Santeuil est une commune française située dans le département du Val-d'Oise en région Île-de-France.
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Santeuil est un village périurbain du Vexin français, dans la vallée de la Viosne.
Santeuil est desservie par la gare de Santeuil - Le Perchay sur la ligne de Saint-Denis à Dieppe, moyennant les trains de la ligne J du Transilien reliant Paris-Saint-Lazare à Gisors-Embranchement. Le GR 1 traverse le territoire communal.
Communes limitrophes
La commune est limitrophe de Marines, Us, Le Perchay, Brignancourt, ainsi que de Frémécourt et de Moussy bien qu'il n'y ait pas d'accès direct par la route pour ces deux dernières communes.
La commune est drainée par la Couleuvre et Viosne, qui confluent au sud-est du territoire communal. Leurs eaux se jettent dans l'Oise, puis dans le fleuve la Seine.
Urbanisme
Typologie
Santeuil est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[6],[7].
Toponymie
"Santeuil" du nom gaulois Centos[8],[9] (et de ialo (clairière), «la clairière de Sanctus»[10].
Le nom provient du latinSantolium. Dans un terrier de 1608 on l'écrit Santheuil et au XVIIIesiècle, sur différents écrits Santeüil[réf.nécessaire].
Histoire
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La présence de l'homme préhistorique sur le territoire de la commune est attesté par les nombreuses traces qu'il a laissé comme des haches taillées, des haches polies, couteaux, grattoirs, pointes de flèches en particulier dans les lieux-dits «Les Pipes», «Le Buisson des Grès», «La Buterne», «La Tête de la Vallée», «Le Chemin de Pontoise», «Les Vignes», «Les Tourneaux», «Les Ronces»[11].
Le village, d'origine très ancienne, existait à l'Époque gallo-romaine, en raison de la découverte de fondations de bâtiments en pierre. À cette époque, les chercheurs supposent que le village était plus important qu'il ne l'est à l'époque moderne à la suite de la découverte d'un grand nombre de cercueils en pierre.
Situé dans le Vexin, pays des Véliocasses, le territoire était compris, sous la domination romaine, dans la Gaule lyonnaise
A l'époque mérovingienne, Santeuil fait partie du royaume de Neustrie théâtre des luttes des Rois de France avec les vikings à l'époque carolingienne. Il est à supposer que Santeuil, comme la plupart des localités du Vexin, n'échappa pas aux ravages des Normands jusqu'au traité de Saint-Clair-sur-Epte en 911.
Passé dans le domaine royal, les comtes du Vexin français avaient l'honneur de porter l'oriflamme de l'abbaye de Saint-Denis dont le Roi était le vassal.
Cette oriflamme, qui devint l'étendard royal, était prise chaque fois que le roi partait en guerre. C'était un morceau de taffetas couleur de feu, sans broderies ni figure, fendu en bas en trois endroits, orné de houppes de soie verte et suspendu au bout d'une lance dorée[11].
En 1124, le Vexin français est cédé au royaume d'Angleterre. En 1126, à la mort du roi d'Angleterre Henri Ier Beauclerc le territoire passe dans les mains de sa fille Mathilde l'Emperesse malgré l'opposition d'Etienne de Blois. Ainsi le XIIesiècle est émaillé de combats de village à village, avec pillages, incendies, luttes contre les Anglais qui étaient maitres de la Normandie. En 1167, Louis VII le Jeune ayant attaqué plusieurs village du Vexin Normand, les troupes anglaises envahissent le Vexin Français et brûle Chars et probablement les localités voisines dont Santeuil.
Durant la guerre de Cent Ans, le Vexin français est ravagé à plusieurs reprises, en particulier par Charles le Mauvais.
En 1757, la portion du territoire comprise dans la vallée de la Viosne est ravagée par une inondation.
Les vignes couvraient depuis les temps immémoriaux le territoire. Une grande partie ne survécurent par lors de l'hiver 1784 qui est particulièrement rigoureux.
Le , un orage de grêle produit des dégâts sur 13 communes. Le lendemain un nouvel orage de grêle détruit 26 autres paroisses.
En 1791, le hameau de Vallière est distrait de Santeuil et rattaché au Perchay.
Le , Vallière est de nouveau rattaché à la commune de Santeuil.
Hameau de Vallière
Situé entre Le Perchay et Santeuil ce hameau de quelques habitations situé près d'un étang a son origine d'un moulin qui existait dès le XIIIesiècle et, en 1778, il abritait un relais de chasse. En 1791 le hameau est rattaché au Perchay. Après de nombreuses contestations des habitants du hameau, il réintègre Santeuil par ordonnance royale de 1836.
