Soubès (en occitanSobès) est une commune française située dans le nord du département de l'Hérault en région Occitanie.
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Soubès
Vue sur le village de Soubès.
Administration
Pays
France
Région
Occitanie
Département
Hérault
Arrondissement
Lodève
Intercommunalité
Communauté de communes du Lodévois et Larzac
Maire Mandat
Isabelle Périgault 2021-2026
Code postal
34700
Code commune
34304
Démographie
Gentilé
Soubésiens
Population municipale
920 hab. (2019 )
Densité
74 hab./km2
Géographie
Coordonnées
43° 46′ 04″ nord, 3° 20′ 49″ est
Altitude
Min. 190 m Max. 733 m
Superficie
12,35 km2
Type
Commune rurale
Unité urbaine
Lodève (banlieue)
Aire d'attraction
Lodève (commune de la couronne)
Élections
Départementales
Canton de Lodève
Législatives
Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Soubès
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Soubès
Géolocalisation sur la carte: Hérault
Soubès
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Soubès
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Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Lergue, la Brèze et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable: deux sites Natura 2000 (le «causse du Larzac» et «les contreforts du Larzac») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Soubès est une commune rurale qui compte 920 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1968. Elle est dans l'agglomération de Lodève et fait partie de l'aire d'attraction de Lodève. Ses habitants sont appelés les Soubésiens ou Soubésiennes.
Géographie
Carte
La commune est traversée par la rivière Lergue et la rivière Brèze qui la rejoint. Le ruisseau de Subrebet se jette dans la Brèze, au bas du village. Elle est également traversée à l'est par l'autoroute A75.
La commune est dans l'unité urbaine de Lodève.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat méditerranéen franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type «climat méditerranéen» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 13,7°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,4 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 14,4 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 8,2 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 2,9 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Soumont», sur la commune de Soumont, mise en service en 1991[6]et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,6°C et la hauteur de précipitations de 981,6 mm pour la période 1981-2010[8].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Millau», sur la commune de Millau, dans le département de l'Aveyron, mise en service en 1964 et à 43 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 10,7°C pour la période 1971-2000[10], à 10,9°C pour 1981-2010[11], puis à 11,3°C pour 1991-2020[12].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].
Un site Natura 2000 est défini sur la commune tant au titre de la directive oiseaux, que de la directive habitats, le «causse du Larzac»[14]. D'une superficie de 29 556ha, il fait partie des causses méridionaux, un ensemble régional original unique en Europe. Il est le plus grand ensemble de formations herbeuses sèches semi-naturelles en France et abrite un grand nombre d’espèces endémiques. Ce site abrite 17 espèces d'oiseaux d'intérêt communautaire pour la plupart liées pour leur reproduction et/ou leur alimentation aux milieux ouverts (dont le Bruant ortolan, le Pipit rousseline, l'Alouette lulu, la Pie-grièche écorcheur, etc… en effectifs bien représentées par rapport à la moyenne nationale)[15],[16].
Un autre site relève de la directive habitats[14]: «les contreforts du Larzac». Occupant une superficie de 5 299ha, ils constituent les premiers reliefs du Larzac qui surplombent le bassin de Lodève. Sa richesse est liée à la conjonction des deux influences caussenarde et méditerranéenne[17].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[18]:
le «chaos dolomitique de Camp-Rouch» (1 514ha), couvrant 3 communes du département[19] et
le «cirque du Bout du Monde» (146ha), couvrant 2 communes du département[20]
et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[18]:
le «causse et contreforts du Larzac et montagne de la Séranne» (44 035ha), couvrant 33 communes dont une dans l'Aveyron, deux dans le Gard et 30 dans l'Hérault[21];
le «cours moyen de l'Hérault et de la Lergue» (976ha), couvrant 22 communes du département[22].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Soubès.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Soubès est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[23],[I 1],[24].
Elle appartient à l'unité urbaine de Lodève, une agglomération intra-départementale regroupant 8 communes[I 2] et 9 840 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3],[I 4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lodève dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 5],[I 6].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (62% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (62%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (40,3%), zones agricoles hétérogènes (26,6%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (21,7%), cultures permanentes (5,8%), zones urbanisées (5,6%)[25].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Soubès est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à deux risques particuliers: le risque minier et[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Lergue. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1994, 2006, 2014 et 2015[28],[26].
Soubès est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 9],[29].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Soubès.
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[30]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 58,6% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 471 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 416 sont en en aléa moyen ou fort, soit 88%, à comparer aux 85% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[32].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 2015 et par des glissements de terrain en 1995[26].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[33].
Risque particulier
L’étude Scanning de Géodéris réalisée en 2008 a établi pour le département de l’Hérault une identification rapide des zones de risques miniers liés à l’instabilité des terrains[34]. Elle a été complétée en 2015 par une étude approfondie sur les anciennes exploitations minières du bassin houiller de Graissessac et du district polymétallique de Villecelle. La commune est ainsi concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[35].
