Saint-Nazaire-de-Ladarez en occitan Sant Nasari de las Avelhanas, est une commune française située dans l'ouest du département de l'Hérault en région Occitanie. Ses habitants sont appelés les Saint-Nazairiens.
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Saint-Nazaire-de-Ladarez | |
![]() Saint-Nazaire-de-Ladarez vue depuis l'Ermitage | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Hérault |
Arrondissement | Béziers |
Intercommunalité | Communauté de communes Les Avant-Monts |
Maire Mandat |
Sylvie Milhau Lermet 2020-2026 |
Code postal | 34490 |
Code commune | 34279 |
Démographie | |
Gentilé | Saint-Nazairiens |
Population municipale |
325 hab. (2019 ![]() |
Densité | 11 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 30′ 37″ nord, 3° 04′ 36″ est |
Altitude | Min. 110 m Max. 690 m |
Superficie | 28,27 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Béziers (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Cazouls-lès-Béziers |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
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Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Rieutort, le ruisseau de Landeyran et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional du Haut-Languedoc.
Saint-Nazaire-de-Ladarez est une commune rurale qui compte 325 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 987 habitants en 1866. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Béziers.
Vieussan | Les Aires | |
Roquebrun | ![]() |
Cabrerolles |
Causses-et-Veyran | Murviel-lès-Béziers |
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Roquebrun », sur la commune de Roquebrun, mise en service en 1955[6] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 15,4 °C et la hauteur de précipitations de 782,7 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de Sète, mise en service en 1949 et à 51 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 15 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,4 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,8 °C pour 1991-2020[12].
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13],[14].
Un espace protégé est présent sur la commune : le parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[15]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[16],[17].
Saint-Nazaire-de-Ladarez est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[18],[I 1],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Béziers, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 53 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (84,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (67,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17 %), cultures permanentes (9,8 %), zones agricoles hétérogènes (5,6 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune de Saint-Nazaire-de-Ladarez est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le ruisseau de Landeyran et le Rieutort. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1984, 1992 et 1996[23],[21].
Saint-Nazaire-de-Ladarez est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 6],[24].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 11,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 258 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 243 sont en en aléa moyen ou fort, soit 94 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Nazaire-de-Ladarez est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[27].
La commune a été connue sous les variantes : in Lezateso (978), castello S. Nazarii de Lerades (1152), de S. Nazario de Leradensi (1323), rector S. Nazarii de Lezedesio (1351), San Nazari de Lezades (1363), Saint Nazaire de Lederes (1529, Saint Nazaire de Laderes (1571).
Le nom de Ladarez dérive probablement de celui d'un domaine gallo-romain ou pré-romain Lesate, peut-être le gentilice latin Lesius augmenté du suffixe prélatin -atis. L'évolution se fait 1°) par le rhotacisme -ʑ- > -r-, 2°) une métathèse -r-d- > -d-r̈, 3°) l'ouverture e > a[28]
D'après des vestiges retrouvés dans la plaine du Puech du Mont Peyroux, les premiers habitats se situaient à proximité du ruisseau du Landeyran. La grotte sépulcrale de la Grille, ainsi que les découvertes de meules à grains, pointes de flèches et grattoirs en sont la preuve. Le chemin du col des Tribes a certainement été emprunté pendant des millénaires, par des bergers et des hommes apportant du sel dans le Haut-Languedoc. Des vestiges de la Préhistoire ont été également trouvés dans le ruisseau de Souydou et au Tinel.
Une présence romaine est attestée au Puech de la Suque. Des fragments de poteries sigillée indiquent une présence durable, sous forme de villa rupestre. Les murs en pierres sèches à section trapézoïdale qui délimitent des parcelles paraissent avoir été construits à cette époque.
À la Lande, des sesterces frappés aux insignes des légions romaines de Nîmes ont été trouvés sur le chemin de la Mazade. Ce sont les restes d'un camp romain défendant la route Béziers-Cahors.
L'oppidum de Souydou défendait le chemin de Laurenque, qui deviendra au Moyen Âge un chemin emprunté par les pèlerins qui se rendaient à Saint-Jacques de Compostelle.
D'après les noms de lieux on devrait trouver également une présence romaine au Landeyran (tuiles romaines à la Granges de Cayrol), Pontillac et Pont Lirou.
D'après les documents existants, il semblerait que la seigneurie de Saint-Nazaire ait toujours été rattachée la châtellenie de Cessenon. Si l'on se réfère au livre de l'abbé Secondy, il convient par déduction de dire que Saint-Nazaire a appartenu respectivement à :
Raymond de Saint-Nazaire, damoiseau, figure au cartulaire de Cassenon, dans une charte de 1341. De même en 1362, Henri de Trastamarre est fait par Jean Le Bon châtelain de Saint-Nazaire, Cessenon, etc.
