Sommepy-Tahure[1] est une commune française, située dans le département de la Marne en région Grand Est.
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Sommepy-Tahure | |
![]() La mairie-école et, au loin, l'église. | |
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Grand Est |
Département | Marne |
Arrondissement | Châlons-en-Champagne |
Intercommunalité | Communauté de communes de la Région de Suippes |
Maire Mandat |
Olivier Soudant 2020-2026 |
Code postal | 51600 |
Code commune | 51544 |
Démographie | |
Gentilé | Sompinards, Sompinardes |
Population municipale |
639 hab. (2019 ![]() |
Densité | 9,4 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 15′ 09″ nord, 4° 33′ 29″ est |
Altitude | Min. 123 m Max. 211 m |
Superficie | 68,24 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton d'Argonne Suippe et Vesle |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | sommepy-tahure.fr |
modifier ![]() |
Ses habitants sont appelés Sompinard ou Soupinat.
Avec 68 km2, dont la majeure partie occupée par le camp militaire de Suippes, Sommepy-Tahure est la commune la plus étendue de la Marne.
La commune dispose d'une fleur dans le label villes et villages fleuris.
Sommepy-Tahure est située au nord du département de la Marne, à la limite de celui des Ardennes.
À vol d'oiseau, la commune est située à 166,7 km au nord-est de Paris-Notre-Dame[2], point zéro des routes de France, à 35,6 km au nord-est de la préfecture Châlons-en-Champagne[3] et à 38,1 km à l'est de Reims[4].
Saint-Étienne-à-Arnes | Semide | |
Sainte-Marie-à-Py | ![]() |
Aure, Manre, Gratreuil |
Souain-Perthes-lès-Hurlus | Rouvroy-Ripont, Minaucourt-le-Mesnil-lès-Hurlus |
D'une superficie de 68,24 km2, la commune a le plus grand territoire du département depuis le rattachement de l’ancienne commune de Tahure à celle de Sommepy.
Le territoire communal se situe au nord-est de la macro-région naturelle la Champagne crayeuse, à la limite de l'Argonne.
D'une altitude moyenne de 135 m[5], l’altitude minimale est de 123 m, au niveau des rives de la Py à l'ouest de la commune, au lieu-dit la Berrière, et l'altitude maximale est de 211 m à l’extrême nord-ouest du territoire de la commune, à proximité du lieu-dit la Berrière. Le centre du bourg de Sommepy se situe à une altitude moyenne de 130 m, celle de l’ancien village de Tahure est de 143 m.
La rivière Py, affluent en rive droite de la Suippe, donc sous-affluent de la Seine, prend sa source sur le territoire communal à l'est du bourg de Sommepy. De même, la rivière la Dormoise, affluent en rive gauche de l'Aisne, donc sous-affluent de la Seine, prend sa source à proximité de l'ancien village de Tahure dans le camp militaire de Suippes.
Deux routes départementales traversent le territoire de la commune :
De même, la D 320, qui a pour origine Sommepy-Tahure, permet d'accéder Saint-Étienne-à-Arnes (à 9,5 km au nord-ouest).
En outre, la commune est accessible par l'autoroute A4 (sortie no 28, Saint-Étienne-au-Temple), à 28 km au sud de la commune par la D 977.
Traversée par la ligne de Bazancourt à Challerange, le bourg de Sommepy disposait d'une gare jusqu'en 1938, date de la fermeture de la ligne au service des voyageurs.
L16 km
Sommepy-Tahure est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8]. La commune est en outre hors attraction des villes[9],[10].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (53,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (25,7 %), forêts (19,7 %), zones urbanisées (0,9 %), zones agricoles hétérogènes (0,4 %)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
Le nom de la commune actuelle est la combinaison des noms des deux anciennes communes, Sommepy et Tahure, qui ont fusionné en 1950.
Le nom latin Soman Pynus signifie « La source de la Py »[5].
Au XIIe siècle, le bourg était nommé Somepin[réf. nécessaire]. Lors de son passage au village le 18 juillet 1592, Henri IV écrit à son cousin et parle du village en utilisant le nom Souppy[5]. Aux XVIIe et XVIIIe siècles, le nom du village s’orthographiait Sompy sur une carte de Cassini[13]. Au XIXe siècle, les termes Somme-Py et SommePy sont utilisés dans des textes officiels[Lesquels ?].
