Sylvanès est situé dans le sud du département de l'Aveyron à 432 mètres d'altitude dans les contreforts des Monts de Lacaune au bord du ruisseau des Prats.
Hydrographie
Réseaux hydrographique et routier de Sylvanès.
La commune est drainée par le Dourdou de Camarès, la Nuéjouls, le Cabot, le ruisseau de Prugnes, le ruisseau de Carrière Escure, le ruisseau de la Bataille, le ruisseau de la Combe, le ruisseau de Pessales, le ruisseau de Promillac, le ruisseau des Vernhes, le ruisseau du Fajas, le ruisseau du Mas Nau et par divers petits cours d'eau[2].
Le Dourdou de Camarès, d'une longueur totale de 86,8 km, prend sa source dans la commune de Murat-sur-Vèbre (81) et se jette dans le Tarn à Saint-Izaire, après avoir arrosé 13 communes[3].
La Nuéjouls, d'une longueur totale de 31,2 km, prend sa source dans la commune de Mélagues et se jette dans le Dourdou de Camarès à Sylvanès, après avoir arrosé 5 communes[4].
Le Cabot, d'une longueur totale de 10,3 km, prend sa source dans la commune de Montagnol et se jette dans la Nuéjouls à Sylvanès, après avoir arrosé 3 communes[5].
Climat
Article connexe: Climat de l'Aveyron.
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
Moyenne annuelle de température: 11,7°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 5 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 10,5 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 10,3 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 4,7 j
La commune bénéficie d’un «climat semi-continental», ou de marge de montagne, selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type, qui concerne l'est et le sud-est aveyronais, constitue une transition entre les climats de montagne et le climat océanique altéré[6].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[6]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[8]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Millau-Soulobres, qui se trouve à 31 km à vol d'oiseau de la commune[9], où la température moyenne annuelle évolue de 10,7°C pour la période 1971-2000[10], à 10,9°C pour 1981-2010[11], puis à 11,3°C pour 1991-2020[12].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13].
Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional des Grands Causses, créé en 1995 et d'une superficie de 327 937ha, s'étend sur 97 communes. Ce territoire rural habité, reconnu au niveau national pour sa forte valeur patrimoniale et paysagère, s’organise autour d’un projet concerté de développement durable, fondé sur la protection et la valorisation de son patrimoine[14],[15],[16].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Sylvanès comprend une ZNIEFF de type 2[Note 3],[17],
le «Rougier de Camarès» (56 714ha), qui s'étend sur 33 communes dont 32 dans l'Aveyron et 1 dans l'Hérault[18].
Urbanisme
Typologie
Sylvanès est une commune rurale[Note 4],[19]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1],[20].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Infrastructures et occupation des sols de la commune de Sylvanès.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (57,7% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (57,7%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (57,7%), zones agricoles hétérogènes (37,4%), prairies (4,9%)[21].
Planification
La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Parc naturel régional des Grands Causses, approuvé le vendredi par le comité syndical et mis à l’enquête publique en décembre 2019. La structure porteuse est le Pôle d'équilibre territorial et rural du PNR des Grands Causses, qui associe huit communautés de communes, notamment la communauté de communes Monts, Rance et Rougier, dont la commune est membre[22].
La commune disposait en 2017 d'un plan local d'urbanisme en révision[23]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[24].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Sylvanès est vulnérable à différents aléas naturels: inondations, climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité très faible).
Il est également exposé à deux risques particuliers, les risques radon et minier[25],[26].
Risques naturels
Zones inondables de la commune de Sylvanès.
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement du Dourdou de Camarès. Les dernières grandes crues historiques, ayant touché plusieurs parties du département, remontent aux 3 et (dans les bassins du Lot, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn) et au (bassins de la Sorgues et du Dourdou)[27]. Ce risque est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) du bassin du «Dourdou de Camarès amont»[28], approuvé le 6 décembre 2012[29].
Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept «bassins de risque» et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité forte[30].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés à la présence de cavités souterraines localisées sur la commune[31],[32].
