Saint-Thois[sɛ̃twa], en breton Santoz, est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France.
Saint-Thois
La rue principale du bourg.
Administration
Pays
France
Région
Bretagne
Département
Finistère
Arrondissement
Châteaulin
Intercommunalité
Communauté de communes de Haute Cornouaille
Maire Mandat
Bernard Saliou 2020-2026
Code postal
29520
Code commune
29267
Démographie
Gentilé
Saint-Thoisiens
Population municipale
720 hab. (2019 )
Densité
40 hab./km2
Population agglomération
14 934 hab.
Géographie
Coordonnées
48° 10′ nord, 3° 53′ ouest
Altitude
Min. 28 m Max. 238 m
Superficie
18,10 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Quimper (commune de la couronne)
Élections
Départementales
Canton de Briec
Législatives
Sixième circonscription
Localisation
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Saint-Thois
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Géolocalisation sur la carte: Bretagne
Saint-Thois
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Géographie
Saint-Thois est en partie situé dans le pays Dardoup.
Saint-Thois est une commune du centre du département du Finistère, située sur la rive gauche de l'Aulne, au pied du versant nord des Montagnes Noires. Son finage, relativement accidenté, est compris entre 238 mètres (au sud-ouest de la commune, près de Lannec Creïz) et 28 mètres d'altitude (au nord-ouest de la commune, dans la vallée de l'Aulne), le bourg, excentré dans la partie nord-est du territoire communal, se trouvant vers 80 mètres d'altitude. La commune est limitée au nord par l'Aulne, à l'ouest par le ruisseau de Pont Ar C'Hlaon, affluent de rive gauche de l'Aulne, et à l'est par un autre petit affluent de rive gauche du même fleuve.
L'Aulne a été canalisée (canal de Nantes à Brest), mais ce canal est désormais fermé à la navigation.
L'Aulne juste en aval de l'écluse de Prad Pourrig (Prat Pouric), visible à l'arrière-plan (écluse n° 222 du Canal de Nantes à Brest).
L'écluse de Nénez (écluse n° 223 du Canal de nantes à Brest).
La maison éclusière de Nénez.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]
Moyenne annuelle de température: 11,3°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,1 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 1,3 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 15,6 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8,2 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Plonevez-du-Faou», sur la commune de Plonévez-du-Faou, mise en service en 1988[7] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,7°C et la hauteur de précipitations de 1 143,7 mm pour la période 1981-2010[9].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Quimper», sur la commune de Pluguffan, mise en service en 1967 et à 31 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,5°C pour la période 1971-2000[11], à 11,8°C pour 1981-2010[12], puis à 12°C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Saint-Thois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Quimper, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 58 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,8% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,3%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
zones agricoles hétérogènes (51,4%), terres arables (19,7%), prairies (14,7%), forêts (10,1%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,2%), zones urbanisées (1,8%)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Toponymie
Saint-Thois est noté Sanctus au XIesiècle, le nom devient Sanctoes en 1368, puis Sainctois en 1599[21].
Le nom de la paroisse s'est aussi écrit Saint-Thons ou Saint-Thoix par le passé.
Saint-Thois vient de «ecclesia sanctus» («l’église le saint»)[21]. Selon une autre hypothèse, saint Thois serait une déformation de saint They[22].
Histoire
Origines
Saint-Thois faisait autrefois partie de la paroisse de Gouézec, avant de devenir paroisse à son tour[21]. Les communes de Gouézec et de Saint-Thois forment un petit pays de tradition, la Giz Gouezeg («mode de Gouézec»)[23].
Préhistoire
Le cairn de Ty-Floc'h est un ensemble mégalithique à chambres et couloirs.[24]
155 haches à douille de l'âge du bronze ont été découvertes à Ty-Lann en Saint-Thois[25].
La seigneurie de La Roche-Helgomarc'h et le marquisat de La Roche-Laz
La seigneurie de La Roche-Helgomarc'h, dont le siège se trouvait sur un piton rocheux situé à Saint-Thois, où se trouvait une motte féodale, s'étendait aussi sur Trégourez, Edern, Saint-Thois et une partie de Briec. Les «hauts et puissants seigneurs» de La Roche-Helgomarc'h disposaient du droit de haute justice sur l'ensemble de leur fief. «Un grand nombre de manoirs en dépendaient; c'étaient Poulmorgant et Kernalec en Saint-Thois, La Motte, Stanglevenen, Kerautret, Parc-Jean, Kervenou, Rosquillec, Roc'hou, Kercalédan, le Guern, Kerhervé, Kergolhuezen, Kereffran, Lannuchuezen, Kerampeoc'h et Quénec'hdu en Briec, Kerigou et Kervaségan en Edern. L'ensemble de cette terre se composait de deux tronçons principaux, l'un formé par la paroisse de Saint-Thois, environnant le château de La Roche-Helgomarc'h, antique forteresse (...) démantelée depuis une époque très ancienne (...). On avait oublié le véritable chef-lieu de la seigneurie pour le transporter au manoir du Merdy où, dès le XVIesiècle devaient se payer les redevances féodales. Le second tronçon, séparé du précédent par le fief de Guellevain [Gulvain, alors en Briec, désormais en Edern] dépendant de l'abbaye de Landévennec, couvrait une grande partie de la paroisse de Briec avec ses trèves de Langolen, Landudal et Quilinen. La Roche-Helgomarc'h possédait encore des terres en Landrévarzec, en Edern, en Gouézec, et jusqu'en Pleyben et Lothey»[26].