En 1775, Saint-Nazaire a Marie-Antoinette Gabrielle de Carrion comme seigneuresse. Cette dernière qui se mariera le à Causses et Veyran avec le comte Augustin Marie Sauveur Marin De Spinola, souverain d'Arquate, possède également Murviel, Nizas, Tressan, Cazouls d'Hérault, Coujan, Veyran, Aumes, Mazens. Elle est également co-seigneur de Roquebrun, Vieussan, Montagnac et Aigues-Vives. En 1782 elle est envoyée aux États du Languedoc par le Parlement de Toulouse. En 1789 bien qu'ayant la possibilité de se rendre aux États Généraux pour la noblesse, elle ne jugea pas utile de s'y rendre. Devenue citoyenne Spinola, elle se retire à Paris en 1793. Elle revient à Murviel après la Terreur et meurt à Narbonne en 1798 à l'âge de 50 ans. Son mari meurt en 1816. Une de ses filles s'est mariée à monsieur de Comminges et a vendu le château de Murviel le .
Après la Révolution, Saint-Nazaire a été rattaché au canton de Murviel. Des dissidences sont apparues peu de temps après sous l'initiative de Roquebrun, qui souhaitait sortir du canton de Cessenon et devenir chef-lieu de canton avec Vieussan, Causses et Veyran et Saint-Nazaire. Ces deux dernières communes étaient d'accord avec le projet. Vente des biens du clergé en 1790 dont six maisons appartenant aux curés de Thézan et Saint-Nazaire. Jacques Cure, curé de la paroisse, a prêté serment et accepté la constitution civile du clergé, instituée par la loi du 12/7/1790.
Le , les citoyens sont invités à voler au secours de la patrie en danger. Ils doivent s'engager dans le bataillon de l'Hérault où à se rendre au camp de Soissons. Dans le canton de Murviel, Saint-Nazaire détient la palme des engagés avec 36 volontaires pour l'Armée du Var et 14 gardes nationaux sur un total de 700 habitants.
En 2018, la commune compte 160 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 329 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 860 €[I 4] (20 330 € dans le département[I 5]).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 8,3 % | 11,7 % | 9,8 % |
Département[I 7] | 10,1 % | 11,9 % | 12 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 180 personnes, parmi lesquelles on compte 73,4 % d'actifs (63,6 % ayant un emploi et 9,8 % de chômeurs) et 26,6 % d'inactifs[Note 8],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Béziers, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 43 emplois en 2018, contre 39 en 2013 et 50 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 117, soit un indicateur de concentration d'emploi de 37 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 47,1 %[I 10].
Sur ces 117 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 29 travaillent dans la commune, soit 25 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 85,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,5 % les transports en commun, 3,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
17 établissements[Note 9] sont implantés à Saint-Nazaire-de-Ladarez au [I 13]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 47,1 % du nombre total d'établissements de la commune (8 sur les 17 entreprises implantées à Saint-Nazaire-de-Ladarez), contre 28 % au niveau départemental[I 14].
Durant le XXe siècle, la principale activité du village a été la viticulture. Devant les fluctuations de ce marché et les incertitudes de cette profession, les fils et filles de viticulteurs ont préféré se retourner vers des emplois salariés. Beaucoup sont partis à travers toute la France, conservant dans le meilleur des cas la maison familiale, pour les vacances.
De la soixantaine d'exploitations existantes en 1950, il en reste moins de dix. Les commerces de proximité ont fermé les uns à la suite des autres, concurrencés par les grandes surfaces. La carrière de marbre qui occupait plus de 50 personnes en 1950 ne fonctionne plus.
Un petit essor semble cependant se de dessiner dans le domaine touristique. De nombreux gites, chambres d'hôtes et locations d'appartements, permettent chaque année un flux migratoire assez important, en saison notamment.
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
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Exploitations | 19 | 16 | 13 | 9 |
SAU[Note 10] (ha) | 550 | 383 | 358 | 207 |
La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant une partie du centre et du nord-est du département de l'Hérault[29]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la viticulture[Carte 4]. Neuf exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 12] (19 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 207 ha[31],[Carte 5],[Carte 6].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1947 | 1971 | Madeleine Laissac | SFIO | Institutrice, députée (1951-1955) |
1971 | 1995 | René Gasc | PS | |
1995 | 2008 | Marie Mas | PS | |
2008 | 2020 | Jean-Louis Madalle | Retraité de l'enseignement | |
2020 | En cours | Sylvie Millau | ||
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].
En 2019, la commune comptait 325 habitants[Note 13], en diminution de 8,19 % par rapport à 2013 (Hérault : +7,63 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
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709 | 722 | 778 | 819 | 884 | 914 | 937 | 976 | 933 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
939 | 941 | 987 | 934 | 942 | 879 | 918 | 720 | 718 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
748 | 687 | 647 | 623 | 560 | 587 | 531 | 465 | 458 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2004 | 2006 | 2009 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
491 | 465 | 379 | 345 | 361 | 331 | 349 | 367 | 341 |
2014 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
358 | 325 | - | - | - | - | - | - | - |
![]() |
Les armoiries de Saint-Nazaire-de-Ladarez se blasonnent ainsi :
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