Vers 1750, le nom du village s’orthographiait Tahure sur une carte de Cassini[13].
Des fouilles effectuées sur le territoire communal témoignent de l'occupation du site à l'Antiquité. Ces fouilles ont permis de mettre au jour : un cimetière gaulois au lieu-dit du Blanc Mont et des pièces de monnaie romaines découvertes au Champ Blaud[5].
Le village de Sommepy est nommé pour la première fois en 1126[réf. nécessaire] et fait partie des terres des comtes de Grandpré[5] ; il y est aussi fait mention de fours banaux, de moulins.
En 1556, la seigneurie de Sommepy appartient à Louis Jouvenel de Ursins. Puis, elle devient une baronnie qui appartient aux Loménie de Brienne[5].
En 1650, au cours de la Fronde, Turenne livre à Sommepy, au lieu-dit le Blanc Mont, une bataille (plus connue sous le nom de bataille de Rethel), contre les frondeurs et leurs alliés espagnols. Les combats y prennent fin le 15 décembre 1650, Turenne battu s’enfuit vers Bar-le-Duc. Plus de 1 500 cadavres restent pendant deux mois sur le champ de bataille de Sompy[5].
Dans l'Ancien Régime, la paroisse de Sommepy est rattachée au diocèse de Reims et au doyenné de Bétheniville. Celle de Tahure était aussi rattachée au diocèse de Reims mais au doyenné de Cernay-en-Dormois. Par ailleurs, Sommepy fait partie de l'élection de Rethel et de la coutume de Vitry. Quant à Tahure, il suivait aussi la coutume de Reims et de Vitry mais relevait de l'élection de Sainte-Menehould.
L'église paroissiale Sainte-Croix de Sommepy fut détruite pendant la Première Guerre mondiale, il n'en reste que la table d'autel et des fragments de sculptures qui furent réemployés pour la reconstruction de l'église de Sommepy-Tahure.
Cette ferme n'existe plus aujourd'hui, elle a été entièrement rasée en octobre 1918. Ce lieu-dit se trouvait en lisière nord du territoire de Sommepy (Marne), à la limite du département des Ardennes[14],[15],[16] .
Le village Tahure est entièrement détruit pendant la guerre à l'exception d'un mur encore en place dans le périmètre du camp militaire de Suippes ainsi que les villages de :
Par le décret du 14 juin 1950[5], le nom de Tahure est rattaché au nom de Sommepy pour spécifier la jointure des noms des deux villages et former ainsi le nouveau nom de la commune : Sommepy-Tahure, à partir 17 juin 1950[1].
De 1954 à 1998[17], la station hertzienne de l'Armée de l'air de Sommepy-Tahure 19.801 a exercé ses activités de télécommunications militaires[18].
Par décret du , l'arrondissement de Sainte-Menehould est supprimée et la commune est intégrée le à l'arrondissement de Châlons-en-Champagne[19].
Le nombre d'habitants de la commune étant compris entre 500 et 1 499, le nombre de membres du conseil municipal est de quinze[20].
La commune est rattachée administrativement à l’arrondissement de Sainte-Menehould.
Elle dépendait du canton de Ville-sur-Tourbe et, dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du et au canton d'Argonne Suippe et Vesle.
Elle fait partie de la quatrième circonscription de la Marne.
La commune, antérieurement membre de la communauté de communes de la Région de Suippes, est membre depuis le de la communauté de communes de Suippe et Vesle.