Les seigneurs de La Roche-Helgomarc'h avaient droit de prééminence dans les chapelles de Quilinen, Sainte-Cécile, Saint-Guennec [Saint-Venec] et du Penity en Briec, Notre-Dame-des-Fontaines en Gouézec, dans l'église tréviale de Langolen et l'église paroisiale de Saint-Thois[27].
Le premier seigneur de La Roche connu est le baron Pierre VIII de Rostrenen, qui meurt en 1440. Sa fille Jeanne de Rostrenen, née vers 1425, se marie en 1450 avec Jean ou Guyon du Quélennec, vicomte du Faou, la seigneurie passe alors aux mains de la famille du Quélennec. En 1576, le roi Henri III crée le marquisat de La Roche-Laz, qu'il offre à Troilus de Mesgouez, qui meurt en 1606 sans enfants.
Article détaillé: Troilus de Mesgouez.
Sa nièce Anne de Coëtanezre hérite de la seigneurie et est aussi comtesse de Laz; mariée en 1606 avec Charles de Kernezné[28], la seigneurie passe alors aux mains de la famille de Kernezné; successivement:
Charles de Kernezné, fils du précédent, gentilhomme ordinaire de la Chambre du roi et gouverneur de Quimper en 1653, décédé en 1677; puis
Charles Robert de Kernezné, fils du précédent entre 1677 et 1679, mort sans héritier
Luc de Kernezné, frère du précédent, né en 1641 à Saint-Thois, marié successivement à Nelly de Carnavalet, Marie Marguerite de Boisguéhenneuc et le à Landaul avec Anne Françoise de Robien. Il est décédé en octobre 1699 à Laz.
Luc Joseph de Kernezné, né le au manoir de Trévarez en Saint-Goazec, alors trève de Laz; marié le à Rennes avec Hélène Thérèse de Lescouët; il demeurait au manoir de Trévaré (Trévarez)[29] en Saint-Goazec et participa à la conjuration de Pontcallec[30]. Il est décédé le au Boschet en Bourg-des-Comptes et inhumé dans cette localité, mais son cœur fut inhumé à Laz. Il est mort sans héritier.
Anne Thérèse de Kernezné, née en 1696 à Laz, fut marquise de La Roche-Helgomarc'h jusqu'à sa mort survenue en janvier 1759. Sa nièce, Marie Aude Jacquette du Chastel[31] hérita alors de la majeure partie de ses biens et de ses titres.
Le dernier marquis de La Roche-Laz fut, par héritage (in était le petit-fils de Marie Aude Jacquette du Chastel), à partir de 1767[30], Charles du Bot de Grégo[32].
Les marquis de La Roche-Laz tiraient profit des pêcheries, louées à un prix élevé, exploitées dans l'Aulne et l'Odet, ainsi que du bois des nombreuses forêts avoisinant Laz où, au XVIIIesiècle, la marine venait, depuis Brest et Lorient, faire des coupes nombreuses et importantes[33].
Le marquisat de La Roche-Laz fut démantelé lors de la Révolution française.
En 1400, un autre manoir, celui de Kerguelen, appartenait à Guillaume de Quelen[34],[35].
Par ailleurs, la famille du Boishardy était seigneur de Poulmorgant. Parmi ses membres connus, Jean du Boishardy, né le à Saint-Thois et décédé le à Châteaulin, fut procureur au siège royal de Châteaulin et Alain du Boishardy, avocat à la cour, juge, baptisé le à Quimper-Saint-Julien, décédé le à Châteaulin, fut l'un des députés du tiers-état de la sénéchaussée de Châteaulin choisi pour la représenter à Carhaix lors de l'élection des députés du tiers état aux États généraux de 1789 pour les cinq sénéchaussées de Carhaix, Châteauneuf-du-Faou, Châteaulin, Gourin et Quimperlé.
