle.
Classé MH (1979)[62]
Croix de pierre du XVe siècle du cimetière de Saint-Etienne-de-Viauresque.
Classé MH (1942)[63]
Sarcophage gallo-romain situé place de Saint-Agnan : représentation d'une scène de forge.
Avec son église perchée sur un piton, ce village aux maisons serrées est bien connu des pêcheurs qui apprécient le Viaur et ses rives. Ségur est le point de départ d'un circuit culturel avec de belles églises romanes et le sanctuaire de Bergounhoux, lieu de pèlerinage.
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