Saint-Michel est une commune française située dans le sud du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays d'Astarac, un territoire du sud gersois très vallonné, au sol argileux, qui longe le plateau de Lannemezan.
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Saint-Michel
Entrée du village.
Administration
Pays
France
Région
Occitanie
Département
Gers
Arrondissement
Mirande
Intercommunalité
Communauté de communes Astarac Arros en Gascogne
Maire Mandat
Fabien Gouzenne 2020-2026
Code postal
32300
Code commune
32397
Démographie
Gentilé
Saint-Michelais
Population municipale
244 hab. (2019 )
Densité
15 hab./km2
Géographie
Coordonnées
43° 25′ 48″ nord, 0° 24′ 56″ est
Altitude
Min. 168 m Max. 286 m
Superficie
16,56 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales
Canton de Mirande-Astarac
Législatives
Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Saint-Michel
Géolocalisation sur la carte: France
Saint-Michel
Géolocalisation sur la carte: Gers
Saint-Michel
Géolocalisation sur la carte: Occitanie
Saint-Michel
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Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Baïse, la Baisole et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Saint-Michel est une commune rurale qui compte 244 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 082 habitants en 1846. Ses habitants sont appelés les Saint-Michelais ou Saint-Michelaises.
Géographie
Localisation
La Grande Baïse à Saint-Michel, avant qu'elle ne rencontre la Baïsole.
Saint-Michel est une commune située sur la Baïsole et faisant partie de la région historique de l'Astarac, en Gascogne.
Saint-Michel se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[2].
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par la Baïse, la Baisole, le ruisseau de Pouyret le ruisseau des Moulines et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 24 km de longueur totale[4],[Carte 1].
La Baïse, d'une longueur totale de 187,6 km, prend sa source dans la commune de Capvern et s'écoule vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Saint-Léger, après avoir traversé 52 communes[5].
La Baisole, d'une longueur totale de 47,2 km, prend sa source dans la commune de Campistrous et s'écoule vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Baïse sur le territoire communal, après avoir traversé 21 communes[6].
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Michel.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]
Moyenne annuelle de température: 13,1°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,6 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 7,7 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 10,3 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,3 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Mirande», sur la commune de Mirande, mise en service en 1971[12] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[13],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,2°C et la hauteur de précipitations de 791,1 mm pour la période 1981-2010[14].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Auch», sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et à 28 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 13,1°C pour 1981-2010[16] à 13,5°C pour 1991-2020[17].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[18]:
la «forêt de Berdoues» (389ha), couvrant 4 communes du département[19] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[18]:
le «coteau en rive droite de la Baïsole» (587ha), couvrant 7 communes du département[20].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Saint-Michel.
Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Saint-Michel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[21],[I 1],[22].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,1%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (61,4%), zones agricoles hétérogènes (17,8%), forêts (12%), prairies (8,8%)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Michel est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Baïse et la Baisole. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[26]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1988, 1999, 2009 et 2014[27],[24].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Michel.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 144 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 144 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100%, à comparer aux 93% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1999[24].
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval du barrage de Puydarrieux, un ouvrage de classe A[Note 7] disposant d'une retenue de 14,5 millions de mètres cubes[31]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[32].
Toponymie
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Histoire
Le monument aux morts.
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Retraitée de l'enseignement Suppléante au Conseil Départemental
2020
En cours
Fabien Gouzenne
Les données manquantes sont à compléter.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].
En 2019, la commune comptait 244 habitants[Note 8], en diminution de 7,22% par rapport à 2013 (Gers: +0,58%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1841
1846
1851
1856
552
483
558
592
585
1 020
1 082
879
878
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1901
798
737
714
678
708
716
661
613
558
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
548
530
519
505
445
464
429
393
395
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
2014
373
353
316
276
241
253
260
263
261
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
244
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 106 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 245 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 360 €[I 4] (20 820 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 140 personnes, parmi lesquelles on compte 72,3% d'actifs (67,2% ayant un emploi et 5,1% de chômeurs) et 27,7% d'inactifs[Note 10],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 9]. Elle compte 53 emplois en 2018, contre 58 en 2013 et 66 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 99, soit un indicateur de concentration d'emploi de 53,1% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 49,8%[I 10].
Sur ces 99 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 30 travaillent dans la commune, soit 30% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 84,5% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1% les transports en commun, 1% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 13,4% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
32 établissements[Note 11] sont implantés à Saint-Michel au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 13].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
32
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
19
59,4%
(12,3%)
Construction
2
6,3%
(14,6%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
5
15,6%
(27,7%)
Activités financières et d'assurance
2
6,3%
(3,5%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
1
3,1%
(14,4%)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
1
3,1%
(12,3%)
Autres activités de services
2
6,3%
(8,3%)
Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 59,4 % du nombre total d'établissements de la commune (19 sur les 32 entreprises implantées à Saint-Michel), contre 12,3% au niveau départemental[I 14].
Entreprises et commerces
L'agence postale communale.
La commune comprend des parcelles agricoles ainsi qu'un naturaliste qui héberge un musée d'animaux empaillés. Une agence postale communale est également présente sur la commune, à proximité de la mairie et de l’école.
Agriculture
La commune est dans l'Astarac, une petite région agricole englobant tout le Sud du département du Gers, un quart de sa superficie, et correspond au pied de lʼéventail gascon[38]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est l'élevage de volailles[Carte 5].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 40 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 28 en 2000 puis à 20 en 2010[40] et enfin à 19 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 52% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51% de ses exploitations[41],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 172ha en 1988 à 1 037ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 29 à 55ha[40].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église.
Église de Saint-Michel, datant du XVIIIesiècle de style gascon, elle a remplacé l'ancienne église romane;
Chapelle de Saint-Jaymes, annexe de l'église paroissiale[42],[43];
Motte castrale des Bayonnats ou de Taran, au nord-ouest du village.
L'école.
Le foyer rural.
Fontaine et espace vert.
Panneau explicatif.
La chapelle de Saint-Jaymes.
Porche et statue de la chapelle.
Personnalités liées à la commune
Voir aussi
Bibliographie
Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol.III: Arrondissement de Mirande, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 437p. (ISBN2-9505900-7-1, BNF40101206)
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Le classement des barrages est fonction de deux paramètres: hauteur et volume retenu[30].
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[39].
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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