Situé à 265 mètres d'altitude dans un méandre du Dourdou, le village se trouve au cœur du Rougier de Camarès.
Hydrographie
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Izaire.
La commune est drainée par le Tarn, le Dourdou de Camarès, le Gos, le Len, le ruisseau de Bucels et par divers petits cours d'eau[1].
Le Tarn, d'une longueur totale de 380,2 km, prend sa source dans la commune de Pont de Montvert - Sud Mont Lozère (48) et se jette dans la Garonne à Saint-Nicolas-de-la-Grave (82), après avoir arrosé 99 communes[2].
Le Dourdou de Camarès, d'une longueur totale de 86,8 km, prend sa source dans la commune de Murat-sur-Vèbre (81) et se jette dans le Tarn à Saint-Izaire, après avoir arrosé 13 communes[3].
Le Gos, d'une longueur totale de 17 km, prend sa source dans la commune de Saint-Juéry et se jette dans lele Rance à Plaisance, après avoir arrosé 4 communes[4].
Le Len, d'une longueur totale de 16,8 km, prend sa source dans la commune de Saint-Affrique et se jette dans le Dourdou de Camarès à Saint-Izaire, après avoir arrosé 5 communes[5].
Climat
Article connexe: Climat de l'Aveyron.
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
Moyenne annuelle de température: 13°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,3 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 11,4 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 10,2 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,2 j
La commune bénéficie d’un «climat du Bassin du Sud-Ouest», selon la typologie des climats en France définie en 2010. Il est caractérisé par une moyenne annuelle de température élevée (supérieure à 13°C) et un nombre élevé (> 23) de jours chauds tandis que les jours qui présentent un gel inférieur à −5°C sont rares[6].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[6]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[8]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Millau-Soulobres, qui se trouve à 32 km à vol d'oiseau de la commune[9], où la température moyenne annuelle évolue de 10,7°C pour la période 1971-2000[10], à 10,9°C pour 1981-2010[11], puis à 11,3°C pour 1991-2020[12].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13].
Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional des Grands Causses, créé en 1995 et d'une superficie de 327 937ha, s'étend sur 97 communes. Ce territoire rural habité, reconnu au niveau national pour sa forte valeur patrimoniale et paysagère, s’organise autour d’un projet concerté de développement durable, fondé sur la protection et la valorisation de son patrimoine[14],[15],[16].
Sites Natura 2000
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats» et «Oiseaux». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[17].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la «directive Habitats»[18]:
La «Vallée du Tarn (de Brousse-le-Château jusqu'aux gorges)», d'une superficie de 3 713ha, s'étend sur dix communes de l'Aveyron. Il s'agit d'une vallée encaissée offrant une grande diversité de situations aquatiques et géologiques (terrains calcaires et acides) entrainant une végétation originale. Des grottes à chauves-souris sont présentes ainsi qu'une population remarquable d'Odonates rares, notamment Macromia splendens[19];
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Saint-Izaire comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 3],[20],
la «Rivière Tarn (partie Aveyron)» (2 381ha), couvrant 41 communes dont 25 dans l'Aveyron et 16 dans le Tarn[21];
et la «Vallée du Tarn à Brousse» (1 398ha), couvrant 6 communes du département[22]
et deux ZNIEFF de type 2[Note 4],[20]:
le «Rougier de Camarès» (56 714ha), qui s'étend sur 33 communes dont 32 dans l'Aveyron et 1 dans l'Hérault[23];
la «Vallée du Tarn, amont» (36 322ha), qui s'étend sur 57 communes dont 31 dans l'Aveyron, 1 dans la Lozère et 25 dans le Tarn[24].
Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.
Urbanisme
Typologie
Saint-Izaire est une commune rurale[Note 5],[25]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1],[26].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Affrique, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 16 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].
Infrastructures et occupation des sols de la commune de Saint-Izaire.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,6% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (57,2%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (52,6%), zones agricoles hétérogènes (39,2%), terres arables (7,1%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1%), prairies (0,2%)[27].
Planification
La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Parc naturel régional des Grands Causses, approuvé le vendredi par le comité syndical et mis à l’enquête publique en décembre 2019. La structure porteuse est le Pôle d'équilibre territorial et rural du PNR des Grands Causses, qui associe huit communautés de communes, notamment la communauté de communes Saint Affricain, Roquefort, Sept Vallons, dont la commune est membre[28].
La commune, en 2017, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme[29].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Izaire est vulnérable à différents aléas naturels: inondations, climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité très faible).
Il est également exposé à deux risques particuliers, les risques radon et minier[30],[31].
Risques naturels
Zones inondables de la commune de Saint-Izaire.
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement du Dourdou de Camarès. Les dernières grandes crues historiques, ayant touché plusieurs parties du département, remontent aux 3 et (dans les bassins du Lot, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn) et au (bassins de la Sorgues et du Dourdou)[32]. Ce risque est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) du bassin du bassin de la «Sorgues et du Dourdou de Camarès aval»[33], approuvé le 23 mai 2017[34].
Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept «bassins de risque» et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité forte[35].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés à la présence de cavités souterraines localisées sur la commune[36],[37].
Risques particuliers
La commune est concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[38].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Saint-Izaire est classée à risque moyen à élevé[39]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[40] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[41].
Toponymie
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Durant la Révolution, la commune porte le nom de Rive-Libre[42].
Histoire
Site occupé au néolithique (présence de statues-menhirs).
Au Moyen Âge, village fortifié, dominé par un château épiscopal.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune de Saint-Izaire est membre de la communauté de communes Saint Affricain, Roquefort, Sept Vallons[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Vabres-l'Abbaye. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[43].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Millau, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 4]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Saint-Affrique pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la troisième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[44].
Saint-Izaire dans l'intercommunalité en 2020.
Saint-Izaire dans le canton de Saint-Affrique en 2020.
Saint-Izaire dans l'arrondissement de Millau en 2020.
Élections municipales et communautaires
Élections de 2020
Le conseil municipal de Saint-Izaire, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[45] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[46]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des onze candidats en lice[47] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 64,65%[48].
Christian Vernhet est élu nouveau maire de la commune le [49].
Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[50]. Un siège est attribué à la commune au sein de la communauté de communes Saint Affricain, Roquefort, Sept Vallons[51].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[55].
En 2019, la commune comptait 303 habitants[Note 7], en augmentation de 0,33% par rapport à 2013 (Aveyron: +0,67%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1856
517
471
1 734
1 095
1 263
1 124
1 234
1 256
1 246
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1901
1 275
1 247
1 243
1 261
1 293
1 342
1 191
1 173
1 118
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
1 549
1 387
995
965
907
863
790
622
589
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
2019
495
410
337
284
317
330
304
305
303
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[56].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 142 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 304 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 050 €[I 5] (20 640 € dans le département[I 6]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 178 personnes, parmi lesquelles on compte 64,8% d'actifs (54,7% ayant un emploi et 10,1% de chômeurs) et 35,2% d'inactifs[Note 9],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Saint-Affrique, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 1],[I 10]. Elle compte 72 emplois en 2018, contre 77 en 2013 et 96 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 99, soit un indicateur de concentration d'emploi de 72,8% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 44,6%[I 11].
Sur ces 99 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 61 travaillent dans la commune, soit 62% des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 61,6% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1% les transports en commun, 22,2% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 15,2% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Activités hors agriculture
28 établissements[Note 10] sont implantés à Saint-Izaire au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 14].
Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28,6% du nombre total d'établissements de la commune (8 sur les 28 entreprises implantées à Saint-Izaire), contre 17,7% au niveau départemental[I 15].
Agriculture
La commune est dans les Monts de Lacaune, une petite région agricole occupant le sud du département de l'Aveyron[57]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 2].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 38 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 21 en 2000 puis à 17 en 2010[59] et enfin à 19 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 50% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51% de ses exploitations[60],[Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 1 310ha en 1988 à 1 647ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 34 à 87ha[59].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Statues-menhirs dont des reproductions sont exposées sur un circuit pédestre de découverte.
Dolmen de Saint-Antonin.
Dans le bourg, des bâtisses du XVe et XVIesiècle aux fenêtres à meneaux.
Musée d'art traditionnel, au château.
Article détaillé: Château de Saint-Izaire.
Le château de Saint-Izaire Classé MH(1991)[61] du XIVesiècle en grès rouge. Il fut la demeure des évêques de Vabres-l'Abbaye.
Château de Saint-Izaire
Église Saint-Louis de Saint-Izaire.
Église Saint-Pierre de Faveyrolles.
Église Sainte-Madeleine de Salelles.
Chapelle Notre-Dame-de-Grâce de Saint-Izaire (XVIIIesiècle).
Chapelle des Armayrols.
Personnalités liées à la commune
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Héraldique
Article connexe: Armorial des communes de l'Aveyron.
Blason
Écartelé, le trait du coupé ondé: au 1er de sinople à une brebis d'argent, au 2e de gueules à un léopard lionné d'or, au 3e de gueules à une croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces d'or, au 4e d'azur à trois roses d'argent[62].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Bibliographie
(oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf.Jean-Luc Malet), Sent-Africa: La Bastida, Caumèls-e-Lo Vialar, Ròcafòrt, Sant-Faliç, Sent-Esèri, Sent-Jan, D'Aucàpias, Sent-Roma de Sarnon, Tornamira, Vabre, Verzòls-e-La Pèira / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Sent-Africa, Rodez, Mission départementale de la culture, coll.«Al canton», , 429p., ill., couv. ill.; 28 cm (ISBN2-907279-54-8, ISSN1151-8375, BNF38977452)
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[58].
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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