La commune, qui se situe dans l'aire urbaine de Grenoble, est adhérente de la métropole Grenoble-Alpes Métropole depuis la création de cette communauté d'agglomération. À la suite d'un nouveau découpage territorial mis en application à l'occasion des élections départementales de 2015, le territoire de la commune est rattaché au canton de Fontaine-Seyssinet. Ses habitants sont appelés les Seyssinois(es)[1].
Géographie
Situation et description
La commune de Seyssins est située au flanc du massif du Vercors, donnant sur Grenoble. Une partie de Seyssins est située dans la plaine à l'ouest du Drac, alors qu'une autre est située dans le bas de la montée menant à Saint-Nizier-du-Moucherotte, situé à 1 162 m d'altitude.
Le centre de Seyssins (hôtel de Ville) est situé, par la route, à environ 6 km du centre de Grenoble, préfecture du département de l'Isère, 108 km de Lyon, préfecture de la région Auvergne-Rhône-Alpes, 95 km de Valence, 312 km de Marseille et 578 km de Paris[2].
Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Communes limitrophes
La commune de Seyssins est séparée de Grenoble et d'Échirolles par le Drac à l'est (avec une légère incursion du territoire en rive droite du Drac, sur la zone commerciale de Comboire). Elle est bordée au nord par la commune de Seyssinet-Pariset et au sud par la commune de Claix (hameau de Cossey). À l'ouest, Seyssins est située au flanc du massif du Vercors, sur la face est du Moucherotte, et se trouve en contact plus lointain avec les communes du plateau.
Le climat des communes du bassin Grenoblois se situe entre le climat océanique et le climat continental, avec une légère influence méditerranéenne, ce qui entraîne des étés assez chauds mais plutôt humides. Le bassin grenoblois comporte un bon ensoleillement (2100 heures par an) mais des précipitations généralement abondantes (entre 900 et 1 000 mm par an).
L'amplitude thermique annuelle est une des plus élevées de France, avec 19°C d'écart entre janvier et juillet. Les montagnes environnantes particularisent beaucoup le climat car elles impliquent un effet de cuvette avec des chaleurs quelquefois torrides, l'été, et un froid assez important, l'hiver. D'autres phénomènes liés aux vents tels que l'effet de foehn sont également bien connus dans la région.
Hydrographie
Le territoire communal est sillonné de plusieurs cours d'eau: une rivière (le Drac) au débit torrentiel et quelques rus ou ruisseaux (ruisseau du Bessay, ruisseau de Cossey) qui sont tous ses affluents.
Le Drac, principal affluent de l'Isère, traverse la partie orientale de la commune et est en fait la "limite naturelle" de la commune à l'est. Cette rivière, parfois qualifiée de torrent, naît dans le Champsaur, dans le département des Hautes-Alpes à un peu plus de 2 000 mètres d'altitude et finit par se jeter dans l'Isère, à la limite nord du territoire de la commune voisine de Fontaine[3].
Voies de communication
Située dans l’agglomération grenobloise, le territoire de Seyssins se situe à un point de convergence de plusieurs lignes routières et autoroutières, notamment en raison de sa proximité avec l'échangeur entre l'A480 et la Rocade Sud.
Article connexe: Périphérie routière de Grenoble.
L'autoroute A480 (rocade ouest de Grenoble), autoroute urbaine totalement gratuite desservant l'ouest de l'agglomération de Grenoble sur une distance de 12,5 km possède une sortie vers Seyssins à la hauteur de l'échangeur du Rondeau par l'intermédiaire du pont du Rondeau.
5b: Seyssins, Seyssinet-Pariset Z.I.
La Rocade Sud, nom donné à la RN 87 contourne la ville de Grenoble du sud-ouest au nord-est sous une forme autoroutière. D'une longueur de 10,5km, elle relie la ville de Seyssins et l'A480 à l'ouest à l'A41 au nord-est.