Risques particuliers
La commune est concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[33].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Sylvanès est classée à risque moyen à élevé[34]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[35] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[36].
Histoire
En 1136, Pons de L'Héras, assassin et voleur converti, fonde l'abbaye de Sylvanès qui connut une grande prospérité jusqu'au XVIesiècle. À la Révolution, l'abbaye fut définitivement désertée par la communauté monastique restante. En 1800 et jusqu'au début des années 1930, la commune est regroupée avec celle de Montagnol. L'abbaye servit de bergerie jusqu'en 1977 où elle fut restaurée pour devenir un centre spirituel et culturel. En 1994, l'Église de l'Étimasis est reconstruite sur le territoire de la commune.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune de Sylvanès est membre de la communauté de communes Monts, Rance et Rougier[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Belmont-sur-Rance. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[37].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Millau, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 4]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Causses-Rougiers pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la troisième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[38].
Sylvanès dans l'intercommunalité en 2020.
Sylvanès dans le canton des Causses-Rougiers en 2020.
Sylvanès dans l'arrondissement de Millau en 2020.
Élections municipales et communautaires
Élections de 2020
Le conseil municipal de Sylvanès, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[39] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[40]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des onze candidats en lice[41] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 73,28%[42].
Michel Wolkowicki, maire sortant, est réélu pour un nouveau mandat le [43].
Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[44]. Un siège est attribué à la commune au sein de la communauté de communes Monts, Rance et Rougier[45].
Profession de l'information, des arts et des spectacles
Les données manquantes sont à compléter.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[49].
En 2019, la commune comptait 112 habitants[Note 5], en augmentation de 7,69% par rapport à 2013 (Aveyron: +0,67%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1836
1841
1846
1851
1856
1861
1866
439
385
404
415
407
420
407
429
429
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1901
1906
1911
445
503
405
382
377
407
409
408
406
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
1968
1975
329
310
288
273
215
205
159
144
109
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1982
1990
1999
2006
2007
2012
2017
2019
-
117
108
117
98
95
105
111
112
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee à partir de 2006[51].)
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 59 personnes, parmi lesquelles on compte 74,6% d'actifs (72,9% ayant un emploi et 1,7% de chômeurs) et 25,4% d'inactifs[Note 6],[I 5]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département et inférieur à celui de la France.
La commune est hors attraction des villes[Carte 1],[I 8]. Elle compte 44 emplois en 2018, contre 49 en 2013 et 46 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 47, soit un indicateur de concentration d'emploi de 93,6% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 51,6%[I 9].
Sur ces 47 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 31 travaillent dans la commune, soit 66% des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 63,8% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,1% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 34% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].
Activités hors agriculture
8 établissements[Note 7] sont implantés à Sylvanès au [I 12].
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 50% du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 8 entreprises implantées à Sylvanès), contre 27,5% au niveau départemental[I 13].
La commune est dans les Monts de Lacaune, une petite région agricole occupant le sud du département de l'Aveyron[52]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 9] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 2]. Huit exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 10] (13 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 568ha[54],[Carte 3],[Carte 4].
Culture locale et patrimoine
Patrimoine religieux
Abbaye de Sylvanès
Article détaillé: Abbaye de Sylvanès.
L'abbaye de Sylvanès est une construction cistercienne bâtie à partir de 1136 par Pons de l'Héras, située non loin de Camarès et de Belmont-sur-Rance, dans l'ancien diocèse de Vabres. Après un siècle et demi de rayonnement, l'abbaye sombre dans une longue période de décadence. Abandonnée à la Révolution, seule l'église et l'aile est du cloître furent sauvegardées. Classée monument historique en 1862, il faudra attendre 1975 et l'arrivée du père dominicain et compositeur André Gouzes, ainsi que de Michel Wolkowitsky, actuel directeur, pour voir l'abbaye relevée de ses ruines.