Époque moderne
Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Saint-Thois en 1778:
«Saint-Thoys, à 5 lieues et demie au nord-est de Quimper, son Évêché; à 35 lieues de Rennes et à 4 lieues de Châteaulin, sa subdélégation et son ressort. On y compte 900 communiants[36]; la cure est à l'alternative. Le territoire, borné au nord par la rivière d'Aulne, et au sud par les Montagnes Noires, renferme des terres en labeur de bonne qualité, des prairies, le bois de la Roche et beaucoup de landes, dont le sol, plein de rochers et de cailloux, ne paraît point mériter les soins du laboureur[34].»
Saint-Thois possédait alors 3 chapelles (Saint-Primell, de la Roche et de Saint-Laurent) et 2 moulins à eau (Moulin Neuf et moulin de la Roche).
Le XIXesiècle
A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Saint-Thois en 1853:
«Saint-Thoix (sous l'invocation de saint Exupère): commune formée par l'ancienne paroisse du même nom, aujourd'hui succursale. (...) Principaux villages: Rodenez, Steraron, Kergoff, Kergallec, Londres, Kerangar. (...). Moulins Neufs, de la Roche, à eau. (...). Il y a, en outre de l'église, les chapelles Saint-Primell [disparue], de la Roche et Saint-Laurent. Géologie: terrain tertiaire moyen au sud; roches amphiboliques çà et là; minerais de fer dans le sud-ouest. On parle le breton[37]»
Par arrêté préfectoral du , l'école des filles de Saint-Thois fut laïcisée en vertu de la loi sur les congrégations[38].
Déclarée d'utilité publique le , la ligne ferroviaire à voie métrique des Chemins de fer départementaux du Finistère allant de Châteauneuf-du-Faou à Rosporden, longue de 39 km, fut mise en service le . Elle desservait les gares de Saint-Thois|Saint-Thois-Pont-Pol, Laz, Trégourez, Guernilis, Coray, Tourc'h, Bois-Jaffray-Saint-Guénal et Elliant. Elle ferma dès 1933.
Le sorcier de la montagne Laouic-Coz attendant ses consultations (carte postale Villard, vers 1910).
Le sorcier de la montagne Laouic Coz racontant ses conchennous (vieilles histoires bretonnes). Il porte le costume de Saint-Thois (carte postale Villard, vers 1910).
Agriculteur Président de la Communauté de communes de Haute Cornouaille (depuis 2008)[41]
Les données manquantes sont à compléter.
Jumelages
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Patrimoine
Mégalithisme
Le cairn de Ty Floc'h est en partie détruit par une carrière. Le cairn primaire, à peu près circulaire, est édifié au néolithique moyen, vers 4500 av. J.-C.[42] Il serait donc plus récent que le cairn de Barnenez (vers 4600) et plus ancien que le celui de l'île Carn (vers 4200). Le dolmen est conçu comme le dolmen nord de Carn: un massif divise la chambre en deux sous-chambres. Des dalles de schiste verticales y ménagent de petites niches. Puis un cairn secondaire est adjoint au premier. Le dolmen y est également à couloir. Enfin, vers 3500[43], le parement semi-circulaire d'un cairn tertiaire vient condamner les deux entrées. Un os trouvé dans la demi-chambre sud du cairn primaire est daté d'environ 4100 av. J.-C.[44]
Patrimoine religieux
Église Saint-Exupère, anciennement église Saint-Dispar (saint Dispar est un autre nom de saint Exupère): succédant à un édifice plus ancien, l'église actuelle a été bâtie au XVIesiècle, largement remaniée au XVIIesiècle ainsi qu'au XVIIIesiècle; elle possède sur sa façade ouest une statue en kersantite représentant probablement saint Fiacre; l'église honore donc saint Exupère, probablement Exupère de Bayeux, aussi honoré à Dinéault et connu aussi sous le nom de saint Spire ou saint Dispar, à moins qu'il ne s'agisse d'Exupère de Toulouse, ce qui est peu probable. L'église possède des statues classées par les Monuments historiques: un groupe trinitaire de sainte Anne, qui date du XVIIesiècle, un groupe saint Joseph et l'Enfant, qui date du XVIIIesiècle, une Crucifixion du XVIIIesiècle, une Vierge à l'Enfant, dite aussi Notre-Dame-de-Grâce, du XVIIesiècle, un groupe de Saint Yves entre la pauvre et le riche, du XVIesiècle; par ailleurs parmi d'autres les autres statues, celles de saint Herbot, de saint Sébastien, de saint Alain, de saint Primel,etc.[45]. La fontaine, désormais un simple lavoir a conservé le nom de Saint-Dispar[46].
L'église paroissiale Saint-Exupère
Chapelle Saint-Laurent: elle date de 1667, mais a été restaurée en 1870[47].
Chapelle Notre-Dame de la Roche: elle a été construite dans la cour de l'ancien château de La Roche-Helgomarc'h, probablement avec des pierres du dit-château; elle date du XVIesiècle[48].