Toponymie
La commune a été connue sous les variantes: castrum de Sobers (1145), ecclesia S. Sipriani de Subertio (1252), castri de Subertio (1293), ecclesia S. Cypriani de Subercio (1484), le chateau de Soubes (1593), etc.
Le nom Soubès dérive d'un domaine gallo-romain, avec le surnom latin Supertis, -tes, employé sans suffixe[36].
Histoire
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Vue générale du village: carte postale (début XXe siècle)
Politique et administration
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1958
2001
Jean Lassalle
2001
2008
Maire-Claire Rudelle
2008
2021
José Pozo
SE
Retraité de la Fonction Publique
2021
En cours (au 29 juin 2020)
Isabelle Périgault
SE
Directrice Générale des Services
Les données manquantes sont à compléter.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[38].
En 2019, la commune comptait 920 habitants[Note 10], en augmentation de 2,56% par rapport à 2013 (Hérault: +7,63%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
698
701
724
740
816
859
866
885
892
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
958
945
916
846
829
825
811
696
620
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
602
617
611
517
506
501
444
362
405
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
379
370
455
565
616
710
860
898
939
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
920
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique
Église Sainte-Marie-Madeleine
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 377 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 846 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 570 €[I 7] (20 330 € dans le département[I 8]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 519 personnes, parmi lesquelles on compte 75,5% d'actifs (67,3% ayant un emploi et 8,2% de chômeurs) et 24,5% d'inactifs[Note 12],[I 9]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Lodève, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 12]. Elle compte 219 emplois en 2018, contre 210 en 2013 et 174 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 355, soit un indicateur de concentration d'emploi de 61,7% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,6%[I 13].
Sur ces 355 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 97 travaillent dans la commune, soit 27% des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 89,6% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,3% les transports en commun, 5,5% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,7% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
92 établissements[Note 13] sont implantés à Soubès au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14],[I 16].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
92
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
12
13%
(6,7%)
Construction
27
29,3%
(14,1%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
19
20,7%
(28%)
Information et communication
3
3,3%
(3,3%)
Activités immobilières
1
1,1%
(5,3%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
15
16,3%
(17,1%)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
6
6,5%
(14,2%)
Autres activités de services
9
9,8%
(8,1%)
Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 29,3 % du nombre total d'établissements de la commune (27 sur les 92 entreprises implantées à Soubès), contre 14,1% au niveau départemental[I 17].
Entreprises et commerces
Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[41]:
Vers Le Paysage, services d'aménagement paysager (119 k€)
Ogmios, travaux d'installation électrique dans tous locaux (106 k€)
La commune est dans le «Soubergues», une petite région agricole occupant le nord-est du département de l'Hérault[42]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 16] sur la commune est la culture de fruits ou d'autres cultures permanentes[Carte 4]. Huit exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 17] (42 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 149ha[44],[Carte 5],[Carte 6].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Un monument aux morts a été construit après la Première Guerre mondiale, en hommage aux défunts poilus. Il a été commandé en 1919[45]. Ce monument est l'œuvre du sculpteur Paul Dardé. Il s'agit d'un «monument tombeau en pierre de Lens»[45].
Église Sainte-Marie-Madeleine de Soubès. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[46].
Chapelle Saint-Cyprien de Soubès.
Voir aussi
Bibliographie
Lucien Albaret, Soubès et sa vallée: des origines à nos jours, Montpellier, P. Clerc, , 258p.
Gaston-Bernard Arnal, «Prospections archéologiques sur les fortifications médiévales de Soubès (Hérault)», Archéologie en Languedoc, no27, , p.111-118
Francis Moreau, Soubès en Languedoc: mille ans d'histoire dans le Lodévois, Nîmes, C. Lacour, coll.«Rediviva», , 158p.
Jean-Antoine Sauzet, Les échos de Soubès pendant la guerre de 1914-1918 et le livre d'or des mobilisés de la commune, Paris, Berger-Levrault, , 155p.
André Soutou, «Le prieuré Saint-Clément de Man et le Castel Viel de Soubes (Hérault) au XIesiècle», Bulletin de la société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no14, , p.49-54
André Soutou, «Précisions topographiques sur le Castel Viel et la Bade de Soubès», Bulletin de la société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no15, , p.31-35
Fonds d'archives
Fonds: Archives communales de Soubès (1532-1966) [6,60 ml]. Cote: 304 EDT. Montpellier: Archives départementales de l'Hérault (présentation en ligne).
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[43].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Frank R. Hamlin et abbé André Cabrol, Les noms de lieux du département de l'Hérault: Dictionnaire Topographique et Étymologique, , 415p. (ISBN2-904624-00-7, lire en ligne), p.289
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