Située à 4,5 km de Sylvanès (43° 49′ 23″ N, 2° 58′ 10″ E), l'église russe orthodoxe de l'Hétimasie du Trône[56] a été construite en bois en octobre 1994 à la demande du Père André Gouzes. L'église est assemblée durant l'hiver 1993-94 dans la forêt de Kirov, à 790 km au nord-est de Moscou, selon une ancienne technique russe qui ne nécessite ni clou ni cheville puis elle est démontée et acheminée par train, camions et tracteurs et remontée sur son emplacement actuel. La SNCF a pris en charge la moitié du coût du transport entre la Russie et la gare de Millau. Cette église est le sujet d'un court-métrage de Vladimir Kozlov intitulé La petite sœur russe de Sylvanès.
Église russe orthodoxe de l'Hétimasie
Patrimoine naturel
Source minérale ferrugineuse.
Patrimoine culturel
Article détaillé: Centre culturel de l'Abbaye.
Aujourd'hui, l'Abbaye de Sylvanès est devenue un Centre de renommée internationale qui propose d'importantes rencontres culturelles, spirituelles et musicales.
Bibliographie
(la) Pierre-Aloïs Verlaguet (Éditeur scientifique), Cartulaire de l'abbaye de Silvanès, Rodez, Commission des archives historiques du Rouergue, coll.«Archives historiques du Rouergue» (no1), , XCVI-638p., fac-sim.; in-8° (ISSN1245-9747, BNF34130812)
Geneviève Durand, L'Abbaye de Sylvanès: guide du visiteur, Carcassonne, Centre d'archéologie médiévale du Languedoc, coll.«Abbayes médiévales du Languedoc: Aveyron», , 31p., ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul.; 21 cm (ISSN0758-8305, BNF34771800)
Robert Aussibal, André Gouzes et André Kumurdjian (Photographe), Sylvanès, Saint-Georges-de-Luzençon, Éd. du Beffroi, coll.«Tourisme et culture en Aveyron», , 40p., ill. en coul., couv. ill. en coul.; 22 cm (ISBN2-908123-05-3, ISSN1242-5052, BNF35551966)
André Gouzes et René Poujol (Collaborateur), Sylvanès: histoire d'une passion, Paris, Desclée de Brouwer, coll.«Le temps d'une vie», , 158p., ill., couv. ill. en coul.; 22 cm (ISBN2-220-03194-2, ISSN0763-5699, BNF35413601)
Paul Castaing, L'Église russe orthodoxe de Sylvanès, Aveyron: Église de l'Unité, l'Hétimasie du Trône, Camarès, les Éd. de l'Abbaye de Sylvanès, , 58p., ill., couv. ill. en coul.; 24 cm (ISBN2-910248-10-0, BNF37029430)
Robert Aussibal, L'Abbaye de Sylvanès: architecture et symbolisme, Camarès, Abbaye de Sylvanès, Association des amis de l'Abbaye de Sylvanès, coll.«Les cahiers de l'Abbaye de Sylvanès» (no4), , 176p., ill., couv. ill.; 24 cm (ISSN1960-0186, BNF35725830)
Ginette Bourgeois et Alain Douzou, Une aventure spirituelle dans le Rouergue méridional au Moyen âge: ermites et cisterciens à Silvanès (1120-1477), Paris, les Éd. du Cerf, coll.«Histoire», , 255p., ill., couv. ill. en coul.; 24 cm (ISBN2-204-06186-7, ISSN0769-2633, BNF37075132)
Michel Wolkowitsky et René Poujol (préf.Frère André Gouzes), Sylvanès, l'aventure d'une vie: entretiens avec René Poujol, Paris, Desclée de Brouwer, , 252p., couv. ill. en coul.; 21 cm (ISBN978-2-220-06328-7, BNF42464811)
(oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf.M. le Conseiller général), Lo Pont: Arnac, Brusca, Faiet, Gissac, Melagas, Montanhòl, Pèus-e-Cofolèus, Silvanés, Tauriac / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Camarés, Rodez, Mission départementale de la culture, coll.«Al canton», , 320p., ill., couv. ill.; 28 cm (ISBN2-907279-50-5, ISSN1151-8375, BNF37657611)
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[53].
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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