En septembre 2016, Christophe Ferrari obtient un accord historique sur l'aménagement de l'A480, qui passera à deux fois trois voies en 2022 entre l'échangeur du Rondeau et sa connexion avec l'autoroute A48 au niveau de St Egrève[4]. Le réaménagement de l'échangeur du Rondeau pour un montant de 80 millions d'euros faisant partie de l'accord.
Le territoire communal est traversé par plusieurs routes secondaires
la RD6, petite rocade de contournement du bas-Seyssins qui relie le Rondeau à Seyssinet-Pariset.
la RD106 permet de relier le centre du village ancien à la commune de Lans-en-Vercors, au nord-ouest et la commune de Fontaine, au nord-est.
la RD106d permet de relier le centre du village ancien à la commune de Claix.
Transports
Le territoire communal est traversé par plusieurs lignes de bus et une ligne de tramway du réseau de Transports de l'agglomération grenobloise qui la relie avec les autres communes de l'agglomération grenobloise.
La ligne C du tramway de Grenoble relie la commune de Seyssins à celles de Saint-Martin-d'Hères et Gières sur 9,4 km de long. Cette ligne traverse une grande partie de la commune dans une direction est-ouest. Elle permet notamment de relier Seyssinet-Pariset avec Grenoble et son hôtel de ville, la bibliothèque d'étude de Grenoble et le Stade des Alpes, après avoir franchi le pont de Catane.
La ville héberge également un espace de stationnement mis à la disposition des usagers des transports en commun de la SEMITAG et dénommé «Parking-Relais»[5]
P+R Seyssinet-Pariset Hôtel de Ville
Seyssins
120 places
CC62149
Urbanisme
Typologie
Seyssins est une commune mi-urbaine et mi forestière en raison de sa partie haute, non urbanisée, et en grande partie constituée de forêts. Elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8].
Elle appartient à l'unité urbaine de Grenoble, une agglomération intra-départementale regroupant 49 communes[9] et 450 501 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[10],[11].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12],[13].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (43,7% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (44%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (42,3%), zones urbanisées (26,8%), prairies (9,7%), zones agricoles hétérogènes (6,7%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6%), eaux continentales[Note 3] (3,8%), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,3%), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,3%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1%)[14].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Lieux-dits et écarts
La commune est composée de quatre quartiers. Le village, le centre, la plaine et enfin Pré Nouvel situé sur les rochers de Comboire, à la limite avec Claix et dont l'urbanisation a démarré en 2013.
Risques naturels et technologiques
Risques sismiques
Article connexe: Risque sismique dans l'Isère.
Le territoire de Seyssins est situé en zone de sismicité n°4 (sur une échelle de 1 à 5), comme l'ensemble des territoires des communes de l'agglomération grenobloise[15].
Seyssins est une des trente-sept communes du département de l'Isère classée pour le risque incendie de forêt[17].
Toponymie
Selon André Planck, auteur du livre L'origine du nom des communes du département de l'Isère, le nom de Seyssins doit son origine au terme latin «Saxeus» qui signifie rocher[18].
Histoire
Article connexe: Histoire de l'Isère.
Préhistoire et Antiquité
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Moyen Âge et Temps modernes
Seyssins fut jusqu'à une période récente un petit village adossé aux derniers contreforts du massif du Vercors à l'abri des crues dévastatrices du Drac, affluent de l'Isère. Le village n'a connu son agrandissement, au niveau de la plaine, qu'après l'endiguement de cet important torrent alpin (au XVII°) avec la construction d'une digue.
En 1753, le village et la région de Grenoble connaissent le premier tremblement de terre dont l'histoire ait gardé trace[19].
Époque contemporaine
Entre 1790 et 1794, la commune de Seyssins absorbe les communes éphémères de Mont-Rigaud[20] et Roux-de-Commiers[21].
Jusqu'à l'empire de Napoleon III, le territoire communal s' étendait sur la rive droite du Drac, jusqu' à l'actuelle place Hubert Dubedout à Grenoble au nord et à Eybens et Pont de Claix au sud, englobant le village d'Echirolles, le lieu dit du Rondeau et une grande partie des quartiers actuels de Chorrier - Berriat sur Grenoble, avant la création de la commune d'Echirolles, et l’intégration du Rondeau, à la commune de Grenoble (à l' époque site totalement rural, où se trouvaient des bâtiments religieux, comme le couvent de la Rédemption, démoli en 1974, et le petit séminaire du Rondeau, devenu Lycée Vaucanson, dans les années 1920).
Seyssins fut de 1920 à 1950, le terminus de l'une des lignes de l'ancien tramway de Grenoble.
Politique et administration
Administration municipale
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Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2014 en Isère.
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Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
mars 1965
juin 1995
Michel Segaert
CDP-DVD
juin 1995
mars 2010
Didier Migaud
PS
Député (1988-2010) Conseiller général (1988-2001)
mars 2010
2012
Michel Baffert
PS
2012
En cours
Fabrice Hugelé
PS puis DVD-LREM
Cadre supérieur
Les données manquantes sont à compléter.
Jumelages
La ville a été jumelée jusqu'en 2021 avec une autre ville de l'Union européenne:
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].
En 2019, la commune comptait 7 827 habitants[Note 4], en augmentation de 12,7% par rapport à 2013 (Isère: +2,9%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
669
623
724
768
833
914
1 196
1 162
1 387
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 374
2 238
659
654
675
669
700
641
605
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
566
577
540
502
528
532
513
500
762
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
1 007
1 573
3 911
5 021
7 028
6 850
6 861
6 887
7 352
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
7 827
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique
Festivités et animations
Salon des vins organisé par l'association Vins en fêtes de la vallée du Rhône, en février à la salle le Prisme.
Salon de minéralogie à l'initiative du club dauphinois de minéralogie et de paléontologie[27] le dernier week-end de septembre à la salle le Prisme.
Kermesse du sou des écoles, en juin dans le parc François-Mitterrand.
Équipements sportifs
Rugby à XV
Le Rugby club de Seyssins évolue en Fédérale 3
Équipements culturels
La salle du prisme
Le Prisme est une salle modulable, accessible aux personnes à mobilité réduite et permettant l’accueil de 960 personnes en configuration salle de spectacle. Elle permet également l'accueil d'expositions, de foires et des séminaires [28].
la bibliothèque municipale Lucie Aubrac
L'espace Victor Schœlcher
La maison des associations
Parcours de golf
Dénommée Golf Bluegreen Grenoble Seyssins, cette installation est constituée d'un parcours de neuf trous[29].
Médias
Historiquement, le quotidien régional Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition de Grenoble-Isère Sud, un ou plusieurs articles à l'actualité de la ville ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales.
Cultes
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Économie
La commune fait partiellement partie de l'aire géographique de production et transformation du «Bois de Chartreuse», la première AOC de la filière Bois en France[30].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Patrimoine civil
Le château Le Harivel du Rocher, hôtel de ville depuis 1985.
Le monument aux morts communal: C'est en 1920, au lendemain de la Première Guerre mondiale, que le conseil municipal de Seyssins a pris la décision d'ériger un monument aux morts, pour huit cent mille francs de l'époque. C'est pendant l'après-midi du 2 juillet 1921 qu'est inauguré le monument: les 28 noms gravés dans la pierre sont lus pour la première fois. S'ensuivent le discours du secrétaire de mairie de l'époque et celui du maire: Joseph Moutin. Le monument aux morts est situé à côté de l'église Saint-Martin de Seyssins, dans l'ancien cimetière.
Plusieurs maisons anciennes, à l'allure noble, selon l'écrivain Éric Tasset, auteur d'un ouvrage sur les châteaux forts de l'Isère, pourraient cacher des maisons fortes, notamment[31]:
La Tour Saint-Ange, à l'est de la rue du Bournet, était de propriété de Jean Gauchet au XVIesiècle;
la maison forte du Châtelard;
la Maison Blanche, du début du XVIesiècle;
le château de Montrigaud, au sommet du parc François-Mitterrand, cité en 1368 dans un texte que le roi Charles V adresse à Didier de Sassenage;
le château de la Beaume, situé entre le golf et le collège Marc-Sangnier, au XVIIesiècle appartint au conseiller du roi Raymond Espeautre;
le Castel Monjoie, de la famille Perrachon en 1638.
Le château de Seyssins, dit La Bâtie, disparu, cité dans l'enquête delphinale de 1339 et propriété de Didier de Sassenage en 1522, se trouvait en amont du village[31].
Maison forte de Comba, située sur la butte au lieu-dit de Comba et aujourd'hui disparue, est citée dans l'enquête delphinale de 1339[31].
Maison forte aux Trois Tours, du XIIIeouXIVesiècle, appelée aussi maison des Trois-Tours, la Bâtie, château Ponnat et château du Grand-Près[31].
Maison de la Colombière, dans le quartier des Charrières, propriété de Saint-André de Grenoble au XVIesiècle[31].
Maison dite du Parlement, de la famille Collonge au XVIesiècle[31].
Maison de la Croix de la Baume, rue Joseph-Moutin, qui présente une tourelle d'escalier[31].
Patrimoine religieux
Église Saint-Martin: église de style roman construite entre le IXesiècle et le XIIesiècle, de plan basilical et dont les chapiteaux des colonnes de la nef sont classés au titre des monuments historiques par arrêté du 9 septembre 1908[32].
Patrimoine naturel
Grotte Vallier
Seyssins dans les arts
Le village est représenté sur une peinture de l'artiste dauphinois Jean Achard.
Espaces verts et fleurissement
En mars 2017, la commune confirme le niveau «trois fleurs» au concours des villes et villages fleuris, ce label récompense le fleurissement de la commune au titre de l'année 2016[33].
Personnalités liées à la commune
Louis Vicat
Didier Migaud
Olivier Brouzet
Jérôme Neuville
Thomas Jolmès
Louis Bielle-Biarrey
Pierre Ier, évêque de Grenoble (1221), selon Guy Allard, l'évêque en serait originaire[34].
Louis Vicat (1786 - 1861), inventeur du ciment artificiel.
Didier Migaud (né en 1952), maire de Seyssins de 2001 à 2010. Né le à Saint-Symphorien (Indre-et-Loire), il est un homme politique français. Ancien président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale, il est nommé premier président de la Cour des Comptes le , par le président de la République Nicolas Sarkozy.
Nima Sarkechik, pianiste et concertiste de musique classique.
Yves Brouzet (né en 1948), athlète français, recordman de France de lancer de poids.
Olivier Brouzet (né en 1972), international français de rugby.
Jérôme Neuville (né en 1975), plusieurs fois champion du monde de cyclisme sur piste.
Thomas Jolmès (né en 1995), international français de rugby.
Killian Géraci (né en 1999), international français de rugby.
Louis Bielle-Biarrey (né en 2003), rugbyman français.
Héraldique
Article connexe: Armorial des communes de l'Isère.
Blason
De gueules semé de fleurs de lys d'or, à la bande d'argent brochante[35].
Devise
«Plutôt avec le cœur, qu'avec les armes».
Détails
Armes de la famille Alleman. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Notes et références
Notes et cartes
Notes
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Livre "L'origine du nom des communes du département de l'Isère" par André Planck, (ISBN2-84424-043-7) édition L'atelier, 2006, page 53
Fontaine au temps jadis de Serge Echalon et Jean Escalon, page 171
Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, «Notice communale: Mont Rigaud», sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
Éric Tasset, Châteaux forts de l'Isère: Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741p. (ISBN2-911148-66-5), pp. 553-560.
«Eglise», notice noPA00117288, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Guy Allard, Dictionnaire historique, chronologique, géographique, héraldique, juridique, politique et botanographique du Dauphiné: Manuscrit original de 1684 publié par H. Gariel, t.deuxième: L - Z, Grenoble, (lire en ligne), p.630.
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