En effet, conformément aux prévisions du schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) de la Marne du [21],[22], les communautés de communes CC de la région de Suippes et CC des sources de la Vesle ont fusionné le afin de former la nouvelle communauté de communes de Suippe et Vesle[23].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Nicolas Godin | Période révolutionnaire | |||
1807 | Pierre Varenne Dommange | |||
1814 | Jean Damien Petit | |||
1843 | 1847 | Pierre Lambert Lepagnol | ||
1847 | 1849 | Jean Nicolas Guyot | ||
1849 | 1860 | Christophe Isidore Aubert | ||
1860 | 1863 | Jean Nicolas Guyot | ||
1863 | 1876 | Pierre Louis Petit | ||
1876 | 1880 | Martin Severin Varenne | ||
1880 | 1884 | Pierre Louis Petit | ||
1884 | 1888 | Jean Gaillet | ||
1888 | 1892 | Jean Remi Leclère | ||
1892 | 1902 | Ernest Martin Varenne | ||
1902 | 1903 | Constant Edmond Pérard | ||
1903 | 1910 | Ernest Martin Varenne | ||
1910 | 1914 | Edmond Nicolas Thiébault | ||
1914 | 1918 | Occupation Allemande | ||
1919 | Jules Guyot Beguin | Agent local faisant office de maire | ||
1920 | Edmond Nicolas Thiébault | |||
1920 | 1924 | Ernest Martin Varenne | ||
1924 | 1929 | Georges Lesage Gaillet | ||
1929 | 1944 | Gaston Pérard | ||
1944 | 1973 | Robert Soudant | MRP puis CD | Agriculteur Conseiller général de Ville-sur-Tourbe (1945 → 1976) Sénateur de la Marne (1959 → 1974) Président du conseil général de la Marne (1964 → 1972) |
1973 | 1995 | Bernard Soudant | ||
1995 | 2008 | Marie Josèphe Guyot | ||
2008[25] | mars 2014 | Marie Ange Gangand | ||
2014[26] | En cours (au 2 décembre 2020) |
Olivier Soudant | Vice-président de la CC de la Région de Suippes (2020 → ) Réélu pour le mandat 2020-2026[27] |
La commune est jumelée avec Wassenach (Allemagne) depuis 1993[28],[29].
En 2013, la commune disposait d’un budget de 465 000 € dont 347 000 € de fonctionnement et 118 000 € d’investissement[30], financés à 19,84 % par les impôts locaux avec des taux d’imposition fixés à 8,27 % pour la taxe d'habitation et 6,87 % et 5,80 % pour la taxe foncière sur le bâti et le non-bâti[31]. Cette même année, la dette cumulée de la commune s’élevait à 234 000 €[32].
La sécurité de la commune est assurée par la brigade de brigade de proximité de gendarmerie de Suippes[33].
Sommepy-Tahure dispose d’une agence postale[34].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].
En 2019, la commune comptait 639 habitants[Note 2], en augmentation de 1,43 % par rapport à 2013 (Marne : −0,55 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 206 | 1 392 | 1 325 | 1 330 | 1 455 | 1 423 | 1 460 | 1 437 | 1 410 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 261 | 1 130 | 1 103 | 1 000 | 926 | 889 | 996 | 840 | 820 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
836 | 831 | 812 | 622 | 589 | 672 | 608 | 599 | 600 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 | 2006 | 2010 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
588 | 565 | 553 | 520 | 537 | 539 | 601 | 609 | 618 |
2015 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
632 | 639 | - | - | - | - | - | - | - |
Majoritairement, les habitants de la commune sont des familles de militaires dû à la présence des camps militaires de Suippes et Mourmelon.
Sommepy-Tahure est située dans l'académie de Reims. La commune fait partie du regroupement pédagogique Sommepy-Tahure – Sainte-Marie-à-Py – Saint-Souplet-sur-Py[38], la ville administre une école primaire publique[39]. Le collège de secteur est le collège Louis-Pasteur de Suippes[40].
Depuis 1984, Sommepy-Tahure accueille tous les quatre ans la Fête du mouton. Cette manifestation festive a pour thème principal l'élevage du mouton, mais aussi la gastronomie, le patrimoine rural et agricole de la région et l'environnement[41],[42].
En 2015, une douzaine d'associations participaient à l’animation culturelle de la commune[43].
Le territoire de la commune de Sommepy-Tahure fait partie de la paroisse catholique « Sainte Edith Stein de la Suippe » dans le secteur paroissial de « Champagne Périphérie Châlons » du diocèse de Châlons-en-Champagne[44]. Le lieu de culte est l'église Saint-Martin de Sommepy-Tahure.
La commune dispose d'une boulangerie, d'un restaurant[45], d'une auto-école ainsi qu'une brasserie de bière[46] intra-muros. Il y a également une épicerie multiservices (l'Épicerie de la Py sous enseigne Proxi).
