Saint-Sulpice-et-Cameyrac (en occitan (gascon): Sent Sulpici e Camairac) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde en région Nouvelle-Aquitaine.
La commune de Saint-Sulpice se situe dans l'Entre-deux-Mers, entre Garonne et Dordogne, et dans l'aire d'attraction de Bordeaux et son unité urbaine, entre Bordeaux et Libourne. Elle est bordée à l'ouest par la Laurence, un ruisseau affluent de la Dordogne.
Elle est accessible par l'autoroute A89 à l'entrée-sortie no5, dit de Saint-Sulpice-et-Cameyrac. La commune est desservie par le réseau interurbain de Gironde TransGironde, lignes 301 et 3011, Bordeaux Buttinière - Libourne par Saint-Loubès[3]. Elle est également desservie par le TER Nouvelle-Aquitaine à partir de la gare de Saint-Sulpice - Izon (ligne ferroviaire de Bordeaux Paris)[4].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]
Moyenne annuelle de température: 13°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,1 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 6,4 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,6 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,6 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Beychac et Caillau», sur la commune de Beychac-et-Caillau, mise en service en 1971[11] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[12],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,4°C et la hauteur de précipitations de 852,7 mm pour la période 1981-2010[13].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Bordeaux-Mérignac», sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 21 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 13,3°C pour la période 1971-2000[15], à 13,8°C pour 1981-2010[16], puis à 14,2°C pour 1991-2020[17].
Urbanisme
Typologie
Saint-Sulpice-et-Cameyrac est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[18],[19],[20].
Elle appartient à l'unité urbaine de Bordeaux, une agglomération intra-départementale regroupant 73 communes[21] et 986 879 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Bordeaux est la sixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française) et Toulouse[22],[23].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[24],[25].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,2% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74,7%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
zones urbanisées (26,9%), zones agricoles hétérogènes (23,5%), cultures permanentes (23,1%), prairies (17,6%), forêts (5,8%), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,1%)[26].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Sulpice-et-Cameyrac est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[27]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[28].
Risques naturels
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Libourne, regroupant les 20 communes concernées par un risque de submersion marine ou de débordement de la Dordogne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[29]. Les événements significatifs aux XIXeetXXesiècles sont les crues de 1843 (6,80 m l'échelle de Libourne), de 1866 (6,40 m) et du (6,38 m) et du (6,36 m). Au XXIesiècle, les événements les plus marquants sont les crues de mars 2010 (5,55 m) et du (5,97 m). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios: fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[30]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1989, 1993, 1999, 2009, 2013 et 2021[31],[27].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[32].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Sulpice-et-Cameyrac.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 1 906 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 906 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100%, à comparer aux 84% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[33],[Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1991, 2003, 2011, 2015 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[27].
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage sur la Dordogne de classe A[Note 7] soumis à PPI, disposant d'une retenue de 477 millions de mètres cubes[35]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[36].
Histoire
Carte de Cassini, 1756.
De nombreuses découvertes de vestiges gallo-romains ont été signalées par Léo Drouyn en 1875:
une villa autour de l'église Saint-Ciers: pierres réemployées, briques à rebord et poteries;
des sépultures en tegulae au sud-est de l'église;
des substructions au lieu-dit Châtillon;
un habitat avec citerne et sépultures en tegulae au lieu-dit Le Leu;
des murs romains au village du Sablot;
une ruine près de l'église de Birac au lieu-dit Les Clans.
la voie romaine reliant Burdigala et Vesunna traverse la commune comme en témoigne le toponyme de la Caussade; le chemin de la Reine n'a pas été daté[37].
La dédicace à saint Sulpice laisse présumer une fondation dès le Haut Moyen Âge. La conquête de nouvelles terres à défricher, encouragée par les abbayes de Saint-Jean d’Angély et de Sainte-Croix de Bordeaux, détentrices de droits sur la paroisse, est à placer à la charnière des XIesiècle et XIIesiècle[38].
Une motte est portée sur la carte de Cassini, sur la rive gauche du ruisseau passant à Birac.
À la Révolution, la paroisse Saint-Sulpice de Bernac (ou d'Izon) forme la commune de Saint-Sulpice et la paroisse Saint-Cyr de Cameyrac la commune de Cameyrac. Le , la commune de Cameyrac est rattachée à celle de Saint-Sulpice qui devient Saint-Sulpice-et-Cameyrac[39],[40].
La commune était formée de deux villages, alors qu'une lande presque sans habitation les séparait. Le territoire de la commune est formé d'un plateau descendant au nord vers les marais du Padouen[Note 8],[41],[42], sans atteindre la Dordogne et culminant à 60 m au coteau de Cameyrac. La commune est limitée à l'ouest par la vallée de la Laurence, à l'est par la vallée du Canterane et la colline qui le borde; au sud la limite suit grossièrement le tracé de l'antique voie impériale de Bordeaux à Périgueux, qui passe par Vayres
Politique et administration
La commune de Saint-Sulpice-et-Cameyrac appartient à l'arrondissement de Bordeaux. À la suite du découpage territorial de 2014 entré en vigueur à l'occasion des élections départementales de 2015, la commune est transférée du canton de Carbon-Blanc supprimé au nouveau canton de la Presqu'île[43],[44]. Carbon-Blanc fait également partie de la communauté de communes du Secteur de Saint-Loubès.