Politique et administration
Intercommunalité
La commune, initialement membre de la communauté de communes Val de Viosne, est membre, depuis le , de la communauté de communes Vexin centre.
En effet, cette dernière a été constituée le par la fusion de la communauté de communes des Trois Vallées du Vexin (12 communes), de la communauté de communes Val de Viosne (14 communes) et de la communauté de communes du Plateau du Vexin (8 communes), conformément aux prévisions du schéma départemental de coopération intercommunale du Val-d'Oise approuvé le [12].
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Population et société
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[20].
En 2019, la commune comptait 663 habitants[Note 3], en augmentation de 2,16% par rapport à 2013 (Val-d'Oise: +4,6%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
218
175
225
216
186
188
182
199
184
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
189
183
165
173
160
155
156
125
162
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
144
110
131
211
149
162
167
192
250
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
242
282
309
442
562
578
601
604
644
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
672
663
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Façade occidentale de l'église.
Chevet de l'église.
Croix de cimetière.
Santeuil compte deux monuments historiques sur son territoire:
Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul, rue de l'Église (classée monument historique par arrêté du [23]): C'est l'une des rares églises n'ayant pas été endommagée pendant la guerre de Cent Ans et subie de reconstruction au XVIesiècle, si bien qu'elle se présente dans ses grands traits dans la même apparence que lors de son achèvement au XIIIesiècle. La restauration de la fin du XIXesiècle n'a pas altéré le caractère de l'édifice. De plan cruciforme, il se compose d'une haute nef de quatre travées accompagnée de ses deux bas-côtés; d'un transept nettement plus bas que la nef; d'un clocher central se dressant au-dessus de la croisée du transept; d'un chœur carré au chevet plat; et de deux petites chapelles orientées à l'angle entre les bras du transept et la première travée du chœur. La construction de l'édifice a vraisemblablement commencé avant 1150, et le chœur et le transept voûtés en berceau brisé remontent à cette époque. La voûte d'ogives au-dessus du carré de transept ne date que du XIIIesiècle et s'inscrit dans la reconstruction de la nef et des bas-côtés, également voûtés d'ogives. La nef ne mesure que 3,5 m de largeur à l'intérieur et présente à l'intérieur une élévation sur trois niveaux, inspirée encore du style gothique primitif de la seconde moitié du XIIesiècle. Les arcades donnant sur les bas-côtés reposent sur de gros piliers cylindriques isolés; les arcades du triforium longtemps bouchées s'ouvrent directement sur les combles des bas-côtés; et des fenêtres hautes en tiers-point, sans remplage, laissent entrer le jour. Depuis la façade occidentale, une rosace entourée d'une succession de trois tores et de deux rangs de feuilles d'acanthe éclaire la nef. La façade occidentale subsiste du milieu du XIIesiècle et présente un portail au triple archivolte en cintre brisé, avec des chapiteaux sculptés en feuillages divers. La tourelle d'escalier à gauche de la façade a été ajoutée au XIIIesiècle. Les baies des bas-côtés ont été repercées à l'époque moderne, et celles aux extrémités nord et sud du transept dès le XIIIesiècle. Les croisillons gardent toutefois sur leurs murs latéraux les baies plein cintre de l'époque romane. Comme particularité, les croisillons se prolongent vers l'est par des petites chapelles basses, dont celle au sud a perdu son caractère lors d'un remaniement. Le chœur s'ouvre sur le transept par un arc triomphal en tiers-point qui est d'origine. Le mur méridional du chœur ne date que du XVIIIesiècle, et la grande verrière du chevet a été établie au XIVesiècle quand le mur oriental a également été rebâti. Restent à signaler un portail roman bouché à l'ouest du croisillon sud, faisant face à un portail en anse de panier richement sculpté du XVesiècle, dans la troisième travée du bas-côté sud. Quant au clocher particulièrement gracieux, il remonte aux origines de l'église et se compose de deux étages ajourés de deux baies plein cintre par niveau et par face, ainsi que d'une flèche octogonale en pierre assortie de quatre cônes aux extrémités. Les angles du clocher sont occupés par des colonnes enserrées entre les contreforts, et jusqu'au premier étage, ces derniers prennent eux-mêmes la forme de colonnes. Les baies assez étroites sont précédées par des archivoltes beaucoup plus généreux, dont les colonnes sont garnies de chapiteaux de différents types. Au premier étage, les ouvertures elles-mêmes sont également cantonnées de colonnes à chapiteaux et les archivoltes se partagent une seule colonne centrale, ce qui n'est pas le cas au second étage, où les archivoltes sont légèrement espacés et les baies dépourvues de colonnes[24],[25].