Extra-muros, l'usine de conditionnement d’œufs Sodine est située à l'est de village près de la route D 977.
L'église Saint-Martin, construite au XVe, remaniée au XVIIe, avec un clocher restauré au XIXe. Elle fut incendiée le 2 septembre 1914 et ne restait debout que le portail ouest. Elle a été entièrement reconstruite après la guerre. L'église avait été classée au titre des monuments historiques en 1862[47].
Le calvaire du Bois de Vignon a été classé au titre monuments historiques le 12 juin 1922[48].
Sommepy-Tahure fait partie de ces villages qui ont été ravagés par les deux guerres mondiales. En effet, Sommepy-Tahure est entourée de deux stèles dont l'une est dédiée aux 171e et 174e R.I..
Ce cimetière militaire fut construit en 1925. Il regroupe les dépouilles de soldats français[49] et classée à l'inventaire général.
Il est situé à 5 km au nord du village de Sommepy-Tahure, il a été construit sur le Blanc Mont, point culminant des collines de Champagne (210 m) à la limite du département des Ardennes.
La tour carrée, haute de 20 m, construite en pierre jaune dite « cruchot » provenant de Saône-et-Loire, domine le plateau, est entourée de sapins. Au sommet, on découvre l’intérêt stratégique de ce lieu.
L’ensemble du lieu de 4,50 ha, a été concédé aux États-Unis. Quelques marches conduisent sur une plateforme de 330 m2 entourée de 800 rosiers rouges. Soixante-dix-sept marches conduisent au sommet. Par temps clair, le panorama permet d’apercevoir le fort de Douaumont et le massif de l’Argonne à l’est, les villages ardennais au nord et les deux camps de Suippes et Mourmelon.
Le monument Aux Morts des Armées de Champagne appelé également ossuaire de Navarin. Il est situé sur la D 977 entre Sommepy-Tahure et Souain-Perthes-lès-Hurlus, au lieu-dit -« la ferme de Navarin », sur le territoire de la commune de Sainte-Marie-à-Py.
Aux environs de Sommepy, il reste quelques ruines des villages détruits pendant la guerre de 1914-1918 : Hurlus, Le Mesnil-lès-Hurlus, Perthes-lès-Hurlus, Ripont, Souain (village reconstruit) et Tahure ; qui se trouvent actuellement dans le périmètre du camp militaire de Suippes. L'armée ouvre le camp au public une fois par an et il est donc possible de visiter les ruines.
Le château de Sommepy se situait proche du lieu-dit Orgemont. Il a été détruit avec le reste du village pendant la guerre 1914-1918 mais il subsiste aujourd'hui son portail d'entrée en pierre, situé au bord d'une aire de repos de la départementale 977.
La mairie, construite en 1912, détruite par la guerre était de l'architecte Armand Begue, elle fut reconstruite sur les mêmes plans en 1925, elle est classée à l'inventaire générale[50].
La commune dispose d'une salle polyvalente[51] et d'une bibliothèque[52].
François Flameng, peintre officiel de l'armée a réalisé de nombreux croquis et dessins des tragiques événements de la Grande Guerre qui se déroulèrent ici. Ceux-ci parurent dans la revue L'Illustration.
Après la Première Guerre mondiale, André L'Huillier (né à Sommepy-Tahure) traversa l'Atlantique pour rejoindre les États-Unis dans le but de réaliser des conférences en faveur des villages détruits[53].
À Washington, un fonds d'aide est créé pour la recréation des villages et Sommepy fut le premier village choisi.
Francesco Bellinzani (1619-1684), seigneur de Sompy (Somme-Py), directeur de la Compagnie du Nord et du Levant, des Indes Occidentales (1670), inspecteur général des manufactures, intendant du commerce, l'un des premiers commis du sieur Colbert, ministre d'État.
Supposé être daté du XIXe siècle, son origine est assez mystérieuse. Gravé sur le fronton de la nouvelle mairie en 1892, il fut gardé pour son interprétation actuelle du village. Le mouton représente l'élevage ovin qui fut dans le passé et les deux gerbes de blé pour la culture actuelle qui est faite autour de Sommepy-Tahure.
Blason | Inconnu. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Les deux anciennes communes ont été décorées de la Croix de guerre 1914-1918 :
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