Saint-Pardoux-Morterolles (Sent Pardós Morteiròu[1] en occitan) est une commune française située dans le département de la Creuse en région Nouvelle-Aquitaine.
Cet article est une ébauche concernant une commune de la Creuse.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment?). Le bandeau {{ébauche}} peut être enlevé et l’article évalué comme étant au stade «Bon début» quand il comporte assez de renseignements encyclopédiques concernant la commune. Si vous avez un doute, l’atelier de lecture du projet Communes de France est à votre disposition pour vous aider. Consultez également la page d’aide à la rédaction d’un article de commune de France.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Pardoux.
Saint-Pardoux-Morterolles
Entrée du bourg.
Administration
Pays
France
Région
Nouvelle-Aquitaine
Département
Creuse
Arrondissement
Guéret
Intercommunalité
Communauté de communes Creuse Sud-Ouest
Maire Mandat
Patrice Pataud 2020-2026
Code postal
23400
Code commune
23227
Démographie
Population municipale
201 hab. (2019 )
Densité
5,5 hab./km2
Géographie
Coordonnées
45° 53′ 55″ nord, 1° 49′ 19″ est
Altitude
Min. 467 m Max. 798 m
Superficie
36,5 km2
Unité urbaine
Commune rurale
Aire d'attraction
Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales
Canton de Bourganeuf
Législatives
Circonscription unique
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Saint-Pardoux-Morterolles
Géolocalisation sur la carte: France
Saint-Pardoux-Morterolles
Géolocalisation sur la carte: Creuse
Saint-Pardoux-Morterolles
Géolocalisation sur la carte: Nouvelle-Aquitaine
Saint-Pardoux-Morterolles
modifier
Géographie
Le Tourtoulloux, le ruisseau du Pic et le Rio Fourtou se rassemblent à 500 mètres du Compeix. Ils forment les cascades et champs de pierres d’Augerolles. Elles parcourent 4,650 kilomètres en passant à côté d'Augerolles puis de Saint-Pardoux. L'environnement de Saint-Pardoux-Morterolles évolue comme l'ensemble du paysage du plateau de Millevaches. Les landes disparaissent peu à peu au profit des plantations des résineux. L'agriculture est en déclin laissant les prairies envahies par des friches.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat de montagne», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]
Moyenne annuelle de température: 9,7°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 6,3 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 3,4 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 13,9 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8,9 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Bourganeuf», sur la commune de Bourganeuf, mise en service en 1994[8] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5°C et la hauteur de précipitations de 1 262,1 mm pour la période 1981-2010[10].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Limoges-Bellegarde», sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à 45 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,2°C pour la période 1971-2000[12], à 11,4°C pour 1981-2010[13], puis à 11,8°C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Saint-Pardoux-Morterolles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17].
La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (77,4% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (76,1%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (67%), prairies (14,1%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,4%), zones agricoles hétérogènes (8,5%)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Pardoux-Morterolles est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier: le risque de radon[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Risques naturels
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Pardoux-Morterolles.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 31,8% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 243 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 56 sont en en aléa moyen ou fort, soit 23%, à comparer aux 25% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[21].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Pardoux-Morterolles est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[25].
Toponymie
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
L'hagiotoponyme Saint-Pardoux fait référence à Pardulphe de Guéret.
Morterolles est attesté sous les formes Morteyroulx en 1648, Morterol (sans date)[26].
Du latinmortarium qui signifie mortier, vase à piler, auge de maçon[27], ou un endroit boueux.
Histoire
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
Communauté de prêtres au XVIesiècle.
Les deux communes de Saint-Pardoux-Lavaud et de Morterolles ont fusionné en 1965 pour former l'actuelle commune.
Les Hospitaliers
Ne doit pas être confondu avec la commanderie de Morterolles, commune de Bessines-sur-Gartempe en Haute-Vienne.
Morterolles au nord de la commune était une seigneurie et une paroisse de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem dépendante du prieuré hospitalier de Bourganeuf jusqu'à la Révolution française[28]. Il existait au nord de Limoges en Haute-Vienne une commanderie de Morterolles dont l'existence est avérée en tant que telle depuis 1374-75[29], appelée ensuite Morterolles-sur-Semme.