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2020 en Gironde.
Les habitants de Saint-Sulpice-et-Cameyrac sont appelés les Saint-Sulpiciens et Cameyracais[48].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[50].
En 2019, la commune comptait 4 762 habitants[Note 10], en augmentation de 4,61% par rapport à 2013 (Gironde: +7,85%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
823
799
791
1 088
1 076
1 075
1 103
1 077
1 073
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 088
1 079
1 087
1 065
1 063
1 068
1 026
1 044
1 062
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 012
1 134
1 111
1 210
1 064
1 143
1 073
1 023
1 098
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
1 142
1 406
1 936
3 215
3 520
3 932
4 199
4 271
4 552
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
4 643
4 762
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee à partir de 2006[52].)
Histogramme de l'évolution démographique
Sports
Golf de Bordeaux-Cameyrac: Un parcours de golf privé créé en 1970. Il se compose d'un premier parcours de 9 trous et d'un second de 18 trous, boisé avec lac et vue panoramique sur le Bordelais.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
On trouve trois monuments inscrits ou classés dans la commune et plus d'une vingtaine de bâtiments inscrits dans l'Inventaire général du patrimoine culturel.
L'église Saint-Jean-Baptiste
L'église Saint-Roch
La croix
Les monuments inscrits ou classés:
Église Saint-Jean-Baptiste de Cameyrac du XIVesiècle, inscrite au titre des monuments historiques en 1925[53].
Église Saint-Roch de Saint-Sulpice du XIIesiècle. L'abside a été inscrite au titre des monuments historiques en 1925[54].
La croix de cimetière, gothique du XVIesiècle, dans le cimetière entourant l'église Saint-Roch, est classée au titre des monuments historiques depuis 1908[55].
Croix de chemin, rue de la Croix.
Croix de Maucaillou, Cameyrac et le monument aux morts
Dans l'Inventaire général du patrimoine culturel on trouve:
Trois croix de chemin ou croix de carrefour: rue de la Croix, avenue de Maucaillou et près de l'église Saint-Jean à Cameyrac.
La croix de rue de la Croix est décrite par Léo Drouyn[56]:
Croix de carrefour à Saint-Sulpice-d'Izon, canton du Carbon-Blanc (Gironde) (XVIe siècle). «Cette croix m'a paru trop peu intéressante pour être gravée; elle est située à 500 mètres environ au sud-ouest de l'église de Saint-Sulpice-d'Izon, dans un ancien carrefour qui vient d'être dénaturé. Elle doit être de la même époque que celle du cimetière, et faite probablement par le même artiste. Sur un socle carré s'élève une base carrée surmontée d'une colonne octogone. Les angles de la base sont reliés par des boules aux faces de l'octogone. Une corniche sert de chapiteau. La croix proprement dite est très simple, mais ne doit pas être complète, car on voit, aux extrémités des bras, des trous qui ont dû servir à adapter des ornements. À l'occident, est un crucifix avec nimbe crucifère et pieds attachés avec un seul clou. À l'orient, la Sainte Vierge debout porte dans ses bras l'enfant Jésus. Tout cela est d'un dessin très ordinaire et fort dégradé.» Quoique peu remarquable ce monument doit être conservé avec soin, car les croix de carrefour bien conservées sont fort rares.
La croix est inscrite[57] à l'Inventaire général du patrimoine culturel le .
La croix de chemin, avenue Maucaillou est en pierre de taille calcaire et celle de Cameyrac, place de l'église, a son fût en pierre et sa croix en fonte.
Monument aux morts réalisé par le sculpteur Edmond Chrétien en 1921. L’œuvre est inscrit[58] à l'Inventaire général du patrimoine culturel le .
Château Badines
Le château Badines est un manoir fortifié construit dans la deuxième moitié du XVIesiècle. Elle appartenait à la famille Rubran depuis 1530 jusqu'à la Révolution.
L'édifice était composé d'un logis fortifié et de dépendances qui ouvraient sur une cour fermée par un portail. Le logis est composé de deux corps de bâtiment en équerre avec tours d'angles. Des toits de tuile creuse couvrent l'ensemble sauf les tours, qui sont couvertes de toits coniques; au sud, l'échauguette en pierre de taille est couverte d'un toit en pavillon de tuile plate. L'escalier en vis est situé dans la tour méridionale. La tour nord porte toujours le blason de la famille de Rubran.
Le bâtiment a été considérablement remanié au XVIIeetXIXesiècles, mais certains dépendances du XVIIesiècle existent toujours (puits et arcades).
Le manoir est inscrit[59] à l'Inventaire général du patrimoine culturel le .
Le château Quantin: La maison noble de Quantin existe depuis la fin du XVIesiècle, elle figure sur la carte de Belleyme. L'édifice est composé d'un corps de logis en rez-de-chaussée, avec un avant-corps central à fronton, flanqué de pavillons à un étage carré et un étage de comble, prolongés en retour d'équerre par des dépendances formant une cour ouverte. L'aile orientale des dépendances est composée de bâtiments qui forment une deuxième cour.
Le bâtiment a été reconstruit à la fin du XVIIIesiècle et réaménagé au XIXesiècle avec l'adjonction des pavillons. Les dépendances sont agrandies à cette époque et un jardin régulier, qui figure sur le plan cadastral de 1825, mais qui n'existe plus. Un portail du XVIIIesiècle, en ruine, se trouve au bord de la route de Saint-Loubès-Izon.
Le manoir est inscrit[60] à l'Inventaire général du patrimoine culturel le .
Château Beauval, bâti pour M. de Loyac vers 1780, est composé d'un logis et de dépendances en rez-de-chaussée formant une cour fermée par un mur de clôture avec porte cochère. L'intérieur est réaménagé et les dépendances agrandies au XIXesiècle par les propriétaires, la famille Alphand, mais petit à petit le domaine périclite. En 2011, les nouveaux propriétaires restaurent le bâtiment dans son état d'origine.
Le château Beauval est inscrit[61] à l'Inventaire général du patrimoine culturel le . C'est actuellement une exploitation viticole sous le nom de Château Leroy-Beauval.
Sculpture de l'artiste et maître carrossier bordelais Paul Bracq qui orne le rond-point à l'intersection des routes départementales D13 et D242 depuis 2000.
Sculpture de Paul Bracq
Personnalités liées à la commune
Léo Drouyn (1816-1896) y séjourna dans son enfance sur le domaine du Gay.
Jean-Charles-Adolphe Alphand (1817-1891), un ingénieur des ponts et chaussées, connu pour son travail d'embellissement de Paris avec le baron Haussmann, était propriétaire du château Beauval.
Edmond Chrètien (1883-1945), sculpteur, auteur du monument aux morts de la commune.
Jean-Yves Mano, homme politique né en 1947 dans la commune.
Paul Bracq, peintre, sculpteur, maître carrossier bordelais.
William John Ellison, mathématicien britannique, spécialiste en théorie des nombres.
Saint-Sulpice-et-Cameyrac autrefois
Le bourg
L'ancienne Mairie
L'épicerie
Avenue de la gare
La gare
Route de St Sulpice
Route de Beychac
Les châteaux
Château Lamothe
Château Laville
Château Le Leu
Domaine de Beaumont
Château St Quantin
Moulin d'Andraut
Héraldique
Blason
D’azur, à la cotice d’argent accompagnée de deux façades de chapelle d’or, une en chef et une en pointe, et deux tours d’argent maçonnées de sable, une à dextre et une à senestre, à la grappe de raisin de gueules tigée au naturel et feuillée de sinople brochant en abîme.
Devise
«Suis droit mon chemin»
Détails
Officiel, présent sur le site internet de la commune[62]
Notes et références
Notes et cartes
Notes
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Le classement des barrages est fonction de deux paramètres: hauteur et volume retenu[34].
Les Vacans et Padouens sont des lieux vacants qui, en principe, appartiennent au roi ou au seigneur local. Sont reputés padouens quelques landes, des pâtures, des bois, de rares vignes, mais surtout des rivières, des chemins, les talus des remparts, les remparts eux-mêmes, les ponts, les places, les bâtiments effondrés qui ne sont pas remis en état au bout d'un certain temps, etc.
Le résultat des élections de 2020 ayant été annulé, de nouvelles élections sont prévues les 12 et 19 septembre 2021.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Hubert Sion, Académie des inscriptions et belles-lettres, Carte archéologique de la Gaule 33-1: La Gironde, Paris, Éditions de la Maison des sciences de l'homme, , 1reéd., 360p. (ISBN978-2-87754-028-5), pp. 139-140..
Historique des communes, p.60, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 20 août 2013.
Saint Sulpice et Cameyrac autrefois...de Denise Dumonteil et Bernard Prégat, Les Dossiers d'Aquitaine, coll. «Mémoire et Patrimoine», 01/2004, (ISBN2-84622-075-1) (Site de consultation)
Jean-Marc Soyez, Quand les Anglais vendangeaient l'Aquitaine: d'Aliénor à Jeanne d'Arc, Bordeaux, Les Dossiers d'Aquitaine, coll.«Mémoires de France», , 192p. (ISBN978-2846221689).
Pierre Harlé, Padouens du bordelais: Étude historique, Bordeaux, Y. Caderet, (lire en ligne).
Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.
2019-2025 WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии