Saint-Pierre-de-Plesguen est une ancienne commune française d'Ille-et-Vilaine, en Bretagne, devenue le une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Mesnil-Roc'h.
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Le territoire de la commune est presque totalement ceinturé de forêts et de grands bois, et il existe encore, à l'intérieur, des petits bois et des landes. Néanmoins, les cultures, 55% environ de la superficie totale, sont assez importantes et établies sur les plateaux et les pentes granitiques.
Du point de vue de la richesse de la flore, Saint-Pierre-de-Plesguen fait partie des communes du département possédant dans leurs différents biotopes le plus de taxons, soit 509 pour une moyenne communale de 348 taxons et un total départemental de 1 373 taxons (118 familles). On compte notamment 45 taxons à forte valeur patrimoniale (total de 207); 14 taxons protégés et 36 appartenant à la liste rouge du Massif armoricain (total départemental de 237) [1].
Les forêts de Coëtquen et du Mesnil occupent une partie du territoire de la commune.
Elle dispose depuis 2016 d'une gare intermodale desservie par la ligne 8a du réseau de cars interurbains BreizhGo. Elle constitue le terminus de la ligne avec une fréquence de l'ordre de 6 allers et 8 retours par jour en semaine vers et depuis Rennes.
Liste des lieux-dits
Ardiers (les), Aulne (l').
Bashoix (la), Basse Motte (la), Basse Rougeolais (la), Basses Chapelles (les), Beau Soleil, Bel Air, Bellevue, Bois Hamon (le), Bois Mande (le), Bordière (la), Bornière (la), Boterel (le), Boutergot.
Cantine du Rouvre (la), Chambre (la), Champ Chrétien (le), Champdiers (les), Champs Rouaux (les), Chapelais (la), Chapelles (les), Château du Rouvre (le), Chaufetière, Chaumière (la), Chenaie (la), Chêne (le), Clairette, Clos Loup (le), Clos au Coq (le), Clos de la Donne (le), Clos du Rouvre (le), Clos Neuf (le), Clos Rolland (le), Closset (le), Cocherie (la), Coëtquen (château de), Communais (la), Corderie (la), Courtils Collets (les), Croix (la), Croix Chemin (le), Croix Marie (la).
Épine (l'), Erbregemens (les).
Fertier (le), Fresnais (la).
Gehardières (les), Grande Sauvagère (la), Grand Moulin du Rouvre (le), Grand Rocher (le), Gretay (le), Guermonais (la), Guermondière (la).
Haies (les), Haut Plessix (le), Hôtel Neuf (l'), Houssais (la), Homme Mort (l')
Là-bas, Launay Marie, Licornou.
Malabry, Manoir de la Chesnaye, Métairie du Bois Mande, Métairie du Rouvre, Morvonnais (la), Motte (la).
Noe-Davy (la).
Ormeaux (les).
Paillé (le), Pas Bouché (le), Pas Mainguy (le), Pas de Plesguen (le), Pélicain (le), Petite Sauvagère (la), Petites Chapelles (les), Pic à vent (le), Planche (la), Point du Jour (le), Pont Ricoul (le), Petit Moulin du Rouvre (le)
Vaujual (le), Ville Briand (la), Ville es Liez (la), Ville es Nees (la), Ville Gicquel (la), Ville Guerin (la), Ville Milcent (la), Ville Pion (la), Vit au Vit (le).
Géologie
Le sous-sol de la commune est constitué de roches granitiques; il fait partie du massif granitique de Lanhélin. Ainsi de 1848-1850, beaucoup des pierres de grandes dimensions demandées pour la partie supérieure du viaduc de Dinan ont-elles été tirées de trois carrières du bois de Launay, au moins 215 m3 en 1848, et de la carrière du Rouvre, 95 m3 en 1850, le complément de ces pierres de qualité supérieure ayant été obtenu dans les carrières de Lanhélin[2].
Hydrographie
Trois rivières, qui sont de gros ruisseaux, drainent les eaux recueillies sur le territoire de la commune. Elles se dirigent toujours vers le nord:
Le ruisseau de la Chesnaie, qui descend des hauteurs du Pas-de-Plesguen pour se jeter vers la Rance qui est atteinte dans la plaine maritime du Bas-Champ à Pleudihen-sur-Rance.
Le Meneuc prend également sa source sur les hauteurs du Pas-de-Plesguen avant de se mélanger avec les eaux de la rivière du Tronchet pour se perdre dans la baie du mont Saint-Michel.
La rivière du Tronchet prend sa source sur les pentes du Cobac avant de se déverser dans la rivière le Meneuc.
Les deux rivières de la Chesnaie et du Tronchet servent de limites territoriales de Saint-Pierre-de-Plesguen à l'ouest et à l'est.
Toponymie
Le village est attesté sous les formes: parrochia de Ploeguen (en 1218) et Pleeguen (en 1289).
Plesguen est issu de plebs > vieux breton ploiv / ploev « paroisse » et de guen « friche »[réf.souhaitée]. Le nom de saint Pierre, patron de la paroisse, est ajouté avant le XVIIe siècle. Elle se nomme Sant-Pêr-Plewenn en breton.
Le gentilé est Saint-Pierrais (Santpêrplewennad (…plewenniz) ou Santpêrplewennadez (-ed) en breton).
Histoire
La paroisse de Plesguen faisait partie du doyenné de Dol relevant de l'évêché de Dol et était sous les vocables de saint Pierre et de saint Firmin.
Plesguen est semble-t-il un plou, c’est-à-dire une ancienne paroisse primitive. Les premiers seigneurs connus de la paroisse portent le nom de Plesguen dès le XIesiècle. Cette paroisse appelée au Moyen Âge Pléguen (« paroisse blanche »), est donnée par l'évêque de Dol à son chapitre au début du XIIIesiècle. En 1221, le sire Olivier de Coëtquen, reconnaissant, donne et lègue la totalité de ses dîmes sur la paroisse à l'abbaye du Tronchet, parce que les moines avaient acheté le manoir épiscopal de Dinan et l'avaient cédé pour lui être agréable au Jacobins de Dinan[3].
En 1375, Geoffroy de Plesguen, fit son testament avant de partir en pèlerinage à Saint-Jacques-de-Compostelle gratifiant l'abbaye du Tronchet de toutes les dîmes lui appartenant sur la paroisse et désignant frère Jocelin, prieur du prieuré Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Roz-Landrieux, dépendant du Tronchet, comme son exécuteur testamentaire[4].
Sous l'Ancien Régime, la paroisse de Plesguen (Saint-Pierre-de-Plesguen) relève du marquisat de Châteauneuf, de Coetquen et de l'abbaye Notre-Dame du Tronchet qui jouit sur la paroisse du droit de dîmer. Le bailliage de la Cocherie dépend de cette abbaye[5]. Au XIIesiècle, la seigneurie la plus importante est celle du Rouvre. L'abbaye y possédait le prieuré Saint-Lunaire de l'Hostellerie.
Elle prit le nom de Saint-Pierre-de-Plesguen en référence à son vocable principal et fut érigée en commune en 1790, lors de la Révolution, qui est très favorablement accueillie. La commune organise des fêtes révolutionnaires, dont la principale est celle célébrant l’anniversaire de l’exécution de Louis XVI, accompagnée d’un serment de haine à la royauté et à l’anarchie, fêtée à partir de 1795[6]. D’autres fêtes sont célébrées, comme l’anniversaire de la fondation de la Ire République, la fête de la Jeunesse, ou encore la fête de l’Agriculture, pourtant peu suivie dans le département, est fêtée à Saint-Aubin[7].
Le , elle fusionne avec Lanhélin et Tressé pour constituer la commune nouvelle de Mesnil-Roc'h dont la création est actée par un arrêté préfectoral du [8].
Les Terre-Neuvas et les marins à la Grande-Pêche
Le métier de terre-neuvas constituait autrefois une des activités principales du village. Sur 2 500 habitants, on estimait qu’un quart des habitants vivaient de la grande pêche. Sur le fronteau de la mairie de Saint-Pierre-de-Plesguen, on trouve ainsi une ancre de marine, ce qui symbolise bien le lien de la commune avec le «grand métier». Ces forçats de la mer ont aujourd’hui disparu. Les derniers terre-neuvas de Saint-Pierre-de-Plesguen naviguaient encore dans les années 1970.
Héraldique
D’argent aux deux clés de sable passées en sautoir, au chef d’hermine[9].
Politique et administration
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Liste des maires de 1790 à 1947
Période
Identité
Étiquette
Qualité
janvier 1790
novembre 1790 (démission)
Jacques-Jean Michel
Prêtre, premier maire de la commune
1790
1792
Pierre-Alain Blanchard
vers 1794
?
Jacques Duval
1800
1826
Jean-Baptiste Henry
1826
1830
François Joseph Marie Chauchix
Notaire, nommé maire
1830
1837
Jacques François Chevalier
Nommé maire
1838
1848
François Joseph Marie Chauchix
Notaire
1848
août 1860 (décès)
François Thomas Leguen-Delacroix
Chirurgien de marine - capitaine corsaire (1805-1819) - Commandant de la Garde nationale de Saint-Servan 1830
1860
1864
Jacques Chevalier
1864
1870
Louis-Marie-Marc Onfray
Notaire
1870
décembre 1871 (décès)
Mathurin Chauchix
Officier de santé
1871
1876
Louis-Marie-Marc Onfray
Notaire
1876
août 1886 (décès)
Hyacinthe Blaize de Maisonneuve
1886
juillet 1887 (décès)
Désiré Houssais
1887
1898
Henri Joubert
Médecin
1898
mai 1908
Théophile Roger-Marvaise
Républicain progressiste
Avocat au Conseil d'État et à la Cour de cassation Ancien sénateur d'Ille-et-Vilaine (1879 → 1888) Ancien député d'Ille-et-Vilaine (1871 → 1879) Ancien président du conseil général d'Ille-et-Vilaine (1892 → 1897)
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[17].
En 2016, la commune comptait 2 884 habitants[Note 2], en augmentation de 8,83% par rapport à 2010 (Ille-et-Vilaine: +5,84%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 780
1 675
1 872
2 013
2 086
2 087
2 084
2 226
2 319
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
2 351
2 358
2 507
2 389
2 512
2 524
2 591
2 592
2 605
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
2 643
2 619
2 749
2 401
2 383
2 440
2 473
2 287
2 296
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
2 270
2 164
2 038
2 023
2 075
1 977
2 399
2 520
2 769
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2016
-
-
-
-
-
-
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-
2 884
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Agriculture (environ 55% de la superficie de terres cultivées)
La rue de la Libération sous la neige.1 supermarché Carrefour Contact avec station-service.
1 pharmacie.
1 bureau de poste.
1 salon de coiffure.
2 restaurants dont un en vente à emporter.
2 bars dont un tabac-presse.
1 auto-école (annexe).
1 boutique électroménager - TV - Hifi.
1 boulangerie.
1 fleuriste
2 garages réparations automobiles.
Vie locale
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Enseignement
École publique
École privée Sainte-Anne
École de musique
Équipements et services
Une maison de santé
Un espace culturel: la médiathèque Simone-Veil
Un Espace Public Numérique
Le complexe sportif Joseph-Lebret composé d'une salle omnisport, un terrain de tennis, un dojo, un espace multisports en plein air, 2 terrains de football.
La salle multisports Camille-Bert doté d'un dojo et d'une salle omnisport.
Un espace de nature "La Vallée"
Un étang communal (pêche)
Un EHPAD Le Voilier bleu de 21 places
Un cimetière construit en 1948
Diverses associations (sport, enfance, animation, troisième âge…)
Lieux et monuments
L'église
L'église Saint-Pierre datant des XVe et XVIesiècles. Elle se compose d'une nef à chevet droit et d'un transept.
Façade sud
Façade est et clocher.
Nef.
Détail de la crédence lavabo du croisillon Sud.
La mairie
La mairie a été édifiée en 1949. La sculpture, présente sur son fronton, a été réalisée par Amédée Vaillant (1930-1960). Celle-ci symbolise bien Saint-Pierre-de-Plesguen, avec son ancre de marine, son marteau (pour le granit de Saint-Pierre-de-Plesguen, aussi appelé granit de Lanhélin) et sa clé (pour Saint-Pierre).
La mairie.
Ecusson.
Le monument aux morts
Le monument aux morts, jadis placé au carrefour de la rue du Général-Leclerc et de la rue des Déportés, a été déplacé sur l'esplanade de l'église.
Le monument aux morts.
Hommage aux marins disparus de la commune.
Les croix
Croix de la Rougeolais.
La croix de Justice ou Pas de Plesguen (XVesiècle), située route de Pleugueneuc. Elle marque, dit-on, l'emplacement d'anciennes fourches patibulaires.
La croix aux Bœufs, située jadis au bourg de Saint-Pierre-de-Plesguen.
La croix du Bois-Hamon, située route de Pleugueneuc.
La croix dom Hue, située route de Miniac-Morvan, non loin du lieu-dit le Rocher Psé. Cette croix se composait autrefois de deux croix jumelles posées sur un même socle.
L'ancienne métairie de la Petite Jehardière (XVesiècle), située route de Plesder à Lanhélin. Propriété de la famille Barbe (en 1543), de la famille Grignart et de ses descendants (de 1565 à 1720), puis de Maurille Michau, seigneur de Ruberzo et enfin de la famille Le Prestre de Châteaugiron (au XVIIIesiècle). Jean-Marie de La Mennais (1780-1860) demeure le propriétaire de la Grande Jehardière et de la Petite Jehardière jusqu'en 1860.
Le manoir de la Petite Sauvagère (entre le XVIe et le XVIIesiècle), situé route de Pleugueneuc. Au XVIesiècle, la seigneurie est divisée en deux: la Sauvagère Ferron (la Grande Sauvagère) et la Sauvagère-Hamon (la Petite Sauvagère). Le manoir de la Sauvagère-Ferron possède une chapelle sécularisée. Propriété successive des familles Geffroy (en 1513), Ferron (en 1655), Jonchée (au XVIIIesiècle).
Le manoir de la Petite Sauvagère (entre le XVIe et le XVIIesiècle), situé route de Pleugueneuc. Au XVIesiècle, la seigneurie est divisée en deux: la Sauvagère Ferron (la Grande Sauvagère) et la Sauvagère-Hamon (la Petite Sauvagère). Le manoir de la Sauvagère-Ferron possède une chapelle sécularisée. Propriété successive des familles Geffroy (en 1513), Ferron (en 1655), Jonchée (au XVIIIesiècle).
Le manoir de la Cocherie.
La métairie du Bois-Hamon et celle de la Porte. Ces deux métairies faisaient, au XVIesiècle, partie du domaine de la Petite Sauvagère.
Le château du Rouvre, situé route de Plesder à Lanhélin. Il était jadis fortifié. Il est pris et incendié par les Royaux vers 1592, puis reconstruit au XVIIIesiècle. On y voit un colombier et une chapelle réédifiée vers 1660 et restaurée en 1874. Il relevait de la seigneurie de Châteauneuf. Propriété des seigneurs du Rouvre en 1381, puis des familles de Champaigné (à la fin du XVesiècle), de Bréhand vicomtes de l'Isle (au début du XVIIesiècle), Seré seigneurs des Landes (en 1656), Gouin seigneurs de Langrolay (en 1701), du Bourblanc (en 1786).
La grotte (ou fontaine) Saint-Pierre, située au bas du bourg de Saint-Pierre-de-Plesguen.