Politique et administration
Mairie.
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1983
Novembre 2018
Bernard Laborde
PS
Ancien conseiller général, directeur d’hôpital retraité
2018
En cours
Patrice Pataud
Agent de maîtrise
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].
En 2019, la commune comptait 201 habitants[Note 6], en diminution de 5,19% par rapport à 2013 (Creuse: −3,52%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
700
735
762
785
897
932
927
915
966
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
914
866
886
919
942
882
861
878
868
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
778
743
765
620
629
532
479
392
328
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
298
366
286
254
254
242
218
221
204
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
201
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église.Étang de Bourdeau.
Églises
Église Saint-Pardoux à Saint-Pardoux (monument historique) L'église de Saint-Pardoux a été bâtie sur une éminence, à mi-côte d'une haute montagne, appelée le Pétru, en tête de la vallée qui s'allonge jusqu'à Masgrangeas, en face de la colline sur laquelle sont perchés l'église et le bourg de Saint-Martin-Château. Elle aurait été érigée en 1178, sous le règne de Louis VII le Jeune, si l'on s'en rapporte à la date inscrite sur l'une des pierres qui ferment la clef de voûte de la chapelle latérale située du coté du midi. Sur une autre pierre de la voûte de cette chapelle on voit gravées dans un écusson les deux lettres B P, qui sont probablement les initiales du fondateur de l'église. Le presbytère était autrefois construit dans un jardin, aujourd'hui transformé en pré; il fut démoli en 1793. Lors de l'édification du nouveau presbytère, près de l'église, on y transporta et l'on plaça à la porte d'entrée une pierre de taille portant la date de 1690. A cent mètres de l'église, dans la direction de l'ouest, se trouve un monticule surmonté d'un gros rocher, d'où l'on découvrait un magnifique panorama. Le sommet de ce rocher a la forme d'un fauteuil. Au dire de la légende, Saint-Pardoux venait s'y reposer et méditer. Sur le clocher qui précède ce collatéral est cette inscription, en caractères en relief: A. D. AJ CCCC NONAGS° VIII. ONCTA. «Anno Domini 1498 oncta ou consecrata». Elle nous donne le terme de cette restauration et nous fixe d'une manière positive sur le style de nos constructions xv siècle. Plusieurs centaines d'églises du Limousin, à la même époque, étaient reconstruites ou restaurées. François Tissier, curé de Saint-Pardoux, enrichit son église d'une nouvelle cloche, ainsi que le constate la mention suivante qu'il en a faite aux registres paroissiaux: «Le 22e du susdit mois et an (décembre (1647), a été bénite la troisième cloche de cette église, par moi soussigné, avec permission de Monseigneur de Limoges, en présence de M Jehan Savy, notaire, et de M Piene Savy, aussi notaire, qui ont signés». La nef est surélevée d'un étage accessible par un escalier à vis qui fut construit en partie en creusant dans les anciens contreforts. A une époque indéterminée, mais probablement au début du XIII siècle, une petite chapelle seigneuriale fut créée au nord de la nef. Le mur gouttereau fut remplacé par une baie plein cintre, un contrefort servit de mur de fond et le mur opposé recouvrit en partie la moulure du portail. Cette chapelle voûtée en berceau fut couverte en dalles de pierres. Près de deux siècles se passèrent avant que de nouveaux travaux viennent modifier l'aspect particulièrement austère de cette église. C'est au début du XV° siècle que fut ajouté, au côté sud une nouvelle nef. Le mur gouttereau sud fut percé de trois grandes baies en arc brisé. La poussée de voûtes fut assurée par quatre nouveaux contreforts. La voûte est en berceau plein cintre en blocage. Le chœur est séparé de la nef par deux demi-colonnes engagées portant un doubleau de section carrée. Le chevet plat est éclairé par une longue baie plein cintre, n'ayant que 0m,70 de largeur de lumière pour