Chapelle ND de la Roche
La chapelle en cours de restauration (mai 2011).
Le calvaire.
Le clocher.
La fontaine.
Une gargouille.
Statue au bord du toit.
Personnalités liées à la commune
Famille de Kerguelen de Kerbiquet:
Hyacinthe de Kerguelen de Kerbiquet, né en 1637, frère capucin, missionnaire;
Yves Joseph de Kerguelen de Trémarec (1734-1797), amiral, chevalier de Saint-Louis, navigateur et explorateur. Il découvre les îles de la Désolation, auxquelles l'explorateur anglais James Cook donnera le nom d'archipel des Kerguelen.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[50].
En 2019, la commune comptait 720 habitants[Note 7], en augmentation de 1,69% par rapport à 2013 (Finistère: +1,24%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
852
738
959
840
963
1 021
1 039
1 089
1 082
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 003
1 010
1 187
1 067
1 191
1 200
1 218
1 231
1 215
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 262
1 315
1 429
1 476
1 385
1 360
1 358
1 152
1 011
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
910
821
760
704
633
634
709
720
708
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
716
720
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee à partir de 2006[52].)
Histogramme de l'évolution démographique
Festivités
Rallye pédestre début mai.
Rassemblement de véhicules anciens (voitures et motos) en mai.
Feu de la Saint Jean/Fête de la musique fin juin.
Pardon de la Roche 2edimanche de juillet.
Pardon de Saint Laurent 2edimanche août.
Fête du 15 août: un thème différent chaque année (la Chine, les Bretons, les Extraterrestres, À 4 pattes, les Babacools,etc.).
Pardon de Saint Dispar dernier dimanche de septembre.
La Petite Soirée dernier samedi de septembre à Stervinou (l’Assokette).
Voir aussi
Bibliographie
Charles-Tanguy Le Roux, Yannick Lecerf et Pierre-Roland Giot (collab.), «Le cairn de Ty-Floc'h à Saint-Thois (fouilles de 1978-1979)», Bulletin de la Société archéologique du Finistère, Quimper, vol.108, , p.27-49.
Charles-Tanguy Le Roux, «Deux grands cairns circulaires: Ty-Floc'h à Saint-Thois (Finistère) et Gavrinis à Larmor-Baden (Morbihan)», Bulletin de la Société préhistorique française: comptes rendus des séances mensuelles, Paris, vol.78, no4, , p.100 et 101.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Références
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Charles-Tanguy Le Roux, Yannick Lecerf et Pierre-Roland Giot (collab.), «Le cairn de Ty-Floc'h à Saint-Thois (fouilles de 1978-1979)», Bulletin de la Société archéologique du Finistère, Quimper, vol.108, , p.27-49.
Pierre-Roland Giot, Louis Pape et Jacques Briard, "Protohistoire de la Bretagne", éditions Ouest-France, 1979.
R. Delaporte, «Notice sur les seigneuries de La Roche-Helgomarc'h, Laz et Botiguigneau», Bulletin de la Société archéologique du Finistère, , p.159 (lire en ligne).
R. Delaporte, «Notice sur les seigneuries de La Roche-Helgomarc'h, Laz et Botiguigneau», Bulletin de la Société archéologique du Finistère, , p.160 (lire en ligne).
Charles de Kernezné, vicomte du Curru en Milizac, devint par son mariage marquis de La Roche-Helgomarc'h et baron de Laz
Annick Le Douguet, Langolen, Chronique d'un village de Basse-Bretagne, Fouesnant, A. Le Douget, , 424p. (ISBN2-9512892-0-0).
Marie Aude Jacquette Du Chastel, née en 1697, remariée le à Vannes avec Hugues Humbert Huchet de La Bédoyère, décédée le à Vannes
Charles François Jules Du Bot De Grego, né le , baptisé le dans la chapelle du château du Grego à Surzur, franc-maçon, bibliophile et endetté (une partie de ses biens, situés principalement dans le Léon, est mise en vente en 1784); décédé le au manoir de Trévarez
R. Delaporte, «Notice sur les seigneuries de La Roche-Helgomarc'h, Laz et Botiguigneau», Bulletin de la Société archéologique du Finistère, , p.164 (lire en ligne).
Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, t.4, (lire en ligne).
Entre 4730 et 4220 av. J.-C. Jean L'Helgouac'h, in Pierre-Roland Giot, Jean-Laurent Monnier, Jean L'Helgouac'h, Préhistoire de la Bretagne, Ouest-France, 1998, p.255.
Entre 3660 et 3340 av. J.-C. Jean L'Helgouac'h, op. cit., p.255.
Entre 4300 et 3920 av. J.-C. Jean L'Helgouac'h, op. cit., p.256.
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