L'ancien relais des maitres Postes (1800) qui a vu le passage de Napoléon III et de l'Impératrice le .
L'ancien relais de poste.
L'ancien relais de poste.
L'ancien presbytère, situé au bourg de Saint-Pierre-de-Plesguen. On y trouve les armes du recteur Tristan de Vendel, abbé du Tronchet, décédé en 1553.
Les mottes féodales de la Guermonais, du Rouvre.
Le tumulus ou la Motte au lieu-dit le Taillis de la Pasquenaie.
Un lec'h funéraire (Ve au VIIIesiècles), retrouvé dans le vieux cimetière.
La découverte de gisements de tegulae en plusieurs lieux-dits: Licornou, la Guermonais, la Cocherie, le Clos au Loup et la Bordière (époque gallo-romaine).
La découverte d'un sesterce de Maximin, près de la Basse-Motte.
La découverte d'un trésor de 1 200 monnaies (époque romaine).
L'ancien manoir de la Houssaye, situé route de Lanhélin.
L'ancien manoir du Bois-Mandé, situé route de Lanhélin.
L'ancien manoir des Chapelles, situé route de Lanhélin. Propriété de la famille Massuel en 1513. Il avait, dit-on, une chapelle frairienne qui remplaçait celle des Templiers de Lanhélin.
L'ancien manoir de la Chapelais (XVIIesiècle), situé route de Plesder à Lanhélin.
L'ancien manoir de la Fresnaye, situé route de Plesder à Lanhélin. Propriété de la famille Geslin en 1513.
L'ancien manoir de la Ricolais, situé route de Saint-Solen.
La voie de la Liberté (Sainte-Mère-Église - Bastogne) traverse la commune.
La carrière de granite du bois de la Chauffetière, puis Société Hignard, actuellement Hignard Granit.
Les moulins
On connaît, dans la commune, l'existence des moulins à eau ci-après:
Le moulin de la Chesnaie, sur la rivière du même nom. Il ne reste aujourd’hui que la fondation des bâtiments, cachée au milieu des ronces.
Le petit moulin du Rouvre, sur la rivière le Meneuc.
Le grand moulin du Rouvre, sur la rivière le Meneuc qui était le dernier a continuer à travailler jusqu'en 1964; le meunier était Ange Denis d'où le nom d'une place du centre du village.
Le moulin de la Ville-Milcent, sur la rivière le Meneuc.
Le moulin du Tertre-Guy, sur la rivière le Meneuc.
Il y avait aussi deux moulins à vent:
Le moulin à vent du Rochet-Pecet
Un moulin dans les landes sèches, dont l'emplacement est encore visible. Il en existait deux dans ces landes, mais en 1880 l'un d'eux est indiqué sur la carte d'état-major comme « détruit».
Les voies romaines
Quatre voies romaines traversaient probablement le village:
Au croisement de ces deux dernières dans le bourg formaient alors un vicus routier[20]
Activité et manifestations
Personnalités
François Garnier, né le à Dinan et mort le à Saint-Pierre-de-Plesguen, était instituteur dans la commune mais aussi artiste peintre et miniaturiste de talent. Il illustra ainsi une petite monographie de la commune.
Takashi Naraha, né en 1930 à Mito au Japon, est artiste sculpteur japonais. Il réside à Saint-Pierre-de-Plesguen depuis 1991.
Bibliographie
Émile Morel, Saint-Pierre-de-Plesguen, essai d'histoire locale, t.I et II, Rennes, Imprimerie Simon, (lire en ligne)
Tome I: De l'origine à Révolution
Tome II: De la Révolution au début du XXesiècle
Gilles Leroux, Un Etablissement gaulois de Haute-Bretagne. La fouille du site de L'Homme Mort en Saint-Pierre-de-Plesguen (Ille-et-Vilaine), coll.«Dossiers du Ce.R.A.A», , 87p.
Notes et références
Notes
Population municipale 2016, légale en 2019.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2018, date de référence statistique: 1erjanvier2016.
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