un large ébrasement intérieur de 2m,40. Il existait probablement huit contreforts pour maintenir la voûte. On en distingue encore trois sur la façade Nord, un sur le chevet, deux sur la façade Sud. Il reste la trace de la base d'un contrefort dans la seconde nef et un autre paraît avoir été complètement supprimé également dans cette nef au Sud. Une grande fenêtre, semblable à celle du chevet, était située à la façade ouest, mais elle a été démontée et remployée Deux petites baies plein cintre avec ébrasements intérieurs éclairaient le nef: elles ont été également déplacées. La porte d’entrée est située au Nord, du côté où se trouvait la cour du prieuré. Cette baie en tiers point, ornée de trois redents, garnis de colonnettes en délit, est surmontée de trois archivoltes à boudins toriques, reposants sur six chapiteaux. Ces chapiteaux ont déjà les feuilles en forme de crosse de l’extrême fin du XIIè siècle, époque confirmée par les bases à tores et scotie avec griffes aux angles. Deux demi-colonnettes engagées et appareillées supportent un quatrième cintre de même profil, mais aplati. A gauche de cette porte, se trouve intérieurement un bénitier, certainement de la même époque, composé d'une cuve de granit tout unie. A droite de la porte d'entrée se trouve une piscine baptismale. Elle servait à l'administration du baptême par immersion supposant que le catéchumène soit partiellement ou totalement plongé dans l'eau. On trouve également une autre piscine baptismale incrustée dans le mur de la nouvelle nef. On trouve également une cuve baptismale du 12ème siècle portant sur une face la représentation de la lune, et sur l'autre face le soleil. Sources:Z. Thoumieux assisté de Ch. A. PaquetExtraits du "Dictionnaire topographique archéologique et historique de la Creuse" (André Lecler.).
Extraits des mémoires de l’année 1926 de la société des sciences naturelles et archéologiques de la Creuse.
Église Sainte-Anne-Saint-Sébastien à Morterolles du XIXesiècle.
La chapelle Saint-Gilles dite également de Saint-Giry, située au nord-est de Morterolles, était une annexe de l'église Sainte-Anne de Morterolles à l'époque des Hospitaliers[28].
Alentours
Le GR de pays des cascades, landes et tourbières est un circuit de 65 kilomètres permettant de relier Royère-de-Vassivière à Bourganeuf en passant par Saint-Pierre-Bellevue, Saint-Pardoux-Morterolles, Faux-Mazuras, Saint-Martin-Château et Saint-Junien-la-Bregère. Le circuit permet de visiter de nombreux sites naturels et monuments remarquable de la région: tourbières, Cascade des Jarrauds, moulin d'Augerolles, tour Zizim, pont de planche en granit, croix, églises, sites inscrits des Gorges du Verger et des Roches du Mazuras… Le circuit peut s'effectuer à pied en trois ou quatre jours ou en un ou deux jours en VTT ou à cheval[34].
Personnalités liées à la commune
Eugène France (1906-1944), militant communiste et un résistant creusois.
Voir aussi
Articles connexes
Liste des communes de la Creuse
Liste des anciennes communes de la Creuse
Grand prieuré d'Auvergne de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Ernest Nègre, Toponymie générale de la France: Formations pré-celtiques, celtiques, romanes, Droz, , p.410.
Ernest Gligny, Les Noms de lieux de la Creuse (23): origine et signification, vol.1, E. Gligny, , p.38.
Louis-Augustin Vayssière, «L’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem ou de Malte en Limousin et dans l’ancien diocèse de Limoges», Bulletin de la Société des lettres, sciences et arts de la Corrèze, , p.42, lire en ligne sur Gallica.
Georges Guigue, Inventaire-Sommaire des archives départementales antérieures à 1790: Rhône - Archives Ecclésiastiques - Série H - H1 à H 702 - Ordre de Malte -Langue d'Auvergne , t.I, (lire en ligne), p.197 (H. 244.)
Morterolis. Ce document comptable permet de connaître le nom des principales commanderies de la langue d'Auvergne au XIVesiècle.
Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.
2019-2025 WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии