Sanilhac-Sagriès est une commune française située dans l'est du département du Gard dans le Languedoc-Roussillon, région Occitanie.
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Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Gard, le Les Seynes et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les gorges du Gardon, la commune possède un patrimoine naturel remarquable: deux sites Natura 2000 («le Gardon et ses gorges» et les «gorges du Gardon»), trois espaces protégés (les «gorges du Gardon »la réserve naturelle régionale des gorges du Gardon et le «Rnr gorges du Gardon») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Sanilhac-Sagriès est une commune rurale qui compte 774 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes. Ses habitants sont appelés les Sanigriésois ou Sanigriésoises.
Géographie
Situation
Le village se trouve entre Nîmes (20 km au sud) et Uzès (10 km au nord)[1], sur la rive gauche du Gardon[2].
Description
Le Gardon (ou Gard), qui coule d'ouest en est, forme la limite sud de la commune avec Sainte-Anastasie sur 3,3 km, puis avec Poulx sur environ 500 m, avant d'entrer sur le territoire communal de Sanilhac-Sagriès pour le traverser sur environ 3,2 km et enfin le quitter pour rejoindre Collias. Sur tout ce trajet, il forme les très touristiques gorges du Gardon. Sa vallée encaissée offre des dénivellations avoisinant les 150 mètres, avec la rivière à 30 mètres près de sa sortie de la commune (à l'est) et les hauteurs de ses flancs de vallée à environ 180 mètres en rive gauche (côté nord) et 200 mètres en rive droite (au sud)[2].
En rive droite du Gardon, la partie sud du territoire communal englobe sur quelques centaines de mètres de largeur les plateaux surplombant la rivière[2], avec les lieudits la Canelle[3], la Baume et la Signore[2].
Le long de la rive gauche se trouve la grotte de la baume Saint-Vérédème (site archéologique du Moustérien et du Néolithique) et la chapelle du même nom[2].
Hydrologie
Le Gardon, coulant d'ouest en est, est le principal cours d'eau sur la commune. Il a creusé dans les massifs calcaires les gorges du Gardon, magnifique canyon tourmenté de nombreux méandres. Les falaises ont des dénivellations de 75 à 200 mètres[2]. Le Gardon possède des résurgences importantes au lieu-dit la Baume[3].
Géologie
Ces plateaux d'une altitude de 200 mètres sont calcaires[4].
On trouve de nombreuses cavités naturelles dans les falaises dominant le Gardon. Pendant des millénaires cette rivière
La commune constitue la limite nord du camp des Garrigues (limitrophe avec Poulx), sans avoir de terrains dans ce domaine militaire[3].
La réserve naturelle régionale des gorges du Gardon couvre 54 km2 de la commune, dont 199ha en rive droite au sud de la rivière[2].
Communes limitrophes
Sanilhac-Sagriès est limitrophe avec sept communes[2]:
La végétation est constituée de garrigues basses de pins et de yeuses.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat méditerranéen franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type «climat méditerranéen» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[6].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[5].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 14°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,8 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 16,2 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 6,3 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 3,1 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Meynes», sur la commune de Meynes, mise en service en 1966[10] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[11],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 15°C et la hauteur de précipitations de 734,5 mm pour la période 1981-2010[12].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Nîmes-Courbessac», sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 14 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 14,8°C pour la période 1971-2000[14], à 15,1°C pour 1981-2010[15], puis à 15,6°C pour 1991-2020[16].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[17],[18].
La commune fait également partie des gorges du Gardon, un territoire reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 2015 pour l'importante biodiversité qui la caractérise, mariant garrigues, plaines agricoles et yeuseraies[19],[20].
Trois autres espaces protégés sont présents sur la commune:
les «gorges du Gardon», objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 339,2ha[21];
la réserve naturelle régionale des gorges du Gardon, classée en 2007 puis reclassée en 2009 et d'une superficie de 498,3ha, qui a, grâce à la rareté de l’eau sur le plateau karstique, l’absence de route longeant le Gardon et la proximité du camp militaire des Garrigues qui a limité les aménagements, conservé un patrimoine exceptionnel, concentré pour l’essentiel dans les gorges mêmes[22],[23];
le «Rnr gorges du Gardon», un terrain acquis (ou assimilé) par un conservatoire d'espaces naturels, d'une superficie de 494,1ha[24].
Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[26]:
«le Gardon et ses gorges», d'une superficie de 7 009ha, présentant une importante diversité des habitats et des espèces. Les nombreuses grottes permettent d'accueillir une bonne diversité de Chiroptères. Dans les gorges, se trouvent des formations de Chênes verts peu perturbées avec des espèces particulièrement rares (Cyclamen des Baléares)[27]
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[29]:
les «gorges du Gardon» (5 231ha), couvrant 10 communes du département[30] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[29]:
le «plateau Saint-Nicolas» (15 838ha), couvrant 16 communes du département[31].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Sanilhac-Sagriès.
Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Sanilhac-Sagriès est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[32],[I 1],[33].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (70,4% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (70,5%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (50,1%), cultures permanentes (21,9%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (20,3%), zones agricoles hétérogènes (4,1%), zones urbanisées (3,4%), terres arables (0,1%)[34].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Sanilhac-Sagriès est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[35]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[36].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Gard et Les Seynes. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1990, 1995, 1998, 2002, 2005, 2010, 2011 et 2014[37],[35].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sanilhac-Sagriès.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 36,7% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 454 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 292 sont en en aléa moyen ou fort, soit 64%, à comparer aux 90% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[38],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[39].
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval du barrage de Sainte-Cécile-d'Andorge, un ouvrage de classe A[Note 9] doté d'un PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[41].
Toponymie
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Histoire
Préhistoire
La grotte de la baume Saint-Révérère a livré du matériel du Moustérien et du Néolithique[42].
Moyen-Âge
Bâti au début du XIIesiècle autour d’un château et entouré de remparts, Sanilhac était protégé par trois tours. De ces constructions il ne reste qu’une tour de défense la «Tourasse», ainsi que le donjon du château. Sagriès distant de 3 km au nord fut rattaché à Sanilhac en 1814.
Révolution et Empire
En 1814, les communes de Sanilhac et de Sagriès fusionnait pour former la commune actuelle[43].
Héraldique
Blason
D'hermine à la fasce losangée d'argent et de sinople.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Politique et administration
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
mars 2001
2008
Max Pulinckx
mars 2008
2014
Bernard Comte
DVG
Vice-président de la communauté de communes de l'Uzège (2008-2012)
mars 2014
En cours
Guy Crespy
DVG
Les données manquantes sont à compléter.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[45].
En 2019, la commune comptait 774 habitants[Note 10], en diminution de 15,13% par rapport à 2013 (Gard: +2,08%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
422
400
430
703
724
753
672
851
795
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
769
761
716
707
662
627
586
570
541
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
521
537
516
401
365
438
415
362
408
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
401
440
442
525
643
785
826
882
793
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
774
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[47].)
Histogramme de l'évolution démographique
Avant la fusion en 1814 de Sanilhac et de Sagriès, la population de Sagriès était: 239 en 1793; 212 en 1800; 225 en 1806[43].
Chapelle Saint-Vérédème de Sanilhac-Sagriès. L'ermitage de la Baume Saint-Vérédème. Il semblerait que ce saint ait logé dans la grotte. Il y aurait été rejoint par saint Gilles.
Chapelle de la route d'Uzès à Sanilhac-Sagriès.
Une ancienne chapelle se situe à l'entrée de cavité en rive gauche du Gardon.
Temple protestant de Sanilhac-Sagriès.
Les Moulins de la Baume.
L'ancien barrage.
La route qui, du côté sud, rejoint la rivière. C'est sur celle-ci qu'une grande partie du film "Le Salaire de la peur" fut réalisé en 1952 par Henri-Georges Clouzot.
Le Château de Sanilhac
Personnalités liées à la commune
Albert Roux: poète félibre né à Sanilhac (1871-1935).
Le pilote Charles Baills, à bord de son P47, s'écrase sur la rive droite du Gardon en retour de mission contre l'ennemi, le vers 18h30 en limite exacte Poulx-Sanilhac 43° 55' 51" nord / 4°25'04" est[49].
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[25].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Le classement des barrages est fonction de deux paramètres: hauteur et volume retenu[40].
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Les distances par route entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral (voir l'onglet en haut à gauche de l'écran) – cliquer sur "Itinéraires".
«Sanilhac-Sagriès, carte interactive» sur Géoportail. Couches «Cartes IGN classiques», «Limites administratives» et «Hydrographie» activées.
[Joyon 1989] Gérard Joyon, L'Appel de la garrigue, (1reéd. 1989).
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
[Jully 1961] J. J. Jully, «Poterie excisée, poterie peinte «de style Méditerranéen» et poterie au graphite à la grotte Saint-Vérédème, Sanilhac (Gard)», Bulletin de la Société préhistorique française, vol.58, nos5-6, , p.332-341 (lire en ligne[sur persee]).
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