Article détaillé: Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Santeuil.
Croix de cimetière, sur le cimetière ancien près de l'église (classée monument historique par arrêté du [26]): La croix en pierre sculptée possède des bras de longueur égale et biseautés. Elle est placée sur le sommet d'un fût octogonal qui prend appui dans un socle également octogonal, dont les faces sont évasées, ce qui a permis d'agrémenter les angles de moulures structurantes. Le socle repose sur un soubassement de quatre degrés.
On peut également signaler:
Lavoir, à côté de la mairie: Le bassin rectangulaire se situe à l'air libre et est entouré de murs en moellons. On y descend par quelques marches d'escalier. D'un côté, un toit en appentis a été reconstitué.
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Personnalités liées à la commune
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Liste de seigneurs de Santeuil
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Vers le XIIIesiècle Santeuil semble appartenir à la famille Maudétour. Le premier propriétaire attesté est Aélis où Adélaïde de Santeuil fille de Thibault de Maudétour, puis Gauthier de Santeuil qui cède en 1211 à l'église Saint-Rémi de Marines un droit de champart sur la terre de Marines puis Jean de Santeuil. En 1237 Guillaume de Mauvoisin, seigneur de Fontenay cède les dîmes de Santeuil à l'abbaye Notre-Dame de Bonport, près de Pont de l'Arche, dîmes qui avaient été acquises par Isabelle de Davron de Thibaud du Moustier de Bréançon.
Vers la fin du XIVesiècle, la plus grande partie de Santeuil appartenait à Amaury d'Orgemont. En 1380, Gasle de Bouconvilliers baille aveu d'un fief qu'il tient d'Amaury d'Orgemont. La même année Pierre Aumont le Hutin possède un fief sur Santeuil. Le Philipot de Taverny au Tauny, escuyer, rend aveu à Amaury d'Orgemont, seigneur de Marines et de Chantilly, chancelier du duc d’Orléans pour un fief sis à Santeuil.
En 1357, Regnault de Trie, dit Billehaut, vend la terre de Chars à Pierre Ier d'Aumon][27] qui devient, en 1380, seigneur d'un fief de Santeuil de 15 arpents de terre, 40 arpents de bois, 2 arpents de pré, des censives et avoinages et grains sur des maisons et terres et sur la grande communauté, l'arrière fief de Jean Remon, de 3 arpents et demi et des champarts, plus trois autres petits fiefs à Santeuil. Lui succède,
Pierre II d'Aumont le Hutin, nommé porte oriflamme du roi Charles VII,
Pierre III d'Aumont, également porte oriflamme, en 1409,
Jean IV d'Aumont le Hutin, échanson du roi qui fut tué à la bataille d'Azincourt,
Jacques d'Aumont, conseiller et chambellan de Philippe le Bon
Pierre d'Aumont, fils du précédent,
Ferry d'Aumont, dont la pierre tombale de l'église Saint-Lucien de Méru rappelle les titres; d'après l'inscription de cette pierre, les Sires d'Aumont étaient seigneurs: d'Aumont, Berthecourt, Villers-sur-Thère, Amblainville, Hénonville, Berville, Boulène, Agnicourt, Lardières, Corbeil-Cerf, Andeville, Crèvecœur, Soubriant, Lacy, Chars, Le Bouccot, Moussy-le-Perreux, Santeuil, Vignacourt, Courcelles-sur-Viosne, Jouy-la-Fontaine. Ils possédaient le fief de «Clercelles» à Pontoise et étaient seigneurs châtelains de Méru.
Louise d'Aumont, fille du précédent épousa François de Rouville qui devint baron de Chars.
À partir de cette époque (vers 1520), Santeuil parait être rattachée presque entièrement à la seigneurie de Marines et n'appartient plus aux barons de Chars, car il n'en est plus fait mention dans leurs titres.
Conformément à une lettre de terrier délivrée par Henri IV le , il est dressé par Maîtres Jehan Moreau et Jacques François notaires à Pontoise, un registre terrier en faveur de Messire Nicolas Brûlart, chevalier, seigneur de Sillery, Marines, Le Rosnel, Génicourt, Santheuil, Gérocourt, Livilliers, vicomte de Puiseux, chancelier de France et de Navarre.
Par contrat du , le seigneur de Marines déclare qu'il réunit à sa terre de Santheuil le fief de Dampont.
Plus tard, le maréchal de Créquy acheta quelques terres de la seigneurie et réunit à la terre de Chars à peu près toutes les seigneuries qui en étaient sorties autrefois.
En 1706 apparaît comme baron de Chars et seigneur de nombreuses localités parmi lesquelles se trouve Santeuil, monsieur de Rivié, ancien maréchal-ferrant anobli par Louvois pour lui avoir guéri un cheval auquel il tenait beaucoup! Monsieur de Rivie obtint de Louvois une fourniture de chevaux pour l'armée et gagna ainsi beaucoup d'argent. Il acheta alors les héritages de la Maréchale de Créquy, Catherine de Rougé, et de divers autres seigneurs les seigneuries de Chars, Marines, Ressons, Le Bellay, Bercagny, Brignancourt, Santeuil, Frémécourt, Génicourt, Gérocourt, Livilliers, Bréançon, Le Rosnel, Le Fay, Le Heaulme, Liancourt, Ricquebourg, La Neuville, Royaumont, La Rivière et Neuilly-sur-Chars.
La seigneurie passe ensuite aux mains de
Etienne de Rivié de Riquebourg, son fils
Yvonnette de Rivié de Riquebourg, fille du précédent, qui épousa le marquis Louis de Gouy d'Arsy, maréchal des camps et armées du roi, chevalier de l'ordre militaire de Saint-Louis qui devint baron de Chars et seigneurs des nombreuses localités citées ci-dessus parmi lesquelles Santeuil. Il habitait Marines.
Louis Marthe de Gouy d'Arsy, fils des précédents, quitte Marines et est élu député de Saint Domingue ou il avait de grandes propriétés.
Héraldique
[[|Santeuil (Val-d'Oise)]]
Blason
Fascé d'argent et de gueules de dix pièces, au lion de sable couronné d'or et brochant sur le tout, au franc-canton de gueules chargé d'une bande d'or
Détails
Notes et références
Notes
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Mémoires de la Société historique et archéologique de Pontoise, du Val-d'Oise et du Vexin, Volumes 82 à 83, page 78.
Revue internationale d'onomastique, Éditions d'Artrey, 1972, Volumes 24 à 25, page 145.
[archives.valdoise.fr/ark:/18127/vta520266b4eb93c/daogrp/0#id:992837755?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1570.148,-1826.511&zoom=9&rotation=0.000&lock=true Monographie de Santeuil]
Marie Persidat, «Santeuil: la démission fracassante du maire sidère le conseil municipal: Pierre Derouillac a écrit samedi à la population pour annoncer sa décision, estimant avoir été dénigré par ses adjoints. Le conseil municipal est sous le choc», Le Parisien, (lire en ligne, consulté le )«Lorsque la démission du maire sera acceptée par la préfecture, des élections partielles devraient être organisées à Santeuil pour compléter le conseil municipal qui ne comptera alors plus que douze membres au lieu de quinze. Avant Pierre Derouillac, deux élus avaient en effet déjà démissionné. Le plus récent départ correspondant d'ailleurs à l'élu qui avait obtenu le plus de voix au premier tour des municipales 2020».
Marie Persidat, «Val-d’Oise: à Santeuil, l’heure est à la réconciliation après l’élection du nouveau maire: Après la démission surprise du maire en avril, de nouvelles élections ont permis de compléter le conseil puis de choisir un nouveau maire. Le premier adjoint, Florent Ambrosino, a été élu et prône la réconciliation», Le Parisien, (lire en ligne, consulté le )«deux «listes» se sont présentées afin de pourvoir les trois sièges vacants. D’un côté, des candidats proches de l’équipe incomplète déjà en place. De l’autre, une liste nommée «apaisement, transparence et vigilance», comptant des habitants qui s’étaient déjà présentés lors des municipales de 2020».
Eugène Lefèvre-Pontalis, «Notice archéologique sur l'église de Santeuil», Mémoires de la Société historique et archéologique de l'arrondissement de Pontoise et du Vexin, Pontoise, Imprimerie Lucien Pâris, vol.10, , p.85-92 (ISSN1148-8107, lire en ligne).
Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français: Santeuil, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344p. (ISBN2-905684-23-2), p.283-286.
«Croix de cimetière», notice noPA00080206, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Eugène Lefèvre-Pontalis, «Notice archéologique sur l'église de Santeuil», Mémoires de la Société historique et archéologique de l'arrondissement de Pontoise et du Vexin, Pontoise, Imprimerie Lucien Pâris, vol.10, , p.85-92 (ISSN1148-8107, lire en ligne)
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