Sainte-Barbe-sur-Gaillon est une ancienne commune française, située dans le département de l'Eure en région Normandie, devenue le une commune déléguée au sein de la commune nouvelle du Val d'Hazey[1].
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Par arrêt du , la cour administrative d'appel de Douai a annulé l’arrêté préfectoral portant création de la commune du Val d'Hazey avec effet au [2].
Sans attendre le résultat de la saisine par le ministère de l'Intérieur du conseil d'État demandant la cassation de l'arrêt de la cour administrative d'appel, le préfet de l'Eure a édicté, le , un arrêté assurant la continuité de l'entité juridique du Val d'Hazey au .
Géographie
Localisation
Sainte-Barbe-sur-Gaillon est située sur le plateau de Madrie.
Communes limitrophes
Communes limitrophes de Sainte-Barbe-sur-Gaillon (comm. nouv. du Val-d'Hazey)
Le centre-bourg est irrigué par la D665, dont l'histoire précède la création en 1730 de la D6015. La D82 en part vers Ailly et au-delà vers Le Neubourg.
Toponymie
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1829 : plan parcellaire terminé le , en cinq planches.
Les hameaux cités sont: Le Mesnil Béhier, Le Courtil Bunel, Le Hazay, Le Mesnil Courts Moulins, Le Mesnil Gosse, Le Menil Pipet.
Au-delà de ces zones habitées, on trouve mentionnées les aires agricoles ou boisées de la Porte au Chien, des Mottes, des Courts Sillons, de la Croix Gilles Philippe, des Pivots, des Courants, du Champs des Jardins, des Côtes, du Préau, des Plantes, des Longs Champs, des Paillards, des Faudits, de la Corvée et des Roulands.
Entre 1899 et 1932, ont lieu les courses de côte sur la route montante de Gaillon sur le territoire de la commune. En 2009 et 2019 ont lieu des commémorations de cette épreuve de sports mécaniques réservés aux véhicules antérieurs à 1929[3].
Politique et administration
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
vers 1829
09/1870
Alfred Léonce Odoard, vicomte du Hazey
09/1870
09/1871
commission administrative
09/1871
1912 et après
Jean-Baptiste Albert Coville
chevalier de la Légion d'honneur[4] chevalier du Mérite agricole le 14 juillet 1903.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans.
Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[5]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[6],[Note 1].
En 2013, la commune comptait 254habitants, en augmentation de 2,42% par rapport à 2008 (Eure: 2,59%, France hors Mayotte: 2,49%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
466
407
477
441
425
418
451
464
412
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
380
390
388
299
290
272
266
229
226
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
213
213
212
196
171
160
159
192
198
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2013
215
261
231
214
218
230
250
250
254
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[7] puis Insee à partir de 2006[8].)
Histogramme de l'évolution démographique
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Château de Courtmoulin, des XVIIeetXVIIIesiècles, modifié aux XIXeetXXesiècles. La chapelle est inscrite au titre des monuments historiques depuis 2006[9].
Chapelle seigneuriale [10] attenante au château ci-dessus, dédiée à saint Wulfranc, inscrite en totalité au titre des monuments historiques depuis 2006[9].
Église Sainte-Barbe, des XVeetXVIesiècles, recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[11].
Croix de cimetière en pierre, datée de 1694, dans l'enclos de l'église ci-dessus, recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[12].
Fontaine Saint-Wulfranc dans les bois de Courtmoulin[13], lieu de dévotion pour les maladies de la peau et des yeux, recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[14].
Château du Hazey (1721): Adolphe Vard consacre deux pages au château du Hazey en 1896[15].
Tour du Hazey, (lieu-dit des Quatre-Vents) du XVIesiècle, en calcaire, silex et moellons, recensé à l'inventaire général du patrimoine culturel[16],[17].
Pavillon de chasse (ancien) du château de Gaillon, des XVIeetXVIIIesiècles[18], recensé à l'inventaire général du patrimoine culturel[19].
L'église Sainte-Barbe.
Le calvaire du cimetière.
La tour du Hazey.
Le pavillon de chasse (ancien).
Patrimoine naturel
Site classé
L'église ainsi que le calvaire et l'if du cimetière Site classé(1926)[20].
Personnalités liées à la commune
Joseph-Hyacinthe Tripet (°1796), ancien vice-consul de France à Moscou, membre de la société de l'Orient (1843), propriétaire de Courtmoulin, cité dans l'affaire de Jeufosse (1857)[21].
Charles Léonard Odoard du Hazay (1774-1859), officier supérieur, député de la Seine inférieure du 22/08/1815 au 15/09/1816, né à Sainte-Barbe[22].
François Antoine Teste (1775-1862), officier général, un des propriétaires du château de la commune, pendant une affectation de onze années à Rouen.
Frédéric Pillet-Will (1837-1911), comte, régent de la Banque de France, autre propriétaire du même château.
Philippe de Cossé-Brissac (1905-1963), historien[23], dont la sépulture est visible dans l'enclos de l'église Sainte-Barbe. On lui doit une notice sur les «Deux monuments disparus: le château de Gaillon et la chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon». Marié à Henriette de La Rochefoucauld (1912-1999); sans descendance.
Héraldique
Blason
Écartelé: au 1er d'azur à la tour couverte d'argent, au 2e d'or au huchet de sable, au 3e d'or au foudre de gueules posé en pal, au 4e d'azur à l'église du lieu d'argent.
Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016,etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
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